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Introduction

Depuis le 18e S , le libéralisme économique empreigne (pénétré) toute la doctrine


économique des états démocratique en général et particulièrement européens, car la liberté
du commerce qui a pour corolaire de la concurrence est en vue comme un bien
Le postulat qui anime ou commande cette théorie est en se commerçant. Les entreprises
devraient fournir le meilleur au meilleur prix et ce dans l’optique final de répondre aux
aspirations et exigences des consommateurs.
La liberté de la concurrence est donc indéniablement bénéfique pour l’économie générale.
Elle est l’instrument d’une politique inflationniste, elle est favorable aux consommateurs
plus qu’elle conduit aux prix les plus bas (souvent le cas quand il y’a surproduction, ce qui
provoque une mévente), elle stimule les e/ses car la concurrence car les obligent au
dynamisme.
Toutefois, la concurrence présente des inconvénients car elle porte en elle-même les germes
de sa propre destruction. En effet, la concurrence tue la concurrence en raison du fait que le
plus compétitif l’emporte sur ses adversaires, il s’en suit que le plus compétitif dicte sa loi à
ses concurrents et aux consommateurs. En outre bien au-delà de ses mérites tant vanté, la
concurrence exige des accroissements de productivité avec pour conséquence des
suppressions d’emplois. Au regard de ce tour d’horizon, la concurrence, phénomène propre
aux principes de l’économie libérale suscite tant d’admiration autant quelle suscite des
inquiétudes et inspire la crainte quant à ses effets pervers ce sont là, à cet égard autant de
motif qui légitime la construction d’un droit dit de la concurrence, dans un esprit
d’encadrement des rapports entre concurrents et dans un climat d’antagonisme sain. Cette
ambition noble est nettement affichée par la définition du droit de la concurrence qui rend
bien compte de la poursuite de cet objectif. A cet effet, le droit de la concurrence s’entend
ou se définie dans sa première acception est ensemble de règles qui permettent de réprimer
ceux qui de différentes manières entravent le libre jeu de la concurrence notamment en
constituant des ententes ou en exploitant une position dominante.
Bien plus dans un sens plus large, il désigne des règles juridiques gouvernants des rivalités
entre agents économiques dans la recherche de la satisfaction et de la conservation de la
clientèle, en ce sens la concurrence doit être non seulement libre mais aussi et surtout
loyale, c’est ainsi que sur l’ongle de la loyauté et de la transparence se doit tend à partager
certains objectifs avec le droit de la consommation.
En somme, le droit de la concurrence se rapporte à l’ensemble des règles de la concurrence
c-à-d celles qui ont pour objet le maintient de la libre concurrence entre entreprise sur le
marché.
Ces dispositions visent en fin de compte à sauvegarder des structures d’entreprise et à
imposer des comportements qui sont de l’essence de l’économie du marché. Leur finalité est
l’intérêt général, elle n’assure la protection d’intérêt particulier que comme moyens de
maintient de la libre concurrence. Il est sur ces faits important de souligner que la
concurrence est « In fine » un outil indispensable et même incontournable surtout dans le
libéralisme, elle est une suite logique du principe de la liberté du commerce et de l’industrie
posé depuis 1791.
La libre concurrence est alors le régime qui laisse à chacun des acteurs économique la
possibilité de produire et de vendre ce qu’il veut, elle oblige surtout à adapter l’offre à la
demande des consommateurs ce qui permet d’assurer un rapport qualité prix optimal.
Ce dernier trait un l’un des dénominateurs communs entre le droit de la concurrence et le
droit de la consommation qui du reste s’entend de l’ensemble des dispositions légales et
règlementaires destinées à la protection du consommateur dans ses relations avec le
professionnel.
Ces deux secteurs du droit s’interpénètrent au point de rendre évident la possibilité de les
étudier dans le même cours car ils ont le même le but :
Celui de limiter les abus des entreprises dans le cadre de leur activité économique. Dans
cette perspective, en droit de la concurrence les entités protégées sont les concurrents
tandis qu’en droit de la consommation les personnes protégés sont les consommateurs
L’intérêt théorique pédagogique et pratique d’un tel cours n’est pas à plaindre car l’objectif
visé est de doter et de porter à la connaissance des étudiants les instruments et outils
juridiques applicable en matière du droit de la concurrence et de la consommation, leur
permettre de s’approprier lesdits outils envie d’être réactif dans la participation, à la
réalisation de projet, dans le respect des règles de la concurrence
L’atteinte d’un tel objectif nécessite impérativement l’étude mineuses du
Qui débouchera transversalement sur celle du droit de la consommation

Respective de concurrence
Paragraphe 1er : les ententes illicites
Il faut définir la notion d’entente illicite avant d’examiner le sort qui leur est réservé

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