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PARENTERALE
Dr KEDIDEH YACER
ENCADRE PAR Dr Bertil
OBJECTIVES
Évaluation de l’état nutritionnel
Indication de l’alimentation artificielle parentérale
Technique de la nutrition artificielle parentérale
Surveillance ET Complications
Situations spécifiques et nutrition : Insuffisance
rénale – Insuffisance respiratoire– Insuffisance
hépatique –
BLAN DU COURS
INTRODUCTION ET DEFINITION
EVALUATION DE LETAT NUTRITOINNEL
INDICATIONS
CONTRE INDICATIONS
Technique de la nutrition artificielle parentérale
SURVEILLANCE
COMPLICATOINS
SITUATIONS PARTICULIERS
INTRODUCTOIN
La nutrition parentérale a progressivement trouvé
la place, une place en second, derrière la nutrition
entérale, mode optimal d’apport nutritif chez le
patient de réanimation.
La seule indication de la nutrition parentérale est
l’impossibilité d’assurer des apports nutritionnels
adéquats par la voie entérale.
La tolérance métabolique de la nutrition
parentérale doit être surveillée, notamment par
un protocole de contrôle de la glycémie
DEFINITION
C’est l'apport de nutrition par voie parentérale IV pour
prévenir la dénutrition et ses conséquences
Conséquences de la dénutrition
Retard de cicatrisation
Perte de poids et perte musculaire
Modification de la cinétique de médicaments
Complication infectieuse
Majore le cout et la durée d’hospitalisation
EVALUATOIN DE l’ETAT NUTRITIONNEL
Evaluation clinique :
BILAN AZOTE (état protéique global)
Mesure de pli cutanée (masse grasse )
Etude de la fonction musculaire (imagerie, EFR )
Indices nutritionnels :
Calcul de IMC
INDICATONS
la nutrition parentérale doit être débuté si un patient est hospitalise de 48 h et
plus ; en cas de CI formelle , ou intolérance a la nutrition enterale dans un
délais de 7 jours
courte durée
mise au repos du tube digestive
attente de reprise du transit
complément a l’alimentation enterale
état infectieux pré ou post opératoire
en pre op si patient sévèrement dénutri ou si intervention majeure ( ex kc
œsophage )
en post op : rare ; après une nutrition pré op ; si réalimentation impossible
après une semaine d’une intervention
longue duree
chirurgie lourde du grêle
syndrome de malabsorption
quand alimentation enterale est impossible ( vomissements , entérite )
si contre indication( pancréatite , diarrhée chronique ) ,ou si anorexie ou refus
du malade
Contre-indications
la nutrition parentérale n’est pas indiquée, voire
contre-indiquée, en cas de choc septique. Une étude
observationnelle allemande récente conforte ce point
de vue. En analyse multivariée, il apparaît que la
présence d’une nutrition parentérale exclusive au cours
d’un sepsis sévère ou un choc septique est associée à
une mortalité plus élevé (62,3 %) qu’une nutrition
entérale seule (38,9 %)
Technique de la nutrition artificielle parentérale
2 voies d’adminstration :
peripherqiue si durée breve , os molarité moins de 700
osm /L, avec changement du site de perfusoin / 48H
centrale si mélange concentré , asepsie rigourouse , durée
prolongée
Le rythme de perfusion est continue sur 24 h
3 les solutions utilisées :
GLUCIDIQUE G5% a G50% , posologie 200 a 400g / j ( surveillance
de glycemie et CU )
EMULSIONS LIPIDIQUES : avantage apport caloriques élevées
isotonique , Posologie 1 a 2 g/kg/j ( surveillance TG)
SOLUTIONS d’Acides amines posologie 300 mg/kg/j
L’INSUFFISANT HEPATIQUE
SDRA
SEPSIS ET DMV
BRULE GRAVE
Conclusion
la prescription de la nutrition parentérale en
réanimation doit s’inscrire dans une démarche
qualité, fondée sur des protocoles de services, et
être conforme aux recommandations nationales et
internationales.