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DE RECHERCHE
T
I BIBLIOGRAPHIQUE ET DE
T REDACTION SCIENTIFIQUE
R SORO Yaya
E Professeur Titulaire
INP-HB Yamoussoukro
soro_y@yahoo.fr ou yaya.soro@inphb.ci
I DESCRIPTION DU COURS
n Ce cours s’adresse aux étudiants et auditeurs Ingénieurs,
i de maitrise et de doctorat en qui ont leurs résultats de
recherche en main et souhaitent rédiger un article
t scientifique, un mémoire d’Ingénieur, de Master ou de
r thèse.
o Le premier chapitre du cours aborde la recherche
d documentaire qui sera suivie d’ateliers pratiques de
u recherche.
Le deuxième chapitre du cours aborde la rédaction
c scientifique.
t Le troisième chapitre du cours aborde la
présentation du rapport de recherche, du mémoire et
i de la thèse.
o
n
BUT ET OBJECTIFS DU COURS
B
u Acquérir les techniques de recherche documentaire et de
rédaction scientifique afin d’aider les étudiants à publier
t les résultats de leurs travaux de recherche.
et
OBJECTIFS GÉNÉRAUX
O A l’issue du cours, les participants devraient :
b - Connaitre les méthodes de recherche documentaire;
j - Connaitre les méthodes de rédaction d’un article
scientifique, d’un mémoire de Master ou de thèse;
e - Connaitre la présentation du rapport de recherche, du
c mémoire et de la thèse;
t - Maîtriser la rédaction scientifique.
i PRÉREQUIS
f Avoir les premiers résultats de recherche permettra une
s première ébauche d’article à la fin du cours.
M
é MÉTHODE PÉDAGOGIQUE
t
h
o - Présentations magistrales;
d - Discussions en classe;
e - Ateliers pratiques de rédaction en classe.
P
é
d
a
g AVIS SUR LE PLAGIAT:
o Le plagiat est sanctionné par le Règlement disciplinaire
g sur la fraude et le plagiat concernant les étudiants.
i Plagier peut entrainer un échec, la suspension ou le
q renvoi.
u
e
INTRODUCTION GÉNÉRALE
MÉMOIRE ET DE LA THÈSE
CONCLUSION
INTRODUCTION GÉNÉRALE
I INTRODUCTION GÉNÉRALE
n
La rédaction d’un mémoire, d’une thèse ou d’un article
i scientifique exige une écriture de haute qualité pour
t laquelle les étudiants et étudiantes aux études
supérieures sont souvent mal préparés.
r
o La rédaction peut alors devenir un obstacle à la réussite du
d programme d’études et une source de détresse.
u
c
Une publication scientifique est un rapport écrit et publié
t décrivant les résultats d’une recherche originale. Ce
i rapport doit être présenté selon un code professionnel
o qui résulte de l'éthique scientifique, de l'expérience
d'édition et de la tradition.
n
I INTRODUCTION GÉNÉRALE
n
Une rédaction scientifique n'est pas facile et devient
i d'autant plus ardue que l'organisation sociale est plus
t vaste (p. ex. un document et son information qui doivent
r transiter par plusieurs personnes avec différents intérêts,
différentes spécialités ou différentes préoccupations) et
o que le nombre d'informations augmente dans notre
d environnement (radio, télévision, journaux, conférences,
etc.).
u
c La sélection va se faire notamment en fonction de la
t qualité de la rédaction.
le chercheur ne doit pas seulement "faire de la
i science" mais aussi "écrire sa science ‘’.
o Avant d’écrire un article, il convient de maitriser les
n techniques de recherche documentaire.
CHAPITRE 1
RECHERCHE BIBLIOGRAPHIQUE
INTRODUCTION
I
n
i Un individu, même isolé, possède actuellement plus
de facilité d’accès et de traitement de l’information
t qu’une multinationale il y a vingt ans !!!
r
o Il faut donc optimiser la connaissance des sources
d’information, les systèmes de recherche de celle-ci
d Les systèmes d’analyses type statistiques
u (bibliométriques)
c
La qualification des sources reste un point critique.
t N’abusez pas des réseaux sociaux, c’est une perte de
i temps.
o
n
I
n A quoi sert la recherche documentaire ?
f
o
r
m Il est essentiel d’adopter une méthode de recherche
a afin de documenter et d’argumenter le travail que l’on
t
i
doit effectuer (exposé, rapport de stage, mémoire…)
o
n Cette méthode implique un processus de recherche
S
respectant différentes étapes.
c
i Le but est de penser à exploiter l’ensemble des
e
n
ressources de la bibliothèque, qu’elles soient sous
t format papier ou électronique.
i
f Les documents ainsi exploités doivent par ailleurs
i
q obligatoirement être cités dans une bibliographie.
u
e
I
n Pourquoi citer ses sources ?
f
o Respecter le droit d’auteur : décrire tous les
r documents cités ou exploités est une marque
m
a d’honnêteté scientifique et intellectuelle
t Valoriser son travail : les recherches effectuées sur
i des sources extérieures permettent d’appuyer et
o
n d’illustrer ses propres réflexions
Faciliter les recherches du lecteur : pour que le
S lecteur puisse identifier rapidement et facilement
c
i les documents exploités
e Des paliers à respecter pour construire la recherche
n documentaire :
t
i L’analyse du sujet
f La recherche de mots-clés
i La problématisation
q
u La recherche de documents
e
V Veille informationnelle
E
I Processus continu et dynamique faisant
L l’objet d’une mise à disposition
L personnalisée et périodique de données
E ou d’informations, traitées selon une
finalité propre au destinataire, faisant
I appel à une expertise en rapport avec le
N sujet ou la nature de l’information
F collectée .
O
R
V veille
E
I se tenir au courant des
L informations pertinentes en
rapport avec un thème précis
L
collecter des informations
E
pertinentes qui vont être
diffuser au sein de l’entreprise
I ou de l’organisme par ailleurs.
N
F Contrairement à la recherche d'informations qui est
O ponctuelle et dépend d’un besoin immédiat, la veille est
une activité continue prévue à l’avance et s’effectuant sur
R une plus longue durée.
V Stratégies et acteurs de la veille
E
I cibler l’information qu’on souhaite obtenir
L et les objectifs en fonction des besoins.
L
E
utilisation des sources officielles, fiables et
I variées
N Élaboration d’un plan de veille définissant:
la durée de celle-ci,
F le type d’information que l’on souhaite
O collecter et
R les sources que l’on va utiliser.
V Les outils de la veille et la collecte
E
Une veille de qualité combine
I
généralement plusieurs outils de veille.
L
L On trouve deux méthodes :
E
La méthode pull : le veilleur va rechercher les informations, en
dépouillant la presse par exemple. Si cette méthode permet d’écarter
I immédiatement les résultats non pertinents, c’est un processus
chronophage et très lourd.
N La méthode push : l’information vient au veilleur, via des agrégateurs
F de flux RSS, des alertes Google. Cette méthode a l’avantage
d’automatiser sa veille, de gagner du temps, et donc de respecter une
O certaine régularité dans sa veille. Le problème réside essentiellement
dans le fait de préciser bien en amont sa recherche afin d’éviter de se
R faire submerger par des résultats non pertinents ou trop larges.
V
E Le « Pull » représente la technique classique d’utilisation du
I Web; l’internaute se rend directement et régulièrement sur
L le Web pour « tirer » les documents les plus récents dans un
L domaine donné.
E
I
N
F
Bookmark Source d’information
O
R
V Quelques outils de la méthode pull
E
Il existe de très nombreux « outils » pour
I
rechercher l’information.
L
L
E
On verra dans une présentation séparée le rôle
des outils type Web 2.0
I
N
F On présente ici en temps réels les outils de base,
O gratuits, permettant d’accéder à une information
R de base mais de qualité.
V Quelques outils de la méthode pull
E
I Google
L En mode expert
Faire une recherche sur Google (n’importe quoi) puis
L aller en bas de la page et choisir le mode advanced
E search et continuer vos recherche en mode avancé.
Limite à des formats de documents pdf, ppt, doc, xls ….
Limite à des types de sites edu gov ou gouv org com
I Limite par langue (attention à la manière dont on pose
N la question)
Limite par intervalle de temps (une semaine, une
F année, … )
O Recherche sur les images (sélectionner image dans la
R barre des tâches de Google)
V Quelques outils de la méthode pull
E
I Google PLUS
Google PLUS et encore PLUS
L Accès à la traduction https://translate.google.fr/?
L hl=fr&tab=wT
Accès à Google Scholar (publications académiques)
E
http://scholar.google.fr/schhp?hl=fr
Accès à Google Alert (réponse une demande
I directement sur votre mail)
http://www.google.fr/alerts?hl=fr
N Géolocalisation Google Earth pour le télécharger
F http://www.google.fr/intl/fr/earth/index.html
N’oubliez pas les vidéos et Youtube
O Travail coopératif Google documents ou Docs
R https://drive.google.com/#my-drive
V Quelques outils de la Méthode pull
E
I Clustering Engine (Moteur de regroupement) et vidéos
Clusters engines :
L Informations générales, articles de presse multi-pays
L multilingues
http://newsmap.jp/#/n/au/view/
E
Wikimindmap permet de structurer l’information en
I fonction des articles parus dans Wikipedia.
http://www.wikimindmap.org/viewmap.php?wiki=en.wi
N kipedia.org&topic=coconut&Submit=Search
F
Série de cours en français provenant du Canada, sur
O divers aspects du développements des sous-traitants,
R des PMEs, etc.
http://www.dailymotion.com/video/xfsm29_comment-i
nnover-lorsqu-on-est-sous-traitant-idp_news
V Quelques outils de la méthode pull
E
I Brevets
L Base mondiale des brevets (provenant OEB Office Européen des
brevets)
L http://worldwide.espacenet.com/advancedSearch
E Classification Internationale des Brevets
http://worldwide.espacenet.com/classification?locale=en_EP
R
V
Méthode Push
E
Dans la technique « Push », des outils apportent à
I
l’internaute ou « poussent » vers lui, de manière automatique,
L
l’information qu’il a auparavant « programmée »
L
E Les alertes e-mail
Service d’alertes
I
N
F Mail box de l’abonné
Sources d’information
O
R
V Les flux RSS
E RSS (Really Simple Syndication) est un format de
I description de données qui facilite la diffusion de fils
L d'informations, de façon automatisée, à l'intention des
L internautes, et qui favorise la syndication de contenus
E en permettant à d'autres sites de republier facilement
tout ou partie de ces données.
I
N
F
O
R
V Les flux RSS
E Les flux RSS signalent les nouveautés d’un site et
I accélèrent l’accès au contenu intégral.
L
RSS: Really Simple Syndication
L
RSS: Rich Site Summary
E
Exploitation des flux
I Lecteur de flux RSS ou agrégateur de flux
N Feedreader
F Netvibes
O
R Abonnement à un flux RSS
V Procédure de création d’un fil RSS
E
I Cas 1 : Page Web possédant une icône RSS
L
L
E
I
N
F
O Figure 1 : Logo d’icônes RSS
R 38
V Procédure de création d’un fil RSS
E
1- Cliquer sur le logo RSS ;
I
L
L
E
I
N
F
O
R 39
V Procédure de création d’un fil RSS
E Ouverture d’une nouvelle page ;
I
L
L
E
I
N
F
O
R 40
V Procédure de création d’un fil RSS
E Cliquer sur un centre d’intérêt
I
L
L
E
I
N
F
O
R 41
V Procédure de création d’un fil RSS
E Ouverture d’une autre page
I
L
L
E
I
N
A ce niveau deux méthodes peuvent être
F utilisées;
O
R 42
V Procédure de création d’un fil RSS
E Méthode A
I A1- Copier l’adresse de la page depuis la barre
L d’adresse
L
E
I
N
F
O
R 43
V Procédure de création d’un fil RSS
E
I A2- Ouvrir son agrégateur (Feedreader 3.1.14)
L
L
E
I
N
F
O
R 44
Procédure de création d’un fil RSS
45
V Procédure de création d’un fil RSS
E
I A4- Coller l’adresse dans le formulaire « Ajouter un fil »
L
L
E
I
N
F
O
R 46
V Procédure de création d’un fil RSS
E
I A5- Cliquer sur « OK »
L
L
E
I
N
F
O
R 47
Procédure de création d’un fil RSS
A6- Le fil RSS est crée et les informations en temps réels
sont disponibles sur le formulaire
48
V Procédure de création d’un fil RSS
E
Méthode B
I
L
L
E
I
N
F
O
R 49
V Procédure de création d’un fil RSS
E
I B1- Aller sur la partie « Abonnement »
L
L
E
I
N
F
O
R 50
V Procédure de création d’un fil RSS
E B2- Cliquer sur le menu déroulant et sélectionner « choisir
I une application » ou « Autre » selon les lecteurs de RSS ou
L agrégateurs
L
E
I
N
F
O
R 51
Procédure de création d’un fil RSS
B3- Après avoir sélectionné « Choisir une application », une
boîte de dialogue s’ouvre. Trouver l’emplacement « exe » de
votre agrégateur ;
52
V Procédure de création d’un fil RSS
E
B4- Sélectionner l’application de votre agrégateur
I
(Feedreader)
L
L
E
I
N
F
O
R 53
V Procédure de création d’un fil RSS
E B5- Cliquer sur « Ouvrir »
I
L
L
E
I
N
F
O
R 54
V Procédure de création d’un fil RSS
E
B6- La page web s’affichera avec l’application de votre
I
agrégateur
L
L
E
I
N
F
O
R 55
V Procédure de création d’un fil RSS
E B7- Cliquer sur « S’abonner maintenant »
I
L
L
E
I
N
F
O
R 56
V Procédure de création d’un fil RSS
E
B8- Le fil RSS est crée et les informations en temps réels
I
L sont disponibles sur le formulaire
L
E
I
N
F
O
R 57
V Procédure de création d’un fil RSS
E CAS 2 : Le site web ne possède pas de logos RSS
I
C1- Ouvrir le site web ne possédant pas de logos RSS
L
http://www.inphb.edu.ci/ ;
L
E
I
N
F
O
R 58
V Procédure de création d’un fil RSS
E
I C2- Ouvrir un convertisseur de page web en fil RSS (Page2rss) ;
L
L
E
I
N
F
O
R 59
V Procédure de création d’un fil RSS
E
C3 : Copier l’adresse du site dans la barre d’adresse
I
L
L
E
I
N
F
O
R 60
V Procédure de création d’un fil RSS
E
C4- Coller l’adresse dans la barre URL du
I
L convertisseur (Page2rss)
L
E
I
N
F
O
R 61
V Procédure de création d’un fil RSS
E
C5- Cliquer sur « to RSS »
I
L
L
E
I
N
F
O
R 62
V Procédure de création d’un fil RSS
E C6 – la page ci-dessous s’affichera
I
L
L
E
I
N
F A ce niveau, on peut appliquer les deux méthodes (A et B)
O décrites précédemment
R 63
V Procédure de création d’un fil RSS
E Méthode A
I A1- Copier l’adresse de la page depuis la barre d’adresse
L
L
E
I
N
F
O
R 64
V Procédure de création d’un fil RSS
E
A2- Ouvrir son agrégateur (Feedreader 3.1.14)
I
L
L
E
I
N
F
O
R 65
V Procédure de création d’un fil RSS
E
I A3- Cliquer sur « Fichier », un menu déroulant s’affichera.
L
E
I
N
F
O
R 66
V Procédure de création d’un fil RSS
E
I A4- Coller l’adresse dans le formulaire « Ajouter un fil »
L
L
E
I
N
F
O
R 67
V Procédure de création d’un fil RSS
E
I A5- Cliquer sur « OK »
L
L
E
I
N
F
O
R 68
V Procédure de création d’un fil RSS
E
I
L A6- Le fil RSS est crée et les informations en temps réels sont
L disponibles sur le formulaire
E
I
N
F
O
R 69
V Analyse et diffusion de l'information
E Cette analyse a pour but de:
I choisir les informations les plus pertinentes en
L fonction des sources
sélectionner ce qu’on va diffuser par la suite.
L sélectionner le canal de diffusion
E via une note de veille.
via une liste de diffusion pour donner
l’information plus facilement aux autres
I personnes.
N
F Une fois qu’une information intéressante est détectée, il faut être
capable de réagir
O Moyen approprié pour un appel à proposition est la rédaction de
projet
R
V
E Le « Pull » représente la technique classique d’utilisation du
L domaine donné.
I
N
F
Bookmark Source d’information
O
R
V Les flux RSS
E Les flux RSS signalent les nouveautés d’un site et
I accélèrent l’accès au contenu intégral.
L
RSS: Really Simple Syndication
L
RSS: Rich Site Summary
E
Exploitation des flux
I Lecteur de flux RSS ou agrégateur de flux
N Feedreader
F Netvibes
O
R Abonnement à un flux RSS
V Analyse et diffusion de l'information
E Cette analyse a pour but de:
I choisir les informations les plus pertinentes
L en fonction des sources
sélectionner ce qu’on va diffuser par la suite.
L sélectionner le canal de diffusion
E via une note de veille.
via une liste de diffusion pour donner
l’information plus facilement aux autres
I personnes.
N
F Une fois qu’une information intéressante est détectée, il faut
être capable de réagir
O Moyen approprié pour un appel à proposition est la rédaction
de projet
R
CHAPITRE 2
RÉDACTION SCIENTIFIQUE
I INTRODUCTION
n
i Une communication efficace du travail scientifique est
essentielle pour faire progresser la science et pour
t optimiser l’influence de son propre travail professionnel.
r
o L’accent sera mis sur la synthèse, la structure de chaque
d section d’un écrit scientifique classique et l’intégration du
contexte théorique, des objectifs et des résultats de
u recherche sous forme d’un arc narratif.
c
t
L'ossature d'un rapport se compose de 4 parties distinctes:
i Objet - Développement – Conclusion - Annexes
o
n
I INTRODUCTION
n
i Une communication efficace du travail scientifique
définit cinq étapes clés:
t 1- Adopter des pratiques exemplaires en matière de
r publications scientifiques, y compris la rédaction
o collaborative et l’éthique dans la production de
rapports.
d 2- positionner votre article de manière stratégique
u avant d’entamer la rédaction. Il suffit de définir votre
public cible, de choisir trois à cinq revues qui touchent
c ce public cible, puis de vous informer au sujet des
t exigences des revues.
3- créer la première ébauche de votre article en
i préparant un scénario logique, concis et convaincant
o en fonction des exigences relatives aux revues et
n de la structure établie pour les articles scientifiques.
I INTRODUCTION
n
i 4- peaufiner l’article en coordonnant la contribution
t de vos coauteurs et en appliquant des principes de
bonne composition et de rédaction claire. La version
r définitive de l’article doit répondre aux exigences
o rédactionnelles et être approuvée par tous les auteurs
d avant la présentation.
Sujet précis.
D Un seul axe principal (une seule conclusion).
É Si l’article a deux conclusions, il peut être préférable
F de le scinder en deux articles (article ≠ rapport).
I Langage précis.
N Utilisation de nombres, symboles, équations.
I Texte objectif et neutre.
T Ton scientifique : on n’écrit ni un roman, ni un
I poème.
O Terminologie utilisée très importante. Ne pas hésiter
N à répéter les même termes). Éviter les synonymes.
Droit au but.
L’objectif principal est de tirer une conclusion.
Caractéristiques d’un article scientifique
Complet et concis
Contient tous les détails pour comprendre et
D reproduire les résultats. Toutefois, ne contient pas de
É détails superflus..
F Langue Anglaise
I L’anglais est généralement la langue utilisée en
N sciences.
I Utilisez un langage clair, des phrases courtes, des
T mots simples
I « We tried to » au lieu de « An effort was made to ”
O Temps des verbes
N Le Présent pour tout ce qui est connu, pour des
affirmations, etc. exple:« L’algorithme de
planification utilise une recherche dans un graphe ».
Le Passé pour décrire les manipulations des données
et des résultats.
Caractéristiques d’un article scientifique
Utilisez la 3e personne plutôt que la première
personne.
D Dans cet article, nous proposons une nouvelle
É approche pour générer des plans.
F Cet article présente un nouvelle approche pour
I générer des plans.
N Parfois, pour insister, il est possible d’utiliser le «
I nous ».
T Exemple: « Dans cet article… notre principale
I contribution est l’utilisation d’un réseau bayésien
O pour gérer l’incertitude sur le temps ».
N En français, certains recommandent d’éviter le « on »
puisque le langage parlé utilise parfois le « on » en
remplacement fautif du « nous ». C’est une question
de style de rédaction.
I
N
INSTRUCTIONS AUX AUTEURS
S
T Chaque revue scientifique possède son propre
R
U standard de rédaction appelé "Instructions aux
C auteurs"
T
I Ces instructions varient d'une revue à l'autre, mais
O
également d'une discipline à l'autre mais elles
N
S présentent toutefois de très nombreuses similitudes.
AUX
A
U
T
E
U
R
S
ETAPES D’UN ARTICLE SCIENTIFIQUE
Titre de l’article
Auteurs de l’articles et leurs affiliations
P Résumé de l’article et les mots clés
L Introduction
A Matériel et Méthodes
N Résultats
Discussion
Conclusion
Conflit d’intérêt
Contribution des auteurs
Remerciements
Références bibliographiques
CONTENU D’UN TITRE
C
O Utilisez des titres précis, intéressants et accrocheurs
N car les lecteurs sont les auteurs potentiels qui vont
T citer votre article. Exemple:« Les scientifiques et les
E responsables des politiques peuvent-ils travailler
N ensemble? »
U N’utilisez pas des titres trop longs comme :« Une
étude modèle multisectorielle mixte visant à
D examiner les facteurs qui contribuent ou qui nuisent
U à la collaboration entre les scientifiques et les
responsables des politiques dans des efforts
T communs au moyen de méthodes qualitatives et
I quantitatives ».
T Les examinateurs vont vérifier si le titre est
R spécifique et s’il reflète le contenu du manuscrit.
E Les éditeurs détestent les titres qui n’ont aucun sens
ou ne représente pas adéquatement votre sujet.
CONTENU DES AUTEURS DE L’ARTICLES
C
O
N
T
E Donner les noms et prénoms des auteurs de
N l’article
U
Donner les affiliations des auteurs c’est-à-dire leurs
D structures d’origine et leur adresse
U
Indiquer par une Astérix ou autre signe l’auteur
T correspondant ainsi que son adresse électronique
I ou courriel ou mail
T
R
E
C
CONTENU D’UN RÉSUMÉ
O Le résumé est en anglais et en français lorsque
N l’article est écrit en français.
T Ceci est l'annonce de votre article. Le rendre
E intéressant et facile à comprendre sans l’avoir lu en
N entier.
U Reflète les idées clés directrices du texte (mémoire,
article scientifique, thèse) en respectant un nombre
D imposé de mots.
U C’est une reformulation simplifiée des étapes
entreprises pour répondre à la problématique
R définie.
É un vocabulaire riche et précis dans un style
S descriptif et informatif pour capter l’attention des
U lecteurs
M Donner les objectifs de l’étude et les résultats
É obtenus
C
CONTENU D’UN RÉSUMÉ
O
N Enoncer les idées dans le même ordre que dans le
T texte.
E N’incluez pas de contenu qui ne figure pas dans
N l’article.
U Un résumé n’est pas un découpage du texte en
paragraphes, il adopte une nouvelle disposition qui
D souligne les articulations (informations) majeures
U du texte.
Le résumé est aussi BREF que possible !!! (150-200
R mots).
É Certains journaux exigent un résumé graphique.
S Donner 5 à 6 mots clés Simples et spécifiques ou
U Étiquette de votre manuscrit.
M Eviter les fortes abréviations sauf celles établies
É comme GC, HPLC, ADN etc
C
CONTENU D’UN RÉSUMÉ GRAPHIQUE
O
N
T Définition
E Un résumé simple, bref, imagée et visuelle des
N principales conclusions de l'article.
U
Description
D Cela pourrait être soit la figure final de l'article ou une
U figure qui est spécialement conçue à cet effet; son
contenu capte les lecteurs en un seul coup d'œil.
R
É Spécifications
S La police: Utilisez une assez grande taille de police.
U La taille de l'image et le type de fichier doivent être en
M fonction de la revue.
É
C
CONTENU D’UN RÉSUMÉ GRAPHIQUE
O
N
T
E
N
U
D
U
R
É
S
U
M
É
C
CONTENU D’UNE INTRODUCTION
O
N L’introduction est le pourquoi de l’étude et il doit faire
T ressortir ses objectifs
E Une bonne section Introduction est structurée comme un triangle
N inversé. Cela signifie que vous commencez par un sujet vaste, puis
U que vous procédez à un recentrage des lecteurs par étapes logiques
jusqu’à ce que vous arriviez à votre question de recherche. Ce
I recentrage peut être facilité en répondant aux questions suivantes :
N
Quel est le problème?
T
R Pourquoi est-ce important?
O Que savons-nous à ce jour? (Littérature complète et
D cohérente avec le sujet)
U Quelles sont les lacunes au chapitre de nos
C
T
connaissances?
I Quelle est la question de recherche qui permettra de
O combler cette lacune?
N Quel était l’objectif de la recherche?
C
CONTENU D’UNE INTRODUCTION
O
N
T
E Dans L’introduction, il est nécessaire d’éviter:
N
U
Plus de mots que nécessaire.
I
N
Cadrer une idée
T Mélanger introduction avec résultats,
R discussion, et conclusion. Les garder toujours
O
D séparés afin d’assurer un déroulement logique
U de section dans votre manuscrit.
C
T
Les expressions comme “nouvelle”, “première
I fois”, “la première”, “changement de
O paradigme”. Les utiliser avec modération.
N
CONTENU D’UNE SECTION MATÉRIEL ET
S
MÉTHODES
E
C
T La section Matériel doit contenir :
I
O
Une description exacte du matériel (végétal,
N
biologique, chimique, appareillage…ou les données)
M utilisé pour effectuer le travail ;
A
T La provenance du matériel;
É
R
I La zone de l’étude (si possible les coordonnées GPS).
E
L
S
CONTENU D’UNE SECTION MÉTHODOLOGIE
E
C
La méthodologie est le comment de l’étude
T
I
O La section Méthodologie décrit la façon dont l’étude
N a été menée. Il est important d’expliquer la façon
dont les méthodes tiennent compte des objectifs de
M
recherche. Il faut fournir assez de détails afin que les
É
T autres puissent reproduire votre étude, si
H nécessaire, pour confirmer que vos résultats sont
O uniformes et fiables. Il est utile d’avoir des sous-
D titres.
O
L
O De la possibilité de tester la reproductibilité de la
G recherche en question dépend la validité de l'article.
I Inclure les informations claires et détaillées, pour
E reproduire l’expérience.
S
CONTENU D’UNE SECTION MÉTHODOLOGIE
E
C
T
I Pour des méthodes universellement connues, il est
O
N superflu d'en donner la description détaillée; un
renvoi à une référence bibliographique peut suffire.
M
É Il est particulièrement important de prendre garde
T aux directives de l'éditeur lors de la rédaction de ce
H
O chapitre.
D
O La section Méthodologie est décrite au passé (car
L elle décrit ce que vous avez fait).
O
G
I
Les examinateurs rejetteront les descriptions
E incomplètes ou incorrectes.
S
CONTENU D’UNE SECTION RÉSULTATS
E La section résultat est le Qu’est ce que vous avez
C trouvé ou le quoi de l’étude
T La section Résultats décrit ce que l’on a découvert
I dans l’étude (dans le même ordre d’information
O établi dans les sections Introduction et
N Méthodologie).
R
e De bons remerciements dans un rapport de stage
m vous permet de rendre hommage aux personnes qui
e vous ont aidé. Toutefois, bien que cette partie puisse
r être personnelle, elle doit respecter des règles
c académiques. Il faut donc éviter :
i
e les fautes d’orthographe ;
m un ton monotone ou trop bateau ;
e d’en faire trop ;
n d’écrire plus d’une page entière;
t de remercier tout le monde : il faut sélectionner les
s personnes et les remercier par ordre d’importance.
DIFFÉRENTES LISTES (SIGLES ET ABRÉVIATION,
FIGURES, TABLEAUX, schémas…)
R
e Dans la liste des abréviations, également appelée,
m liste des acronymes, vous devez fournir une liste des
e abréviations des termes importants de votre
r document classée par ordre alphabétique.
c
i Les lecteurs de votre mémoire pourront ainsi y
e trouver toutes les abréviations qui lui sont inconnues.
m
e Si vous avez seulement quelques abréviations à
n expliciter, vous pouvez utiliser des notes de bas de
t pages pour le faire.
s
A éviter les abréviations universelles connues de tous
tels que kg pour kilogramme, min ou mn pour minute
DIFFÉRENTES LISTES (SIGLES ET ABRÉVIATION,
FIGURES, TABLEAUX, schémas…)
R
e
m
e Si vous avez des abréviations ou acronymes en anglais
r et français (ou d’autres langues), il est préférable
c d’être consistant et d’utiliser la traduction française
i des abréviations anglaises. Par exemple, si vous parlez
e des United Nations (UN), vous pouvez remplacer ce
m terme par l’Organisation des Nations Unies (ONU).
e
n Si ce n’est pas possible, il est préférable de séparer les
t deux et faire deux listes : une française et une
s anglaise.
DIFFÉRENTES LISTES (SIGLES ET ABRÉVIATION,
FIGURES, TABLEAUX, schémas…)
R
e
m
e
r Dans la liste des figures, vous devez fournir la liste
c paginée de toutes les figures du mémoire;
i
e Dans la liste des tableaux, vous devez fournir la liste
m paginée de tous les tableaux du mémoire;
e
n Dans la liste des schémas, vous devez fournir la liste
t paginée de tous les schémas du mémoire;
s
C
CONTENU D’UN RÉSUMÉ
O
N Concernant le résumé de mémoire, thèse et article
T scientifique Dans un résumé, on dégage:
E
N Le procédé utilisé pour retrouver/décrire le résultat
U d’un phénomène?
l’
I CONTENU D’UNE SECTION GÉNÉRALITÉS
N
T
R
La section généralités donne le maximum
O d’informations sur les études antérieures réalisées sur
D la thématique du travail
U
C
Il est nécessaire que les travaux évoqués soient les plus
T récents possibles
I
O
N
M
CONTENU D’UNE SECTION MATÉRIEL ET
A MÉTHODES
T
É
Le "Matériel et Méthodes" DOIT répondre à trois
R
I questions:
E 1. Quel a été le matériel (les données) de l’étude ?
L 2. Qu’est-ce que l’on a cherché à évaluer ?
3. Quels ont été les critères de jugement ?
E
Le "Matériel et Méthodes" DOIT contenir :
T
Une description exacte du matériel (végétal,
M biologique, chimique, appareillage…ou les données)
É utilisé pour effectuer le travail.
T La zone de l’étude (si possible les coordonnées GPS)
H
Les critères de sélection du matériel si possible.
O
D Les critères d’exclusion du matériel si possible.
E Les critères de sélection.
S
M
CONTENU D’UNE SECTION MATÉRIEL ET
A MÉTHODES
T
É
R
I Le "Matériels et Méthodes" DOIT contenir :
E Ce que l’on cherche à évaluer.
L Les critères de jugement.
La (ou les) méthodes(s) : informatique(s),
E
T
mathématique(s), statistique(s), expérimentale(s).
La partie "Matériels et Méthodes" doit être
M développée avec le maximum d’informations et de
É justifications des choix effectués pour que les
T résultats soient reproductibles.
H
Il s’agit donc de décrire et non d’interpréter.
O
D Le temps de rigueur des verbes est le passé.
E
S
M
CONTENU D’UNE SECTION MATÉRIEL ET
A MÉTHODES
T
É
R
I
E
L
Le "Matériels et Méthodes" NE DOIT PAS contenir :
E De discussion ou de commentaires sur le matériel et
T la méthode.
De résultats.
M
De style télégraphique et d’abréviations
É
T inexpliquées.
H
O
D
E
S
CONTENU D’UNE SECTION RÉSULTATS
S
E
C Les "Résultats" DOIVENT contenir :
T Tous les résultats, même négatifs, dans la mesure où
I ils apportent une information utile au problème
O
N étudié.
Des résultats impersonnels, précis, clairs.
R Des résultats normaux puis anormaux, dans l’ordre
É de présentation du "Matériels et méthodes".
S Les résultats sont l’aboutissement de la recherche et
U
L la base de la discussion.
T Il faut rapporter les faits observés uniquement, et
A non des résultats sans rapport avec le sujet.
T Il ne doit y avoir ni commentaires ni références.
S Le temps de rigueur des verbes est le passé.
CONTENU D’UNE SECTION RÉSULTATS
S
E
C
T Au niveau de l’Iconographie, on peut utiliser des
I tableaux synthétiques simples, des figures, des
O
N schémas, des photographies…
Les documents iconographiques doivent être
R réalisés avant la rédaction de la partie "Résultats".
É Celle-ci doit se structurer autour de ces documents,
S et pas le contraire.
U
L
Les données brutes chiffrées sont à reporter en
T annexe.
A Les figures et les tableaux doivent être informatifs et
T ne pas répéter le texte.
S
CONTENU D’UNE SECTION RÉSULTATS
S
E
C
T
I Figures et tableaux
O
N
ne sont pas obligatoires.
donnent un maximum d’informations dans un
R minimum de place.
É doivent être compréhensibles indépendamment du
S texte.
U
L
doivent être informatifs en eux-mêmes grâce à leurs
T légendes, sous-titres, notes.
A Éviter le "tout figures" ou le "tout tableaux".
T
S
CONTENU D’UNE SECTION RÉSULTATS
S
E Figures et tableaux n’ont pas le même rôle :
C Les tableaux sont composés de lettres et chiffres. Ils
T possèdent l’avantage de la précision mathématique
I et permettent de faire des comparaisons.
O Les figures sont une transcription de données
N
chiffrées : dessins, traits, courbes, diagrammes, . . .
R Les figures sont toujours accompagnées de
É légendes, les tableaux ont parfois un titre et parfois
S une légende, mais au moins l’un des deux.
U La figure est plus efficace pour décrire une situation
L
T qui évolue dans le temps, ou plus généralement
A pour montrer une différence entre plusieurs états
T au lecteur.
S Le choix entre figure ou tableau dépendra de
l’objectif visé.
CONTENU D’UNE SECTION RÉSULTATS
S
E
C La présentation des tableaux
T Le corps du tableau ne doit contenir que des
I nombres,
O jamais d’unités de mesure,
N
jamais de pourcentages après un nombre.
R Les nombres situés dans les colonnes du tableau
É doivent être alignés sur la virgule.
S Il existe différents types de figures :
U Camemberts : présentation des pourcentages.
L
T
Histogrammes : comparaison statique.
A Tracés de courbes et de points : x est la variable de
T contrôle (explicative) ; y est la variable contrôlée
S (expliquée).
CONTENU D’UNE SECTION DISCUSSION
S
E Faire part de son apport personnel par rapport au
C sujet abordé.
T
Éventuellement, à la fin, formuler des hypothèses.
I
O Le temps des verbes est le passé, éventuellement le
N présent pour les faits établis.
La discussion permet d’exprimer son point de vue.
D Elle commence par un résumé du travail effectué, et
I
S
doit répondre aux trois points suivants :
C L’objectif de départ a-t-il été atteint ?
U Les résultats sont-ils fiables ?
S Jugement de la qualité et de la validité des résultats
S grâce à
I
une discussion critique et objective.
O
N Comment se situent les résultats par rapport à ceux
des autres auteurs ?
S CONTENU D’UNE SECTION CONCLUSION
E
C La conclusion ne peut faire référence à des idées
T dont il n'a pas été question dans le développement.
I
O On ne saurait y trouver des faits nouveaux car la
N conclusion n'est en principe pas une ouverture sur
d'autres idées; pour cela il est préférable d'ajouter
C un chapitre "Perspectives", comme on le fait
O souvent à la fin des travaux de diplôme ou des
N thèses de doctorat (mais dans les publications, la
C conclusion et les perspectives qui en dérivent sont
L souvent fusionnées).
U
S Des suggestions précises sur des travaux ultérieurs
I peuvent être faites.
O
N
P
CONTENU D’UNE SECTION RÉFÉRENCES
r
i La référence bibliographique, c’est la carte d’identité
n du document , elle comprend donc :
c Sa description intellectuelle (nom de l’auteur, titre…)
i Sa description physique (ex : le nombre de pages)
p
e L’écriture des références bibliographiques doit être
s homogène, que ce soit :
g au niveau de la typographie et de la mise en page
é au niveau de l’ordre des informations (à noter des
n pratiques de rédaction différentes selon les
é disciplines)
r
a Le contenu d’une section références est lié au guide
u des auteurs du journal ou de l’établissement.
x
P
CONTENU D’UNE SECTION RÉFÉRENCES
r
i La référence bibliographique permet de:
n Justifier tout fait énoncé.
c Situer son travail par rapport à la littérature.
i Être sûr que ce que l’on fait est original.
p Lister des articles ou ouvrages qui ont été cités dans
e le texte et auxquels le lecteur peut se référer.
s Les références bibliographiques doivent être listées :
g Le plus tôt possible après l’énoncé du fait.
é En milieu ou fin de phrase.
n Plusieurs fois la même référence si besoin.
é Les références ne doivent pas être trop nombreuses.
r Ne citer que ce que l’on n’a pas lu.
a "et al." (abréviation de "et alii" du latin qui signifie
u "et les autres").
x
CHAPITRE 3
PRÉSENTATION DU RAPPORT DE
RECHERCHE, DU MÉMOIRE ET DE LA
THÈSE
INTRODUCTION
I
n
i La rédaction d’un mémoire, d’une thèse ou d’un
article scientifique exige une écriture de haute
t qualité pour laquelle les étudiants et étudiantes aux
r études supérieures sont souvent mal préparés.
o Il faut donc optimiser la connaissance des sources
d’information, les systèmes de recherche de celle-ci
d Les systèmes d’analyses type statistiques
u (bibliométriques)
c
La qualification des sources reste un point critique.
t N’abusez pas des réseaux sociaux, c’est une perte de
i temps.
o
n