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CONCEPTION DES

RESEAUX
D’IRRIGATION

Conception des réseaux 1


d'irrigation
• Définition :
• Le réseau d’arrosage est l’ensemble
d’ouvrages mis en œuvre pour :
– stocker l’eau ;
– la transporter d’un point à un autre ;
– la distribuer et la répartir ;
– la régulariser ;
– en assurer le contrôle ;
– éliminer l’excédent ;
– l’assainissement et le drainage.
• Objectifs :
• Amener l’eau depuis la source jusqu’à
n’importe quel point du périmètre de façon
fiable, avec la quantité et la qualité requise, au
moyen d’infrastructures appropriées.
Conception des réseaux 2
d'irrigation
Classification des réseaux.
a) réseau gravitaire, ou à ciel ouvert :
• L’écoulement de l’eau dans tous les ouvrages
s’effectue de façon gravitaire.

• Inconvénients :
– Perte de surface (entre 5 à 10% de la surface du périmètre) ;
– Efficience limitée (80% au niveau du réseau et 60% au niveau
de la parcelle agricole) ;
– Obstacles physiques.
• Avantages :
– Réseau classique (main d’œuvre non qualifiée, matériaux sur
place) ;
– Identification facile des éventuelles pertes ou casses ;
– Curage facile des ouvrages ;
– Entretien et maintenance ponctuels.
Conception des réseaux 3
d'irrigation
Conception des réseaux 4
d'irrigation
Réseau sous pression (réseaux enterrés).
– Inconvénients :
» Recours à l’énergie pour véhiculer l’eau ;
» Sollicite du matériel et des équipements
souvent importés.
– Avantages :
» Système enterré, d’où perte en surface
limitée ;
» Meilleur efficience dans l’utilisation des
eaux ;
» Permis l’utilisation de matériel d’irrigation
approprié et économe d’eau.
» Possibilité d’ingestion d’engrais dans le
réseau d’irrigation

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d'irrigation
Lit de pose

Pose de conduite Gros


Conception des réseaux Diamètre 6
d'irrigation
Composition des réseaux –
Équipements.

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d'irrigation
a) ouvrage de prise ou d’alimentation :
stations de pompage (rivière, puits, etc..)

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d'irrigation
a) ouvrage de prise ou d’alimentation :
Digue ou seuil sur rivière

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d'irrigation
a) ouvrage de prise ou d’alimentation :
Prise sur barrage

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d'irrigation
b) canal principal ou conduite tête morte :
Infrastructure assurant le transfert d’eau depuis la
source jusqu’au réseau de distribution.

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d'irrigation
c) Réseau de distribution : assure le
cheminement de l’eau jusqu’à l’entré de
l’exploitation agricole.

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d'irrigation
d) Réseau interne : distribue l’eau
au niveau de la parcelle agricole.

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d'irrigation
CHOIX DU SYSTEME
D’IRRIGATION
1) Types d’irrigation :
– Gravitaire ;
– Aspersion (basse, moyenne et haute pression);
• Système californien ;
• Asperseurs ;
• Pivots ou rampe latérale ;
• Enrôleurs.
– Goutte à goutte ou localisée

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d'irrigation
Réseau sous pression
Rampe latérale

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d'irrigation
Réseau sous pression
Pivots

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d'irrigation
Enrôleurs

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d'irrigation
2) Critères de choix du type d’irrigation.
– Type de culture : assolement ;
généralement pour les plantations, en
préconise l’irrigation localisée.
– Topographie :
• Terrain à pente douce et régulière (i< 3%) :
irrigation gravitaire ;
• Pente comprise entre 3 et 15% : irrigation par
aspersion ;
• Pente > à 15% : irrigation en goutte à goutte,
avec l’utilisation de goutteurs autorégulants.

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d'irrigation
3) Sol : critère dominant, la perméabilité.
– Pour des sols perméables (infiltration > à 10-4 m/s) :
irrigation gravitaire ;
– Pour des sols imperméables (infiltration > à 10-6 m/s),
irrigation par aspersion ou localisée
• Généralement un sol convenable pour l’irrigation a une
perméabilité comprise entre 10-5 et 5.10-5 m/s.
4) Disponibilité de la ressource eau (quantité et
qualité).
• Efficience du système (efficience globale)
– Gravitaire : 50%;
– Aspersion : 60%;
– Localisé : 80%

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d'irrigation
5) Énergie :
Le système aspersif consomme plus
d’énergie, par rapport au mode localisé.
Quant au gravitaire, ce dernier n’en
consomme pas.

6) Rentabilité économique.

7) Impact environnemental

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d'irrigation
SYSTEMES DE PRELEVEMENT DE L’EAU

• Prise gravitaire : qui comprend généralement :

– un barrage seuil : ouvrage réalisé pour permettre de


relever l’eau à un niveau donné, et orienter
l’écoulement vers un chenal donné ;

– Bassin d’admission : ouvrage sous forme d’un


entonnoir, qui assure généralement la réception des
dépôts solides ;

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d'irrigation
Prise gravitaire
– Vanne de garde : équipement
hydromécanique statique permettant l’accès
de l’eau dans le chenal en cas d’ouverture.

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– Système de régulation : équipement
hydromécanique assurant le contrôle des
débits à transiter. Généralement c’est une
vanne avec une balançoire installée dans le
canal, permettant le maintien du niveau d’eau
dans le canal;

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Stations de pompage
• un ensemble d’équipement (Génie Civil,
hydromécanique et électrique) permettant
de relever l’eau d’un point donné à un
autre.

• Pompe : appareil capable de transformer


de l’énergie mécanique en énergie
hydraulique ;

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d'irrigation
Conduite de refoulement

Corps de la
pompe

Générer un débit en transformant de l’énergie Colonne


mécanique en énergie hydraulique. d’aspiration
Elle est un générateur de débit.

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d'irrigation
Fonctionnement d’une pompe
Le principe des pompes utilisées en hydraulique
est basé sur la variation de volume entre
l’aspiration et le refoulement (volumétrique).
• La caractéristique principale d’une pompe est sa
cylindrée (c’est le volume de fluide aspiré en 1
tour de pompe), elle s’exprime généralement en
cm3/tr.
• Q = Vg x N / 1000. avec
– Q = débit, en litres / minute (l / mn);
– Vg = cylindrée, en cm3 / tr;
– N = vitesse de rotation de la pompe en tr / mn

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d'irrigation
PRINCIPALES CARACTERISTIQUES
D’UNE POMPE HYDRAULIQUE

• Une pompe se caractérise par :


– sa cylindrée (Vg en cm3 / tr) ;
– le niveau de pression supportable ;
– son rendement ;
– sa vitesse de rotation ;
– son prix, …

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d'irrigation
CLASIFICATION DES POMPES

• Les pompes sont classées en 3 grandes


familles :
– pompes à engrenages ;
– pompes à palettes ;
– pompes à pistons.

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Pompe à engrenage externe
• principes de fonctionnement
La partie mobile des pompes à engrenage est
composée de deux pignons qui engrènent et qui
sont logés dans un corps. Un de ces "arbres
pignons" est menant, couplé par un système de
liaison élastique à l'arbre moteur.

L'autre est mené par son engrènement dans le


premier. Le fluide hydraulique remplit le volume
entre-dents et il est transporté de l'aspiration
vers le refoulement en occupant le volume
entre-dents.

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d'irrigation
Conception des réseaux 30
d'irrigation
Pompe à palette
• Principe de fonctionnement:

• Le stator est fixe dans le corps de pompe . Le rotor est muni de


rainures dans lesquelles sont logées des palettes.

• Le rotor est entraîné en rotation dans le sens horaire par le moteur


électrique. Les palettes sous l’action de la force centrifuge sont
plaquées sur le stator. L'excentration entre rotor et stator permet aux
palettes d'effectuer des mouvements alternatifs dans les rainures
exécutées dans le rotor.

• Quand les palettes passent devant le lamage d'aspiration, le volume


entre palettes augmente, c'est la phase aspiration de la pompe.

• Les palettes continuant leur rotation, elles sont repoussées dans


leur logement sous l'effet de l’excentration. Le volume entre palettes
est en diminution, c'est la phase de refoulement de la pompe.

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d'irrigation
- 1 : corps
- 2 : stator
- 3 : rotor
- 4 : lamage de refoulement
- 5 : lamage d'aspiration
- 6 : palette

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d'irrigation
Pompes à pistons axiaux
• Principe de fonctionnement :
Le barillet solidaire de l'arbre de pompe porte
généralement 9 pistons. Le mouvement
alternatif des pistons est imposé par l'inclinaison
du plateau. Cette inclinaison peut-être fixe ou
variable.
Durant la phase d'aspiration, les pistons sortent
du barillet (augmentation de volume).
Durant la phase de refoulement, l'inclinaison du
plateau chasse les pistons dans le barillet, c'est
la diminution de volume.

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- 1 : corps - 2 : plateau face ou inclinable
- 3 : patin de glissement - 4 : piston
- 5 : barillet - 6 : glace de distribution
- 7 : arbre de pompe

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Pompe à palette
d'irrigation
Les principaux éléments d’une
station de pompage
– la conduite d’aspiration ;
– le groupe motopompe ;
– la conduite de refoulement ;
– une vanne d’étranglement pour ajuster le débit refoulé ;
– le clapet de pied ou clapet anti-retour ; organe
permettant à l‘eau de circuler dans un sens, et le retient
dans l’autre sens;
– la crépine : équipement de filtration à la base de la
conduite d’aspiration ;
– Manomètre (lecture des pressions en amont et en aval
du groupe motopompe) ;
– Equipement anti-bélier : protection contre les surpression
et les sous pression dans la conduite de refoulement.
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d'irrigation
Conception des réseaux 36
d'irrigation
Dimensionnement d’une station de pompage
Pression de service

Href

Groupe motopompe

Hasp

Href : hauteur géométrique de refoulement ;


Hasp : hauteur géométrique d’aspiration.
Hauteur géométrique totale « Hg », Hg = Href + Hasp
Hauteur manométrique totale = Hg + Ps + Pertes de charges (linéaire et
singulière).

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d'irrigation
Le choix d’une pompe
• Le choix d’une pompe se fait sur la base de sa puissance.
• Soit une pompe sollicitée pour:
– un débit Q (l/s);
– une hauteur manométrique totale Hmt (m)
• La puissance totale que la pompe doit transmettre à l’eau à la
sortie de la pompe est :
Pe = ρ g Q Hmt avec :
– Pe : puissance effective;
– ρ : densité eau
– g : pesanteur
• Pour une pompe d’un rendement donnée (Rp), la puissance
de la pompe serait de :
Pp= Pe/Rp
• La puissance du moteur d’entraînement serait de : Pm= Pp/Rm

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d'irrigation
Exemple de calcul
• Choix d’un moteur pour actionner une pompe relevant
de l’eau avec un débit Q= 50m3/h sur une hauteur
manométrique totale Hmt=45m, le rendement de la
pompe est de 70% .

Pe = ρ g Q Hmt = 103 x 9,81 x (50/3600) x 45 = 6131,25 w

Pp= 6,13 / 0,7 = 8,7 Kw

Rendements observés pour différents types de moteurs:


Moteur électrique : 90% ;
Moteur à essence : 70 à 75% ;
Moteur diesel : 65 à 70%

Donc pour un moteur électrique, la puissance sollicitée serait de:


Pm= 8,7 / 0,9 = 9,7 Kw ;

Conception des réseaux 39


d'irrigation
• 1 KW = 1,36 CV
• Pratiquement on adopte des majorations de
puissance pour le choix des moteurs :
– 30% pour des puissances inférieures à 5 CV ;

– 20% pour des puissances comprises entre 5 et


25 CV ;

– 10% pour des puissances supérieures à 25 CV.

Conception des réseaux 40


d'irrigation
Régulation des stations de pompages
• réservoir de service: son rôle est de
stocké l’eau en cas d’excès et de la
restituer en cas de déficit.

Vers réseau d’irrigation

Groupe
motopompe Ainsi le réservoir reçoit l’eau de façon constante à
partir de la pompe (Q), et alimente le réseau
d’irrigation via un débit variable (q).
si Q > q : le réservoir se remplit ;
si Q < q : le réservoir se vide

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d'irrigation
Le cycle de fonctionnement d’un réservoir
• T = Tr + Tv avec
– Tr : temps de remplissage ;
– Tv : temps de vidange.

• V = (Q – q) Tr
• V = q Tv
• On définit q = α Q avec α < 1
V V 1 1
T= Q-αQ
+ αQ
=V( Q-αQ
+ αQ
)

• D’où V = QT α ( 1 - α )

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d'irrigation
DIMENSIONNEMENT
DU RESEAU
D’IRRIGATION

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d'irrigation
Irrigation ?
• Apport d’eau artificiel à une culture en vue de lui
fournir l’eau (et les fertilisants dans le cas de la
fertigation) nécessaire à sa croissance et son
développement.

Gravitaire Aspersion Localisée

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d'irrigation
a) Réseau gravitaire :
–Tracé du réseau :
Généralement les canaux sont posés avec une pente
de l’ordre de 1‰ permettant une vitesse d’écoulement
de 1m/s. En effet une vitesse plus faible (0,1 à
0,2m/s) induirait des dépôts de sédiments (matière en
suspension).

Les adducteurs principaux suivent les courbes des


niveaux qui dominent le périmètre, alors que les
réseaux de distributions sont inclinés par rapport aux
courbes de niveaux.

Le tracé du réseau dépend étroitement de la


topographie du relief.

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d'irrigation
• Dimensionnement :
L’écoulement dans un canal à ciel ouvert
obéi à des lois hydrauliques faisant
notamment intervenir le débit, la pente et
les caractéristiques de la section
découlement, à savoir : sa superficie, sa
rugosité et sa forme géométrique.

Pratiquement en utilise une des formules


suivantes :
Conception des réseaux 46
d'irrigation
•Formule de CHEZY (formule de BAZIN).

• V= C.R1/2. I1/2 ou
– V : la vitesse en m/s ;
– R : rayon hydraulique (quotient de la section S par le
périmètre mouillé en m) ;
– I : pente ;
– C : coefficient de CHEZY, calculé par la formule de BAZIN.

1
C= γ
1+
R1/2

γ : étant le coefficient de rugosité caractérisant la nature des


parois du canal.

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d'irrigation
•Formule de STRICKLER (ou de MANNING)
• V = k R2/3. I½ ou k est le coefficient de
STICKLER caractérisant la nature des parois.

• La formule de MANNING est identique, k est


remplacé par 1/n.
• Le coefficient k peut varier entre 100 pour des
parois en ciment lissé en parfait état, et 10 pour
les chéneaux naturels encombrés de végétations
et en mauvais état.
• D’une manière générale, on peut adopter 60 à 70
pour les canaux revêtus en béton et 30 à 40 pour
les canaux en terre.
Conception des réseaux 48
d'irrigation
Conception des réseaux 49
d'irrigation
Conception des réseaux 50
d'irrigation
b) Réseau sous pression :
– Tracé : Pour les réseaux sous pression, la
topographie importe peu.
– Le dimensionnement ciblera l’optimisation de
son linéaire.

– La méthode couramment utilisée en la


matière est la méthode géométrique.

i) Méthode géométrique : Principe : Somme


vectorielle
A
est nulle

α γ MA + MB + MC = 0
M
B β
C
Conception des réseaux 51
d'irrigation
Dimensionnement du
réseau sous pression
Optimisation du réseau fait appel la
méthode de LABYE.
• Données de bases :
– tracé du réseau ramifié et en particulier la
longueur de chaque tronçon ;
– débit dans chaque tronçon ;
– côte piézométrique minimale à respecter en
chaque point du réseau (niveaux prises
d’irrigation) ;
Conception des réseaux 52
d'irrigation
– de même il faut fixer les vitesses minimale (0,2m/s) et maximale
(2,0m/s) de l’eau dans les tuyaux ;

– bordereau des prix des tuyaux selon les diamètres ;

– loi de perte de charge pour chaque type de conduite.


J = L QM / DN avec
*Q : débit en l/s ;
*D : diamètre de la conduite en m ;
*J : perte de charge unitaire en mm/m ;
* L,M,N : coefficient fonction de la nature du
matériau utilisé
Amiante ciment : L=1,01 ; M= 1,84 et N= 4,88 ;
Béton précontraint : L=1,05 ; M= 1,60 et N= 4,93

Conception des réseaux 53


d'irrigation
Il s’agit alors de déterminer les diamètres
des tuyaux qui satisfont aux conditions
hydrauliques (débit et pression) imposées
et qui conduisent au coût minimum.

Conception des réseaux 54


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n° TR Noeud Nœud Nombre Diamètre Longueu Débit Vitesse P.D.C
Amont Aval bornes (mm) r (m) (l/s) (m/s) (m)

1 9999 1 1 1500 2200 2500 1.42 1.71

2 1 526 1 1000 80 1119 1.43 0.11

3 526 527 1 1000 160 1118 1.42 0.21

4 527 528 1 1000 390 1117 1.42 0.51

5 528 529 1 1000 100 1115 1.42 0.13

6 529 530 1 1000 220 1106 1.41 0.28

7 530 531 1 1000 205 1103 1.40 0.26

8 531 532 1 1000 330 1093 1.39 0.42

9 532 533 1 1000 446 1066 1.36 0.54

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d'irrigation
Ouvrages d’un réseau
d’irrigation
Dans un réseau d’irrigation, les
éléments linéaires que sont les canaux
ou conduites assurent le transport de
l’eau, tandis que toutes les autres
fonctions sont remplies par des
ouvrages ponctuels, dont on peut citer
principalement :

Conception des réseaux 56


d'irrigation
• les ouvrages de régulation du plan
d’eau à un endroit déterminé du
réseau. On peut avoir recours soit à
un ouvrage statique comme le
déversoir soit à un ouvrage équipé
d’un appareillage hydromécanique
comme les vannes automatiques à
niveau constant ;

Conception des réseaux 57


d'irrigation
Conception des réseaux 58
d'irrigation
• les ouvrages de répartition du débit soit en plusieurs
fractions (partiteurs), soit par prélèvement d’une certaine
quantité déterminée (ouvrage de prise).

• Les ouvrages de sécurité contre les débordements


intempestifs ;

• Les ouvrages de franchissement des obstacles (ponts


ou siphons) ;

• Les ouvrages de distribution au niveau de la parcelle,


cas particulier des ouvrages de répartition, fonctionnant
la plupart du temps en « tout ou rien »

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d'irrigation
Conception des réseaux 60
d'irrigation
Conception des réseaux 61
d'irrigation
Conception des réseaux 62
d'irrigation
Conception des réseaux 63
d'irrigation
Conception des réseaux 64
d'irrigation
Conception des réseaux 65
d'irrigation
Modes d’irrigation
à la parcelle

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Irrigation à la raie

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d'irrigation
Conception des réseaux 68
d'irrigation
Planche ou Calant

Cuvette

Conception des réseaux 69


d'irrigation
Schéma d’une installation
d’irrigation par aspersion

Conception des réseaux 70


d'irrigation
Caractéristiques des busages et dispositifs
d’implantation en couverture intégrale
Buses Pression Débit Portée Dispositif
(mm) (bars) (m3/h) (m) d’implantation
18x18

1 buse
-4 - 3,5 - 1,2 - 14 - 3,7
- 4,4 - 3,5 - 1,5 - 15 - 4,6
- 4,8 - 3,5 - 1,7 - 15 - 5,2
2 buses
- 4 x 2,4 - 3,5 - 1,5 - 14 - 4,6
- 4,4 x 2,4 - 3,5 - 1,7 - 15 - 5,2
- 4,8 x 2,4 - 3,5 - 2,1 - 15 - 6,5
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