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QCM Rhumatologie

Prof: T.Harzi

Patientde 25 ans ,présente depuis environ deux ans des lombalgies et fessalgies tantôt à droite
tantôt à gauche , associées à des talalgies bilatérales au premier pas du matin et qui disparaissent
après un certain moment de marche. Cette symptomatologie réveille le patient 3 à 4 fois à partir de 4
heures du matin et occasionne une raideur matinale avec un temps de dérouillage de plus de deux
heures.

A l’examen clinique :indice de shober à 10+ 2 cm et amplification thoracique à 6 cm .

1- En faveur du diagnostic positif clinique d’une spondyloarthrite :


A. Des lombalgies mécaniques
B. Une raideur du rachis lombaire
C. Des talalgies inflammatoires
D. Une raideur du rachis dorsal
E. L’existence de fessalgies inflammatoires à bascule
2- Une radiographie du bassin à objective une sacroliliite bilatérale avec condensation des
berges sacro-iliaques.
A. La sacroliliite est classée au stade 2 selon la classification de Forestier
B. La sacroliliite est classée au stade 3 selon la classification de Forestier
C. Il faudrait compléter par une IRM des sacroiliaques
D. Il faudrait compléter par le type HLA B27
3- Parmi les atteintes extra-articulaires à rechercher :
A. Une atteinte respiratoire
B. Une uvéite
C. Une atteinte hépatique
D. Une atteinte cardiaque
E. Une ostéoporose
4- Le traitement de première intention comporte :
A. La prédnisone
B. Les anti-TNF alpha
C. La rééducation
D. Un anti-inflammatoire non stéroïdien
5- Parmi les étiologie des spondyloarthrites :
A. Les arthrites réactionnelle
B. La rectocolite hémorragique
C. Le rhumatisme psoriasis
D. La maladie coeliaque
1- En faveur du diagnostic positif des spondyloarthrites :
A. L’existence d’une diarrhée aiguë deux mois avant l’installation de l’arthrite
B. L’amélioration spectaculaire des douleurs sous corticoïdes
C. Un HLA positif obligatoire
D. L’existence d’un Romanusmagnétique à l’IRM du rachis
2- La classification radiologique des spondyloarthrites
A. Est appelée classification de Lesquene
B. Fait partie des critères d’Amor
C. Le stade 2 correspond à une irrégularité des berges
D. Le stade 4 correspond à une condensation des berges
E. Le stade 1 correspond à un élargissement et flou articulaires
3- En faveur du diagnostic positif des spondyloarthrites :
A. L’existence d’une dorsalgie inflammatoire
B. Un antécédent d uvéite
C. L’existence d’un diarrhée aiguë deux mois avant l’installation de l’arthrite
D. L’existence d’une oligoarthrite asymétrique des membres inférieurs

La lésion radiologique précoce et ayant une valeur diagnostic au cours de la polyarthrite rhumatoïde
est (une seule réponse est juste ) :

A. Érosion de la première métatarso-phalangienne


B. Pincement de la deuxième interphalangienne distale
C. Érosion de la cinquième métatarso-phalangienne
D. Érosion de la cinquième interphalangienne proximal

Au cours de la polyarthrite rhumatoïde, deux atteintes ont une importance pronostiques


considérables :

A. La radio-carpienne
B. La coxo-femorale
C. L’huméruo-ulnaire
D. Le rachis cervicale
Le facteur rhumatoïde :

A. Est spécifique de la PR
B. Est positif dès les premières semaines d’évolution de la PR
C. Sa présence est obligatoire pour le diagnostic positif
D. Ne fait pas partie des critères ACR/EULER
E. Aucune proposition n’est juste

Parmi les étiologies d’une monoarthrite aiguë on retrouve :

A. L’arthrite goûteuse
B. L’hemarthrose
C. La poussée congestive d’arthrose
D. L’arthrite gnocchi que
E. L’algodystrophie

Les caractéristiques d’un liquide articulaire inflammatoire :

A. Cellularité>2000 éléments /Mme


B. L’existence d’un signe du fil
C. PNN <50%
D. Lymphocytes >20%
E. Aspect fluide

L’enthésite :

A. Est souvent observé au cours de la polyarthrite rhumatoïde


B. Peut évoluer vers des appositions périsse
C. Peut être à l’origine de ta l’algue postero-inferieures
D. Peut évoluer vers une ossification

Les différents tableaux d’une goutte chronique sont :

A. Les arthropathies urique


B. La néphropathie goûteuse
C. Les hepatopathiesde surcharge
D. Les tophi

Les étiologie de la goutte secondaire sont :

A. Hepatopathiesmalignes
B. Prise de diurétiques
C. Prise d’antibacillaires
D. Insuffisance rénale chronique
E. Psoriasis cutané étendue
Les traitements d’un accès aigu de goutte sont :

A. L’allopurinol
B. Le diclofénac
C. La colchicine
D. L’uricase
E. Les salicylés à faibles doses

Les caractéristiques d’un liquide articulaire au cours d’une crise aiguë de goutte :

A. Cellularité>2000 éléments /mm3


B. L’existence d’un en signe du fil
C. PNN <50%
D. Lymphocytes >20%
E. Aspect fluide

Quels sont les signes radiologiques cardinaux de l’arthrose :

A. Pincement de l’interligne articulaire


B. Geodes sous chondrales
C. Érosions osseuses
D. Syndesmophytes

Quelles sont les localisations les plus fréquentes de l’arthrose :

A. La metatarsophalangienne du gros orteil


B. La gleno-humerale
C. La trapezo-tibiale
D. La femoro-tibial
E. La coxo-femorale

La Coxarthrose secondaire :

A. Est souvent tardive avec une évolution lente


B. Peut être secondaire à une ostéonecrose aseptique de la tête fémorale
C. Peut être secondaire à une dysplasie de hanche
D. Peut être secondaire à une coxite infectieuse

Parmi les moyens thérapeutiques habituels de la gonarthrose :

A. La réduction pondérale
B. La viscosupplémentation
C. La corticotherapie générale
D. La rééducation

Fin  :D

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