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Bechinger Ludovic PC

Bouteba Hakim

Identification des spores fongiques par


diffusion Raman améliorée en surface
(SERS)
Tuteurs : FOLEY Sarah & TORREALBA Freddy
Plan
- Contexte

- Les objectifs

- Diffusion Raman et SERS

- Résultats
 Caractérisation du colloïde
 Spectre Raman obtenu
 L’identification et la caractérisation des pics
 Différentiation des champignons

- Conclusion
2
Contexte
- Contexte
5% des personnes hospitalisées sont victimes d’infections
nosocomiales
- Objectifs
Parmi elles, les infections fongiques augmentent de plus en
plus
- Diffusion
Raman et
Sers Les champignons causent des infections pulmonaires ou
intestinales

- Résultats
L’OMS a publié une classification d’agents fongiques à étudier
Ex : l’Aspergillus Fumigatus classé comme « priorité critique »
° Colloïde
° Pics
°Champignons
Le manque de données est encore conséquent sur ces
champignons ainsi que sur leurs identifications

- Conclusion 3
Objectifs
- Contexte
L’objectif global est d’identifier ces champignons le plus
rapidement possible
- Objectifs

- Diffusion
Raman et
Sers

- Résultats

° Colloïde
° Pics Notre objectif était donc d’utiliser la méthode SERS pour
°Champignons identifier les champignons de type Aspergillus responsables
de l’Aspergillose (3e cause d’infection fongique en France)

- Conclusion 4
Diffusion Raman
- Contexte
La lumière est diffusée par la molécule de 2 manières :
 Rayleigh : même fréquence et polarisation que la
- Objectifs lumière incidente.
 Raman : fréquence et polarisation différente de la
lumière incidente (Stokes + et anti Stokes -).
- Diffusion
Raman et
Sers

- Résultats

° Colloïde
° Pics
°Champignons

Le décalage Raman donne les informations sur les


différentes vibrations moléculaires. 5
- Conclusion
Diffusion Raman
- Contexte
La lumière est diffusée par la molécule de 2 manières :
 Rayleigh : même fréquence et polarisation que la
- Objectifs lumière incidente.
 Raman : fréquence et polarisation différente de la
lumière incidente (Stokes + et anti Stokes -).
- Diffusion
Mais un problème se pose !!!
Raman et
La diffusion Raman classique donne un spectre d’une
Sers intensité trop faible .

- Résultats

° Colloïde
° Pics
°Champignons

- Conclusion 6
SERS
- Contexte
Pour amplifier ce signal Raman, on utilisera la méthode
SERS : Surface Enhanced Raman Spectroscopy

- Objectifs La méthode repose sur l’amplification du champ


électromagnétique
d’une surface nanostructurée
- Diffusion
Raman et Colloïde = la surface nanostructurée qui nous permet
Sers d’amplifier le signal Raman (jusqu’à un ordre de

- Résultats

° Colloïde
° Pics
°Champignons

- Conclusion 7
SERS
Pour amplifier ce signal Raman, on utilisera la méthode
- Contexte SERS : Surface Enhanced Raman Spectroscopy

La méthode repose sur l’amplification du champ


- Objectifs électromagnétique
d’une surface nanostructurée

Colloïde = la surface nanostructurée qui nous permet


- Diffusion d’amplifier le signal Raman (jusqu’à un ordre de
Raman et
Sers Le laser excite la solution et on mesure le signal Raman ainsi
amplifié.

- Résultats

° Colloïde
° Pics
°Champignons

- Conclusion 8
Caractérisation du colloïde
- Contexte Nom Tailles Tailles agrégats Potentiel Zêta pH
Citrate 42 ± 1 nm 370 ± 10 nm -28 ± 4 mV 7,25
d’argent
- Objectifs 5000 nm

- Diffusion
Raman et
Sers Potentiel Zêta : c’est un bon indicateur pour vérifier la
stabilité du colloïde

- Résultats  Entre -30 et 30 mV : Colloïde supposé instable

° Colloïde  Au delà de -30 et 30 mV : Colloïde supposé stable


° Pics
°Champignons

- Conclusion 9
Caractérisation du colloïde
- Contexte
Nom Tailles Tailles agrégats Potentiel Zêta pH
Citrate 42 ± 1 nm 370 ± 10 nm -28 ± 4 mV 7,25
d’argent
- Objectifs 5000 nm

Spectre UV-Visible :
- Diffusion
Raman et
Sers
1,0

0,8 Longueur d’onde


- Résultats maximale : 422 nm
0,6

° Colloïde 0,4
En accord avec les
travaux de P.C. Lee
Absorbance

° Pics
°Champignons 0,2 et D. Meisel

0,0

300 400 500 600 700 800


- Conclusion Longueur d'onde (en nm)
1
0
Pics appartenant au colloïde
Spectres Raman
- Contexte A.Fischeri
Colloïde
A.Fumigatus
A. Hiratsukae
2, 6e+7
- Objectifs

2, 4e+7
- Diffusion
Raman et
Sers 2, 2e+7

- Résultats 2, 0e+7
I nt ens i t é s ( e n u. a

° Colloïde
° Pics 1, 8e+7
°Champignons 600 800 1000 1200 1400 1600 1800 2000
Déplacement Raman (cm-1)

- Conclusion : pics appartenant au colloïde 11


Zones de différenciation
A.Fischeri
- Contexte A.Fumigatus
A. Hiratsukae

2, 6e+7
- Objectifs

- Diffusion 2, 4e+7
Raman et
Sers

2, 2e+7

- Résultats
I nt ens i t é s ( e n u. a .

° Colloïde
2, 0e+7
° Pics 600 800 1000 1200 1400 1600 1800 2000
°Champignons
Déplacement Raman (cm-1)

: zones permettant de différencier les


- Conclusion champignons 12
Identification des pics
- Contexte A.Fischeri
A.Fumigatus
A. Hiratsukae

- Objectifs 2, 6e+7

- Diffusion v
Raman et
2, 4e+7
Sers

- Résultats
I nt ens i t é s ( e n u. a

2, 2e+7

° Colloïde
° Pics
900 1000 1100 1200 1300 1400
°Champignons
Déplacement Raman (cm-1)

- Conclusion 13
Identification des pics
2,6e+7
- Contexte A.F is c h e ri
A.F u m ig a tu s
A. H ira ts u k a e
2,5e+7
- Objectifs
2,4e+7

- Diffusion
Raman et 2,3e+7
Sers
2,2e+7

- Résultats
I n t e n s it é s ( e n u . a . )

2,1e+7
° Colloïde
° Pics 1500 1550 1600 1650 1700 1750 1800
°Champignons
D é p la c e m e n t R a m a n ( c m - 1 )

- Conclusion 14
Identification des pics
- Contexte
2, 8e+7
Colloïde
- Objectifs A. Fumigatus
A. Hiratsukae
A. Fischeri

2, 6e+7
- Diffusion
Raman et
Sers
2, 4e+7

- Résultats
2, 2e+7
° Colloïde
Intensités

° Pics
°Champignons

2800 2850 2900 2950 3000 3050

- Conclusion D é p l a c e m e n t R a m a n ( e n c m - 1) 15
Caractérisation
Différenciation des pics
des champignons
Pics Caractérisation Fumigatus Hiratsukae Fischeri
- Contexte
950 cm-1 ʋ C-N x (s) x (s) x (m)
1010 cm-1 Phénylalanine x x
- Objectifs 1040 cm-1 ʋ C-C C-N x x
(Protéine)
1180 cm-1 ʋ a-s phosphate x
- Diffusion
Raman et 1230 cm-1 Amide III x
Sers 1270 cm-1 Amide III x
1340 cm-1 Guanine x
- Résultats 1390 cm-1 Glucide x
1620 cm-1 L-Tryptophane x
° Colloïde
° Pics
Pics 1640 cm-1 Amide I x
°Champignons
°Champignons
3000 cm-1 ʋ C-H x x

ʋ : élongation s : forte intensité m : intensité moyenne


- Conclusion a-s : antisymétrique
16
Conclusion
Dans cette présentation,
- Contexte
• étude de trois champignons (A. Fumigatus, A.
Hiratsukae, A. Fischeri).
- Objectifs
• réussite de la différenciation des trois champignons
exposés
- Diffusion
Raman et Dans le rapport,
Sers
• étude de cinq champignons, les trois précédents
ainsi que l’Aspergillus Œrlinghausenensis et l’ Aspergillus
- Résultats Lentulus

° Colloïde • réussite de la différenciation des cinq champignons


° Pics Il faudra étudier la reproductibilité des spectres réalisés
°Champignons avec la méthode SERS

• Avec le même colloïde


- Conclusion • Avec un colloïde différent
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