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Cours PES PDF
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E.E 3
Prof. LACHGAR
1. L’assiduité ;
2. La participation et la préparation des
travaux dirigés;
3. L’examen de fin de semestre.
PLAN
Introduction
Chap. 1: L’inflation
1. La production
2. La redistribution
3. La régulation
Que produit l'État ?
L’Etat peut produire :
2. La protection sociale
1 La réduction des inégalités
1. Définition de l’inflation
2. Les mesures de l’inflation
3. Les types de l’inflation
4. Les causes de l’inflation
5. Les conséquences de l’inflation
6. Les politiques de stabilité des prix
1. Définition
L’inflation est une hausse généralisée et
durable de l’ensemble des prix :
1. Hausse généralisée : elle concerne tous les
prix et pas quelques produits et services.
2. Hausse durable : elle est prolongée dans le
temps, c’est-à-dire qu’elle n’est pas
passagère ou accidentelle.
A côté de notion de l’inflation, il y a d’autres
notions de voisinage liées à celle-ci, donc il faut
faire la distinction entre :
Désinflation : désigne une baisse du taux
d'inflation, c’est-à-dire que le niveau général des
prix augmente toujours mais à un rythme moins
important qu'auparavant.
Déflation : Une baisse générale et durable des
prix.
2. Les mesures de l’inflation
IPC t/0 =
Les mesures de l’inflation
(déflateur du PIB)
3. Les types de l’inflation
Dans le cadre de l’inflation, plusieurs types
peuvent être cités :
Inflation rampante : est l’inflation
marquée par un taux inférieur à 5%.
Inflation déclarée : est l’inflation dont le
taux est compris entre 5% et 10 %.
Inflation galopante : est l’inflation dont le
taux est entre 10% et 50%.
Hyperinflation : est l’inflation marquée
par un taux excessif qui dépasse 50%.
4. Les causes de l’inflation
1. Définition du chômage
2. La mesure du taux de chômage
3. Les types de chômage
4. Les théories explicatives du chômage
5. Les causes de chômage
6. Les conséquences du chômage
7. Les politiques économiques et le chômage
1 Définition du chômage
L’approche néoclassique
L’approche keynésienne
L’approche néoclassique
Le comportement des entreprises et la
demande du travail :
Les entreprises embauchent de la main
d’œuvre en comparant le coût de cette main
d’œuvre avec ce qu’elle rapporte. Si un
employé supplémentaire permet d’augmenter
la production pour une valeur supérieur au
salaire qu’il touche ; l’entreprise a intérêt à
l’embaucher.
Il en résulte une fonction de demande de
travail décroissante par rapport au salaire
réel : plus le salaire est élevé, plus la demande
du travail est faible et inversement.
L’approche néoclassique
Le comportement des ménages et l’offre de
travail :
En principe, plus le niveau du salaire est élevé, plus
les ménages souhaitent travailler longtemps; ou
plus nombreux seront les ménages qui souhaitent
travailler.
Pour des salaires très faibles, une baisse du
salaire peut inciter les ménages à travailler
davantage, on parle dans ce cas de l’effet de
substitution.
Pour des salaires élevés, une hausse du salaire
peut permettre à un ménage de réduire sa
durée de travail et de prendre plus de loisir :
c’est ce qu’on appelle l’effet de revenu (loi de
Gossen).
L’équilibre du marché de travail
L’équilibre sur le marché du travail
doit se réaliser par l’égalisation entre l’offre
et la demande de travail. Si l’ajustement ne
s’opère pas, c’est qu’il y a des rigidités qui
bloquent le fonctionnement du marché. Ces
rigidités sont, selon les classiques, liées à
l’interventionnisme de l’Etat en matière de
fixation des salaires et de la réglementation
du travail…
L’équilibre du marché de travail
Pour les néo-classiques, le chômage naît par
la faiblesse de l’offre : les entreprises
produisent insuffisamment pour répondre à
la demande existante ; ce comportement
est dicté par le niveau des salaires réels ou
salaires effectifs supérieurs au salaire
d’équilibre tel qu’il résulte des lois du
marché.
Le coût du travail serait donc un obstacle
au plein emploi.
L’approche keyné
keynésienne
Pour les keynésiens, le chômage provient
donc d’une insuffisance de la demande
par rapport aux capacités de
production : les entreprises n’ont pas
intérêt à produire plus que la demande car
elles ne sont pas assurées d’écouler la
production correspondante.
L’anticipation d’une faible demande favorise
le chômage.
Analyse néo-classique Analyse keynésienne
PIB en volume VS PIB en valeur