Etude de Danger Zakraria RACHCHAD PDF

Formation sur les études de
dangers
Préparé par:
Zakraria RACHCHAD
Ingénieur Senior HSE Design
Zakaria.rachchad@jacobs-esa.com
28.05.13 Zakaria.rachchad@jacobs-esa.com
Programme de la formation
• Objectif d’une EDD
Définitions des principaux termes utilisés
Dossiers de demande d’autorisation pour les ICPE
• Contenu d’une étude de dangers
28.05.13 2
– Définitions des principaux termes utilisés
– Dossiers de demande d’autorisation pour les ICPE
28.05.13 3
Objectif d’une étude de dangers
• Évaluer / analyser les risques générés par une installation
• Mettre en place une démarche de réduction des risques en accord avec

l’administration
• (Informer le public)
• Permettre la maîtrise de l’urbanisation (PPRT)
28.05.13 4
28.05.13 5
Principaux termes utilisés
• Danger
• Phénomène dangereux
– L’événement par lequel se manifeste un danger (par

exemple un incendie, une explosion, ou la libération
d’un gaz toxique).
28.05.13 6
Aléa
– Probabilité de survenue d’un phénomène dangereux

produisant en un point des effets d’une certaine intensité
(par exemple une zone où la probabilité de subir un flux
thermique de 3 kW/m² est de 10-5).
– L’aléa peut être représenté sur une carte (cf. PPRT).
28.05.13 7
Vulnérabilité
– La vulnérabilité d’un environnement est le nombre de

personnes ou l’importance des biens ou de la faune/flore,
exposés au phénomène dangereux et leur sensibilité aux
effets (susceptibilité de subir un certain niveau de
dommages).
28.05.13 8
• Vulnérabilité
• Gravité
– Le niveau de gravité peut se définir par les dégâts

(dommages) constatables ou prévisibles. La gravité est
fonction de l’intensité du phénomène et de la vulnérabilité
du voisinage.
28.05.13 9
• Vulnérabilité
• Gravité
• Risque
– Possibilité de survenance d’un dommage résultant d’une

exposition à un phénomène dangereux.
– C’est la combinaison de la probabilité d’occurrence d’un

événement redouté, de l’intensité du phénomène
dangereux en résultant et de la vulnérabilité du voisinage.
28.05.13 10
• Vulnérabilité
• Gravité
• Risque
– Le risque se définit donc par la combinaison d’un aléa et

d’une vulnérabilité, et s’évalue par le croisement d’une
gravité et d’une probabilité.
– On peut réduire le niveau de risque en agissant sur la

probabilité de l’événement, sa gravité ou la vulnérabilité du
voisinage.
28.05.13 11
Illustration différence Risque / Danger
– Une bouteille d’un litre d’essence présente un danger

modéré, mais si elle est manipulée par des enfants dans
une maison, il y a un risque important de feu et de
brûlure.
– Une cuve de plusieurs mètres cubes de cette même

essence présente un danger important, mais si elle est
implantée en plein désert il n’y a plus vraiment de risque
(faible vulnérabilité du voisinage).
28.05.13 12
Schéma récapitulatif
Dans les analyses de risques et les études de dangers, le risque est généralement
qualifié en Gravité * Probabilité, alors que pour les PPRT, il l'est selon les deux
composantes Aléa * Vulnérabilité (par type d'effet : thermique, toxique, surpression et
projection).
28.05.13 13
28.05.13 14
Contexte réglementaire
Contenu d’un DDAE
– Plans
• 1° Une carte au 1/25 000 sur laquelle sera indiqué l'emplacement

de l'installation projetée
• 2° Un plan au 1/2 500 des abords de l'installation (« plan

cadastral »).
Sur ce plan sont indiqués tous bâtiments avec leur affectation, les
voies de chemin de fer, les voies publiques, les points d'eau, canaux
et cours d'eau
• 3° Un plan d'ensemble à l'échelle de 1/200 au minimum indiquant

les dispositions projetées de l'installation ainsi que l'affectation des
constructions et terrains avoisinants et le tracé de tous les réseaux
28.05.13 enterrés existants 15
Contexte réglementaire
Contenu d’un DDAE

– « Pièces écrites »
• 4° Une étude d’impact ;
• 5° Une étude de dangers ;
• 6° Une notice portant sur la conformité avec les prescriptions

législatives et réglementaires relatives à l'hygiène et à la sécurité du
personnel ;
• 7° Dans le cas d'une installation à implanter sur un site nouveau,

l'avis du propriétaire, lorsqu'il n'est pas le demandeur, ainsi que celui
du maire, sur l'état dans lequel devra être remis le site lors de l'arrêt
définitif de l'installation.
28.05.13 16
Objectif d’une EDD
Définitions des principaux termes utilisés
Dossiers de demande d’autorisation pour les ICPE
Contenu d’une étude de dangers
28.05.13 17
• Partie descriptive (société, site et installations)
• Identification / caractérisation des potentiels de dangers
• Réduction des potentiels de dangers
• Analyse du retour d’expérience
• Analyse des risques liés à l’activité
• Modélisation et hiérarchisation des phénomènes dangereux
• Moyens de prévention et de protection, barrières de sécurité
(notions de MMR / EIPS)
• Résumé non technique

28.05.13 18
Partie descriptive (société, site et installations)
Déjà faite par ailleurs dans le cadre d’un dossier complet => On peut la
répéter (si plusieurs classeurs pour le dossier) ou seulement indiquer la
référence
28.05.13 19
Dans ce chapitre on peut décrire :

- La raison d’être de l’activité (point de vue économique et social)
- Ce qui est produit sur le site
- Comment fonctionnent les installations
28.05.13 20
Présentation de la société
- Description de la société
- Chiffres clés de la société (chiffre d’affaire, nombre d’employés, etc.)
- Stratégie de développement
- Capacités techniques et financières
28.05.13 21
Présentation générale du projet

- Description du projet
- Raisons du choix du projet et du site d’implantation
- Localisation
- Présentation générale du procédé
- Présentation de l’organisation sur le site
28.05.13 22
Présentation générale du projet

- Description du projet
- Raisons du choix du projet et du site d’implantation
- Localisation
- Présentation générale du procédé
- Présentation de l’organisation sur le site
28.05.13 23
• Partie descriptive (du site et des installations)
• Moyens de prévention et de protection, barrières de sécurité (notions

de MMR / EIPS)

28.05.13 24
Identification / caractérisation des potentiels de dangers
Potentiels des dangers liés aux produits
- Pour chaque produit utilisé, on explique où il est utilisé / stocké et

quels sont les dangers (incendie, explosion, toxicité, pollution
aqueuse, pollution de l'air…)
- On présente aussi les produits non dangereux a priori
- Penser à un tableau récapitulatif avec produits / quantités /

dangers
28.05.13 25
Potentiels des dangers liés aux agressions externes
- Facteurs climatiques (neige/vent)
- Foudre
- Sismicité
- Chutes d’avion
- Inondation
28.05.13 26
Potentiels des dangers liés aux agressions externes
- Malveillance
- Voies de circulation
- Incendie (de forêt)
- Installations à risques avoisinantes
28.05.13 27


28.05.13 28
Réduction des potentiels de dangers
• Expliquer les études conduites pour chercher à supprimer ou à limiter

les dangers, par exemple en remplaçant certains produits par d’autres
produits moins dangereux, ou en limitant les quantités de produits
stockés ou leur mode de stockage.
• S’appuyer sur les « bonnes pratiques » du secteur concerné, montrer

que l’exploitant effectue une veille pour être informé des évolutions
technologiques qui pourraient permettre d’améliorer la sécurité.
28.05.13 29
Moyens généraux de prévention et de protection
- Présentation des principes généraux de sécurité (exploitation, accès,

système de conduite, alarmes et mises en sécurité automatiques,
contrôles/maintenance, plans d’urgence)
- Présentation des moyens spécifiques d’intervention (réseau incendie,

extincteurs, désenfumage…)
- Présentation des formations et habilitations du personnel
28.05.13 30

de MMR / EIPS)

28.05.13 31
Analyse du retour d’expérience
On distingue deux méthodes :
- L’accidentologie (= analyse des accidents majeurs)
Qui permet de comprendre en quoi les dispositifs de

prévention des risques ont défailli, et d’analyser l’efficacité
des dispositifs de protection contre les effets des accidents
Elle permet de conforter l’identification des dangers réalisée

dans l’étude, mais sans signifier que si un accident n’a jamais
eu lieu celui-ci n’est pas possible.
28.05.13 32
- Le retour d’expérience (= REX)
Qui consiste à analyser tous les dysfonctionnements

(même mineurs) dans le fonctionnement quotidien d’une
installation, et à mettre en place des actions d’amélioration
permettant d’éviter la répétition de ces écarts au
fonctionnement prévu.
28.05.13 33
- Le retour d’expérience (= REX)
Le retour d’expérience peut également porter sur des

situations positives (bonnes pratiques, réflexes ayant
permis d’éviter un incident), afin d’en faire la publicité et
chercher à les renforcer (= REX positif).
28.05.13 34
Où chercher l’information :
- Les bases de données de l’industriel lui-même (ex : chez Jacobs on

enregistre tous les accidents et presque accidents)
- Les bases de données du domaine d’activité (associations d’industriels

comme le GESIP ou l’UIC, etc.)
- La base de données ARIA (Analyse, Information et Recherche sur les

Accidents) du BARPI (Bureau d’Analyse des Risques et Pollutions
Industriels)
28.05.13 35
La base de données ARIA du BARPI
- Analyses détaillées de certains accidents, classées par activités

industrielles (exemple)
- Recherche d’accidents par mot-clé, rassemble un grand nombre

d’accidents décrits en quelques lignes
- Synthèses par thème / secteur d’activité sur des points précis (ex : la
foudre, les rétentions, les capteurs…)
28.05.13 36
• Dans tous les cas, l’exploitant doit expliquer quels accidents et

incidents sont survenus sur l’établissement ou dans d’autres
établissements comparables au niveau mondial.
• Pour ces accidents, on pourra expliquer les raisons pour lesquelles

les dispositifs de sécurité en place n’avaient pas permis d’empêcher
le déroulement du scénario accidentel, et quelles actions ont été
mises en place afin de prévenir la répétition des facteurs ayant
conduit à l’accident.
28.05.13 37
• (notions de MMR / EIPS)

28.05.13 38
Analyse des risques liés à l’activité
– La méthode d’analyse des risques n’est pas imposée,

mais elle doit être explicitée.
– Idéalement, l’analyse est conduite par un groupe

multidisciplinaire (au moins un spécialiste du procédé,
de la « sécurité des procédés », un exploitant…)
– En plus des phases de fonctionnement nominal, penser

aux phases de maintenance, arrêt et redémarrage
28.05.13 39
L’analyse des risques repose sur un examen structuré du

procédé : elle permet d'identifier les causes et la nature
des accidents potentiels ainsi que les mesures de
prévention et de protection existantes ou le cas échéant
nécessaires pour en limiter l'occurrence et la gravité.
28.05.13 40

On peut réaliser un découpage fonctionnel des installations puis faire
une Analyse Préliminaire des Risques, qui présentera :
• les situations anormales susceptibles d’affecter les personnes, les

biens et l’environnement
• l’évaluation du potentiel initial du danger ainsi présenté pour chaque

situation à travers :
- Les principales causes de cette situation
- Les conséquences
- La hiérarchisation (criticité) initiale de cette situation

28.05.13 41
– Ensuite on évalue le potentiel résiduel du danger, c’est-à-

dire en tenant compte des mesures compensatoires mises
en œuvre pour limiter les causes et les conséquences, et de
la cinétique d’évolution du phénomène.
– On obtient ainsi une hiérarchisation (criticité) résiduelle.
– => Au stade de projet, le danger doit être maîtrisé (criticité

acceptable), ou alors des mesures supplémentaires doivent
être mises en place
28.05.13 42
Les niveaux de gravité des événements qui pourraient

correspondre à des accidents potentiels majeurs doivent
être justifiés pour confirmer leur niveau acceptable.
L’évaluation de leurs conséquences sera faite dans le
chapitre suivant.
28.05.13 43
– Les niveaux de gravité des événements qui pourraient

chapitre suivant.
– Les barrières qui permettent de passer d’un niveau initial

« non acceptable » à un niveau résiduel « acceptable » sont
les plus importantes, elles nécessitent une maintenance et
un suivi renforcé.
28.05.13 44
– Les niveaux de gravité des événements qui pourraient

chapitre suivant.
– Les barrières qui permettent de passer d’un niveau initial

« non acceptable » à un niveau résiduel « acceptable » sont
les plus importantes, elles nécessitent une maintenance et
un suivi renforcé. Ce sont des EIPS.
28.05.13 45
– Les EIPS (ou EIS) : Éléments Importants Pour la Sécurité
Ils sont définis comme étant « les barrières sur lesquelles se

reposent l’exploitation pour limiter la dérive d’un paramètre ou
compenser sa défaillance, qui, si elles n’étaient pas maîtrisées,
pourraient conduire à un accident majeur ».
– Ces éléments, déterminés lors de l’analyse des risques, sont

spécifiques à chaque installation
28.05.13 46
Exemples d’EIS :
- Une vanne de sectionnement, actionnée suite à une détection de

fuite (pressostat+détection gaz)
- Les épreuves sur les tuyauteries avant mise en service
- Procédures de permis de travail, permis de feu…
- Des contrôles en continu sur le process (suivi de la combustion,

capteur de présence de flamme…)
28.05.13 47
Les EIPS peuvent donc être des équipements, mais aussi des
procédures ou être intégrées dans le mode d’exploitation.
Il peut s’agir d’éléments de prévention ou d’éléments de

protection.
28.05.13 48


28.05.13 49
Modélisation et hiérarchisation des phénomènes dangereux
• On modélise donc les phénomènes dangereux pour lesquels il est

nécessaire de vérifier la gravité
• Lorsque certains phénomènes dangereux ont forcément des

conséquences plus importantes que d’autres, on peut ne pas
modéliser les autres et utiliser le résultat du phénomène majorant
(exemple : la rupture d’une canalisation, par rapport à une fuite de
50 mm ou de 25 mm)
28.05.13 50
Lorsque les effets du phénomène dangereux sortent du site, on

détermine la gravité (à partir de la grille de l’arrêté du 29/09/05)
On détermine également la classe de probabilité de ce phénomène,

afin de le placer dans la matrice d’acceptabilité
28.05.13 51
On vérifie que le risque généré par le site soit « acceptable » selon la

circulaire du 10 mai 2010
Dans le cas contraire, on prévoit la mise en place de moyens de

prévention et/ou de protection supplémentaires, pour réduire la
probabilité et/ou la gravité de certains phénomènes dangereux, et
ainsi les déplacer en « zone d’acceptabilité » dans la matrice
28.05.13 52
28.05.13 53
Moyens de prévention et de protection, barrières de sécurité (notions

de MMR / EIPS)
• Pour les phénomènes se situant dans la zone orange du tableau, on

identifie des Mesures de Maîtrise des Risques (MMR), qui
correspondent à des barrières de sécurité fiables, permettant de
s’assurer que le phénomène dangereux soit bien maintenu dans sa
classe de probabilité/gravité
• Les EIPS sont définis par l’exploitant et listés dans l’arrêté préfectoral
du site
28.05.13 54

de MMR / EIPS)
Exemples d’EIPS :
- l’arrêt d’urgence d’une unité
- une soupape
- contrôles et inspections réguliers sur les appareils sous pression
- une vanne de sectionnement actionnée automatiquement
28.05.13 55

de MMR / EIPS)
• Les MMR définies dans l’étude de dangers doivent, si elle ne sont

pas déjà mises en place, être prévues à une échéance donnée, à
valider avec l’administration.
• Exemple : sur un site existant, prévoir dans l’année la mise en

place de plots en béton pour éviter un choc entre un véhicule et
les installations process
28.05.13 56


28.05.13 57
Résumé non technique
• Il s’agit de résumer l’ensemble de l’étude de dangers, de façon à ce

que celle-ci soit lisible et accessible pour le « public » (lié à l’enquête
publique)
• Faire attention aux termes employés, qui ne doivent pas être trop
techniques
• Penser à donner des comparaisons pour certaines unités et grandeurs
28.05.13 58

Exemples de comparaisons :
- 2 bars = 2 fois la pression atmosphérique = la pression dans un

autocuiseur
- 3 bars = la pression à 30 m de profondeur sous la mer = la pression

dans un pneu de voiture
- 60°C = la température au-delà de laquelle on ne peut plus tenir un

objet dans la main
- 180°C = la température de l’huile dans une friteuse

28.05.13 59

- 1200°C = la température de la partie bleue d’une flamme
- 1500°C = la température de fusion du verre
- 50 à 60 dB = niveau sonore à proximité d’un sèche-linge
- 80 à 90 dB = niveau sonore d’un klaxon de voiture
- 100 à 110 dB = marteau-piqueur à moins de 5 m
- 180 dB = décollage d’une fusée
28.05.13 60

- 40 ppm = 40 miligrammes par litre = la concentration de chlorures

dans une eau de source naturelle convenant pour l’alimentation des
nourrissons
- 200 ppm = la concentration maximale admise des chlorures dans les

eaux destinées à la consommation humaine = concentration à
laquelle on commence à ressentir le goût de chlore
28.05.13 61

- 5 grammes = la masse d’une feuille de papier A4 typique
- 1,2 tonne = 1200 kilogrammes = poids d’un véhicule léger de type

Clio
- 100 Watts = puissance consommée par un réfrigérateur =

puissance produite par un cycliste
- 70 kW = 100 chevaux = puissance d’un moteur de véhicule léger
28.05.13 62

- 1,6 GW = 1 600 MW = 1 600 000 kW = la puissance générée par une

centrale nucléaire
- 15000 tonnes d’équivalent TNT = énergie libérée par la bombe

atomique sur Hiroshima
28.05.13 63

de MMR / EIPS)

28.05.13 64
Merci pour votre attention.
Des questions ?
28.05.13 65

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• Mettre en place une démarche de réduction des risques en accord avec

• Permettre la maîtrise de l’urbanisation (PPRT)

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– L’événement par lequel se manifeste un danger (par

– Probabilité de survenue d’un phénomène dangereux

– L’aléa peut être représenté sur une carte (cf. PPRT).

– La vulnérabilité d’un environnement est le nombre de

– Le niveau de gravité peut se définir par les dégâts

– Possibilité de survenance d’un dommage résultant d’une

– C’est la combinaison de la probabilité d’occurrence d’un

– Le risque se définit donc par la combinaison d’un aléa et

– On peut réduire le niveau de risque en agissant sur la

Illustration différence Risque / Danger

– Une bouteille d’un litre d’essence présente un danger

– Une cuve de plusieurs mètres cubes de cette même

– Définitions des principaux termes utilisés

– Dossiers de demande d’autorisation pour les ICPE

• Contenu d’une étude de dangers

• 1° Une carte au 1/25 000 sur laquelle sera indiqué l'emplacement

• 2° Un plan au 1/2 500 des abords de l'installation (« plan

• 3° Un plan d'ensemble à l'échelle de 1/200 au minimum indiquant

Contenu d’un DDAE

• 4° Une étude d’impact ;

• 5° Une étude de dangers ;

• 6° Une notice portant sur la conformité avec les prescriptions

• 7° Dans le cas d'une installation à implanter sur un site nouveau,

Définitions des principaux termes utilisés

Dossiers de demande d’autorisation pour les ICPE

Contenu d’une étude de dangers

• Partie descriptive (société, site et installations)

• Identification / caractérisation des potentiels de dangers

• Réduction des potentiels de dangers

• Analyse du retour d’expérience

• Analyse des risques liés à l’activité

• Modélisation et hiérarchisation des phénomènes dangereux

• Moyens de prévention et de protection, barrières de sécurité

(notions de MMR / EIPS)

• Résumé non technique

Partie descriptive (société, site et installations)

Partie descriptive (société, site et installations)

Dans ce chapitre on peut décrire :

- Ce qui est produit sur le site

- Comment fonctionnent les installations

Partie descriptive (société, site et installations)

- Chiffres clés de la société (chiffre d’affaire, nombre d’employés, etc.)

- Capacités techniques et financières

Partie descriptive (société, site et installations)

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- Raisons du choix du projet et du site d’implantation

- Présentation générale du procédé

- Présentation de l’organisation sur le site

Partie descriptive (société, site et installations)

Présentation générale du projet