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INTRODUTION
0 .1. Problématique
0.3. Hypothèse
0 .4. Objectif
C’est sous cette optique que ce travail présente un intérêt sur le plan
socio-économique en permettant aux usagers de circuler aisément en évitant les
accidents de circulation, de faciliter l’accès rapide de la population de cette
entité à d’autres entités et enfin, ce travail permet de mettre à la disposition des
chercheurs un document à consulter pour leurs travaux similaires.
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L’Etat de la question est une phrase qui consiste, dans une étude, à
inventorier les résultats de certaines études antérieures sur phénomène bien
déterminé. Plusieurs études de ce genre ont été menées à travers le monde en
général et en particulier à travers la République Démocratique du Congo, ces
études sont :
35 % de sable
L’ensemble de tout qui
donne 100% donc se
100% nous avons 35%
de grains après le
mélange
Dans le temps :
Pour ce travail qui se penche sur la réhabilitation du tronçon
compris l’avenue pasteur acheminé de l’avenue Asimbo tous dans la commune
de Makiso. Celui-ci est pour un bref délai soit d’ici 2021, Si est seulement si, ce
travail est financé à sa totalité.
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Dans l’espace :
Cette étude est délimité par la partie qui est dans l’ausculte, par où
on a ciblé quelque partie qui est la couche de base, couche de roulement et aussi
la couche de fondation, si celle-ci n’est plus capable de supporter la charge et
surcharge du trafic des passagers .Et sans oublier la partie dû a l’assainissement
de ce tronçon routier .
Division du travail :
0.8. Généralités
La généralité c’est une partie d’un travail scientifique ou on parle tout
d’une façon générale du sujet qui est en étude. Pour notre travail qui se penche
sur l’étude de la réhabilitation d’une route revêtue, dans la partie suivante nous
allons parle de la route sur son historique ; sorte de route et même l’importance
de la route.
La route en terre est une catégorie des routes qui occupe une
proportion importante des réseaux routiers dans le monde et particulièrement
dans les pays aux économies faibles.
2) Route revêtue :
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a) chaussée souple :
On appelle chaussée souple, une chaussée supportant des
déformations remarquable elle est composée généralement des trois couche qui
sont : couche de fondation, couche de base et couche de roulement. C’est une
structure de chaussée dans laquelle l’ensemble des couches liées qui la
constituent, sont traités aux liants hydrocarbonés.
Chaussée souple
b) chaussée semi-rigide :
Elles comportent une couche de surface bitumineuse reposant sur une
assise en matériaux traités aux liants hydrauliques disposés en une couche
(base) ou deux (base et fondation).
Chaussée semi-rigide
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c) chaussée rigide :
La chaussée rigide est celle qui n’admet pas de déformations elle est
composée de deux couches (base et fondation). Une chaussée rigide est
constituée d’un revêtement en béton de ciment pervibré ou fluide.
En règle générale, une chausse en béton comporte, à partir du sol support, les
couches suivantes :
une couche de forme ;
une couche de fondation ;
une couche de roulement en béton de ciment.
Chaussée rigide
d) chaussée pavée :
routes pavées, il est primordial que les pavés et les couches sous-jacentes soient
adaptés à l’intensité du trafic et au tonnage des véhicules.
e) Autoroutes
Bien que notre pays n’ait pas encore construit d’autoroute, il est
important d’en avoir des informations importantes sur cette structure routière.
1.1.1. ETUDE
C’est une application ou méthode de l’esprit qui cherche à apprendre
ou comprendre un travail préparatoire examen en vue d’un ouvrage ou une
installation, ouvrage littéraire ou scientifique étudient un sujet donné, dessin,
représentation étant un essai, lieu de travail d’un moteur ou d’un employer
ministériel.
1.1.2. REHABILITATION
1.1.3. AVENUE
Selon le grand robert «Une avenue est définie comme étant un chemin
menant à un lieu, ou peut-être, plus logiquement, venant d’un lieu. Une avenue
est une grande voie urbaine» et Le Larousse (1998) définit ce concept comme
étant une large voie urbaine, le plus souvent bordée d’arbre. »[récupéré le
28/07/2020] de WWW. Wikpédia
1.1.5. ROUTE :
« Le mot route vient du mot latin « viarupta » qui signifie « voie
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partie est réservée pour l’étude du sol selon sa capacité portante et ses
caractéristiques géotechniques.
I.3. VEGETATION
I.4. HYDROGRAPHIE
Partant de cette petite définition notre tronçon qui est en ausculte n’a
pas un problème d’hydrographie car il n’y a pas un cours d’eau, une rivière ou
un obstacle hydrique. Du début à la fin de ce tronçon il n’y a que la terre qui se
trouve tout au long de la surface topographique du site en étude.
I.5. LE CLIMAT
I.6. LE RELIEF
I.7. ENVIRONNEMENT
La commune de Stanley(MAKISO)
La commune de Kabondo
La commune de Mangobo (belge I Tshopo)
La commune de Lumbunga (belge II).
C’est alors que le quartier plateau médical a été crée dans la commune
de la Makiso depuis 1973. Il portait la dénomination de Lualaba avant qu’il soit
appelé plateau médical.
1. Bloc KITENGE
2. Bloc UNIKIS
3. Bloc HOPITAL
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4. Bloc NZINNIA
5. Bloc VANGHE
6. Bloc LENGEMA
7. Bloc KALINDULA
8. Bloc METEO
9. Bloc SIMISIMI
10. Bloc MUSABALA
C’est alors que notre site d’étude se trouve dans le bloc Unikis dans
l’avenue Asimbo et dans le bloc Hôpital a l’avenu du Pasteur.
Dans cette partie de ce présent travail, nous allons parlés sur les
matériaux à utilisé pour la réhabilitation de notre route en chaussée souple. Le
tronçon était abandonné dans sont triste sort dont la route présente de pathologie
supérieur sur sa couche de roulement qui est une pathologie qui se présente que
sur la couche de roulement, et qui ce vu aussi dans notre tronçon de l’étude qui
ce trouve dans la commune de la Makiso à Kisangani.
a) le liant : c’est un matériau qui est propre à lier, qui est souple, élastique et
non cassant.
Bien qu’il ne soit utilisé aujourd’hui que du bitume dans les activités
routières (et ce depuis le milieu du 20ème siècle), on emploie encore
couramment le terme goudron pour le désigner (tarmac, goudronnage et
goudronneuse). Goudron et bitume sont des liants que l’on dit "hydrocarbonés",
c’est-à-dire constitués essentiellement par des molécules composées de carbone
et d’hydrogène. Ce sont des sous-produits de la carbochimie et de la chimie du
pétrole. Le goudron provient de la distillation de la houille. Le bitume provient
de la distillation du pétrole. Il se présente sous forme d’un solide visqueux de
couleur noire.
et résister aux poids des véhicules, aux efforts de freinage et conserver des
caractéristiques de surface, sans trop de dégradations, quelles que soient les
conditions atmosphériques
II.1.2.1 LE LIANT NATUREL
Ces liants sont appelés naturels car on les trouve en l’état dans la
nature, la plus souvent associes avec de substances minérales (bitume nature ou
roche des pétroles bruits)
II.1.2.2 LES BITUMES
D’âpres le site www. Planet-tp.com définit le bitume comme un
matériau présent naturellement dans l'environnement ou pouvant être fabriqué
industriellement après distillation de certains pétroles bruts. Il est composé d'un
mélange d'hydrocarbures, peut se trouver à l'état liquide ou solide, et a une
couleur brunâtre à noirâtre. Car le bitume ce différentie avec le goudron tout
deux sont souvent confondus. Or le bitume est issu du pétrole brut, quand le
goudron est un dérivé du charbon. Dès les années 1950, le bitume a supplanté le
goudron, notamment pour de raisons de santé, le goudron étant cancérogène.
Mais le terme « goudronner », bien qu’impropre, reste utilisé dans le langage
courant.
Les entreprises routières font face à des difficultés
d’approvisionnement en bitume. Une matière première utilisée dès l’Antiquité
pour ses qualités d’étanchéité 85 à 90 % de la production européenne de bitume,
est employée dans la construction et l'entretien des routes, normalement les
bitumes proviennent de la distillation directe des pétroles.
Il existe deux types de bitume : les bitume naturels et ceux qui sont artificiels.
a) Bitume naturels :
b) Bitume artificiels :
Ils sont largement utilisés et répandus, obtenus par la distillation du
pétrole, par l’adaptation à l’évolution des technique aussi bien dans le domaine
du génie civil. Pour sa première fois la modification de bitume à été essaye
dans les années, 1930 dans plusieurs pays de l’Europe de l’ouest. Le bitume
artificiel à été obtenu en 1898 à partir de résidus du pétrole chauffé à la
température de 300 – 320°C et oxydé par l’air.
prélèvement des altitudes qui sera un élément important pour le profil en long et
en travers de cette étude.
- Les niveaux a lunette : ces appareils sont utilisés pour mesure l’altitude
d’un point par rapport à un autre point repère. et la distance entre deux
points.
-
II .3.1. Méthode
Au sens du mot, la méthode est un dispositif spécifique de recueil et
d’analyse des informations destinées à tester les hypothèses.
Pour bien mener notre investigation, nous avons fait recours aux
méthodes suivantes :
La méthode systémique
II.3.2. Technique
Pré-enquête
L’observation
L’étude a nécessité des descentes dans l’avenue qui est en étude afin
d’observer la dégradation de la route ainsi quelque maladie routière (ornières,
traverse, ravinement, nids de poule… ect.) Notre attention était surtout localisée
sur la voirie et le système de canalisation.
Technique documentaire
Interview
Le levé topographique
- Google Earth
- Covadis
- Excel
- Qgis
Sur sa partie pratique soit manuel nous allons utiliser des formules ci-
distance mesurée × DH
après : Alt p= 100
+ PC
Alt A ± Al t B
Declivité TN=
D AB
Pc = Plan de comparaison
200+150 √ P
e=
I +5
Avec :
e = épaisseur.
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ROUTIERE
Terrain nature (T.N) : terrain tel qu’il se présente avant tous travaux ou
tout aménagement ;
Emprise : surface de terrain appartenant à la collectivité et
affectée à la route et à ses dépendants ;
L’assiette de la route : c’est l’espace du terrain réellement construit pour
créer la route (y compris les talus) c’est-à-dire dans les limites des
terrassements ;
Plate-forme : surface de la route qui comprend la ou les
chaussées, les accotements et éventuellement les terre-pleins ;
Chaussée : surface aménagée qui supporte la circulation des
véhicules ;
Les saignées : sont des dispositifs d’assainissement destinés à
acheminer les eaux des fossés ou des caniveaux vers l’exutoire ;
Les fossés : sont des dispositifs (non construits) placés après
les accotements et sont destinés à l’assainissement des chaussées ;
Les caniveaux : sont des fossés construits
Les trottoirs : sont des accotements spécialement séparés de la
chausse par les bordures surélevées qui se trouve dans une route revêtue ;
Les bordures : ce sont des séparations en béton, en pave en pierre
taillées ou en toute autre matériel que l’on construit parfois le long des
chausses ; peuvent être en rasées ou surélevées ;
un terre-plein central : c’est une partie de la route qui joue le rôle de
séparé deux ou trois voies de circulation ;
Une voie : est une bande de la chaussée correspondant à la
largeur d’un véhicule et circulée dans un seul sens ;
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Couche de roulement
Couche de base
Couche de fondation
Sous-couche de fondation
a) Couche de roulement
C’est une couche de matériaux (bien souvent enrobés) en contact
direct avec les pneumatiques des véhicules. Cette couche aussi appelée couche
d’usure, n’est pas toujours prise en compte dans le dimensionnement de
chaussées.
Son rôle est de constituer un écran entre les matériaux mis en œuvre
dans les terrassements et ceux employés en couche de fondation. Son épaisseur
dépend de la nature du sol, de la présence de la nappe phréatique, de
l’importance de la route, etc.
On en distingue deux types :
Sous-couche anticapillaire : dont le rôle est d’assurer un drainage
efficace des couches de chaussée et arrêter les remontées capillaires au niveau
de la forme des terrassements. Ce type est généralement constitué de sable
grossier et de gravier, scories pouzzolaniques, etc.
Sous-couche anticontaminante : dont le rôle est d’empêcher la
pénétration d’un matériau fin de plateforme à travers les vides d’une couche de
fondation à structure ouverte.
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Parmi les paramètres les plus agissants sur le corps de chaussée, nous
avons la présence permanente d’une très grande quantité d’eau et les cycles de
gel – dégel pour les pays tempérés.
des désordres importants car elle vient modifier la portance du sol de façon non
négligeable ou aggraver l’attrition de certains matériaux tels que les calcaires.
Compte tenu du trafic de plus en plus lourd qui emprunte les routes,
force et de retenir que le dimensionnement du corps de chaussée intervient de
façon très sensible dans les causes de dégradation.
Une attention soutenue est accordée à ce paramètre pour éviter qu’ils
ne se produisent des effets néfastes.
- compactage insuffisant,
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- surcompactage,
- température de mise en œuvre insuffisante,
- ségrégation à la mise en œuvre. Etc…
N Désignation des
Causes probables
° dégradations
1 Arrachement
- Pelades - L’âge de passée, ne supporte pas des lourdes
charges
- Fatigue des matériaux due à la vieillesse et
exposition aux agents atmosphériques,
diminution et évolution de la couche de
- Tête de chats raclement ;
La fissuration
La Déformation
Les arrachements
Les remontées ou les mouvements des matériaux
1) Les fissurations
2) Les déformations
3) Les arrachements
Les arrachements sont des phénomènes de ruptures d’adhésion entre les
éléments ou parties de la route suivie généralement de leur disparition. Ce type de
dégradations n’affecte que la couche de roulement au début de son apparition mais
peut s’aggraver en affectant les couches sous-jacentes au revêtement. On distingue
les désordres suivants les désenrobages, le plumage, le peignage, la pelade,
l’indentation, les nids de poule, etc.
4) Les remontées ou les mouvements des matériaux
Ces observations sont faites à pied pour des courtes distances et abord
d’un véhicule avec faible vitesse pour des longues distances, mais il est conseillé
de le faire à pied pour bien observer les différentes dégradations routières.
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L M M J V S D
Véhicule 862 937 1067 987 889 897 321 5960
Motos 1058 1125 1441 1338 1229 1376 1106 86766
2 6 3 4 7 5 9
Vélos 613 515 475 502 514 418 400 3437
Charrettes 14 16 12 13 15 10 5 85
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Ces tableaux du trafic journaliers nous donnes le trafic normal que subit
nos deux tronçons, mais aussitôt pour l’élaboration de notre projet, nous
utiliserons le système préventif ou de protection pour prévenir ; nous allons
considérer un trafic moyen de : T2 300-1000 Véhicules par jour.
- Méthode STEEL
- Méthode CBR (califormiabearing ration)
- Méthode de Rood, Research loboratory (laboratoire de recherche
routière)
- Méthode de CEBT (centre d’étude de bâtiment et travaux public).
- Méthode dérivée de AASHO
- Méthode de sonnes en Angleterre
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Cet essai a été développé en 1929 par les ingénieurs T.E Stanton et O.J.
Porter du département des routes de Californie. Il permet la classification d’un
sol pour être utilisé comme sous-fondation et fondation dans la construction de
routes. Pendant la deuxième guerre mondiale, le corps des ingénieurs des États-
Unis l'ont également adopté pour la construction des aéroports.
100+150 √ P
e=
CBR+5 (1)
Où : e = Epaisseur de la chaussée en cm ;
Après les travaux du TRRL (Transport and Road Research Laboratory) qui ont
abouti à des abaques, la formule a été améliorée pour tenir compte du trafic réel.
e=100+150 √ P ¿¿ ¿
Avec : N : Nombre moyen journalier de véhicule de plus de 1500kg à vide qui
circulent sur la chaussée.
𝐶𝐵𝑅=4250𝑊𝑙𝑥𝐼𝑝
Où : Wl = limite de liquidité ;
Ip = indice de plasticité.
3) Formule de Peltier
T
e= √ √
100+150 P
CBR +5
10
T°
T T
3
T √
10
T°
3
T √
10
T°
1 ×10 0 ,63 50 ×10 0,93
3 3
5 ×10 0,75 100 ×10 1,00
3
10 ×10 0 ,79 200 ×103 1,07
20 ×103 0,85 500 ×103 1 ,18
4) Formule de COQUAND
5) Méthode du C.E.B.T.P
CBR Trafic cumulés des poids lourds correspondant à la durée choisie (poids lourds ¿
Compris 13 tonnes)
102 à 5.105 5.105 à 1,5.106 1,5.106 à 106 4.106 à 109
e entre
T1 T2 T3 T4
58
S3 10¿ CBR ¿ 15
S4 15¿ CBR¿ 30
S5 CBR ¿ 30
III.5.2 LE TRAFIC
T4 3000-6000 véhicules/Jours
T5 6000-12000véhicules/Jours