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Les essais
1.Lignes 1 à 9 : Une préface à valeur de programme
1. Montaigne établit une relation intime avec le lecteur dès le début des Essais en utilisant la première personne du singulier et en s'adressant directement à
lui. Par exemple, il écrit : "Ce livre, lecteur, est un livre de bonne foi." Cette approche crée une connexion personnelle avec le lecteur.
2. Il exprime son intention de laisser un héritage intellectuel à ses proches après sa mort. Par exemple, il déclare : "Je le destine particulièrement à mes
parents et à mes amis, afin que lorsque je ne serai plus, ils y retrouvent quelques traces de mon caractère et de mes idées."
3. Montaigne souligne l'urgence de laisser une trace de soi pour la postérité en utilisant la formule "ce qui ne peut tarder". Cette préface prend ainsi une
dimension testamentaire, affirmant l'immortalité de son œuvre.
2.Lignes 9 à 17 : Un pacte de sincérité passé avec le lecteur
1. Montaigne affirme sa volonté de sincérité et d'authenticité dans son écriture en utilisant des termes tels que "simplicité", "naturel" et "ingénuité". Par
exemple, il déclare : "Je peins non la figure, mais moi-même." Cette approche vise à établir un lien de confiance avec le lecteur.
2. Il utilise la métaphore de la peinture pour illustrer son refus de présenter une image artificielle de lui-même. Par exemple, il compare sa façon d'écrire à un
portrait saisi sur le vif, proche de la réalité.
3. Montaigne établit un contrat de confiance avec le lecteur en contrastant deux façons de se présenter : une valorisant l'apparence et l'autre privilégiant la
sincérité. Cette approche souligne son engagement envers la vérité et la transparence.
3.Lignes 17 à 24 : Un "avertissement" aussi frappant que déroutant
1. Montaigne utilise la référence aux Indiens du Nouveau Monde pour remettre en question les normes sociales européennes et souligner l'importance de la
sincérité. Par exemple, il regrette de ne pas poser "dans la plus complète nudité", mettant en avant le naturel des peuples indigènes.
2. Il réaffirme que son livre est un portrait sincère de lui-même, malgré sa mise en garde contre l'intérêt potentiellement limité du lecteur. Par exemple, il
déclare : "C'est moi-même qui fais l'objet de mon livre." Cette approche témoigne de son engagement envers la vérité et la liberté d'expression.
3. Montaigne utilise des stratégies rhétoriques pour susciter l'intérêt du lecteur tout en revendiquant sa liberté d'écriture et de ton. Par exemple, il conclut
par la formule de salutation "Adieu", semblant mettre un terme à la relation avec le lecteur tout en le laissant curieux.
Ces exemples illustrent comment Montaigne met en pratique ses intentions dans chaque partie de son "Avertissement" et soulignent son engagement envers la
sincérité, la vérité et la liberté d'expression dans ses Essais
Le dormeur du val
I. Premier quatrain : un cadre idyllique
Dans ce quatrain, Rimbaud dépeint un paysage bucolique où la nature semble vivante et accueillante. Les personnifications telles
que la rivière qui "chante" et le soleil qui "luit" confèrent une dimension animée au décor. Par exemple, la rivière est décrite
comme "accrochant follement aux herbes des haillons d'argent", ce qui évoque un mouvement vibrant et dynamique. De plus,
l'utilisation des éléments naturels tels que l'eau, la terre et le feu contribue à créer une atmosphère riche et harmonieuse.
II. Second quatrain : l'apparition du jeune soldat
Ce quatrain introduit le personnage du jeune soldat endormi dans ce cadre idyllique. Rimbaud met en avant la jeunesse et la
vulnérabilité du soldat, ce qui contraste avec la bienveillance de la nature. Par exemple, le soldat est décrit comme "jeune" et sa
tête est "nue", ce qui souligne son état fragile et désarmé au milieu de la nature. En même temps, la nature est présentée
comme lumineuse et maternante, offrant un "lit vert" pour le soldat.
III. Premier tercet : la description du soldat endormi
Dans ce tercet, Rimbaud insiste sur le sommeil du soldat, mais des indices subtils laissent entendre sa situation réelle. Par
exemple, le soldat est décrit comme "dormant" et "faisant un somme", mais la présence des "glaïeuls", traditionnellement
associés au deuil, suggère une possible tragédie. De plus, la comparaison avec un "enfant malade" laisse planer un sentiment
d'inquiétude sur le sort du soldat.
IV. Second tercet : la révélation finale
Dans ce dernier tercet, les indices de la mort du soldat se multiplient, aboutissant à une révélation brutale et poignante. Par
exemple, les phrases négatives comme "Les parfums ne font pas frissonner sa narine" et la présence de la blessure mortelle du
soldat suggèrent une fin tragique. Enfin, le dernier vers reprenant le mot "trou" du premier vers souligne la nécessité de relire le
poème pour en saisir toute la portée.
Conclusion
"Le Dormeur du Val" commence par dépeindre un paysage paisible qui dissimule la réalité tragique de la guerre. Cependant, à
travers l'utilisation d'indices subtils et d'une révélation finale poignante, Rimbaud transforme le poème en une dénonciation de la
guerre et de ses conséquences désastreuses.
Cliton

1.Le portrait d'un monomaniaque (1020-1028)


Dans cette partie, La Bruyère dresse le portrait de Cliton, un personnage obsédé par la nourriture. Le prénom "Cliton" est choisi
pour évoquer son inclination et sa passion dévorante pour la nourriture, comme le suggère l'étymologie grecque du nom. La
Bruyère utilise un champ lexical de la nourriture pour dépeindre Cliton comme un glouton insatiable, ce qui renforce l'idée qu'il
est obsédé par les repas. Les verbes utilisés, notamment au présent de l'indicatif, mettent en relief les actions et les habitudes
alimentaires de Cliton, soulignant ainsi son caractère obsessionnel.
2.La voix ironique du moraliste (1028-1036)
Dans cette section, La Bruyère adopte une voix ironique pour commenter le comportement de Cliton. Il interagit directement
avec le personnage qu'il critique, exprimant son dégoût face à son comportement. La Bruyère utilise des antiphrases pour décrire
ironiquement Cliton comme un gourmet, alors qu'en réalité, il est un glouton sans discernement. Il critique indirectement Cliton
en soulignant son arrogance et son autoritarisme en matière d'alimentation.
3.Une chute pleine d'humour noir (1036-1039)
Dans cette dernière partie, La Bruyère conclut le portrait de Cliton sur une note sombre en évoquant sa mort. Il utilise des
euphémismes pour atténuer la brutalité de la mention de sa disparition, mais souligne néanmoins l'obsession de Cliton pour la
nourriture jusqu'à son dernier soupir. La répétition du verbe "manger" met en évidence l'obsession de Cliton, suggérant même
qu'il serait prêt à revenir à la vie pour satisfaire son appétit. La mention de sa mort souligne le caractère pessimiste de la nature
humaine, incapable de se détacher de ses obsessions.
Conclusion
Le portrait de Cliton par La Bruyère met en lumière le côté sombre de l'obsession humaine. Cliton incarne l'égoïsme et
l'indifférence sociale, et son obsession pour la nourriture est présentée comme une manifestation de sa nature profonde. La
mention de sa mort renforce l'idée que les obsessions humaines peuvent conduire à une existence vide et dénuée de sens.
Iréne
1.Une consultation médicale burlesque (406-416)
Dans cette section, La Bruyère met en scène une consultation médicale entre Irène, une hypocondriaque, et Esculape, le dieu de
la médecine de la Grèce antique. L'utilisation d'éléments renvoyant à la Grèce antique crée un cadre pittoresque et exotique pour
la consultation. Cependant, malgré ce décor antique, le langage et les préoccupations médicales sont modernes, ce qui souligne
l'universalité des problèmes de santé et de la peur de vieillir. Le prénom ironique d'Irène, signifiant "paix" en grec, contraste avec
son comportement inquiet et ses plaintes incessantes, renforçant ainsi l'ironie de la situation.
2.De l'humour au sérieux (417-421)
Dans cette partie, La Bruyère fait évoluer le ton de la consultation de burlesque à sérieux. Le passage du discours indirect au
discours direct crée une atmosphère théâtrale, accentuée par l'anachronisme des lunettes dans le contexte antique. L'utilisation
de la question rhétorique par Irène souligne son agacement face aux réponses simples d'Esculape. Cependant, la révélation
brutale de la vieillesse et de la mort par Esculape marque un tournant dans le texte, passant du comique à une réflexion plus
sombre sur la condition humaine.
3.Une satire de la faiblesse humaine (421-427)
Dans cette dernière partie, La Bruyère met en évidence les défauts d'Irène, au-delà de son hypochondrie. Les questions
rhétoriques d'Irène révèlent son arrogance et son manque de bon sens, tandis que la réponse d'Esculape la confronte à ses
propres contradictions. Irène incarne ainsi non seulement l'hypocondrie, mais aussi l'ignorance, la vanité et l'autoritarisme. La
conclusion laisse entendre que la leçon de La Bruyère est celle du bon sens, de la modération et de la raison, invitant à une
réflexion plus profonde sur la vie et la mort.
Conclusion
La consultation médicale entre Irène et Esculape, bien que burlesque dans sa forme, soulève des questions plus profondes sur la
condition humaine et la manière de vivre sa vie. La Bruyère utilise l'humour pour critiquer les faiblesses humaines, mais aussi
pour inviter à une réflexion sur la sagesse et la modération. Ce portrait comique cache ainsi une leçon morale sur la nature
éphémère de la vie et la nécessité d'adopter une attitude plus sage et mesurée.

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