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Mr BOKO

I. DEFINITION DES NOTIONS DE BASE


1.1. Agrométéolorogique –agroclimatologie

L’agro météorologie est l’ensemble des moyens techniques et scientifiques permettant a l’exploitant
par l’exploitation des données a la fois agronomiques et météorologique de fournir a l’exploitant
agricole des éléments utiles pour une meilleur gestion de son exploitation. Sa mise en œuvre
nécessite une bonne connaissance des besoins du monde agricole de la par du météorogiste, la prise
de conscience par le monde agricole de l’impacte des facteurs climatique sur la production, et
l’utilisation rationnelle de la connaissance des facteurs climatique lors de la prise de décision a coute
terme ou a long terme (stratégie).

En faite la météorologie a suivi l’agriculture dans son évolution.

En effet, depuis que les hommes ont commencés à cultiver le sol ils ont toujours observé le temps.

L’introduction de nouvelles variétés de culture ainsi que l’utilisation des facteurs climatique plus
favorable pour augmenter les rendements était principalement basé sur l’observation et
l’enregistrement des données météorologiques. Cependant il set avéré que ses données
météorologies avaient une application limitée et ne suffisaient plus à satisfaire les besoins croissants
de l’agriculture.

Face à ces difficultés une nouvelle discipline combinant les observations météorologique d’une part
et agricole d’autre part verra le jour : l’agroclimatologie qui permet d’appréhender de façon
objective et réaliste l’impacte des éléments du temps sur l’agriculture. C’est donc pour compléter
leur observation que les météorologistes on commencer à observer les plantes les animaux
domestiques l’apparition des parasites et des maladies.
1.2. Définition des notions agro climatologiques

a. climat

Le climat est l’ensemble des phénomènes météorologique qui caractérise l’état moyen du temps de
l’atmosphère et son évolution en un lieu donné.

b. climatologie

C’est la science qui décris le climat et qui l’explique

c. météorologie

C’est l’étude des phénomènes atmosphériques et leur loi en vue de la prévision du temps elle
comprend l’étude du temps et du climat

d. temps

Le temps en météorologie est l’état moyen de l’atmosphère en un point donné en une coute durée

NB : la différence majeure entre la climatologie et la météorologie réside dans le faite que la


climatologie précise le temps qu’il fait alors que la météorologie décrit le temps présent et avenir. La
climatologie en décrivant le temps se base sur des données moyennes alors que la météorologie en
décrivant le temps qu’il fait qu’il ferra se base sur des données instantanées

e. bioclimatologie

La bioclimatologie est l’étude de l’influence des facteurs climatiques sur le développement des
organismes vivants et vis versa.

f. Microclimat

Le microclimat est l’ensemble des conditions atmosphériques particulières à un espace homogène de


faible étendu à la surface du sol. Il s’observe à l’échelle de la parcelle.

g. Agro climatologie

L’agroclimatologie est la science qui traite des relations entre les régimes climatiques et la
production agricole avec l’agrométérologie et l’agroclimatologie, on voie se décimer deux domaines
complémentaires d’investigation :

- D’une part une agrométérologie dont l’objectif est l’exploitation des donnés en temps réelle
en vue d’aboutie a travers des analyses plus ou moins complexes a des informations directes
sur l’état des lieux et la végétation qui doit permettre d’optimiser les décisions. Il est donc
une source d’information varié valable a coute terme et fore utile des activités conduites
d’une exploitation ;
- D’autre part une agroclimatologie qui par opposition aux temps réelles se fondre sur une
analyse des fichiers des données climatique existant. ce type d’étude probabiliste permet de
mieux apprécier les potentialités de production du milieu face a une culture ou a un système
de culture donnée ; il conduit aussi a ré estimer a chaque instant les probabilités l’évolution
des conditions qui risque d’intervenir sur cette production jusqu'à la récolte.

En somme l’agro météorologique propose un ensemble de méthode aboutissant à une bonne


description de l’état d’une culture à un état donné : on parle d’analyse « diagnostic ». Cette
connaissance doit être prolongé si possible par les études sur l’évolution proche ou futur on parle
d’analyse « pronostique » a partit de prévision météorologie en se qui concerne les décisions a coute
terme et a partie d’une solide agroclimatologie en se qui concerne la connaissance probables des
situations a longue termes.

C’est deux aspects de la météorologie agricole est de gérer les informations du climat et d’en prévoir
les conséquences et finalement de maitriser les interventions techniques lors que les conditions
climatiques les impose dans la mesure les moyens approprier en existe

II. LE CLIMAT

Le climat est l’ensemble des états habituels et fluctuant de l’atmosphère qui dans leur succession
saisonnière caractérise une région ou un site. Le climat est une notion globale établir sur l’étude des
valeurs moyens des facteurs climatiques et leur évolution saisonnière.

2.1. Déterminisme du temps en A.O

Pour comprendre et expliquer le climat de la cote d’ivoire il est indispensable de se placer à l’échelle
de l’Afrique occidentale et étudier le système synoptique de la succession des types de temps qui
affectent cette vaste région. Le mécanisme de défilement et d’agencement des saisons au cours de
l’année sur l’Afrique occidentale est commandé dans les vastes couches de l’atmosphère par une
circulation des masses d’aires au tour des centres d’actions suivant

a. Alizé boréal

Les hautes pressions de l’Atlantique Nord ou anticyclone des Açores accès sensiblement sur le
parallèle 30e Nord ;

Entre les hautes pressions Atlantiques et les hautes pressions Austral du golf de Guinée subsiste une
zone de basse pression relative séparent les deux anticyclones.

L’aire continentale originaire des zones saharienne chaudes très sèches connues sous le nom de
harmattan ou Alizé boréal souffle du secteur Nord-est.

b. Alizé Austral

Les hautes pressions australs ou anticyclone de Sainte-Hélène du golf de guinée axé sur le parallèle
30e sud souffle vers la zone de basse pression séparent les deux anticyclones.
C’est l’aire océanique des régions équatoriales chargé d’humidité du secteur Sud-ouest appelé
généralement la mousson ou Alizé Austral dévié lors de son passage de l’hémisphère Sud vers
l’hémisphère Nord la mousson souffle en générale seulement dans une couche de 1500 a 3000 mètre
d’épaisseur

c. Front intertropical (FIT)

Le lieu de convergente de ces deux flux d’aire est nommé dans la zone de convergence constituée
d’une zone Australe affiné front intertropical (FIT)

La tracé au sol du FIT qui se déplace au cours de l’année en suivant approximativement le long des
parallèles. Le temps sur l’Afrique occidental en général sur la cote d’ivoire en particulier sera régi par
le déplacement vers le Nord ou vers le Sud du système solaire ainsi constitué par les anticyclones des
Açores anticyclone de Sainte-Hélène et le front intertropical.

Dans la pratique se temps sera fonction des différentes positions occupées par le FIT. Ainsi les
régions situés au nord des FIT ou souffle Alizé boréale sont en saison sèche et celle situé au sud du
FIT qui sont envahi par la mousson sont en saison pluvieuse.

2.2. facteurs déterminant du climat de la cote d’ivoire

Par sa position géographique en bordure du golf de guinée et par son étalement en latitude entre le
4e et le 11e parallèle Nord, la cote d’ivoire présente un régime climatique non uniforme qui va du
climat équatorial au climat tropical pré désertique. Les facteurs déterminants les climats de la cote
d’ivoire sont :

- Le FIT
- Le Jet d’Est africain (JEA)
- Le relief

a. Le front inter tropical (FIT)

A l’image de l’ensemble de l’Afrique occidental, la cote d’ivoire est soumise a l’influence de la


variation de la position en latitude du FIT.

En CI la zone littorale sera généralement au sud du FIT qui balaiera périodiquement les autres
régions. Ainsi la mousson pénétrera plus ou moins en latitude et en altitude sur le territoire de la CI
cette mousson contient d’énorme quantité de vapeur d’eau qui se condense et donne des pluies
abondamment. Ce mécanisme détermine entièrement le régime saisonnier lui même caractérisé par
le régime pluviométrique.

b. Le jet d’est africain (JEA)

Un facteur lié a la circulation générale va intervenir pour modifier la repartions et l’intensité des
précipitations. Il s’agir d’un courant d’Est qui circule sur l’ensemble de l’Afrique occidentale dans les
couches moyenne de l’atmosphère (approximativement entre 800 et 500 millibars), ce courant d’Est
présente un noyau de vent fore désigné sur le nom de Jet d’Est Africain (JEA). Associé à des
contrasses thermiques important entre le continent et l’océan le JEA est une signature de condition
de surface continentale. Son axe se développe et se déplaces-en suivant les valeurs maximales de
l’énergie statique humide. L’importance du JEA est évidant dans la mesure ou les masses nuageuses
a fore développements verticale se forme dans les couches moyenne africaine de l’atmosphère ou
souffle justement le JEA.

D’ailleurs il a été établir une relation incontestable entre le JEA et la quantité des précipitations :

Tout renforcement du JEA traduit une subsidence accru et a un effet négatif sur les précipitations.

Au contraire tout affaissement entraine une augmentation de l’épaisseur de la mousson et favorise


une activité pluvio-orageuse plus intense.

c. Le relief

Un autre facteur ayant une influence directe sur la répartition et la quantité des précipitations est le
relief principalement par « effet foehn ». C’est ainsi que le massif montagneux de l’Ouest de la CI va
s’opposer a la pénétration normal du flux de la mousson sur le continent.

Il aura accumulation des masses nuageuses sur des régions aux vents et soulèvement des masses
d’aire sur les régions montagneuses par conséquent il aura une forte précipitation. Par contre les
régions situées sous le vent de la chaine montagneuse seront nettement moins arrosées c’est le cas
des régions s’étendant au nord du massif montagneux et correspondent approximativement au pays
malinké.

2.3. les zones climatiques de la cote d’ivoire

Le climat de la CI tout en subissant l’influence du relief est essentiellement déterminé par le


mécanisme de migration du FIT. L’examen du régime pluviométrique ivoirien permet de distinguer 3
grandes zones climatiques :

a. La zone climatique Sud

La zone climatique Sud est caractérisée par 4 saisons distinctes :

- La grande saison des pluies


- La petite saison sèche
- La petite saison des pluies
- La grande saison sèche

b. La zone climatique Centre ou zone de transition

Elle est également caractérisée par 4 saisons :

- La grande saison sèche


- La grande saison des pluies
- L’inter saison pluvieuse
- La petite saison des pluies

c. La zone climatique Nord

Elle est caractérisée par 2 saisons distinctes :

- La grande saison sèche


- La grande saison des pluies

2.4. Mésoclimat- microclimat et phytoclimat

L’acquisition et l’utilisation agricole des données climatique doivent se faire à une échelle d’espace
beaucoup plus détaillée. On définir ainsi des mesures météorologiques relatives à une petite région
50 a 100 Km environ qui serviront à caractériser le Mésoclimat de la région. Se sont des mesures
provenant des postes météorologiques des services nationaux comme la SODEXAM en CI ; par contre
pour l’agriculteur gestionnaire de ces parcelles c’est le climat a l’échelle du champ 100 a 1000 mètre
de coté dit microclimat qui sera plus pertinent. Souvent pour les interventions précisent on verra
même que se sont les caractéristiques propre a l’agriculture ou phytoclimat (température des
organes, du sol) qui déterminent réellement le niveau des fonctions de production. Il sera donc
intéressent de savoir faire le passage des valeurs météorologiques local a celle des cultures afin de
mieux cerner l’impacte réelle de ces facteurs climatiques.

L’organisation météorologique mondiale définir le climat comme :

Un ensemble d’élément météorologique pris sur une période donnée qui concoure à donner
caractère et individualité météorologique a un domaine spatial déterminant.

Le climat sera donc caractérisé par différent critère statistique des paramètres météorologique. C’est
paramètres sont appelés élément du climat.

III. FACTEURS ET ELEMENTS DU CLIMAT

Les éléments du climat : des paramètres physiques et des observations visuelles qui caractérisent le
climat. Ils résident soit de la lecture ou de l’enregistrement d’un appareil de mesure (thermomètre
pluviomètre) soit dès leurs observations visuelles codifiées directement par l’observateur (la
détermination de la couverture nuageuse ou de la morphologie du type de nuage)

D’autre éléments interviennent dans la caractérisation mais ne font pas l’objet de relevé
systématique dans la station météorologique.

- Champs électrique de l’atmosphère


- Sa composition chimique de l’air
- Radioactivité de l’air sa teneur en micro-organisme

Les facteurs de climat : se sont les facteurs qui agissent sur la variabilité des éléments du climat
On distingue :

- Les facteurs astronomiques qui font intervenir la rotation de la terre sur elle même et autour
du soleil entrainent une variation de la quantité d’énergie solaire reçu au niveau de la surface
terrestre au cours d’une journée ou d’une année ;
- Les facteurs météorologiques ils tiennent compte de la circulation générale, de l’effet des
masse d’aire, etc.… ;
- Les facteurs géographiques qui regroupent l’effet d’altitude de la position para port a la mer,
etc. ;
- Les facteurs anthropogéniques parmi les quelles le rejet des gazes carboniques dans
l’atmosphère tient un rôle important !.

3.1. Facteur du climat

Les phénomènes qui intéressent le temps donc les climats d’une manière directe siège dans les
10premiers km dans l’atmosphère a partie du niveau du sol. L’ensemble des phénomènes qui
influence le climat directement ou indirectement se manifeste dans les 40 premier km.

A cause de l’effet de la pesanteur, 50% du poids de l’atmosphère se trouve dans les 5 premiers km
qui englobent 90% de la vapeur d’eau existante dans l’atmosphère. Ainsi les facteurs du climat sont
essentiellement la composition de l’aire la rotation de la terre.

3.1.1. L’air sec

Elle est composée essentiellement d’azote 78% et d’oxygène 21%. Les 1% restant comporte d’autres
gaz tel que :

- Ergon
- Anhydride carbonique
- Néon
- Hélium, kypton
- Hydrogène, xénon
- ozone et le randon

La composition de l’air sec est pratiquement constante en termes de proportion d’une altitude de 80
km. Cependant on notre que :

- La teneur de l’aire en gaz carbonique est très variable elle dépend de l’activité industrielle
dans les basses couches ;
- La proportion d’ozone au voisinage de la mer est très faible elle devient plus importante en
altitude dans la couche d’ozone qui se tend en moyenne entre 15 et 40 km
3.1.2. la vapeur d’eau

Le pourcentage de la vapeur d’eau dans l’air est très variable dans le temps et dans l’espace. Il
dépend de plusieurs condition mais le volume occupé par la vapeur d’eau ne dépasse pas 4 a 5%. On
notre par ailleurs que l’eau existe dans l’air sous ces autre forme :

Etat solide et liquide, constituant ainsi les diverses types de nuages.

3.1.3. les impuretés (pollution atmosphérique)

Les impuretés dans l’air sont de 2 sortes :

- Les aérosols : les causes sont soit naturelles (vent de sable, poussière volcanique, pollen,
etc.) soit du aux activités humaines (fumée d’usine etc.)
- Les gaz polluent (anhydride sulfuré hydrocarbure chloro-fluoro-carbone etc.).

3.2.1. L’altitude

La radiation solaire est la première source d’énergie

L’énergie solaire reçue sur un point de la terre change en fonction de l’espace et du temps à cause :

- Du mouvement de la terre au tour de son axe ;


- Et du mouvement de la terre au tour du soleil.

C’est deux mouvements engendre :

3.2.2. Une durée inégale des jours et des nuits

Le vecteur directeur de l’axe de la terre est pic et forme avec le plan écliptique (plan de l’orbite de la
terre au tour du sol de la terre et du soleil) un angle de 66°33pousses. Se qui donne :

- A l’équateur la durée de jour est égale a la durée de la nuit toute l’année.


- Dans d’autres régions la durée du jour est différente a celle de la nuit sauf aux équinoxes (21
mars 23 septembre). Cependant on notre que :
 Sur les zones tropicale il ya peu de variation entre la durée du jour et celle de la nuit ;
 Sur les zones tempérées l’inégalité entre la durée du jour et celle de la nuit augmente en
fonction de la latitude
 Sur les zone ainsi les diverses types des nuages les zones glaciale (arctique : pole nord et
antarctique pole sud on parle de jour polaire et de pole polaire qui dure au moins 6 mois
chacun

b.2. une incidence variable des rayons solaires

Soit « i » l’angle d’incidence et « w » la quantité d’énergie reçue sur un sol horizontal

 « W » est proportionnel au cos de « i »


 La masse de l’atmosphère traversée est proportionnelle à la masse i
 A midi on a l’équateur i = 0° au équinoxe et au cours de l’année I est inférieure à 23°27
pousse
 Au pole nord i est égalent à 90° aux équinoxes l’énergie reçu w est nul
 Pendant l’été il descend à 66°33pousse
 Pendant l’hiver w est inferieur à 0

Soleil zenith

Sol

b.3. une distance terre soleil variable

À cause de la fente elliptique de l’orbite de la terre on notre que :

 La terre reçoit 7% moins d’énergie en juillet que en janvier ;


 La durée de l’hiver boréal (l’été austral) dépasse de 7,5 jours celle de l’été boréale c’est a
dire (l’hiver austral)
d. Bilan générale de la radiation solaire

C’est l’énergie transmise par réellement solaire au globe terrestre et a son atmosphère. On
distingue :

c.1. le bilan radiatif globale qui est nul

Se qui explique que le système terre atmosphère est en équilibre énergétique et donc le climat
globale de la terre est stable vis-à-vis des échanges énergétique entre le système terrer atmosphère
et son extérieur.

S + R + T = 0 avec S = rayonnement solaire incident reçu sur la surface sommé de l’atmosphère

S = 175 milliard de mégawat 343 W/m2

R c’est le rayonnement solaire réfléchi diffusé vers l’espace

R = - 53 milliard de mégawat qui est égale a 30% de S

T c’est le rayonnement infrarouge terrestre (rayonnement propre au globe terrestre)


T = - 122 milliard mégawatt soit 70% de S

REMARQUES

 Le bilan radioactif a un instant donné a un point donné du globe n’est pas nul. En effet S
dépend de l’angle d’incidence des rayons solaire i qui vari en fonction de la latitude la saison
et l’heur du jour.

I peut être calculé mathématiquement. R dépend de la couverture végétale de la composition de


l’atmosphère et de la réflectivité du sol mesuré par l’albédo.

T dépend de la matière.

 En moyenne le bilan radioactif est positif aux basses latitudes (40° nord et négatif près des
pôles)

c.2. radiation solaire totale

la radiation solaire totale est repartir en :

- Radiation solaire absorbé par la terre : cette radiation est formée d’une partie de
rayonnement solaire directe (34%) et d’une parte du rayonnement diffusé par l’atmosphère
- Radication solaire absorbé par l’atmosphère (14%) de S
- Radication solaire diffusé vers l’espace (35% de S dont 27% vue du aux nuages, 6% du aux
rayonnements diffusé par l’atmosphère et vers l’espace et 2% du a l’albédo)

35%

14% S

51% S
2% 23% 6% S = 100

14%

17% 34%

Sol

c.3.

le rayonnement global qui intéresse le sol est la somme du rayonnement solaire directe et le
rayonnement diffusé par l’atmosphère.

NB : le rayonnement global n’est pas entièrement absorbé par le sol mais partiellement réfléchi et
diffusé

c.4. l’albédo

L’albédo est le rapport exprimé en % entre les flux d’énergie non absorbé par le sol et le flux
d’énergie incident.

L’albédo dépend en 1er lieu du caractéristique de la surface du sol et du rayonnement (intensité du


rayonnement et l’angle d’intensité du rayonnement)

il est de l’ordre de 80 à 90% de la mer fraiche 13 a 18% pour le sable et de 7 a 9% pour les sols
cultivés et végétation.

d. nature de la surface du sol et son revêtement

Comme facteur climatique la surface du sol se caractérise par :

Son albédo

Sa capacité calorifique ;

Sa couleur ;

Son revêtement végétal ;


son exposition ;

son orientation

sa forme

ces éléménts interviennent dans les échanges d’énergie calorifique et de l’humidité entre
l’atmosphère et la terre.

il a noter que :

 Le sol présente une faible conductivité thermique : seul la couche superficielle qui se chauffe
Pui sède sa chaleur a l’atmosphère par (contacte par conductivité et par rayonnement) ;
 La température au voisinage du sol est commandée essentiellement par les échanges
d’énergie entre le sol et l’atmosphère
 La végétation qui recouvre le sol réduis l’échauffement (le jour) ainsi que le refroidissement
du sol (la nuit) se qui donne une amplitude diurne de température moins importante pour un
sol couvert que pour un sol nu.
 La température des mers s’élèvent et s’abaissent plus lentement que celle du sol, se qui
donne naissance aux phénomènes de brise de mer et brise de terre et fait que les mer jouent
un rôle de régulateur de climat pour les zone voisine (bsage de l’air entre la mer et la terre),
mais aussi a l’échelle globale on rappel que la surface du globe est composé de (71% de mer
et 29% de terre) cette répartition devient respectivement 60% et 40% de l’hémisphère Nord
et 82% et 18% de l’hémisphère Sud.
 L’amplitude thermique est plus faible près des mers que loin d’elle
e. Facteur évolution de l’eau dans l’atmosphère

Il est bien connu que l’eau sui un cycle de vie en passent par différente phase (état gazeux liquide
solide). La transformation de l’eau d’un état a un autre est accompagné d’un échange d’énergie
entre l’aire et l’eau d’un milieu. On site par exemple/

- Le processus d’évaporation permet a l’air de perdre sa se processus fait que les zones
tropicale serait moins chaude que s’il n’ya pas de mer
- Le processus de condensation permet à l’air de gagner de la chaleur. Il fait que les zones de
haute latitude seraient moins froides que si la vapeur d’eau ne leur arrive pas (grâce à la
circulation atmosphérique générale).
- Par analogie, les autres processus d’évolution de l’eau dans l’atmosphère permet les
échanges énergétiques entre l’eau et l’atmosphère (fusion solidification sublimation)

f. Facteur relief

A un acroissement d’altitude corespon une dimunition de prèssion et de temperature et une


modification des précipitations. Par ailleur les courants aérient sont pertubés par les relièfs a cause
dufrortement et génère des actions thermique ( effet de turbulence sur la température) et des
actions dynamique qui dépendent de la forme du relief la vitesse et la direction du courant ainsi que
la stabilité de l’air.
On note au passage le phénomène bien connu sur l’effet de foehn :

- Un mouvement ascendant provoqué par la pente entraine la condensation de la vapeur


d’eau

Air

Air

- L’augmentation de la vitesse du vent dans le cas de vallée de plus en plus étroite dans le sens
de la direction du vent.

g. Facteur de circulation général atmosphérique

Elle a pour effet :

- La modification de la répartition des masses nuageuses et les constituants de l’atmosphère


(essentiellement la vapeur d’eau) ;
- Le rétablissement de l’équilibre thermique entre les différents points de la terre grâce aux
mouvements de l’air et aux transports de l’énergie par la vapeur d’eau.

Les causes principales qui provoques et maintiennent la circulation générale atmosphériques sont :

- La rotation de la terre
- L’inégalité du bilan thermique a la surface terrestre
- Plus la distribution des mers et des continents et plus les influences géographiques.

NB : en allant vers les altitudes plus élevé la circulation devient de plus en plus régulière rapide et
zonale.

3.2. Eléments du climat


a. Rayonnement solaire et ses composants

Le rayonnement solaire est caractérisé par la durée d’insolation et l’intensité de la radiation globale.

La durée d’insolation pour un jour donné est fonction de la latitude du lieu et du jour de l’année elle
peut être réduite par le relief, la nébulosité la brume brouillard la fumée dense, etc.…
Les composantes du rayonnement sont :

a.1. rayonnement

Un rayonnement est un ensemble d’onde électromagnétique qui transporte l’énergie

a.2. radication

Une radiation est un ensemble d’onde de même longueur d’onde. On peut classer les rayonnements
de même longueur d’onde lambda :

- Rayon Gama et cosmétique : longueur d’onde inferieur a 0,05 ASTROM et 1 A°= 10-
- Rayon ultra violet (UV) : 100 A°< ¥ < 4000A°
- Rayonnement visible
- Rayonnement infrarouge
- Rayonnement radar

a.3. transport d’énergie

Tout transport d’énergie par rayonnement nécessite un émetteur, source d’énergie et un récepteur

D’autre part tout corps émet un rayonnement qui est fonction de sa température et des
caractéristiques de sa surface. Un rayonnement arrivent sur un corps pourra donc être en partie
réfléchi absorbé ou transformé.

a.4. Réflexion

La réflexion d’un rayonnement arrivant sur un corps dépend de l’incidence et de la longueur d’onde
de ce rayonnement ainsi que du corps lui même. On appel albédo le % de l’énergie incidente qui est
réfléchi directement. Ainsi la neige réfléchi presque tout le rayonnement visible (albédo = 80 a 90%),
mais se comporte presque comme un corps noir pour les infra- rouge (albédo est presque nul).

Les corps lisses et blancs réfléchissent plus que les corps rugueux et foncés

a.5. absorption

La part d’énergie qui n’est pas réfléchir peut être absorbé par le corps qui la reçoit. De même que la
réflexion l’absorption sera fonction de la longueur d’onde considérée et du corps lui-même.

a.6. transmission

Une partie du rayonnement reçu par certain corps n’est ni absorbé ni réfléchir mes transmise on dit
que le corps est transparent aux radiations qu’il transmet, et qu’il est opaques aux radications qu’il
ne transmet pas. Ainsi le verre est transparent aux rayons visibles (lumière) mais opaques aux rayons
infra rouge (chaleur) d’où son intérêt pour les sert.

a.7. émission

Les corps émettent en fonction de leur température donc selon l’énergie absorbé qui les échauffe.
Un corps n’émet que dans les longueurs d’onde qu’il peut absorber.
a.8. instruments de mesure

Pour mesurer les flux radioactif pratiqués dans les stations de recherche on utilise les solarimètres à
pile thermoélectrique ou pyranomètre qui débite un courant électrique variable selon l’intensité
reçu. Si la mesure de la radiation et du bilan d’énergie n’est pas pratiqué juste qui ci couramment en
dehors de la recherche par contre celle de la durée d’insolation ou héliophanie, l’est par toutes les
stations météorologique a l’aide de l’héliographe

b. Nébulosité

Au cours de la journée et en contacte avec une masse nuageuse le rayonnement solaire (S) est
repartir en rayonnement réfléchir (R), diffus (D) absorbé (A) et donc seul une partie de l’énergie
solaire atteint la surface du sol. Ainsi au cours de la journée un ciel nuageux permet la diminution du
réchauffement de la surface terrestre. Au cours de la nuit un ciel nuageux permet la réduction de la
perte d’énergie de la terre par rayonnement infrarouge et donc diminution du refroidissement de la
terre.

B S

A nuage
A
D nuage D

Surface du sol surface du sol

Le jour la nuit

La nébulosité s’apprécie à l’estime 3 fois par jour dans les stations météorologiques. On l’exprime en
« octas »

c. Température de l’air

La température de l’air usuel est la température d’air mesuré à l’ombre dans un abri météorologique
a un altitude dé 1,5m. Le choix de ce niveau d’altitude revient de ce faite que l’air se chauffe en
contacte directe avec le sol. Ainsi la température de l’air est maximal prés du sol elle se gradient
devient nul prés de 1,5m. Dans les 1ères couches d’air au dessus du sol la température du sol est
supérieur ffff

Remarque :
- Si la mesure de la température est faite au soleil on risque de mesurer la température du
matériel thermomètre.
- la température minimale se produit vers le levé du soleil
- La température maximale se produit 2h après le méridien ( c'est-à-dire le midi soleil).
- La température de l’air sous abri ne correspond pas étroitement aux sensations de chaleur
ou de froid par les êtres vivant (l’homme par exemple)
- Cette sensation est cette lié a la température mais aussi a l’humidité, au vent (c'est-à-dire
confort)
- Nombreuse facteur agisse sur la variation diurne de la température, on peut citer la
nébulosité l’altitude, la latitude, la saison, la nature du sol le relief avec toutes ses
caractéristiques, le degré de continentalité et l’état de l’atmosphère ;
- L’amplitude thermique annuelle augmente en fonction de la latitude

La température de l’air se mesure a l’aide du thermomètre installé

La température indiqué par un thermomètre exposé a l’air libre ne signifie rien pendant la journée
elle dépend en effet du pouvoir absorbant des lui même dépendant de sa couleur de l’épaisseur
du verre de sa forme du rayonnement des objets voisin etc.

Le thermomètre n’indique alors que sa propre température par contre la nuit la perte du chaleur des
thermomètre est sensiblement identique a celles des autres objets notamment des plantes : le
thermomètre exposé a l’air libre indique alors la température des plantes généralement inférieur a
celle de l’air, surtout si le ciel est claire et l’atmosphère calme (différence de 2 a 6°C) parfois
d’avantage

Mais pour bien différencier cette mesure on lui donne le nom d’indice actinothermique indice très
utile pour la détermination de gelé noctule de printemps on le mesure de 5 a 15 cm du sol
engazonné pour les cultures basse a 40 a 50 cm pour les arbres fruitier

 La température du sol se mesure a l’aide d’un thermomètre a onde enfoncé a diverses


profondeur (10, 50 ou même 100 cm)

d. Précipitation

Les précipitations constituent avec la température constitue les éléments les plus important qui
définissent d’un lieu donné ils ont une grande influence sur les animaux et la vie des hommes ainsi
que sur l’économie des pluies.

D’après certain auteur rien qu’avec le Cu

- Climat désertique : RR < 120 mm


- Climat aride : 120 mm < RR< 250 mm
- Climat semi-aride : 250 <RR< 500 mm
- Climat modérément humide : 500 <RR< 1000 mm
- Climat humide : 1000 mm< RR <2000 mm
- Climat excessivement humide : RR > 2000 mm

Mais les précipitations sont caractérisé non seulement par leur quantité non seulement par

Leur fréquence (1fois par ans), leur durée de chute (10min ou 24h), leur intensité (10 mm/ h ), leur
répartition dans le temps (jour successif) ou dans l’espace ( synoptique). Cet ensemble de
caractéristique influence sur l’absorption du sol, le drainage, les crues des pots d’eau, l’utilité
agricole, la sécurité humaine, etc.

1 mm = 10 m3/ha 1mm = 1L/ m2

REMARQUE

- Les quantités des précipitations augmentent en se rapprochant de la mer (a latitude égale)


- Elle augmente avec l’altitude : la carte des précipitations coïncide avec celle hypsométrique
- Au relief les versants « au vent » sont plus arrosés que les versants sous le vent (pour des
pentes asses élevé). Bien attendu pour des vents apportent de l’humidité
- La distribution des précipitations a la surface du globe est caractérisé par :
 Entre le 20° parallèle Sud et le 20° parallèle Nord forte précipitation (1000 a 3000 mm)
 Entre le 20° et la 30° latitude se sont les zones sèche (<200 mm)
 Entre le 30° et la 40° latitude entre 400 et 800
 Aux altitudes de > 70° faible précipitation 400 < 2000 mm

Les précipitations (pluies) sont recueille et mesuré par les pluviographes ou pluviomètre disposé en
un endroit très dégagé les obstacles brise vent modifient leur répartition. Les hauteurs de pluies sont
exprimé en mm et 1mm correspond a 10m3/ha. La hauteur de neige tombée est transformée en
hauteur d’eau précipité en la divisent par 10

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