Télécharger au format pdf ou txt
Télécharger au format pdf ou txt
Vous êtes sur la page 1sur 51

Toute reproduction ou représentation

intégrale ou partielle, par quelque procédé


que ce soit, des pages publiées dans le
présent ouvrage, faite sans autorisation de
l’éditeur ou du Centre français d’exploitation
du droit de copie (20, rue des Grands-
Augustins, 75006 Paris), est illicite et
constitue une contrefaçon. Seules sont
autorisées, d’une part, les reproductions
strictement réservées à l’usage privé du
copiste et non destinées à une utilisation
collective et, d’autre part, les analyses et
courtes citations justifiées par le caractère
scientifique ou d’information de l’œuvre
dans laquelle elles sont incorporées (loi du
1er juillet 1992 - art. 40 et 41 et Code pénal
- art. 425).
© Éditions Foucher, Malakoff 2015

ISBN : 9782216135462
Sommaire
Partie 1
Concours : mode d’emploi
1 Présentation du concours
de secrétaire administratif et de
SAENES
2 Les épreuves des concours de
secrétaire administratif et de
SAENES
3 Les fonctions des secrétaires
administratifs et des SAENES
4 La carrière des secrétaires
administratifs et des SAENES
Partie 2
Cas pratique
(concours externe,
interne)
5 Présentation de l’épreuve de cas
pratique
6 Comment aborder le dossier ?
7 Comment prendre des notes ?
(phase de préparation)
8 Comment rédiger ?
(phase de finalisation)
Sujet 1 Cas pratique, Ville de
Paris, 2013
Partie 3
Questions
à réponses courtes
(concours externe)
9 Présentation de l’épreuve de
questions
Sous-partie 1 - Gestion des
ressources humaines dans
les organisations (option)
10 De la gestion du personnel à la
gestion des ressources humaines
11 La nature de la gestion
des ressources humaines
12 Le recrutement
13 Le départ du salarié
14 La formation
15 L’évaluation du salarié
16 La gestion de l’emploi et des
compétences
17 La rémunération
18 Les conditions de travail et de
sécurité
19 La flexibilité
20 Les indicateurs de la gestion
sociale
21 Les dysfonctionnements sociaux
dans l’entreprise
22 La souffrance au travail
23 Les nouveaux défis de la GRH
Sous-partie 2 - Problèmes
économiques et sociaux (option)
24 Les fonctions et les formes de la
monnaie
25 La création de monnaie et son
contrôle
26 Le financement de l’économie
27 L’inflation et sa mesure
28 Les causes et les conséquences
de l’inflation
29 Les politiques de stabilité des
prix
30 La nature et la mesure
des échanges internationaux
31 Le libre-échange
et le protectionnisme
32 L’organisation des échanges
internationaux
33 La construction européenne
34 L’Europe économique
et monétaire
35 Les politiques communes de
l’Union européenne
36 La croissance économique et le
développement
37 Les inégalités de développement
38 Le développement durable
39 La politique économique
40 Les fluctuations économiques
41 Le chômage
42 Les politiques de lutte contre le
chômage
Sous-partie 3 - Enjeux de la
France contemporaine et
de l’Union européenne (option)
43 Les évolutions démographiques
depuis le début du xxe siècle
44 Population urbaine, population
rurale
45 Les mouvements migratoires
46 Le vieillissement
de la population
47 La population active
48 Villes et agglomérations
49 Les territoires des Français
50 L’agriculture, entre réussites et
difficultés
51 Une énergie introuvable
52 De l’industrie aux services
53 Des transports rapides pour tout
le territoire
54 L’internationalisation
des échanges
55 La France dans l’Europe
56 La France dans le monde
57 L’Europe dans le monde
58 Les politiques communautaires
européennes

Partie 4
Oral d’admission
Sous-partie 1 - Tous concours
59 Quels sont les enjeux
des épreuves orales des concours ?
60 Bien communiquer
61 Comment se présenter
efficacement ?
62 Comment convaincre le jury
de vos motivations ?
63 Comment répondre
aux questions du jury ?
64 Le dossier de reconnaissance
des acquis de l’expérience
professionnelle (RAEP)
Sous-partie 2 - Concours
externe
65 L’épreuve orale au concours
externe
66 La culture générale
utile à l’épreuve orale
67 L’exposé à partir d’un texte
Sujet 2 Épreuve orale d’entretien –
Concours externe

Partie 5
Annales corrigées
Sujet 3 Questions communes et à
options, SAENES, 2012
Sujet 4 Questions courtes, Ville de
Paris, 2014
Sujet 5 Cas pratique, concours
commun, 2015

Annexes
Lexique
Fiche
Méthode
8
Comment
rédiger ?
(phase de
finalisation)

Pour répondre à une question,


reprenez votre brouillon. Vérifiez
que les éléments pris en notes sont
dynamiques, que leur articulation est
logique. Rédigez votre réponse en
suivant un plan. Pour les tableaux,
faites une première version au
brouillon que vous présenterez en
classant les éléments dans la réponse
rédigée.
Vous n’avez pas besoin de faire
d’introduction.

1 Le fond
Le cas pratique est censé mettre le
candidat en situation professionnelle.
Étant destiné à répondre soit aux
besoins hiérarchiques de préparer un
événement (par exemple une réunion)
ou de prendre une décision (donner
des clés pour que votre supérieur
comprenne les principaux enjeux
d’un dossier), soit à la demande
d’usagers ou de fonctionnaires
d’autres services ou ministères
(répondre à un courrier par
exemple), il doit être clair.
Le lecteur (supérieur hiérarchique,
collègue ou usager…) doit
comprendre en une seule lecture
les tenants et les aboutissants du
dossier ainsi que les réponses aux
questions posées.

2 La forme
Le style doit être simple. Les phrases
sont courtes (elles se composent d’un
sujet, d’un verbe, d’un ou de deux
compléments).
Utilisez un vocabulaire précis.
Interdisez-vous les approximations.
Les mots de liaison sont utiles pour
démontrer l’enchaînement logique du
propos.
N’abusez pas des sigles et, dans tous
les cas, explicitez-les lors de leur
premier emploi.
Attention à l’utilisation
d’expressions « à la mode », très mal
perçues par les jurys. Ainsi vous
éviterez d’employer : des termes
impropres (par exemple, l’adjectif
« valable » pour « qualifié ») ; des
termes incorrects (par exemple
« solutionner » pour « résoudre »,
« positionner » pour « placer ») ; des
mots anglais ; un vocabulaire
inapproprié (par exemple
« l’appareil étatique » pour
« l’administration »).
Les tableaux doivent être clairs et
simples.
Vous n’avez pas droit à la
calculatrice. Pourtant, on peut vous
demander d’effectuer quelques
calculs simples. Révisez le mode de
calcul, des pourcentages notamment.

3 Le mode de
présentation
opérationnel
Lorsque le devoir doit être rédigé
(fiches), vous pouvez faire apparaître
la structure :
avoir recours aux tirets
d’énumération si nécessaire ;
souligner des éléments
importants ;
aérer la présentation, en
découpant des paragraphes et en
sautant des lignes.
Pour un courrier, optez pour la
présentation administrative de
rigueur (nom du service émetteur,
date, etc.).
Lorsque l’on vous demande un
tableau, n’oubliez pas de lui donner
un titre.
Fiche
Les
29
politiques
de stabilité
des prix

L’inflation est un mal assez insidieux,


difficile à identifier, et par là même
délicat à combattre. Les moyens à la
disposition des pouvoirs publics sont
cependant nombreux.
1 Les politiques
conjoncturelles de lutte
contre l’inflation
Les pouvoirs publics disposent de
nombreuses armes pour lutter, à court
ou moyen terme, contre les formes
conjoncturelles de l’inflation :
la politique budgétaire : pour
contracter la demande globale (de la
part des ménages, mais aussi de la
part de l’État), l’État peut mener une
politique budgétaire restrictive. À cet
effet, l’État est amené à limiter ses
dépenses (dépenses de
fonctionnement par la contraction des
traitements des fonctionnaires,
dépenses d’équipement par la
réduction des budgets consacrés à
l’investissement public), à augmenter
ses recettes (hausse des impôts) et à
contenir son déficit (et sa dette
publique) ;
la politique monétaire : l’objectif
est ici de limiter la création
monétaire. La Banque centrale peut
alors mettre en place une politique
restrictive en relevant le niveau de
ses taux directeurs ; cette
augmentation des taux sera
répercutée par les banques
commerciales sur leurs clients.
Ainsi, on assistera à une diminution
de la demande de crédit et de la
création de monnaie, ce qui aura pour
effet de limiter l’inflation. Le risque
de ce type de politique est cependant
de freiner l’activité économique, et
donc de provoquer une récession qui
générera du chômage ;
la politique de contrôle des prix et
des revenus : pour casser
brutalement une inflation souvent
générée par les coûts, l’État peut
inciter les entreprises à modérer la
hausse des prix ; il peut surveiller
voire bloquer certains revenus
pendant une durée déterminée. Dans
une économie libérale, où les
mécanismes de marché priment, le
contrôle des prix et des revenus est
très délicat à mettre en œuvre.

2 Les politiques
structurelles de lutte contre
l’inflation
Quelle que soit l’arme conjoncturelle
utilisée, il apparaît clairement qu’une
politique efficace de lutte contre
l’inflation passe par des mesures
structurelles de réforme du
fonctionnement des marchés et de
l’économie dans son ensemble ; celles-
ci sont de deux ordres principaux :
la politique de développement de la
concurrence : les situations de
concurrence imparfaite (monopole,
oligopole…) favorisent l’émergence
de prix élevés ; ainsi, pour éviter ces
distorsions de prix et pour favoriser
la concurrence entre entreprises, des
mesures peuvent être prises telles
que l’interdiction des ententes et des
fusions par exemple. L’Union
européenne développe très largement
cette politique, notamment dans les
secteurs industriels et les services ;
la politique de stabilité
structurelle : au niveau de l’Europe,
une institution telle que la Banque
centrale européenne, qui ne dépend
pas des États, permet de rendre la
politique monétaire plus crédible et
plus stable dans le temps, ce qui
renforce l’efficacité de la lutte contre
l’inflation.
En réalité, la lutte contre l’inflation
n’est efficace qu’à la condition que
l’ensemble des acteurs économiques y
participent.

3 Le mécanisme de lutte
contre l’inflation d’origine
monétaire
La théorie quantitative de la monnaie
énonce que le niveau général des prix
est directement et mécaniquement lié à
la masse monétaire dans l’économie.
Cette théorie se résume dans l’équation
suivante : M.V = P.Q, où M désigne la
quantité de monnaie en circulation,
c’est-à-dire l’offre de monnaie, V
désigne la vitesse de circulation de la
monnaie, c’est-à-dire le nombre moyen
de fois où chaque unité de monnaie
circule dans l’économie, P est le niveau
général des prix et Q est l’ensemble des
quantités produites dans l’économie.
Cette équation égalise donc la valeur de
la monnaie en circulation et la valeur
globale des biens et services produits.
Ainsi, par exemple, s’il y a
100 milliards d’euros dans une
économie et que cette somme circule
quatre fois durant l’année, alors la
production totale réalisée sera de
400 milliards d’euros.

4 L’effet de l’inflation sur


le taux d’intérêt
Plusieurs raisons justifient la lutte
contre l’inflation, parmi lesquelles
quatre apparaissent particulièrement
essentielles :
assurer la cohésion sociale :
l’inflation touche différemment les
ménages : si les classes aisées
dirigent généralement leur épargne
vers des placements plutôt risqués
donc rémunérateurs, les classes
moyennes, quant à elles, le font sur
des placements peu risqués
(exemple : livret A) donc peu
rémunérateurs ;
freiner la pression à la hausse des
taux d’intérêt : les prêteurs de
capitaux (par exemple, les banques)
se protègent en effet de l’inflation en
augmentant leurs taux ; le coût de
l’emprunt augmente donc et les
liquidités sont plus difficiles à
obtenir ;
soutenir la consommation : avec des
taux d’intérêt élevés, l’emprunt est
cher, les placements plus attractifs,
l’incitation à épargner élevée… et à
consommer plus faible ; la baisse de
la consommation, véritable pilier de
la croissance, peut avoir des
conséquences néfastes sur l’activité
nationale ;
soutenir l’investissement : le coût
élevé du crédit en période d’inflation
contribue à réduire les
investissements ; or, l’investissement,
tout comme la consommation, est
l’une des composantes principales de
la croissance.
Fiche
L’agriculture,
50
entre
réussites et
difficultés

L’agriculture française fournit 19 %


de la production agricole végétale et
15,5 % de la production agricole
animale européennes, et fait de la
France le premier producteur
agricole de l’Union européenne et le
2e exportateur de denrées
alimentaires. Cependant, les
difficultés agricoles sont récurrentes
et par là même le mécontentement
des agriculteurs.
1 Les régions agricoles
On distingue (doc. 1) :
les régions d’élevage. Celui-ci peut
être intensif (importante production
sur une petite surface, comme par
exemple l’élevage en stabulation que
l’on appelle encore hors-sol) comme
en Normandie, Bretagne, Vendée, ou
extensif (utilisant un espace étendu)
comme dans les régions de
montagne ;
les régions de grandes cultures où,
sur de vastes exploitations, les
céréales (blé, maïs) sont associées à
des cultures industrielles, dans le
Bassin parisien (Beauce, Brie,
Champagne, Picardie) et au sud de la
Loire (Champagne berrichonne) ;
les régions de polyculture aux
exploitations très diversifiées dans
leurs tailles ou leurs méthodes :
France de l’Est, Bassin aquitain ;
les régions de cultures spécialisées
où, dans de petites exploitations, on
cultive fruits et légumes : vallée de la
Somme, Val de Loire, vallée de la
Garonne et du Rhône, Provence ; ou
de la vigne : Bourgogne, Bordelais,
Val de Loire, Champagne.

2 La production agricole
est importante et
diversifiée
Elle est importante (doc. 1, 2 et 3). Ses
rendements et sa productivité (quantité
produite par individu) sont élevés
puisque 900 000 personnes, soit 1,8 %
de la population active française, sur
450 000 exploitations assurent 17,5 %
de la production européenne. Une
exploitation sur quatre a disparu
pendant les dix dernières années et la
taille moyenne des exploitations
françaises est aujourd’hui de
61 hectares (contre 56 hectares en
2010). Les 176 000 grandes
exploitations (dont la production brute
standard est supérieure à
100 000 euros) représentent 32 % des
exploitations et mettent en valeur 69 %
de la SAU (surface agricole utile). La
production est diversifiée et tournée
vers l’extérieur (doc. 2 et 3). La France
est le 3e exportateur mondial de
denrées agroalimentaires, souvent
valorisées par le secteur agro-
industriel, et sa balance commerciale,
en ce qui concerne les produits de
l’agriculture, est excédentaire mais cet
excédent se réduit.
Elle doit ces succès au savoir-faire des
agriculteurs, à leurs méthodes
productivistes (mécanisation, engrais,
pesticides, irrigation, etc.) et à la PAC
qui, depuis les années 1960, soutient
les prix sur le marché intérieur et à
l’exportation.
3 L’agriculture française
est aujourd’hui confrontée
à un certain nombre de
problèmes
Elle est onéreuse (très grande
consommation d’intrants, d’eau…).
Elle est polluante (nappes
phréatiques, cours d’eau, littoraux
avec les algues vertes).
Elle ne fournit pas toujours des
produits de qualité et peut générer
des crises sanitaires (dans le passé :
« vache folle » ou ESB).
Elle est à l’origine de productions
chères et parfois excédentaires (le
porc en 2015).
C’est pourquoi la PAC a été réformée à
diverses reprises (1992, 2003, 2006,
2009) dans le but de supprimer
progressivement les aides à la
production. La fin des subventions doit
intervenir prochainement. Dès lors,
l’agriculture française doit s’orienter
vers une agriculture de proximité,
attentive à la qualité des produits
(AOC, productions biologiques) ou à
des utilisations industrielles
(biocarburants), c’est-à-dire vers une
agriculture durable.
Fiche
Méthode
66
La culture
générale
utile à
l’épreuve
orale

La prestation du candidat à l’épreuve


orale devant un jury est évaluée
certes sur sa motivation et sa
connaissance des problématiques
publiques, mais également sur un
fonds de connaissances plus
« académiques ».
Les jurys, souverains et formés « à
l’ancienne », apprécieront les
candidats qui, amenés à exposer sur
un thème d’actualité comme la laïcité
ou la mondialisation, seront capables
de contextualiser ces questions.
Entre deux candidats à départager,
celui qui aura su placer ces
problématiques dans une perspective
historique, philosophique ou culturelle
avant de les situer dans le cadre
administratif, l’emportera.
1 Acquérir des
« connaissances » relatives
aux grands problèmes
de société contemporains et
aux politiques publiques
Cette épreuve ne comporte aucun
programme puisqu’elle part d’un
texte. Elle est centrée sur les
problèmes de société ayant des
incidences en matière administrative.
Ainsi, vous devez préparer des
dossiers relatifs aux politiques
publiques et aux grands problèmes
contemporains (économiques,
sociaux, politiques, géopolitiques, de
société…) en cherchant à en
identifier l’historique, la réalité
actuelle, ainsi que les enjeux
administratifs présents et futurs.
On peut identifier une vingtaine de
grands problèmes de société, sur
lesquels la probabilité d’être
interrogé est assez élevée ;
travaillez-les de manière
systématique ; cela vous rassurera, et
sera de nature à vous permettre
d’obtenir une bonne évaluation !
Sans être exhaustifs, les thèmes
centraux sont :
la mondialisation ;
l’Europe ;
l’État, la démocratie, la citoyenneté ;
la justice, le droit, la responsabilité ;
la religion, la laïcité ;
le progrès ;
les médias et la société de
l’information ;
les migrations ;
le travail, l’emploi, les loisirs ;
la culture et les arts ;
l’école ;
la famille ;
les violences…

2 Actualiser ses
connaissances
Dans les concours, quels qu’ils soient,
les sujets sont toujours en prise directe
avec l’actualité ; ainsi, interrogez-vous
sur l’actualité du thème évoqué par le
texte : en quoi fait-il l’objet d’une
réflexion nouvelle ?
Constituez-vous des dossiers
concernant les grands problèmes
contemporains et les politiques
publiques, avec des outils de presse,
des rapports officiels, ou encore des
articles de fond.
Selon la discipline, des données
chiffrées peuvent être intéressantes à
connaître ; soyez le plus précis
possible. Sinon, apprenez les grandes
tendances car il vous faut au minimum
connaître des ordres de grandeur.
La connaissance de cette culture
générale « classique », si elle est
utile, ne constitue pas l’essentiel
de votre prestation. Elle est un
socle sur lequel bâtir cette
prestation.
Ne vous complaisez surtout pas
dans des notions théoriques
coupées de votre sujet. Centrez-
vous bien sur le texte à commenter.

Vous aimerez peut-être aussi