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M1 Finance Management Strategique 2023-2024
M1 Finance Management Strategique 2023-2024
M1 Finance Management Strategique 2023-2024
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DEPARTEMENT ADMINISTRATION DES AFFAIRES /LOGISTIQUE
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UNITE PEDAGOGIQUE DE GESTION DE PROJETS (UPGP)
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Enseignant:
Ing. Dr. Fernand N’GUESSAN
Enseignant - Chercheur à L’IUA
Email : fernand.nguessan@iua.ci
Mobile : 0171848399
ORGANISATIONS………………………………………………………………..p
LES ORGANISATIONS………………………………………………………….p
ORGANISATIONS……………………………………………………………….p
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Par conséquent, les managers sont contraints d’opérer des choix stratégiques
dans leurs entreprises. Dès lors, il est important de mieux comprendre le concept du
management stratégique, son importance, ses missions et ses composantes. Aussi il
convient pour un manager qui se veut efficace, de savoir analyser le potentiel de son
entreprise en vue d’utiliser rationnellement les stratégies adaptées. Le présent module
se présente en cinq grandes parties ci-dessus indiquées
Objectifs spécifiques
De nombreuses définitions ont été proposées par certains auteurs dont nous
retiendrons quelques-unes.
c) Gary Dessler (2004) l’appréhende comme étant « le processus qui sert à définir
Les pressions de la société civile qui dénoncent les dérives sociales et morales
des activités économiques des entreprises exigent de nouveaux comportements des
gestionnaires et propriétaires des entreprises. L’éthique de gestion et la responsabilité
sociale des entreprises deviennent un nouveau paradigme, une nouvelle variable
stratégique.
Il les aide à faire face aux incertitudes liées aux diverses mutations permanentes
de l’environnement des affaires et nécessite une analyse rigoureuse des facteurs perti-
nents du processus de planification des entreprises ;
complexes pour identifier et prioriser les objectifs à atteindre par les entreprises ;
utilisation efficace ;
Construire et entretenir une culture d’entreprise pour lui conférer une identité.
t qu’œuvre du sommet
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
francophones, 1999
- Gary Dessler (2004) : Gary Dessler, Frederick A. Starker, Dianne J. Cyr : « La gestion
stratégique » dans (M.B.A : Synthèse des meilleurs cours des grandes business schools
Q8 : Est-il vrai que c’est l’horizon qui permet de déterminer la dimension stratégique
de la gestion ou non ? ……. Oui ……. Non, Pourquoi ?
Notre ère vit des changements et des mutations qui se succèdent de façon
vertigineuse. C’est pourquoi, les organisations modernes doivent relever le défi du
changement et mettre en place des stratégies face aux jeux du pouvoir qui influencent
Les approches préconisées pour faire faire face aux difficultés dans la conduite
du changement stratégiques peuvent être déclinées en quatre dimensions
complémentaires portant sur :
C’est cette analyse qui est la base des décisions stratégiques de l’entreprise et de
l’élaboration des alternatives stratégiques
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
but et objectifs dans une gestion stratégique des organisations. Il précise également la
Un objectif partagé : une vision doit se traduire par un objectif auquel toute
l’entreprise va adhérer
Les hommes : le personnel et les clients (la vision deviendra réalité dans la
personnel).
Le gestionnaire visionnaire selon Warren Bennis doit avoir les qualités suivantes :
humaines
Une vision claire crée l’avenir, détermine l’échec ou le succès et allie la stratégie
à la culture, elle nécessite : une ouverture d’esprit pour anticiper le changement, une
concentration (la capacité de diriger l’énergie et les ressources) pour mettre en œuvre
le changement et la patience pour aboutir à une excellence durable. L’on peut conclure
qu’une vision d’entreprise sans action n’est qu’un rêve et une action sans vision fait
passer le temps.
Une mission a un cadre réglementaire qui est global. Elle est abstraite et sujette
à diverses interprétations. Mais en tant que but commun à réaliser, la mission doit
répondre aux questions essentielles suivantes telles que :
C’est un but plus global que la société attend d’une organisation de réaliser.
La mission sert de lien entre l’entreprise et son environnement. C’est un but plus élevé
qui, une fois réalisé, assure la survie de l’organisation. La mission d’une organisation
doit être comprise facilement par chaque membre de l’entreprise afin d’entraîner
l’implication et l’adhésion de celui-ci. Sa formulation doit être plus percutante,
restituer l’âme de l’institution et résister aux changements prévisibles ou non.
Un objectif est le résultat vers lequel les actions et les opérations d’une
organisation sont dirigées, orientées. C’est un but délibéré qui précise la portée et
suggère l’orientation des efforts de planification d’un dirigeant. Les objectifs dans une
organisation aident à la définir dans son environnement, à coordonner les décisions et
les actions des décideurs. Ils se subdivisent en objectif global, majeur ou principal et
en objectifs secondaires, spécifiques, lesquels une fois atteints contribuent à la
réalisation de l’objectif global. Les objectifs constituent des standards de contrôle. Ils
doivent être mesurables et réalistes. Une entreprise se définit dans son organisation par
D’autres esquisses de définitions ont été proposées par les auteurs ci-après :
P. Tabatoni et P. Jarninou soutiennent que la stratégie désigne « un choix de critères
de décisions dites stratégiques qui visent à orienter de façon déterminante et pour le
long terme, les activités et structures de l’organisation ». Pour Gary L. Dessler, la
stratégie est « un plan d’action qui explique comment l’entreprise va évoluer et ce
qu’elle est actuellement à ce qu’elle veut devenir », (c’est l’énoncé de sa mission)
alors que Bernard Gazier, entend par stratégie « un ensemble coordonné de choix à
long terme, multidimensionnels et interactifs de long terme ». Pour lui, les stratégies
sont des choix à long terme parce qu’elles engagent durablement l’avenir. Stephen
elle fixe le système d’objectif de l’organisation pour une durée plus ou moins
longue ;
elle délimite l’allocation des moyens nécessaires pour atteindre les objectifs
fixés.
*La vision est un rêve achevé qui prend en compte des changements prévisionnels et
*La mission est un cadre réglementaire qui sert de lien entre l’entreprise et son
environnement
*Les stratégies sont des choix d’orientation à long terme et sont multidimensionnelles,
interactives et adaptatives
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
EXERCICE D’APPLICATION
Q1 : Est-il vai que de façon générale, la planification stratégique est une tâche
Q3 : Les travaux de Alfred Chandler et Igor Ansoff ont -ils contribué à l’essor de la
Q5 : Une mission a un cadre réglementaire qui est global. Elle est abstraite et sujette à
Q6 : Une vision est une vue de l’esprit, de l’imagination que l’on veut en faire une
Q7 : une vision doit se traduire par un objectif auquel toute l’entreprise va adhérer.
Le sommet stratégique
C’est l’organe de direction de l’entreprise chargé de l’élaboration des stratégies de des
orientations. Il définit la philosophie et la ligne directrice de l’entreprise.
Le centre opérationnel
Il se compose de l’ensemble des employés qui effectuent le travail directement
productif.
La ligne hiérarchique
Elle comporte l’ensemble des cadres opérationnels chargés de l’animation des équipes
de travail et qui assurent la coordination entre le sommet stratégique et le centre opéra-
tionnel.
Le support logistique
Il se compose de l’ensemble des agents qui fournissent divers services internes à
l’entreprise (service social, cantine, infirmerie, reprographie, archives).
C’est au niveau du sommet stratégique que nous retrouvons les acteurs du ma-
nagement stratégique des organisations qui sont : les créateurs d’entreprise, les
membres du conseil d’administration et la direction générale ou le top management.
Au niveau de la technostructure, les consultants et experts apportent leurs conseils et
assistance au sommet. Dans la ligne hiérarchique, les directeurs centraux et respon-
sables d’encadrement assurent la liaison entre le sommet et la base (le centre opéra-
tionnel)
Selon Henry Mintzberg, les objectifs d’une organisation résultent aussi du jeu
de pouvoir entre ces différents acteurs qui constituent la coalition interne et la coalition
externe.
4.2.2. Les conditions d’ambiance thermique (le froid, la chaleur, les courants
a) La rotation
Elle consiste à faire tourner les ouvriers sur différents postes en vue de diminuer la
monotonie, de créer une polyvalence utile, et assurer la promotion professionnelle des
opérateurs.
b) L’élargissement
Il consiste à donner plus de responsabilité à l’opérateur en lui confiant des tâches plus
qualifiées. (ex : petit entretien plus tâches de réglage et de contrôle qualité). Herzberg
considère que le contenu de la tâche est un facteur motivant. Pour lui,"
l’enrichissement des tâches" consiste à donner plus de responsabilités plus
d'autonomie et une logistique efficace au travailleur. Il s’agit d’amener le salarié à
prendre en charge la tâche depuis la conception jusqu'au contrôle. L’enrichissement
contribue au développement de la polyvalence L’on peut parler d’enrichissement des
tâches quand de nouvelles responsabilités sont accordées à l’employé et qui lui
améliorer le rendement
C’est la relation d’autorité qui s’établit entre un subordonné et un supérieur qui, ayant
le droit de donner des directives, s’attend à ce qu’elles soient suivies ;
b) l’autorité de conseils
Elle est basée sur les connaissances spécialisées et une compétence reconnue qui
confère par le fait même un droit d’être consulté ;
C’est l’autorité d’un chef spécialiste qui a le droit de donner des directives dans
d’autres services et d’en surveiller l’application. Ces directives doivent s’inscrire dans
son domaine de spécialité et découler des politiques préalablement approuvées de la
haute direction.
termes de ses ressources, ses capacités et compétences distinctives qui créent sa valeur
ajoutée.
l’environnement externe
Forces
Menaces
Environnement Capacités
Opportunités Faiblesses
OBJECTIFS &
MANŒUVRES
STRATEGIQUES
STRUCTURE
l’analyse interne et externe. Pour lui, dans la formulation des stratégies à partir des
œuvre des stratégies porte sur l’exécution des stratégies en vue d’obtenir les
performances escomptées
*La prise en compte de l’ergonomie est un choix stratégique pour assurer l’efficacité
de l’organisation
*La modification des tâches vient en appui des conditions ergonomiques pour
améliorer le rendement des employés
*La formulation des stratégies doit se faire à partir des réalités de l’environnement
interne et externe qu’il faut adapter aux objectifs de l’organisation
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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Q5 : L’élargissement consiste à préparer les employés aux promotions et aux chan-
La mise en œuvre concrète des stratégies dans les organisations est variée.
C’est la particularité et la qualité de ces stratégies qui confèrent aux organisations leur
grandes catégories :
Dans les options stratégiques des organisations face à la concurrence, elles peuvent
prendre des orientations internes ou externes pour être définies comme stratégies
internes ou stratégies externes.
d) Le dégagement
Il intervient quand une entreprise veut se dégager d’une industrie dont le potentiel de
développent lui semble insuffisant, dans laquelle sa position stratégique est faible.
Elles concernent les entreprises opérant dans une industrie qui veulent pénétrer dans
d’autres secteurs pour des raisons de déclin d’activité, désir de partage des risques ou
saisie d’opportunités en dehors de leur territoire. Ces stratégies portent sur
l’intégration verticale, les stratégies de filières et la diversification.
a) L’intégration verticale
Elle s’apparente à la diversification et l’entreprise prend des positions en amont et /ou
en aval
c) La diversification
C’est une forme de stratégie de croissance qui tient compte des compétences distinc-
tives et des besoins de l’entreprise pour se donner de nouvelles activités correspondant
à de nouveaux produits et de nouveaux marchés ( diversification internationale / diver-
sification de renforcement dite horizontale pour des activités similaires et diversifica-
tion verticale pour l’intégration en amont ou en aval)/ diversification de proximité pour
les nouveaux produits dans les marchés actuels ou nouvelles applications aux techno-
logies aux technologies maîtrisées/ diversification totale, nouveaux produits dans de
nouveaux marchés
Elles portent sur diverses formes de coopération entre les entreprises telles que
les stratégies d’impartition, la stratégie de croissance externe;
a) L’impartition
Elle porte sur la coopération entre plusieurs partenaires disposant de potentiels com-
plémentaires et désireux de réaliser une synergie de potentielles (sous-traitance,
cotraitance, accord de License, franchise
Elle concerne plusieurs entreprises autour d’un transfert des actifs existants d’un ac-
teur vers un autre pour aboutir à une acquisition/cession de droits de propriétés. Avec
une base juridique et des procédures financières, cette stratégie porte sur une fusion de
deux entreprises au profit d’une nouvelle entreprise et une absorption qui porte sur une
entreprise qui réalise une augmente de son capital par rapport à une autre qui disparait.
La mise en œuvre concrète des stratégies dans les organisations est variée. C’est la
particularité et la qualité de ces stratégies qui confèrent aux organisations leur potentiel
de performance élevé. Les manœuvres stratégiques dans une organisation peuvent être
formulés sous trois formes : les stratégies d’entreprises, les stratégies concurrentielles
a) La stratégie de croissance
Elle se manifeste par un besoin d’augmentation des marchés ou des produits existants
ou le développement des nouvelles activités (la diversification)
b) La stratégie de stabilité
c) La stratégie de renouvellement
a) La stratégie de différenciation
Elle se réfère à un positionnement dans l’esprit des consommateurs en offrant des
produits ou services perçus comme différents de ceux des concurrents
c) La stratégie de focalisation
Elle permet d’opérer un choix d’un segment ou d’un groupe de segments dans un
secteur d’activité pour développer un avantage concurrentiel durable
Dans leur souci de résister face à la concurrence, les entreprises utilisent des
stratégies offensives ou défensives selon leur situation concurrentielle. Les stratégies
offensives nécessitent une aptitude au management d’équipes et un bon
professionnalisme en marketing et en finance. Les stratégies défensives recommandent
une compétence élevée dans la fonction sociale et des grandes habiletés en gestion
commerciale et financière.
a) La Recherche et développement
b) Le Système d’information
Le cas est une collection des données sur une entreprise existante ou fictive
présentées par des spécialistes à partir de leur expérience ou leurs observations de la
vie courante des entreprises en vue d’illustrer les concepts enseignés aux apprenants.
Dans certains cas, les entreprises préfèrent garder l’anonymat et les identités de
leurs acteurs sont changées lorsque que l’entreprise est soumise à l’analyse dans une
étude. Bien que souvent présentées sous de fausses identités dans les études de cas, les
difficultés et les problèmes de ces entreprises restent réels afin que l’analyse puisse
proposer les solutions appropriées.
Une étude de cas est donc un outil pédagogique qu’utilisent les Universitaires et
les Grandes Ecoles de business pour rendre leur formation plus pratique et
opérationnelle. Elle permet aux étudiants d’apprendre les rudiments de leur future
profession dans divers domaines du business. Une étude de cas est alors un jeu de rôle
pour le futur gestionnaire
Une bonne compréhension d’un cas nécessite au moins trois (3) lectures avant
de commencer par répondre aux questions. Il est conseillé de consacrer au moins trente
(30) minutes de temps à la lecture complète du cas.
a) La lecture exploratoire
b) La lecture détaillée
C’est la deuxième lecture qui nécessite s’il y a lieu, de regrouper les annexes
avec les parties du texte auxquelles elles correspondent. Pendant cette lecture, il est
important de souligner les mots clés en notant des repères sur votre brouillon. Il est
aussi conseillé de mémoriser les questions qui vous sont posées pour préparer la
dernière lecture afin d’identifier déjà les réponses éventuelles qu’il faut repérer sur le
brouillon.
c) La lecture sélective
Cette lecture est la plus détaillée parce qu’elle vise à sélectionner les
informations les plus importantes et les plus pertinentes pour les analyses.
Pendant cette lecture, l’apprenant doit être capable d’identifier les concepts,
les politiques et stratégies managériales et mercatiques adaptés aux problèmes
spécifiques posés dans le cas.
CONSEILS PRATIQUES
Pendant les lectures
-Ne pas s’attarder sur les mots et les expressions que l’on n’arrive pas à
comprendre dans l’immédiat. La suite du texte peut éventuellement vous aider
-Ne pas s’attarder sur les calculs et les données chiffrées qu’on ne comprend pas
-Lire tout le cas y compris les annexes avant de commencer à répondre aux questions
Les études de cas sont généralement présentées sous deux formes : le cas de
type « continu » et le cas de type « séquentiel.
Analyse-Diagnostic
Introduction
I/ L’analyse Interne (forces et faiblesses)
1.1. Les forces de l’entreprise
1.2. Les faiblesses de l’entreprise
Conclusion
Il peut arriver que l’étudiant ait des difficultés à interpréter le texte parce qu’il
n’arrive pas à identifier les concepts, les stratégies et les politiques énoncés pour
répondre aux questions en ordre. Dans ce cas, il est souhaitable de sauter les questions
qu’il juge difficiles. Il devra être alors rigoureux en numérotant les réponses et en
paginant ses copies pour permettre à l’examinateur de mieux le suivre.
Méthode 2 d’analyse-diagnostic
Analyse-diagnostic
Introduction
I/L’analyse Interne (forces et faiblesses)
1.1. Au plan des ressources humaines
1.2. Au plan des ressources matérielles et technologiques
1.3. Au plan des ressources financières
1.4. Au plan de la structure d’entreprise
1.5. Au plan des stratégies
Conclusion
CONSEILS PRATIQUES
Pendant la rédaction des cas
-Rédigez dans un français clair et compréhensif
-Ne pas paraphraser les passages du cas
-Donnez des réponses brèves et précises
Pour faire une bonne analyse-diagnostic dans les études de cas, deux
méthodes d’analyse sont au choix. (Voir tableau ci-dessus)
CONCLUSION
Une analyse dans une étude de cas, n’est pas un simple recensement ou un
inventaire des forces et faiblesses, des opportunités ou menaces. Il s’agit de les
analyser en tant que telles en non de les répertorier.
*L’étude de cas est un jeu de rôle pour le futur manager ou mercaticien pour évaluer
ses choix stratégique en vue de formuler des stratégies adaptées
*Que le cas soit continu ou séquentiel, son étude n’est pas un simple recensement des
forces et faiblesses ni des opportunités ou menaces. Il s’agit d’une analyse
*L’étude de cas est un jeu de rôle pour le futur manager ou mercaticien pour évaluer
ses choix stratégique en vue de formuler des stratégies adaptées
CONSEILS PRATIQUES
Pendant la rédaction des cas
-Rédigez dans un français clair et compréhensif
-Ne pas paraphraser les passages du cas
-Donnez des réponses brèves et précises
-Evitez des commentaires inutiles en dehors du cas
-Souciez-vous de la clarté de votre travail (soulignez les titres et sous titres)
-Respectez la chronologie des questions et numérotez-les
-Soignez votre écriture
-Evitez les ratures et l’utilisation des « Blanco »pour la carté de votre travail
-Paginez vos copies
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
EXERCICE D’APPLICATION
Q1 : L’analyse interne du diagnostic d’une entreprise porte sur les opportunités et les
faiblesses de cette entreprise. ……. Vrai ……. Faux
Q2 : L’analyse externe dans le diagnostic de l’entreprise présent les atouts et les
menaces de l’environnement. ». ……. Vrai ……. Faux, Pourquoi ?
Q3 : Dans une étude de cas, il est conseillé de ne pas paraphraser les passages du cas
……. Vrai ……. Faux
Q4 : Le diagnostic d’une entreprise, l’analyse interne n’est pas un simple inventaire ou
recensement des forces et faiblesses. ……. Oui ……. Non, pourquoi ?
Q5 : L’analyse des facteurs politiques, économique, socioculturels, juridiques et
Technologiques fait partie de l’analyse externe ……. Vrai ……. Faux, Pourquoi ?
Q6 : Un cas qui présente plusieurs parties séparées est appelé un cas de type continu.
……….. Oui …….…. Non, Justifiez votre réponse ?
Q7 : L’une de ces stratégies ci-après n’est pas une stratégie d’entreprise. Laquelle ?
……. La stratégie de stabilité. ……. La stratégie de renouvellement
……. La stratégie d’internationalisation, Pourquoi ?
8 : L’audit financier porte sur la fiabilité et la sincérité de l’information comptable et
financière. A ce titre, l’audit est dit opérationnel. ……. Oui ……. Non
Q9 : L’analyse des coûts est du ressort de la comptabilité générale et complète
l’analyse financière ……. Vrai ……. Faux, Pourquoi ?
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
Pour poser un diagnostic stratégique, l’entreprise doit tout d’abord effectuer une segmentation de
ses activités en domaines d’activités stratégiques (DAS). Puis sur chacun de ces domaines, elle va
livrer à une double analyse :
✓ L’analyse externe qui vise à présenter une vue complète du marché et de l’environnement ;
✓ L’analyse interne qui consiste à analyser les forces et les faiblesses de l’entreprise compte tenu des
produits qu’elle propose et des marchés sur lesquels elle a choisi de se développer.
1)Les moyens
A l’aide d’un questionnement : quel est le métier de l’entreprise, quelle est la mission,
quel est le marché couvert, le type de distribution utilisé,…
Il essaie de découper l’entreprise en DAS selon trois critères : Fonction ou missions de l’entreprise
Quelles sont les technologies utilisées
DAS 2
DAS 1
Marché
Technologies
a) L’analyse SWOT :
Une fois achevée, l’analyse SWOT doit permettre de déterminer si l’organisation possède d’ores et
déjà la capacité stratégique luire permettant de répondre aux évolutions de son environnement, si
Technologie. De même, le poids des forces et des faiblesses varie en fonction de la stratégie
envisagée et des évolutions de l’environnement pressenties.
Toujours dans l’industrie bancaire, l’absence d’un réseau de succursales étendu constitue une
faiblesse si la banque à distance ne se développe que marginalement ; c’est en revanche une force
dans le cas où la clientèle se tournerait massivement vers Internet, car cela évite de supporter le coût
colossal de la reconversion du personnel des agences. Ainsi, il apparaît que les différentes
composantes de l’analyse SWOT, loin d’être autonomes, sont le plus souvent interdépendantes. La
classification des forces, faiblesses, opportunités et menaces doit donc être effectuée avec la plus
grande attention, mais sans dogmatisme.
b) Le modèle PESTEL :
Le modèle PESTEL peut aider à déterminer quelles tendances politiques, économiques, sociologiques,
technologiques, écologiques et légales peuvent affecter les organisations. À partir de ces facteurs
globaux, il est possible d’identifier les tendances structurelles, c’est-à-dire les caractéristiques de
Au premier rang de cette concurrence élargie, on compte bien entendu les concurrents au sens
classique du terme, c’est-à-dire toutes les organisations qui proposent des biens étroitement
substituables à ceux de l’organisation. Leur objectif est bien d’augmenter leur latitude stratégique
afin d’accroître leur propre avantage, éventuellement au détriment de celui de l’organisation – par
exemple en accaparant des parts de marché. L’intensité concurrentielle constitue donc la première
force de la concurrence.
Les clients et les distributeurs peuvent également être considérés comme des concurrents, car leur
objectif est d’obtenir – par l’exercice de leur pouvoir de négociation – le maximum de biens ou de
services pour le prix le plus faible possible. Cela vient nécessairement réduire le profit généré par
l’organisation, sauf si elle est capable de répercuter ces baisses de prix sur ses fournisseurs ou si le
rapport de force est à son avantage. Le pouvoir de négociation des clients et des distributeurs peut
donc être considéré comme la deuxième force de la concurrence.
De manière symétrique, les fournisseurs utilisent leur propre pouvoir de négociation afin d’accroître
leur profit, par exemple en réduisant la qualité de leur offre ou en augmentant leurs prix. Le pouvoir
de négociation des fournisseurs est donc la troisième force de la concurrence.
Enfin, certaines organisations qui ne sont pas encore présentes dans l’industrie peuvent
éventuellement décider d’y intervenir. L’apparition de ces entrants potentiels, qui peut provoquer
des bouleversements considérables – comme une guerre de prix, une rupture technologique ou une
reconfiguration de la distribution –, entraîne généralement une déstabilisation du secteur, qui se
traduit par une diminution brutale des résultats des organisations établies. La menace des entrants
potentiels est ainsi la cinquième force de la concurrence.
Même si Porter ne l’a pas incluse dans son modèle original, une sixième force a été ajoutée
ultérieurement à ce schéma : le rôle de l’État. Par leur pouvoir de réglementation, de subvention ou
de taxation, les pouvoirs publics sont en effet capables de réduire ou d’accroître l’avantage
concurrentiel des organisations
d) La chaîne de valeur :
La chaîne de valeur permet de comprendre comment l’entreprise crée de la valeur pour ses clients
en produisant ses produits ou services et ainsi, d’identifier ses sources d’avantage concurrentiel.
L’objectif est donc de définir une chaîne de valeur optimale qui crée plus de valeur qu’elle
n’engendre de coûts.
Notions Utiles :
-La capacité stratégique : De manière générale, on peut définir la capacité stratégique d’une
organisation comme l’aptitude de ses ressources et compétences à lui permettre de survivre et de
prospérer l’environnement peut influencer la stratégie de l’organisation en suscitant à la fois des
menaces et des opportunités. Cependant, le succès dépend également de la capacité stratégique de
l’organisation à maîtriser ou à construire les sources de l’avantage concurrentiel.
Exemple :
Connaissez-vous les "core competencies" ? Il s'agit d'un pilier de l'analyse stratégique. Les
compétences clés sont au milieu de bien des débats et de manœuvres stratégiques. En effet, leur
maîtrise est à l'origine de certaines opérations de croissance externe. Comment les identifier ? Elles
sont au cœur du métier de l'organisation et à ce titre elles sont qualifiées de "critiques". Il s'agit de
compétences difficiles à acquérir ne relevant pas simplement d'une question de formation, mais plus
généralement de maîtrise de savoir-faire. Or celui-ci ne s'acquière qu'avec l'expérience.
Elles garantissent une performance durable pour les entreprises et requièrent une stratégie
de gestion des compétences efficace. En effet, elles évoluent dans le temps au grès des entrées et
des sorties de collaborateurs. L'analyse de la masse salariale permet d'anticiper ces mouvements et
d'investir dans la formation des salariés et dans le recrutement de profils ciblés.
INTRODUCTION…………………………………………………………………p
ORGANISATIONS………………………………………………………………..p
LES ORGANISATIONS………………………………………………………….p
stratégique
Méthode 1 d’analyse-diagnostic………………………………………………………..p
Méthode 2 d’analyse-diagnostic……………………………………………..…………p