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PRÉPARATION POUR L’EXAMEN FINAL


BIOLOGIE DES CELLULES EUCARYOTES

1) Lysosomes et autres
 Fonctions de phagosomes, auto-phagosomes et autres p.4
 Phagosomes : s’occupe des grosses particules insolubles (ex : bactérie), le processus de phagocytose
se comporte comme une invagination de la paroi cellulaire dans le bus de *manger* la particule
 Autophagosomes : s’occupe des composants porpres à la cellules (ex :dégradation d’une
mitochondrie), il est formé par un repliement du reticulum endoplasmique
 Absorption des grosses molécules solubles par endocytose.
 pH acide?
 Le pH optimal des enzymes de dégradation est de 5, cette valeur de pH est maintenue dans le
lysosome secondaire. Ainsi s’il advenait que ces enzymes se retrouvent dans le cytoplasme, elle ne
causerait pas trop dégat puisqu’elle ne serait pas dans son pH optimal (pH = 7)
 Évolution du lysosome
 Dans cet ordre : Endocytose, endosome précoce, endosome tardif, lysosome primaire et
lysosomaire secondaire.
 Adressage de protéines aux lysosomep.6-7
 Les enzymes lysosomiales portent un sucre particulier : mannose 6-phosphate (M6P). Ce sucre est
ajouté dans l’appareil de golgi et permet l’adressage des protéines vers les endosomes.
 Fonctions du Peroxysome p.13
 Ils sont présents dans toutes les cellules animales (sauf globules rouges) et la pluspart des végétales.
Abritent des oxydases qui oxydent les molécules organique avec formation de H2O2 (peroxyde).
Particulièrement présent dans le foie.

2) Les tissus
 Principaux tissus de base p.36
 Tissus conjonction (de soutien)
I Tissu à base de collagène
II Tissu adipeux
III Tissu osseux
 Tissu musculaire
I Fibres musculaires lisses
II Fibres musculaires striées squelettique
III Firbres musculaires striés cardiaques
 Tissu nerveux
 Tissu épithéliales (peau)
 Types de cellules épithéliales p.37
 Simple ou stratifié (mono ou multicouche)
 Squameux (plat), cuboide (en forme de cube), prismatique (allongé, cylindrique)
 Fonction des tissus de soutient p.38
 Barrière, revetement : protection physique plus ou moins étanche assuré par des attachement entre
les cellules et avec la matrice inter-cellulaire.
 Transport actif ou passif par absorption
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 Glandes sécrétrices : sécrétion d’eau, d’enzymes, hormones, mucus, lipoprotéines, acide etc.
 Transport de particule : poussière, spermatozoide, ovule etc
 RAPPEL : il faudra être capable d’identifier une photo d’un tissu

3) Cellules souches embryonnaires


 Masse de cellule interne et blastocyste
 À l’intérieur du blastocyste (une boule creuse de cellules embryonnaires) se créée progressivement
la MCI (masse de cellule interne)
 Potentialité
 Totipotence > pluripotence >multipotente > unipotence :
I Totipotente peut donner un individu complet
II Pluripotente peut se spécialiser en n’importe quelle cellule d’un individu
III Multipotente peut se spécialiser en plusieurs types de cellules mais pas tous
IV Unipotente : une cellule en attente de spécialisation (fabrication des gamètes ou cellules de
peau)
 L’autonomie cellulaire varie de facon similaire a la potentialité et de façon inverse à la spécialisation.

4) OGM et transgenèse

a) Définition
 Définition d’un OGM : un organisme, à l'exception des êtres humains, dont le matériel
génétique a été modifié d'une manière qui ne s'effectue pas naturellement par
multiplication et/ou par recombinaison naturelle.
 Tranfert horizontal de gène : mais très exceptionnel chez les eucaryotes, en particulier
chez les animaux et les plantes vertes terrestres.
 Injection pronucléaire : d’injection de transgène dans l’un des deux pronoyaux d’un
oeuf nouvellement fécondé
 Culture cellules souches embryonnaires : obligatoirement sur des lits de fibroblastes
nourriciers
 Injection de cellules embryonnaires : mélanger des cellules embryonnaires souches
provenant de deux sources pour produire des animaux chimériques

b) L’arrivée des OGM


 1966 : on observe que la méthode d’irradiation UV peut se substituer à l’énucléation
pour inactiver le génome de l’œuf nouvellement fécondé.
 1972 (clonage d’un gène) : multiplication à volonté dans une cellule bactérienne à
division rapide qui est « génétiquement modifiée »
 1974 : création de la première souris chimérique (cellules de deux embryons de souches
différentes ont été combinées)
 1978 : Le gène humain de l’insuline est introduit dans la bactérie Escherichia coli afin
que cette dernière produise l’insuline humaine
 1980 : Pragmatiques, les chercheurs ont l’idée de coupler le gène d’intérêt à un gène de
résistance à un antibiotique. Ainsi, les cellules ayant incorporé le transgène sont
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sélectionnées (purifiées) en culture en présence de l’antibiotique alors que les cellules


non transfectées meurent.
 1983 : Première vente autorisée au Canada d’un produit issu du génie génétique : le
gouvernement fédéral autorise laproduction commerciale d’insuline à partir de l’E. coli
transgénique1986 : transfert de gène à l'aide de cellules souches embryonnaires. Cette
méthode suppose l'insertion préalable de la séquence choisie d'ADN par recombinaison
homologue dans une culture in vitro de cellules souches embryonnaires ES (embryonic
stem cells) une séquence conférant la résistance à l’antibiotique néomycine est incluse
dans le transgène ce qui autorise la sélection en culture des cellules transformées. Elles
sont alors injectées dans un embryon au stade blastocyste pour donner un animal
chimérique, puis un mutant homozygote par croisement. (Méthode knock-out)
 1997 (Dolly) : clone réalisé par transfert nucléaire en utilisant une cellule «adulte» de
glande mammaire
 1998 : lignées de cellules souches embryonnaires humaines : isolement à partir de
blastocystes humains. Leur survie requiert la présence de fibroblastes nourriciers.
 2002 : On nomme moléculture ou agriculture moléculaire cette utilisation d’organismes
vivants génétiquement modifiés pour la fabrication de produits industriels
 2007 : En novembre, les équipes de Yamanaka et de Thomson produisent des lignées de
cellules souches humaines à partir de cellules de peau.

C) Méthodologie
 Introduction d’un plasmide modifié :
I un agent chimique chargé positivement qui catalyse la fusion du plasmide avec la
membrane plasmique
II électroporation, un procédé électrique qui crée de minuscules pores dans la
membrane plasmique
III un vecteur biologique : Agrobacterium, un adénovirus ou un rétrovirus «désarmé»
IV procédé mécanique de projection de microbilles de tungstène ou d’or portant
leplasmide
V micro-injection, une introduction directe à l’aide d’une aiguille fine qui injecte dans
le pronoyau mâle une solution de 200-300 copies du transgène

D) Moléculture animale
 La pertinence de développer des animaux bioréacteurs s’explique par la capacité limitée
des bactéries à synthétiser des protéines complexes et à effectuer les modifications
post-traductionnelles qui rendent ces protéines efficaces.
 le long intervalle entre la naissance de l’animal et la première lactation, les interruptions
naturelles dans le cycle de lactation et les investissements nécessaires pour produire
l’animal transgénique demeurent un frein à la commercialisation
 La possibilité de fuite des composés transgéniques dans l’environnement est considérée
comme un facteur de risque associé à la moléculture animale.

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