Vous êtes sur la page 1sur 146

COURS DE METHODOLOGIE

DE RECHERCHE
T
I BIBLIOGRAPHIQUE ET DE
T REDACTION SCIENTIFIQUE
R SORO Yaya
E Professeur Titulaire
INP-HB Yamoussoukro

soro_y@yahoo.fr ou yaya.soro@inphb.ci
I DESCRIPTION DU COURS
n Ce cours s’adresse aux étudiants et auditeurs Ingénieurs,
i de maitrise et de doctorat en qui ont leurs résultats de
recherche en main et souhaitent rédiger un article
t scientifique, un mémoire d’Ingénieur, de Master ou de
r thèse.
o  Le premier chapitre du cours aborde la recherche
d documentaire qui sera suivie d’ateliers pratiques de
u recherche.
 Le deuxième chapitre du cours aborde la rédaction
c scientifique.
t  Le troisième chapitre du cours aborde la
présentation du rapport de recherche, du mémoire et
i de la thèse.
o
n
BUT ET OBJECTIFS DU COURS
B
u Acquérir les techniques de recherche documentaire et de
rédaction scientifique afin d’aider les étudiants à publier
t les résultats de leurs travaux de recherche.
et
OBJECTIFS GÉNÉRAUX
O A l’issue du cours, les participants devraient :
b - Connaitre les méthodes de recherche documentaire;
j - Connaitre les méthodes de rédaction d’un article
scientifique, d’un mémoire de Master ou de thèse;
e - Connaitre la présentation du rapport de recherche, du
c mémoire et de la thèse;
t - Maîtriser la rédaction scientifique.

i PRÉREQUIS
f Avoir les premiers résultats de recherche permettra une
s première ébauche d’article à la fin du cours.
M
é MÉTHODE PÉDAGOGIQUE
t
h
o - Présentations magistrales;
d - Discussions en classe;
e - Ateliers pratiques de rédaction en classe.
P
é
d
a
g AVIS SUR LE PLAGIAT:
o Le plagiat est sanctionné par le Règlement disciplinaire
g sur la fraude et le plagiat concernant les étudiants.
i Plagier peut entrainer un échec, la suspension ou le
q renvoi.
u
e
INTRODUCTION GÉNÉRALE

CHAPITRE 1: RECHERCHE BIBLIOGRAPHIQUE

CHAPITRE 2: RÉDACTION SCIENTIFIQUE


P
INTRODUCTION
L
PRINCIPES GÉNÉRAUX DE LA RÉDACTION
A
N CHAPITRE 3: PRÉSENTATION DU RAPPORT DE RECHERCHE, DU

MÉMOIRE ET DE LA THÈSE

ATELIERS PRATIQUES DE RÉDACTION

CONCLUSION
INTRODUCTION GÉNÉRALE
I INTRODUCTION GÉNÉRALE
n
La rédaction d’un mémoire, d’une thèse ou d’un article
i scientifique exige une écriture de haute qualité pour
t laquelle les étudiants et étudiantes aux études
supérieures sont souvent mal préparés.
r
o La rédaction peut alors devenir un obstacle à la réussite du
d programme d’études et une source de détresse.
u
c
Une publication scientifique est un rapport écrit et publié
t décrivant les résultats d’une recherche originale. Ce
i rapport doit être présenté selon un code professionnel
o qui résulte de l'éthique scientifique, de l'expérience
d'édition et de la tradition.
n
I INTRODUCTION GÉNÉRALE
n
Une rédaction scientifique n'est pas facile et devient
i d'autant plus ardue que l'organisation sociale est plus
t vaste (p. ex. un document et son information qui doivent
r transiter par plusieurs personnes avec différents intérêts,
différentes spécialités ou différentes préoccupations) et
o que le nombre d'informations augmente dans notre
d environnement (radio, télévision, journaux, conférences,
etc.).
u
c  La sélection va se faire notamment en fonction de la
t qualité de la rédaction.
 le chercheur ne doit pas seulement "faire de la
i science" mais aussi "écrire sa science ‘’.
o  Avant d’écrire un article, il convient de maitriser les
n techniques de recherche documentaire.
CHAPITRE 1
RECHERCHE BIBLIOGRAPHIQUE
INTRODUCTION
I
n
i  Un individu, même isolé, possède actuellement plus
de facilité d’accès et de traitement de l’information
t qu’une multinationale il y a vingt ans !!!
r
o  Il faut donc optimiser la connaissance des sources
d’information, les systèmes de recherche de celle-ci
d Les systèmes d’analyses type statistiques
u (bibliométriques)
c
 La qualification des sources reste un point critique.
t N’abusez pas des réseaux sociaux, c’est une perte de
i temps.
o
n
I
n A quoi sert la recherche documentaire ?
f
o
r
m  Il est essentiel d’adopter une méthode de recherche
a afin de documenter et d’argumenter le travail que l’on
t
i
doit effectuer (exposé, rapport de stage, mémoire…)
o
n  Cette méthode implique un processus de recherche
S
respectant différentes étapes.
c
i  Le but est de penser à exploiter l’ensemble des
e
n
ressources de la bibliothèque, qu’elles soient sous
t format papier ou électronique.
i
f  Les documents ainsi exploités doivent par ailleurs
i
q obligatoirement être cités dans une bibliographie.
u
e
I
n Pourquoi citer ses sources ?
f
o  Respecter le droit d’auteur : décrire tous les
r documents cités ou exploités est une marque
m
a d’honnêteté scientifique et intellectuelle
t  Valoriser son travail : les recherches effectuées sur
i des sources extérieures permettent d’appuyer et
o
n d’illustrer ses propres réflexions
 Faciliter les recherches du lecteur : pour que le
S lecteur puisse identifier rapidement et facilement
c
i les documents exploités
e  Des paliers à respecter pour construire la recherche
n documentaire :
t
i  L’analyse du sujet
f  La recherche de mots-clés
i  La problématisation
q
u  La recherche de documents
e
V Veille informationnelle
E
I Processus continu et dynamique faisant
L l’objet d’une mise à disposition
L personnalisée et périodique de données
E ou d’informations, traitées selon une
finalité propre au destinataire, faisant
I appel à une expertise en rapport avec le
N sujet ou la nature de l’information
F collectée .
O
R
V veille
E
I  se tenir au courant des
L informations pertinentes en
rapport avec un thème précis
L
 collecter des informations
E
pertinentes qui vont être
diffuser au sein de l’entreprise
I ou de l’organisme par ailleurs.
N
F Contrairement à la recherche d'informations qui est
O ponctuelle et dépend d’un besoin immédiat, la veille est
une activité continue prévue à l’avance et s’effectuant sur
R une plus longue durée.
V Stratégies et acteurs de la veille
E
I cibler l’information qu’on souhaite obtenir
L et les objectifs en fonction des besoins.
L
E
 utilisation des sources officielles, fiables et
I variées
N  Élaboration d’un plan de veille définissant:
 la durée de celle-ci,
F  le type d’information que l’on souhaite
O collecter et
R  les sources que l’on va utiliser.
V Les outils de la veille et la collecte
E
Une veille de qualité combine
I
généralement plusieurs outils de veille.
L
L On trouve deux méthodes :
E
La méthode pull : le veilleur va rechercher les informations, en
dépouillant la presse par exemple. Si cette méthode permet d’écarter
I immédiatement les résultats non pertinents, c’est un processus
chronophage et très lourd.
N La méthode push : l’information vient au veilleur, via des agrégateurs
F de flux RSS, des alertes Google. Cette méthode a l’avantage
d’automatiser sa veille, de gagner du temps, et donc de respecter une
O certaine régularité dans sa veille. Le problème réside essentiellement
dans le fait de préciser bien en amont sa recherche afin d’éviter de se
R faire submerger par des résultats non pertinents ou trop larges.
V
E Le « Pull » représente la technique classique d’utilisation du
I Web; l’internaute se rend directement et régulièrement sur
L le Web pour « tirer » les documents les plus récents dans un
L domaine donné.
E

I
N
F
Bookmark Source d’information
O
R
V Quelques outils de la méthode pull
E
Il existe de très nombreux « outils » pour
I
rechercher l’information.
L
L
E
On verra dans une présentation séparée le rôle
des outils type Web 2.0
I
N
F On présente ici en temps réels les outils de base,
O gratuits, permettant d’accéder à une information
R de base mais de qualité.
V Quelques outils de la méthode pull
E
I Google
L En mode expert
Faire une recherche sur Google (n’importe quoi) puis
L aller en bas de la page et choisir le mode advanced
E search et continuer vos recherche en mode avancé.
Limite à des formats de documents pdf, ppt, doc, xls ….
Limite à des types de sites edu gov ou gouv org com
I Limite par langue (attention à la manière dont on pose
N la question)
Limite par intervalle de temps (une semaine, une
F année, … )
O Recherche sur les images (sélectionner image dans la
R barre des tâches de Google)
V Quelques outils de la méthode pull
E
I Google PLUS
Google PLUS et encore PLUS
L  Accès à la traduction https://translate.google.fr/?
L hl=fr&tab=wT
Accès à Google Scholar (publications académiques)
E
http://scholar.google.fr/schhp?hl=fr
Accès à Google Alert (réponse une demande
I directement sur votre mail)
http://www.google.fr/alerts?hl=fr
N Géolocalisation Google Earth pour le télécharger
F http://www.google.fr/intl/fr/earth/index.html
N’oubliez pas les vidéos et Youtube
O Travail coopératif Google documents ou Docs
R https://drive.google.com/#my-drive
V Quelques outils de la Méthode pull
E
I Clustering Engine (Moteur de regroupement) et vidéos
Clusters engines :
L Informations générales, articles de presse multi-pays
L multilingues
http://newsmap.jp/#/n/au/view/
E
 Wikimindmap permet de structurer l’information en
I fonction des articles parus dans Wikipedia.
http://www.wikimindmap.org/viewmap.php?wiki=en.wi
N kipedia.org&topic=coconut&Submit=Search
F
 Série de cours en français provenant du Canada, sur
O divers aspects du développements des sous-traitants,
R des PMEs, etc.
http://www.dailymotion.com/video/xfsm29_comment-i
nnover-lorsqu-on-est-sous-traitant-idp_news
V Quelques outils de la méthode pull
E
I Brevets
L  Base mondiale des brevets (provenant OEB Office Européen des
brevets)
L http://worldwide.espacenet.com/advancedSearch
E  Classification Internationale des Brevets
http://worldwide.espacenet.com/classification?locale=en_EP

I Brevets US via Google Patents (possibilité de rechercher en


N mode expert)
http://www.google.com/advanced_patent_search
F
 Brevets US via le site USPTO
O http://www.uspto.gov/patents/process/search/
R
V Quelques outils de la méthode pull
E
I Brevets
L Accès au logiciel d’essai /Matheo-Patent, à télécharger à partir
de l’adresse http://www.matheo-softyware.com
L
L’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle OMPI ou
E WIPO (Information générale base Patent Scope)
http://www.wipo.int/portal/en/index.html

I Accès aux Brevets Japonais Patent Japanese Abstracts


http://www19.ipdl.inpit.go.jp/PA1/cgi-bin/PA1INIT
N
Accès aux brevets Brésiliens
F http://formulario.inpi.gov.br/PatNiver/
O Accès aux brevets chinois (en plus du site de l’OEB)
R http://english.sipo.gov.cn/
V Quelques outils de la méthode pull
E
Opérateurs booléens
I
L AND (ET)
L Trouve les informations correspondant à tous les
termes de la question
E
OR (OU)
Trouve les informations correspondant à au moins un,
I sinon tous les termes de la question
N
NOT (SAUF)
F
Exclut les informations non pertinentes d’une
O recherche (doit être entré APRES une limite de
R recherche)
V Quelques outils de la méthode pull
E
I
Opérateurs Courant
L
L  NEAR: l’un et l’autre mais proche,
E • solar NEAR system

 Guillemets " " : recherche exactement un groupe de


I mots,
• " baobab oil " OR " oil baobab "
N
F  Crochets: balise
O • moteur AND (diesel OR gaz) : sous requête
• [2000.01.24 TO 2014.12.31] : limitation par date
R
V Quelques outils de la méthode pull
E
I
L Opérateurs Courant
L
 astérisque * ou tilde ~ :
E
• informat*: informatique, informatisation,
informatiser
I  boosting: spécifie le degré de pertinence
N d’un terme dans une requête:
F • R: diesel^2 gaz: recherchera des documents
dans lesquels « diesel » est 2 fois plus
O
pertinent que « gaz »
R
V Quelques outils de la méthode pull
E
Opérateurs par défaut: Le champs de recherche
I
permet de spécifier la zone du document ans
L laquelle la recherche doit être effectuée.
L
E  Champs "Publication number", "Publication
date", "Application number " and "Priority
number" : OR
I
 Champs "Title", "Title/Abstract", “Author" and
N “Year" : AND
F
O  Opérateurs par défaut pour la combinaison des
champs de recherche: AND
R
V Quelques outils de la méthode pull
E
I
L
Recherche de groupes de mots
L
E  "John Smith" OR "Smith John“ Au lieu de
John AND SMITH
I
 "J. Smith" OR "Smith J.“ Au lieu de
N J AND Smith
F
O
R
V Quelques outils de la méthode pull
E Troncature
I
L Les symboles de troncature (caractère de
L remplacement) sont utilisés pour inclure:
 la forme plurielle d‘un mot
E  des orthographes alternatives

I Trois caractères de remplacement différents


N sont disponibles :
 ? Remplace zéro ou un caractère
F  * Remplace une chaîne caractère de longueur
O quelconque
 # Remplace exactement un caractère
R
V Quelques outils de la méthode pull
E Troncature
I
L Pour remplacer des lettres manquantes:
L  L'astérisque (*) : permet de proposer
différentes terminaisons possibles,
E electri*: electric, electrical, electrique,

I  Le point d'interrogation (?): permet à la


N machine de deviner un caractère ou de
F remplacer un vide,
Te?t: text, test, tent, teat
O
R  Le dièse (#): devine un caractère.
V Quelques outils de la méthode pull
E
I
Troncature pour différentes orthographes
L
L
E  vulcanisation ou vulcanization?
=> (vulcanisation OR vulcanization)
I => vulcani*
N  COLOR OU COLOUR
F => (Color OR Colour)
O => Colo*
R
V Quelques outils de la méthode pull
E
I Troncature - limites
L  Ne peut pas être suivi d'un caractère
L alphanumérique (par exemple colo?r)
E
 Utilisé dans les champs "titre", "titre ou
I abrégé", « auteurs" et "demandeurs"
 Doit avoir au moins deux caractères
N alphanumériques précédant "?" ou "#" et au
F moins 3 caractères alphanumériques
O précédant "*"
R
V Quelques outils de la méthode pull
E
I Quelques liens:
http://worldwide.espacenet.com/help?
L
locale=en_EP&method=handleHelpTopic&topic
L =index more especially : Recherche en “Full-
E text”
http://worldwide.espacenet.com/help?
I locale=en_EP&method=handleHelpTopic&topic
=<fulltext></fulltext> Opérateurs booléens
N
http://worldwide.espacenet.com/help?
F locale=en_EP&method=handleHelpTopic&topic
O =booleans Troncature
R
V Quelques outils de la méthode pull
E
I Quelques liens: http://worldwide.espacenet.com/help?
locale=en_EP&method=handleHelpTopic&topic=trunca
L tion La recherche simple
L http://worldwide.espacenet.com/help?
E locale=en_EP&method=handleHelpTopic&topic=fieldid
entifier Limitations
http://worldwide.espacenet.com/help?
I locale=en_EP&method=handleHelpTopic&topic=limitati
ons Les formats de dates et d’agencement
N http://worldwide.espacenet.com/help?
F locale=en_EP&method=handleHelpTopic&topic=datefo
O rmats

R
V
 Méthode Push
E
 Dans la technique « Push », des outils apportent à
I
l’internaute ou « poussent » vers lui, de manière automatique,
L
l’information qu’il a auparavant « programmée »
L
E Les alertes e-mail

Service d’alertes

I
N
F Mail box de l’abonné
Sources d’information
O
R
V Les flux RSS
E RSS (Really Simple Syndication) est un format de
I description de données qui facilite la diffusion de fils
L d'informations, de façon automatisée, à l'intention des
L internautes, et qui favorise la syndication de contenus
E en permettant à d'autres sites de republier facilement
tout ou partie de ces données.
I
N
F
O
R
V Les flux RSS
E Les flux RSS signalent les nouveautés d’un site et
I accélèrent l’accès au contenu intégral.
L
RSS: Really Simple Syndication
L
RSS: Rich Site Summary
E
Exploitation des flux
I  Lecteur de flux RSS ou agrégateur de flux
N Feedreader
F Netvibes
O
R Abonnement à un flux RSS
V Procédure de création d’un fil RSS
E
I  Cas 1 : Page Web possédant une icône RSS

L
L
E

I
N
F
O Figure 1 : Logo d’icônes RSS

R 38
V Procédure de création d’un fil RSS
E
1- Cliquer sur le logo RSS ;
I
L
L
E

I
N
F
O
R 39
V Procédure de création d’un fil RSS
E  Ouverture d’une nouvelle page ;
I
L
L
E

I
N
F
O
R 40
V Procédure de création d’un fil RSS
E  Cliquer sur un centre d’intérêt
I
L
L
E

I
N
F
O
R 41
V Procédure de création d’un fil RSS
E  Ouverture d’une autre page
I
L
L
E

I
N
 A ce niveau deux méthodes peuvent être
F utilisées;
O
R 42
V Procédure de création d’un fil RSS
E  Méthode A
I  A1- Copier l’adresse de la page depuis la barre
L d’adresse
L
E

I
N
F
O
R 43
V Procédure de création d’un fil RSS
E
I  A2- Ouvrir son agrégateur (Feedreader 3.1.14)
L
L
E

I
N
F
O
R 44
Procédure de création d’un fil RSS

 A3- Cliquer sur « Fichier », un menu déroulant s’affichera.


Cliquer ensuite sur _ « Nouveau » et enfin _ « Fil ».

45
V Procédure de création d’un fil RSS
E
I  A4- Coller l’adresse dans le formulaire « Ajouter un fil »
L
L
E

I
N
F
O
R 46
V Procédure de création d’un fil RSS
E
I A5- Cliquer sur « OK »
L
L
E

I
N
F
O
R 47
Procédure de création d’un fil RSS
 A6- Le fil RSS est crée et les informations en temps réels
sont disponibles sur le formulaire

48
V Procédure de création d’un fil RSS
E
 Méthode B
I
L
L
E

I
N
F
O
R 49
V Procédure de création d’un fil RSS
E
I  B1- Aller sur la partie « Abonnement »

L
L
E

I
N
F
O
R 50
V Procédure de création d’un fil RSS
E  B2- Cliquer sur le menu déroulant et sélectionner  « choisir
I une application » ou « Autre » selon les lecteurs de RSS ou
L agrégateurs
L
E

I
N
F
O
R 51
Procédure de création d’un fil RSS
 B3- Après avoir sélectionné « Choisir une application », une
boîte de dialogue s’ouvre. Trouver l’emplacement « exe » de
votre agrégateur ;

52
V Procédure de création d’un fil RSS
E
 B4- Sélectionner l’application de votre agrégateur
I
(Feedreader)
L
L
E

I
N
F
O
R 53
V Procédure de création d’un fil RSS
E  B5- Cliquer sur « Ouvrir »
I
L
L
E

I
N
F
O
R 54
V Procédure de création d’un fil RSS
E
 B6- La page web s’affichera avec l’application de votre
I
agrégateur
L
L
E

I
N
F
O
R 55
V Procédure de création d’un fil RSS
E  B7- Cliquer sur « S’abonner maintenant »
I
L
L
E

I
N
F
O
R 56
V Procédure de création d’un fil RSS
E
 B8- Le fil RSS est crée et les informations en temps réels
I
L sont disponibles sur le formulaire

L
E

I
N
F
O
R 57
V Procédure de création d’un fil RSS
E CAS 2 : Le site web ne possède pas de logos RSS
I
 C1- Ouvrir le site web ne possédant pas de logos RSS
L
http://www.inphb.edu.ci/ ;
L
E

I
N
F
O
R 58
V Procédure de création d’un fil RSS
E
I  C2- Ouvrir un convertisseur de page web en fil RSS (Page2rss) ;
L
L
E

I
N
F
O
R 59
V Procédure de création d’un fil RSS
E
 C3 : Copier l’adresse du site dans la barre d’adresse
I
L
L
E

I
N
F
O
R 60
V Procédure de création d’un fil RSS
E
 C4- Coller l’adresse dans la barre URL du
I
L convertisseur (Page2rss)

L
E

I
N
F
O
R 61
V Procédure de création d’un fil RSS
E
 C5- Cliquer sur « to RSS »
I
L
L
E

I
N
F
O
R 62
V Procédure de création d’un fil RSS
E  C6 – la page ci-dessous s’affichera
I
L
L
E

I
N
F A ce niveau, on peut appliquer les deux méthodes (A et B)
O décrites précédemment
R 63
V Procédure de création d’un fil RSS
E  Méthode A
I A1- Copier l’adresse de la page depuis la barre d’adresse
L
L
E

I
N
F
O
R 64
V Procédure de création d’un fil RSS
E
 A2- Ouvrir son agrégateur (Feedreader 3.1.14)
I
L
L
E

I
N
F
O
R 65
V Procédure de création d’un fil RSS
E
I  A3- Cliquer sur « Fichier », un menu déroulant s’affichera.

L Cliquer ensuite sur _ « Nouveau » et enfin _ « Fil ».

L
E

I
N
F
O
R 66
V Procédure de création d’un fil RSS
E
I A4- Coller l’adresse dans le formulaire « Ajouter un fil »
L
L
E

I
N
F
O
R 67
V Procédure de création d’un fil RSS
E
I  A5- Cliquer sur « OK »
L
L
E

I
N
F
O
R 68
V Procédure de création d’un fil RSS
E
I
L A6- Le fil RSS est crée et les informations en temps réels sont
L disponibles sur le formulaire
E

I
N
F
O
R 69
V Analyse et diffusion de l'information
E Cette analyse a pour but de:
I  choisir les informations les plus pertinentes en
L fonction des sources
 sélectionner ce qu’on va diffuser par la suite.
L  sélectionner le canal de diffusion
E  via une note de veille.
 via une liste de diffusion pour donner
l’information plus facilement aux autres
I personnes.
N
F  Une fois qu’une information intéressante est détectée, il faut être
capable de réagir
O  Moyen approprié pour un appel à proposition est la rédaction de
projet
R
V
E Le « Pull » représente la technique classique d’utilisation du

I Web; l’internaute se rend directement et régulièrement sur le

L Web pour « tirer » les documents les plus récents dans un

L domaine donné.

I
N
F
Bookmark Source d’information
O
R
V Les flux RSS
E Les flux RSS signalent les nouveautés d’un site et
I accélèrent l’accès au contenu intégral.
L
RSS: Really Simple Syndication
L
RSS: Rich Site Summary
E
Exploitation des flux
I  Lecteur de flux RSS ou agrégateur de flux
N Feedreader
F Netvibes
O
R Abonnement à un flux RSS
V Analyse et diffusion de l'information
E Cette analyse a pour but de:
I  choisir les informations les plus pertinentes
L en fonction des sources
 sélectionner ce qu’on va diffuser par la suite.
L  sélectionner le canal de diffusion
E  via une note de veille.
 via une liste de diffusion pour donner
l’information plus facilement aux autres
I personnes.
N
F  Une fois qu’une information intéressante est détectée, il faut
être capable de réagir
O  Moyen approprié pour un appel à proposition est la rédaction
de projet
R
CHAPITRE 2
RÉDACTION SCIENTIFIQUE
I INTRODUCTION
n
i Une communication efficace du travail scientifique est
essentielle pour faire progresser la science et pour
t optimiser l’influence de son propre travail professionnel.
r
o L’accent sera mis sur la synthèse, la structure de chaque
d section d’un écrit scientifique classique et l’intégration du
contexte théorique, des objectifs et des résultats de
u recherche sous forme d’un arc narratif.
c
t
L'ossature d'un rapport se compose de 4 parties distinctes:
i Objet - Développement – Conclusion - Annexes
o
n
I INTRODUCTION
n
i Une communication efficace du travail scientifique
définit cinq étapes clés:
t 1- Adopter des pratiques exemplaires en matière de
r publications scientifiques, y compris la rédaction
o collaborative et l’éthique dans la production de
rapports.
d 2- positionner votre article de manière stratégique
u avant d’entamer la rédaction. Il suffit de définir votre
public cible, de choisir trois à cinq revues qui touchent
c ce public cible, puis de vous informer au sujet des
t exigences des revues.
3- créer la première ébauche de votre article en
i préparant un scénario logique, concis et convaincant
o en fonction des exigences relatives aux revues et
n de la structure établie pour les articles scientifiques.
I INTRODUCTION
n
i 4- peaufiner l’article en coordonnant la contribution
t de vos coauteurs et en appliquant des principes de
bonne composition et de rédaction claire. La version
r définitive de l’article doit répondre aux exigences
o rédactionnelles et être approuvée par tous les auteurs
d avant la présentation.

u 5- une fois l’article soumis, il faut se préparer à la


c révision. Les rejets sont courants; si vous recevez
des commentaires, il faut que vous envisagiez de
t réviser le document avant de l’envoyer à
i une autre revue. Si la revue accepte votre article, il
o faut tenir compte de toutes les révisions
demandées.
n
PRINCIPES GÉNÉRAUX
DE LA RÉDACTION
P
PRINCIPES GÉNÉRAUX
r
i  Dans un texte, vous devez toujours indiquer vos
n sources d’information, et cela pour chaque idée
c reprise qui n’est pas la vôtre ou qui appuie vos
i énoncés.
p
e  Toutes les études et tous les auteurs cités dans le
s texte doivent se retrouver dans les références
g bibliographiques en fin de texte.
é
n  La présentation doit respecter les normes de l’APA
é (2001), et cela pour :
r Toutes citations;
a Toutes références dans le texte;
u Toutes références bibliographiques en fin de texte.
x
P
PRINCIPES GÉNÉRAUX : ETHIQUES
r
i  Le Respect de pratiques éthiques dans la
n production de rapports complets et exacts:
c  Eviter la publication des données frauduleuses, les
i publications faisant double emploi, et les
p publications se chevauchant.
e  Eviter la falsification ou la fabrication de données
s qui constitue un manquement flagrant à l’éthique
g de la recherche.
é  Le plagiat doit être soigneusement évité. Pour
n incorporer les idées ou les résultats de recherches
é des autres dans n’importe quel article que vous
r rédigez, il faut citer les références appropriées.
a
u
x
P
PRINCIPES GÉNÉRAUX : ETHIQUES
r
i  Le plagiat est considéré comme une infraction grave
n par votre institut, par les éditeurs de revues et par
c la communauté scientifique.
i  Le plagiat peut entraîner des frais académiques,
p mais va certainement entraîner le rejet de votre
e article.
s  Le plagiat va nuire à votre réputation dans la
g communauté scientifique.
é  Une des formes les plus courantes de plagiat
n inapproprié est le paraphrase inadéquate.
é  Paraphraser est redire les idées de quelqu'un
r d'autre sans copier textuellement.
a
u
x
P
PRINCIPES GÉNÉRAUX : ETHIQUES
r
i  Le Respect de pratiques éthiques dans la
n reconnaissance pertinente des contributions de
c chacun:
i  Il est important de reconnaître le travail de toutes
p les personnes qui ont contribué à une publication
e scientifique
s  La rédaction invitée est l’inclusion d’une personne
g en tant qu’auteur qui ne satisfait pas aux critères de
é d’auteur
n  la rédaction anonyme exclut une personne en tant
é qu’auteur qui satisfait aux critères d’auteur.
r  Fondamentalement, la reconnaissance éthique est
a une question de transparence
u
x
ARTICLE SCIENTIFIQUE
Introduction

 Pour rendre compte de ces résultats, le chercheur


I utilise plusieurs voies:
N  dans le cas d'une diffusion restreinte, il peut opter
T pour le rapport d’activités généralement destiné à
R son institution d'appartenance
O  Dans le cas d’un public spécialisé plus ou moins
D large, il peut opter pour l’article scientifique, la
U conférence ou un séminaire.
C
T  L’article scientifique est adressé par l'éditeur à des
I spécialistes du sujet, généralement anonymes qui
O rédigent un rapport qui soit recommande le rejet
N du manuscrit, soit recommande sa publication, soit
(cas fréquent) conditionne sa publication à des
améliorations, modifications, précisions, etc
Définition d’un article scientifique
Un article scientifique est:
 Un article qui vise à transmettre une information
D structurée, intégrant une synthèse critique de l’état
É de la documentation scientifique dans un domaine
F particulier, un cadre théorique articulé;
I  une présentation détaillée de la méthode et de
N l’instrumentation utilisée (si pertinent);
I  une discussion mettant les éléments précédents en
T relation;
I  le soulignement des limites et la suggestion de pistes
O de recherche, le tout, généralement en 25
N pages(double interligne) ou moins.

Un article scientifique n’est pas un article d’opinion, ni


un écrit à finalité polémique, ni une Thèse ou un
mémoire.
T
Quel est le type de votre manuscrit ?
y
p  Articles complets/articles originaux
e  Les plus importants articles sont souvent un
accomplissement substantiel de parties de recherche
d importantes.
u  Lettres/ Communiqués rapides / communiqués
courts
m  Généralement publiés pour une communication
a rapide et précoce de progrès significatifs et
n originaux; beaucoup plus courts que les articles
u complets (généralement strictement limités).
s  Article d’état de la question (Reviews) / Perspectives
c  Résume les récents développements sur un sujet
r spécifique; surligne les points importants qui ont
i déjà été reportés et n’introduit aucune nouvelle
t information; souvent soumis sur invitation.
C
Choix de la bonne revue
h
o
i  Vous devez obtenir l’aide de votre superviseur ou
x collègues qui est l’auteur correspondant et qui a la
co-responsabilité de votre travail.
d
e  Les articles cités comme références vont
probablement vous conduire à la bonne revue.
l
a  Ne PAS s'amuser à diffuser votre manuscrit à
plusieurs revues. Soumettez à un seul à la fois! Les
r normes d'éthique internationales interdisent les
e soumissions multiples / simultanées, et les éditeurs
v le découvrent!
u
e
Caractéristiques d’un article scientifique

 Sujet précis.
D  Un seul axe principal (une seule conclusion).
É  Si l’article a deux conclusions, il peut être préférable
F de le scinder en deux articles (article ≠ rapport).
I  Langage précis.
N  Utilisation de nombres, symboles, équations.
I  Texte objectif et neutre.
T  Ton scientifique : on n’écrit ni un roman, ni un
I poème.
O  Terminologie utilisée très importante. Ne pas hésiter
N à répéter les même termes). Éviter les synonymes.
 Droit au but.
 L’objectif principal est de tirer une conclusion.
Caractéristiques d’un article scientifique
 Complet et concis
 Contient tous les détails pour comprendre et
D reproduire les résultats. Toutefois, ne contient pas de
É détails superflus..
F  Langue Anglaise
I  L’anglais est généralement la langue utilisée en
N sciences.
I  Utilisez un langage clair, des phrases courtes, des
T mots simples
I  « We tried to » au lieu de « An effort was made to ”
O  Temps des verbes
N  Le Présent pour tout ce qui est connu, pour des
affirmations, etc. exple:« L’algorithme de
planification utilise une recherche dans un graphe ».
 Le Passé pour décrire les manipulations des données
et des résultats.
Caractéristiques d’un article scientifique
 Utilisez la 3e personne plutôt que la première
personne.
D  Dans cet article, nous proposons une nouvelle
É approche pour générer des plans.
F  Cet article présente un nouvelle approche pour
I générer des plans.
N  Parfois, pour insister, il est possible d’utiliser le «
I nous ».
T  Exemple: « Dans cet article… notre principale
I contribution est l’utilisation d’un réseau bayésien
O pour gérer l’incertitude sur le temps ».
N  En français, certains recommandent d’éviter le « on »
puisque le langage parlé utilise parfois le « on » en
remplacement fautif du « nous ». C’est une question
de style de rédaction.
I
N
INSTRUCTIONS AUX AUTEURS
S
T  Chaque revue scientifique possède son propre
R
U standard de rédaction appelé "Instructions aux
C auteurs" 
T   
I  Ces instructions varient d'une revue à l'autre, mais
O
également d'une discipline à l'autre mais elles
N
S présentent toutefois de très nombreuses similitudes.

AUX

A
U
T
E
U
R
S
ETAPES D’UN ARTICLE SCIENTIFIQUE

L’article scientifique suit les étapes suivantes:

 Pratiquer la rédaction collaborative


E
 Positionner votre article
T
 Définition de votre public cible
A
 Choix de trois à cinq revues
P
 Apprentissage des exigences des revues
E
 Créer la première ébauche
S
 Peaufiner l’article
 Distribuer l’article aux coauteurs et aux pairs
 Soumettre l’article et être prêt à le réviser
PLAN D’UN ARTICLE SCIENTIFIQUE

Le plan standard d’un article scientifique est:

 Titre de l’article
 Auteurs de l’articles et leurs affiliations
P  Résumé de l’article et les mots clés
L  Introduction
A  Matériel et Méthodes
N  Résultats
 Discussion
 Conclusion
 Conflit d’intérêt
 Contribution des auteurs
 Remerciements
 Références bibliographiques
CONTENU D’UN TITRE
C
O  Utilisez des titres précis, intéressants et accrocheurs
N car les lecteurs sont les auteurs potentiels qui vont
T citer votre article. Exemple:« Les scientifiques et les
E responsables des politiques peuvent-ils travailler
N ensemble? »
U  N’utilisez pas des titres trop longs comme :« Une
étude modèle multisectorielle mixte visant à
D examiner les facteurs qui contribuent ou qui nuisent
U à la collaboration entre les scientifiques et les
responsables des politiques dans des efforts
T communs au moyen de méthodes qualitatives et
I quantitatives ».
T  Les examinateurs vont vérifier si le titre est
R spécifique et s’il reflète le contenu du manuscrit.
E Les éditeurs détestent les titres qui n’ont aucun sens
ou ne représente pas adéquatement votre sujet.
CONTENU DES AUTEURS DE L’ARTICLES
C
O
N
T
E  Donner les noms et prénoms des auteurs de
N l’article
U
 Donner les affiliations des auteurs c’est-à-dire leurs
D structures d’origine et leur adresse
U
 Indiquer par une Astérix ou autre signe l’auteur
T correspondant ainsi que son adresse électronique
I ou courriel ou mail
T
R
E
C
CONTENU D’UN RÉSUMÉ
O  Le résumé est en anglais et en français lorsque
N l’article est écrit en français.
T  Ceci est l'annonce de votre article. Le rendre
E intéressant et facile à comprendre sans l’avoir lu en
N entier.
U  Reflète les idées clés directrices du texte (mémoire,
article scientifique, thèse) en respectant un nombre
D imposé de mots.
U  C’est une reformulation simplifiée des étapes
entreprises pour répondre à la problématique
R définie.
É  un vocabulaire riche et précis dans un style
S descriptif et informatif pour capter l’attention des
U lecteurs
M  Donner les objectifs de l’étude et les résultats
É obtenus
C
CONTENU D’UN RÉSUMÉ
O
N  Enoncer les idées dans le même ordre que dans le
T texte.
E  N’incluez pas de contenu qui ne figure pas dans
N l’article.
U  Un résumé n’est pas un découpage du texte en
paragraphes, il adopte une nouvelle disposition qui
D souligne les articulations (informations) majeures
U du texte.
 Le résumé est aussi BREF que possible !!! (150-200
R mots).
É  Certains journaux exigent un résumé graphique.
S  Donner 5 à 6 mots clés Simples et spécifiques ou
U Étiquette de votre manuscrit.
M  Eviter les fortes abréviations sauf celles établies
É comme GC, HPLC, ADN etc
C
CONTENU D’UN RÉSUMÉ GRAPHIQUE
O
N
T  Définition
E Un résumé simple, bref, imagée et visuelle des
N principales conclusions de l'article.
U
 Description
D Cela pourrait être soit la figure final de l'article ou une
U figure qui est spécialement conçue à cet effet; son
contenu capte les lecteurs en un seul coup d'œil.
R
É  Spécifications
S  La police: Utilisez une assez grande taille de police.
U  La taille de l'image et le type de fichier doivent être en
M fonction de la revue.
É
C
CONTENU D’UN RÉSUMÉ GRAPHIQUE
O
N
T
E
N
U

D
U

R
É
S
U
M
É
C
CONTENU D’UNE INTRODUCTION
O
N L’introduction est le pourquoi de l’étude et il doit faire
T ressortir ses objectifs
E Une bonne section Introduction est structurée comme un triangle
N inversé. Cela signifie que vous commencez par un sujet vaste, puis
U que vous procédez à un recentrage des lecteurs par étapes logiques
jusqu’à ce que vous arriviez à votre question de recherche. Ce
I recentrage peut être facilité en répondant aux questions suivantes :
N
 Quel est le problème?
T
R  Pourquoi est-ce important?
O  Que savons-nous à ce jour? (Littérature complète et
D cohérente avec le sujet)
U  Quelles sont les lacunes au chapitre de nos
C
T
connaissances?
I  Quelle est la question de recherche qui permettra de
O combler cette lacune?
N  Quel était l’objectif de la recherche?
C
CONTENU D’UNE INTRODUCTION
O
N
T
E Dans L’introduction, il est nécessaire d’éviter:
N
U
 Plus de mots que nécessaire.
I
N
 Cadrer une idée
T  Mélanger introduction avec résultats,
R discussion, et conclusion. Les garder toujours
O
D séparés afin d’assurer un déroulement logique
U de section dans votre manuscrit.
C
T
 Les expressions comme “nouvelle”, “première
I fois”, “la première”, “changement de
O paradigme”. Les utiliser avec modération.
N
CONTENU D’UNE SECTION MATÉRIEL ET
S
MÉTHODES
E
C
T La section Matériel doit contenir :
I
O
 Une description exacte du matériel (végétal,
N
biologique, chimique, appareillage…ou les données)
M utilisé pour effectuer le travail ;
A
T  La provenance du matériel;
É
R
I  La zone de l’étude (si possible les coordonnées GPS).
E
L
S
CONTENU D’UNE SECTION MÉTHODOLOGIE
E
C
La méthodologie est le comment de l’étude
T
I
O  La section Méthodologie décrit la façon dont l’étude
N a été menée. Il est important d’expliquer la façon
dont les méthodes tiennent compte des objectifs de
M
recherche. Il faut fournir assez de détails afin que les
É
T autres puissent reproduire votre étude, si
H nécessaire, pour confirmer que vos résultats sont
O uniformes et fiables. Il est utile d’avoir des sous-
D titres.
O
L
O  De la possibilité de tester la reproductibilité de la
G recherche en question dépend la validité de l'article.
I  Inclure les informations claires et détaillées, pour
E reproduire l’expérience.
S
CONTENU D’UNE SECTION MÉTHODOLOGIE
E
C
T
I  Pour des méthodes universellement connues, il est
O
N superflu d'en donner la description détaillée; un
renvoi à une référence bibliographique peut suffire.
M
É  Il est particulièrement important de prendre garde
T aux directives de l'éditeur lors de la rédaction de ce
H
O chapitre.
D
O  La section Méthodologie est décrite au passé (car
L elle décrit ce que vous avez fait).
O
G
I
 Les examinateurs rejetteront les descriptions
E incomplètes ou incorrectes.
S
CONTENU D’UNE SECTION RÉSULTATS
E La section résultat est le Qu’est ce que vous avez
C trouvé ou le quoi de l’étude
T  La section Résultats décrit ce que l’on a découvert
I dans l’étude (dans le même ordre d’information
O établi dans les sections Introduction et
N Méthodologie).

R  Inclure seulement les résultats importants de votre


É étude.
S
U  Privilégier les présentations graphiques ( figures,
L organigrammes, schémas "cybernétiques", graphes,
T tableaux de synthèse) à des développements
A verbaux. Elles sont plus claires, plus synthétiques et
T plus rapides à lire et à comprendre.
S
S
CONTENU D’UNE SECTION RÉSULTATS
E  Généralement, les tableaux donnent les résultats
C expérimentaux
T  Les graphes, seulement pour la comparaison des
I résultats expérimentaux avec ceux des travaux
O antérieurs, ou avec des valeurs calculées /
N théoriques.
 Aucune illustration ne devrait reproduire les
R informations décrites ailleurs dans le manuscrit.
É  Les illustrations sont uniquement pour les données
S essentielles
U  La légende d'une figure doit être brève et contenir
L une explication autonome.
T  Les titres des tableaux sont en haut du tableau
A alors que ceux des figures, graphiques, schémas se
T situent en bas.
S
S
CONTENU D’UNE SECTION RÉSULTATS
E
 Ne pas dissimuler les données car vous risquez de
C
T perdre des preuves d'appui.
 Eviter de faire figurer la même information à la fois
I
O dans une figure et dans un tableau.
 Limiter le nombre de tableaux et figures à
N
l’essentiel.
 Dans la mesure du possible, intégrer les statistiques
R
É au texte.
 Utilisez des sous-rubriques pour maintenir les
S
U résultats du même type ensemble.
 Résistez à la tentation de discuter des résultats ou
L
T de les analyser dans la section Résultats.
 La section Résultats est décrite au passé (car elle
A
T décrit ce que vous avez découvert).
S
S CONTENU D’UNE SECTION DISCUSSION
E
C La discussion est le Sens des résultats
T  Afin d’optimiser les chances de faire publier vos
I recherches et d’exercer une influence, il est
O important de faire preuve d’objectivité, et de
N présenter votre travail d’une façon intéressante et
convaincante.
D  Pour ce faire, vous devez être clair, logique et
I utiliser des techniques oratoires pour susciter
S l’intérêt du lecteur envers votre recherche.
C  Cela comprend faire en sorte que votre article
U touche votre public cible.
S  Tout élément présent dans les sections de
S problématisation et dans le cadre théorique doit
I être utilisé ou mis en valeur dans la discussion
O sinon sa pertinence ou son utilité sont directement
N questionnables.
S CONTENU D’UNE SECTION DISCUSSION
E
C  la section Discussion est la partie la plus
T intéressante de l’article.
I  Interprétez vos résultats à la lumière des biais ou
O des sources d’erreurs possibles.
N  Prendre en considération les points forts et les
points faibles de votre étude;
D  Comparez-les à d’autres études qui ont des résultats
I semblables ou différents, tenez compte des
S répercussions,
C  La section Discussion est une occasion de livrer vos
U résultats dans le bloc de connaissances au sens plus
S large et de tenir compte des éléments requis pour
S faire progresser davantage la compréhension
I scientifique.
O  La discussion est décrite au passé, au présent ou au
N futur selon le contexte.
S CONTENU D’UNE SECTION DISCUSSION
E
C
T  Décrivez les nouvelles connaissances que l’étude a
I permis d’acquérir et Ne dites pas simplement«
O notre étude a confirmé les résultats des études
N antérieures »;

D  Abordez les forces et les faiblesses de l’étude en


I quelques paragraphes;
S
C  Décrivez la façon dont l’étude peut guider la
U pratique actuelle. Proposez des orientations futures
S pour la recherche et Ne dites pas simplement«
S notre étude a apporté d’importantes contributions
I à la science », ni « cette étude indique que d’autres
O études sont nécessaires ».
N
S CONTENU D’UNE SECTION DISCUSSION
E
FAIRE ATTENTION
C  Des déclarations qui vont au-delà de ce que les
T
résultats peuvent soutenir
I
O  Des expressions non-spécifiques: “ plus haute
N
température”, à “un taux plus bas”.
D  Descriptions quantitatives sont toujours
I
préférables.
S
C  Introduction brusque des nouveaux termes ou
U
idées.
S
S  Spéculations sur les interprétations possibles sont
I
permises. Mais ceux-ci doivent être enracinées dans
O
les faits, plutôt que de l'imagination.
N
S CONTENU D’UNE SECTION CONCLUSION
E
C La conclusion indique comment le travail avance à
T partir des connaissances actuelles.
I  La conclusion doit à la fois recadrer les limites de la
O recherche ou des informations présentées et ouvrir
N des perspectives de recherche
 La conclusion n'est pas le résumé de l'écrit, mais la
C fin.
O  Elle récapitule d'abord brièvement le cheminement
N de pensée et en particulier les conclusions
C intermédiaires décrites dans le développement.
L Puis elle énumère les propositions qu'en déduit
U l'auteur, constituant ainsi le terme de la
S démonstration.
I  La conclusion ne peut faire référence à des idées
O dont il n'a pas été question dans le développement.
N
S CONTENU D’UNE SECTION CONCLUSION
E
C  La conclusion ne peut faire référence à des idées
T dont il n'a pas été question dans le développement.
I
O  On ne saurait y trouver des faits nouveaux car la
N conclusion n'est en principe pas une ouverture sur
d'autres idées; pour cela il est préférable d'ajouter
C un chapitre "Perspectives", comme on le fait
O souvent à la fin des travaux de diplôme ou des
N thèses de doctorat (mais dans les publications, la
C conclusion et les perspectives qui en dérivent sont
L souvent fusionnées).
U
S  Des suggestions précises sur des travaux ultérieurs
I peuvent être faites.
O
N
CONTENU D’UNE SECTION DE CONFLIT
C D’INTÉRÊT
O
N  Dire qu’il n’y a pas de conflit d’intérêt.
F
L
I CONTENU D’UNE SECTION DE DÉCLARATION
T DES AUTEURS OU CONTRIBUTION DES AUTEURS
D’  Dire le rôle que chaque auteur a joué dans le travail
I
présenté.
N
T CONTENU D’UNE SECTION REMERCIEMENTS
É
R  Remercier tous ceux qui ont financé le travail et qui ont
Ê contribué à son aboutissement et qui ne sont pas parmi
T les auteurs.
P
CONTENU D’UNE SECTION RÉFÉRENCES
r
i  La référence bibliographique, c’est la carte d’identité
n du document , elle comprend donc :
c  Sa description intellectuelle (nom de l’auteur, titre…)
i  Sa description physique (ex : le nombre de pages)
p
e  L’écriture des références bibliographiques doit être
s homogène, que ce soit :
g  au niveau de la typographie et de la mise en page
é  au niveau de l’ordre des informations (à noter des
n pratiques de rédaction différentes selon les
é disciplines)
r
a  Le contenu d’une section références est lié au guide
u des auteurs du journal ou de l’établissement.
x
L
LETTRE DE MOTIVATION
E
T
T La lettre de motivation est une chance d'interagir avec
R l'éditeur
E  Mentionner ce qui rend votre article spécial pour le
journal.
D  Mentionnez vos exigences particulières, par
E
exemple si vous ne souhaitez pas que votre
M manuscrit soit examiné par certains auteurs.
O  De nombreux éditeurs rejettent un manuscrit
T seulement parce que la lettre de motivation est
I mauvaise. Cependant, une bonne lettre de
V
A motivation peut accélérer le processus éditorial de
T votre journal.
I  Pareille qu’une lettre de demande d'emploi:
O rappelez-vous, vous voulez «vendre» votre travail ...
N
RAISONS DU REJET D’UN ARTICLE SCIENTIFIQUE
R
E Un article scientifique peut être rejeté parce que:
J
E
 L'article n'est pas suffisamment intéressant pour les
T
lecteurs (relatif à d’autres articles);
D
E  Le message n’est pas assez nouveau;
A
 Le sujet est intéressant mais l’article ne le couvre
R
T pas assez en profondeur;
I
C  L’article contient de petites nouvelles informations
L mais qui ne prennent pas assez d’espace;
E
 Le message n’est pas assez utile en pratique.
E SUGGÉRER LES EXAMINATEURS POTENTIELS
X
A
M L’éditeur peut vous demander de lui suggérer des
I
N examinateurs potentiels de votre article
A
T  Votre suggestion va aider l’éditeur à passer votre
E
U manuscrit au stade de l’examination plus
R efficacement.
S  Trouver les examinateurs potentiels et leurs
P coordonnées en mentionnant les auteurs d'articles
O dans votre domaine spécifique (par exemple, vos
T références).
E
N  Les examinateurs doivent représenter au moins
T deux régions du monde. Et ils ne devraient pas être
I votre superviseur ou amis proches.
E
L  Fournir généralement 3-6 examinateurs potentiels.
S
MÉMOIRES SCIENTIFIQUES
(MASTER, THÈSE)
P
PLAN D’UN MÉMOIRE SCIENTIFIQUE
r
 Page de garde du mémoire
i
 Sommaire ou table de matières
n
 Avant-propos
c
 Remerciements
i
 Différentes listes (sigles et abréviation, figures,
p
tableaux, schémas…)
e
 Résumé du mémoire et abstract
s
 Introduction
g
 Généralités
é
 Matériel et Méthodes
n
 Résultats et Discussion
é
 Conclusion et Perspectives
r
 Références bibliographiques
a
NB: Certaines parties sont communes avec la rédaction
u
d’un article et elles ne seront plus traitées.
x
PAGE DE GARDE DU MÉMOIRE
La page de garde doit comporter au minimum les
P éléments suivants:
a  Le nom du pays et du (ou des) Ministère(s)
g concerné(s) par l’étude
e  Logo de l’Institution, de l’école ou de l’Université
 Intitulé du type de mémoire en vue de l’obtention de
d tel diplôme
e  Titre
 Auteurs
g  Niveau et intitulé de la formation
a  Encadrant(s) éventuel(s)
r  Année universitaire en cours
d Le titre doit refléter et annoncer le contenu du texte
e avec le maximum de précision et de concision.
Les mots informatifs doivent être placés en début de
titre ; c’est une position forte qui retient l’attention.
P
CONTENU D’UN SOMMAIRE OU TABLE DE
r MATIÈRES
i
n  Le sommaire est une table des matières abrégée : il
c figure généralement en tête de manuscrit d’un
i mémoire de Master, tandis que la table des matières
p se place à la fin. Il faut:
e  Choisir un style pour les titres selon chaque niveau.
s La première étape pour créer un sommaire
g automatique consiste à attribuer un style pour les
é titres ainsi qu'un autre style pour les sous-titres et
n ainsi de suite selon les niveaux. ...
é  Créer le sommaire. ...
r  Mettre à jour le sommaire.
a  Pour un mémoire de thèse, la table de matière est
u préférée au sommaire et elle se place en début du
x mémoire après la photocopie de page de garde.
AVANT-PROPOS
 L'avant-propos est une courte introduction
A (présentation, avis au lecteur, etc.) rédigée par
v l'auteur d’un mémoire qui a pour objet de donner
a des indications utiles sur le plan et le but de l’étude.
n  L’avant-propos doit normalement présenter
t quelques éléments :
-  présentation du sujet et du type de document ;
p  explication des raisons ou motivation à étudier ce
r sujet ;
o  but du travail présenté ;
p  difficultés rencontrées.
o  L'avant-propos est placé avant l'introduction. La
s préface n'a pas de place fixe, mais il est préférable
qu'elle précède tout texte rédigé par l'auteur de
l'ouvrage (la dédicace, les remerciements, l'avant-
propos).
REMERCIEMENTS
 Les remerciements ne doivent pas faire plus d'une
R page sur Word. Ils se situent entre la page de garde
e et le sommaire (après la page de garde et avant le
m sommaire).
e  Les personnes qui vous ont aidé et soutenu dans
r votre expérience de stage et la rédaction du rapport
c sont à remercier.
i  Dans les remerciements d’un rapport de stage, on
e trouve (par ordre d’importance) :
m  Les responsables de l’établissement et de la structure
e d’accueil;
n  le maître de stage ;
t  l’équipe pédagogique de votre école (professeurs…) ;
s  les personnes qui vous ont aidé dans votre stage (à
trouver le stage, des collègues…) ;
 la famille et les proches ;
 un relecteur.
REMERCIEMENTS
 Plusieurs arguments peuvent être utilisés comme
R exemples dans vos remerciements de rapport de
e stage.
m
e  Le fait que votre employeur ou maître de stage vous
r ait fait confiance, ait partagé sa passion, ait été très
c patient…
i  L’accueil de l’équipe de l’entreprise.
e  L’intérêt que vous avez porté à vos missions
m (passion, découverte, apprentissage…).
e  Le rôle qu’a joué l’équipe de votre école (au niveau
n administratif, en cas de problème, pour une
t bourse…).
s  L’importance de ce stage pour votre carrière
professionnelle.
 Les apports spécifiques d’une ou plusieurs
personnes.
REMERCIEMENTS

R
e  De bons remerciements dans un rapport de stage
m vous permet de rendre hommage aux personnes qui
e vous ont aidé. Toutefois, bien que cette partie puisse
r être personnelle, elle doit respecter des règles
c académiques. Il faut donc éviter :
i
e  les fautes d’orthographe ;
m  un ton monotone ou trop bateau ;
e  d’en faire trop ;
n  d’écrire plus d’une page entière;
t  de remercier tout le monde : il faut sélectionner les
s personnes et les remercier par ordre d’importance.
DIFFÉRENTES LISTES (SIGLES ET ABRÉVIATION,
FIGURES, TABLEAUX, schémas…)
R
e  Dans la liste des abréviations, également appelée,
m liste des acronymes, vous devez fournir une liste des
e abréviations des termes importants de votre
r document classée par ordre alphabétique.
c
i  Les lecteurs de votre mémoire pourront ainsi y
e trouver toutes les abréviations qui lui sont inconnues.
m
e  Si vous avez seulement quelques abréviations à
n expliciter, vous pouvez utiliser des notes de bas de
t pages pour le faire.
s
 A éviter les abréviations universelles connues de tous
tels que kg pour kilogramme, min ou mn pour minute
DIFFÉRENTES LISTES (SIGLES ET ABRÉVIATION,
FIGURES, TABLEAUX, schémas…)
R
e
m
e  Si vous avez des abréviations ou acronymes en anglais
r et français (ou d’autres langues), il est préférable
c d’être consistant et d’utiliser la traduction française
i des abréviations anglaises. Par exemple, si vous parlez
e des United Nations (UN), vous pouvez remplacer ce
m terme par l’Organisation des Nations Unies (ONU).
e
n  Si ce n’est pas possible, il est préférable de séparer les
t deux et faire deux listes : une française et une
s anglaise.
DIFFÉRENTES LISTES (SIGLES ET ABRÉVIATION,
FIGURES, TABLEAUX, schémas…)
R
e
m
e
r  Dans la liste des figures, vous devez fournir la liste
c paginée de toutes les figures du mémoire;
i
e  Dans la liste des tableaux, vous devez fournir la liste
m paginée de tous les tableaux du mémoire;
e
n  Dans la liste des schémas, vous devez fournir la liste
t paginée de tous les schémas du mémoire;
s
C
CONTENU D’UN RÉSUMÉ
O
N Concernant le résumé de mémoire, thèse et article
T scientifique Dans un résumé, on dégage:
E
N  Le procédé utilisé pour retrouver/décrire le résultat
U d’un phénomène?

D  On précise les hypothèses adoptées pour interpréter


U le résultat lié à un phénomène?

R  On rappelle le(s) résultat(s) essentiel(s) et on cite à


É quoi peut-il servir.
S
U  On cite la particularité du résultat et la comparée à
M d’autres travaux.
É
 On cite les idées évoquées dans la problématique?
C
O
CONTENU D’UNE INTRODUCTION
N
T
 Une page spéciale est généralement consacrée à
E l’introduction. Les divers chapitres qui suivent
N dépendent de cet énoncé. L’introduction a deux
U
finalités :
D  Donner au lecteur une idée claire et concise du sujet
E abordé afin de lui permettre de comprendre
l’ pourquoi le travail a été réalisé;
I  Montrer l’intérêt du travail et donner envie de lire
N la suite
T
R
 L’introduction comporte trois parties :
O  1. Exposer l’aspect général du sujet avec une brève
D mise au point (état des connaissances sur le sujet).
U
C
 2. Préciser l’aspect particulier du problème qui a été
T abordé.
I  3. Indiquer les objectifs – et éventuellement les
O
N étapes – du travail en une ou deux phrases.
C
O
CONTENU D’UNE INTRODUCTION
N
T
E  Concernant le temps des verbes, on emploie :
N  le présent pour les faits admis;
U
 le passé pour la citation d’auteur ou pour énoncer
D l’objectif du travail
E

l’
I CONTENU D’UNE SECTION GÉNÉRALITÉS
N
T
R
 La section généralités donne le maximum
O d’informations sur les études antérieures réalisées sur
D la thématique du travail
U
C
 Il est nécessaire que les travaux évoqués soient les plus
T récents possibles
I
O
N
M
CONTENU D’UNE SECTION MATÉRIEL ET
A MÉTHODES
T
É
 Le "Matériel et Méthodes" DOIT répondre à trois
R
I questions:
E  1. Quel a été le matériel (les données) de l’étude ?
L  2. Qu’est-ce que l’on a cherché à évaluer ?
 3. Quels ont été les critères de jugement ?
E
 Le "Matériel et Méthodes" DOIT contenir :
T
 Une description exacte du matériel (végétal,
M biologique, chimique, appareillage…ou les données)
É utilisé pour effectuer le travail.
T  La zone de l’étude (si possible les coordonnées GPS)
H
 Les critères de sélection du matériel si possible.
O
D  Les critères d’exclusion du matériel si possible.
E  Les critères de sélection.
S
M
CONTENU D’UNE SECTION MATÉRIEL ET
A MÉTHODES
T
É
R
I  Le "Matériels et Méthodes" DOIT contenir :
E  Ce que l’on cherche à évaluer.
L  Les critères de jugement.
 La (ou les) méthodes(s) : informatique(s),
E
T
mathématique(s), statistique(s), expérimentale(s).
 La partie "Matériels et Méthodes" doit être
M développée avec le maximum d’informations et de
É justifications des choix effectués pour que les
T résultats soient reproductibles.
H
 Il s’agit donc de décrire et non d’interpréter.
O
D  Le temps de rigueur des verbes est le passé.
E
S
M
CONTENU D’UNE SECTION MATÉRIEL ET
A MÉTHODES
T
É
R
I
E
L
 Le "Matériels et Méthodes" NE DOIT PAS contenir :
E  De discussion ou de commentaires sur le matériel et
T la méthode.
 De résultats.
M
 De style télégraphique et d’abréviations
É
T inexpliquées.
H
O
D
E
S
CONTENU D’UNE SECTION RÉSULTATS
S
E
C Les "Résultats" DOIVENT contenir :
T  Tous les résultats, même négatifs, dans la mesure où
I ils apportent une information utile au problème
O
N étudié.
 Des résultats impersonnels, précis, clairs.
R  Des résultats normaux puis anormaux, dans l’ordre
É de présentation du "Matériels et méthodes".
S  Les résultats sont l’aboutissement de la recherche et
U
L la base de la discussion.
T  Il faut rapporter les faits observés uniquement, et
A non des résultats sans rapport avec le sujet.
T  Il ne doit y avoir ni commentaires ni références.
S  Le temps de rigueur des verbes est le passé.
CONTENU D’UNE SECTION RÉSULTATS
S
E
C
T  Au niveau de l’Iconographie, on peut utiliser des
I tableaux synthétiques simples, des figures, des
O
N schémas, des photographies…
 Les documents iconographiques doivent être
R réalisés avant la rédaction de la partie "Résultats".
É Celle-ci doit se structurer autour de ces documents,
S et pas le contraire.
U
L
 Les données brutes chiffrées sont à reporter en
T annexe.
A  Les figures et les tableaux doivent être informatifs et
T ne pas répéter le texte.
S
CONTENU D’UNE SECTION RÉSULTATS
S
E
C
T
I Figures et tableaux
O
N
 ne sont pas obligatoires.
 donnent un maximum d’informations dans un
R minimum de place.
É  doivent être compréhensibles indépendamment du
S texte.
U
L
 doivent être informatifs en eux-mêmes grâce à leurs
T légendes, sous-titres, notes.
A  Éviter le "tout figures" ou le "tout tableaux".
T
S
CONTENU D’UNE SECTION RÉSULTATS
S
E Figures et tableaux n’ont pas le même rôle :
C  Les tableaux sont composés de lettres et chiffres. Ils
T possèdent l’avantage de la précision mathématique
I et permettent de faire des comparaisons.
O  Les figures sont une transcription de données
N
chiffrées : dessins, traits, courbes, diagrammes, . . .
R  Les figures sont toujours accompagnées de
É légendes, les tableaux ont parfois un titre et parfois
S une légende, mais au moins l’un des deux.
U  La figure est plus efficace pour décrire une situation
L
T qui évolue dans le temps, ou plus généralement
A pour montrer une différence entre plusieurs états
T au lecteur.
S  Le choix entre figure ou tableau dépendra de
l’objectif visé.
CONTENU D’UNE SECTION RÉSULTATS
S
E
C  La présentation des tableaux
T  Le corps du tableau ne doit contenir que des
I nombres,
O  jamais d’unités de mesure,
N
 jamais de pourcentages après un nombre.
R  Les nombres situés dans les colonnes du tableau
É doivent être alignés sur la virgule.
S  Il existe différents types de figures :
U  Camemberts : présentation des pourcentages.
L
T
 Histogrammes : comparaison statique.
A  Tracés de courbes et de points : x est la variable de
T contrôle (explicative) ; y est la variable contrôlée
S (expliquée).
CONTENU D’UNE SECTION DISCUSSION
S
E  Faire part de son apport personnel par rapport au
C sujet abordé.
T
 Éventuellement, à la fin, formuler des hypothèses.
I
O  Le temps des verbes est le passé, éventuellement le
N présent pour les faits établis.
 La discussion permet d’exprimer son point de vue.
D Elle commence par un résumé du travail effectué, et
I
S
doit répondre aux trois points suivants :
C  L’objectif de départ a-t-il été atteint ?
U  Les résultats sont-ils fiables ?
S  Jugement de la qualité et de la validité des résultats
S grâce à
I
 une discussion critique et objective.
O
N  Comment se situent les résultats par rapport à ceux
des autres auteurs ?
S CONTENU D’UNE SECTION CONCLUSION
E
C  La conclusion ne peut faire référence à des idées
T dont il n'a pas été question dans le développement.
I
O  On ne saurait y trouver des faits nouveaux car la
N conclusion n'est en principe pas une ouverture sur
d'autres idées; pour cela il est préférable d'ajouter
C un chapitre "Perspectives", comme on le fait
O souvent à la fin des travaux de diplôme ou des
N thèses de doctorat (mais dans les publications, la
C conclusion et les perspectives qui en dérivent sont
L souvent fusionnées).
U
S  Des suggestions précises sur des travaux ultérieurs
I peuvent être faites.
O
N
P
CONTENU D’UNE SECTION RÉFÉRENCES
r
i  La référence bibliographique, c’est la carte d’identité
n du document , elle comprend donc :
c  Sa description intellectuelle (nom de l’auteur, titre…)
i  Sa description physique (ex : le nombre de pages)
p
e  L’écriture des références bibliographiques doit être
s homogène, que ce soit :
g  au niveau de la typographie et de la mise en page
é  au niveau de l’ordre des informations (à noter des
n pratiques de rédaction différentes selon les
é disciplines)
r
a  Le contenu d’une section références est lié au guide
u des auteurs du journal ou de l’établissement.
x
P
CONTENU D’UNE SECTION RÉFÉRENCES
r
i  La référence bibliographique permet de:
n  Justifier tout fait énoncé.
c  Situer son travail par rapport à la littérature.
i  Être sûr que ce que l’on fait est original.
p  Lister des articles ou ouvrages qui ont été cités dans
e le texte et auxquels le lecteur peut se référer.
s  Les références bibliographiques doivent être listées :
g  Le plus tôt possible après l’énoncé du fait.
é  En milieu ou fin de phrase.
n  Plusieurs fois la même référence si besoin.
é  Les références ne doivent pas être trop nombreuses.
r  Ne citer que ce que l’on n’a pas lu.
a  "et al." (abréviation de "et alii" du latin qui signifie
u "et les autres").
x
CHAPITRE 3
PRÉSENTATION DU RAPPORT DE
RECHERCHE, DU MÉMOIRE ET DE LA
THÈSE
INTRODUCTION
I
n
i  La rédaction d’un mémoire, d’une thèse ou d’un
article scientifique exige une écriture de haute
t qualité pour laquelle les étudiants et étudiantes aux
r études supérieures sont souvent mal préparés.
o  Il faut donc optimiser la connaissance des sources
d’information, les systèmes de recherche de celle-ci
d Les systèmes d’analyses type statistiques
u (bibliométriques)
c
 La qualification des sources reste un point critique.
t N’abusez pas des réseaux sociaux, c’est une perte de
i temps.
o
n

Vous aimerez peut-être aussi