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et commerce international
Professeur : CHELLAOUI Houssaine
Nom : LAHNA
Prénom : Fadoua
CNE : E130206455
Plan de travail :
Introduction
Conclusion
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Introduction :
Le Royaume du Maroc et le Royaume Hachémite de Jordanie sont deux pays liés par des
relations historiques de fraternité, d'amitié et de coopération sous la conduite sage de SM le Roi
Mohammed VI et de SM le Roi Abdallah II.
Sur le plan bilatéral, le Maroc a toujours soutenu les causes vitales du Royaume hachémite tout
en saluant les réformes entreprises par SM le Roi Abdallah II pour renforcer davantage la
démocratie, consolider le développement économique et social et assurer la sécurité et la
stabilité du pays dans un environnement régional marqué par une multitude de crises et de
tensions. Pour sa part, le Royaume de Jordanie continu toujours de saluer le processus de
réforme conduit par SM le Roi Mohammed VI, tout en réitérant sa position constante soutenant
l'intégrité territoriale du Royaume et son appui au plan d'autonomie pour le Sahara marocain
qui devra garantir la stabilité et la sécurité dans la région.
Dans le cadre des relations fraternelles distinguées, les gouvernements des deux pays œuvrent
à l'élaboration de politiques efficientes de nature à renforcer les relations économiques et de
développement, comme en témoignent les multiples échanges de visites de part et d'autre des
responsables des deux pays, le but étant de promouvoir et de développer davantage ces
relations.
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I- Les relations économiques et échanges commerciaux :
Côté économie, le volume des échanges commerciaux est passé de 796.111.050 dirhams en
2017 à 830.072.422 dirhams pour l’année 2020, selon les chiffres fournis par l’Office des
changes.
En outre, les deux pays disposent d'un cadre juridique qui comprend différents aspects liés à la
coopération économique et aux échanges commerciaux, que ce soit au niveau bilatéral ou
multilatéral (accord bilatéral de libre-échange, accord d'Agadir et accord de la Grande zone
arabe de libre-échange). Le cadre juridique entre les deux pays a été renforcé par la signature
de deux mémorandums d'accord en matière de coordination et de concertation politique, ainsi
que dans le domaine de la formation diplomatique
Mais force est de constater qu’en dépit des efforts déployés par les deux pays pour doper leur
coopération, les échanges économiques commerciaux entre les deux pays demeurent faibles.
Pour remédier à cette situation la 5éme session de la commission mise a exhorté les
gouvernements des deux pays à enlever les obstacles qui dressent devant le développement des
échanges et de simplifier les procédures pour permettre au secteur privé d’apporter sa
contribution à la dynamique de renforcement de la coopération économique entre le Maroc et
la Jordanie
La coopération entre le Maroc et la Jordanie est régie par un cadre juridique riche de 60 accords,
protocoles dans différents domaines, notamment l’Accord sur la Grande zone arabe de libre-
échange (Accord Agadir), l’Accord bilatéral de libre-échange, et les accords de libre-échange
conclus par les deux pays avec l’Union Européenne et les Etats Unis
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Les accords de libre-échange connaissent un grand développement et concernent beaucoup de
pays (USA, canada, des pays d’Amérique latine, des pays arabes (Maroc, Jordanie, Bahreïn,
Israël) et des pays asiatiques comme Singapour, Cambodge, Malaisie). Selon certains
contrairement à l’accord conclu entre la Jordanie et les Etats-Unis, ceux conclus avec le Maroc,
le chili et Singapour sont moins ambitieux en matière de normes sociales. La place des normes
sociales dans les différents accords de commerce varie d’un accord à un autre. Selon, le BIT, «
ces deux dernières décennies, les dispositions relatives au travail dans le contexte du commerce
sont devenues plus systémiques et plus complètes (……), en théorie, les dispositions relatives
au travail peuvent contribuer à améliorer les retombées sociales »
a. Champ d’application :
Produits originaires et en provenance des deux Pays figurant sur une liste commune ou ceux
objet de démantèlement tarifaire.
Produits ne bénéficiant pas du régime préférentiel :
Produits repris sur les listes négatives ;
Produits relevant des chapitres 1 à 24 du Système Harmonisé (à l'exception de ceux
figurant sur la liste totalement exonérée) ;
Produits fabriqués dans les zones franches situées dans les deux Pays et exportés
directement à destination de l'autre Partie ou importés d'un autre Pays ;
Les produits agricoles concernés par la clause de préférence mentionnée sous le titre II
2.3 paragraphe (b) de la circulaire n° 4977/222 du 30/12/2005 telle que modifiée.
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b. Régime préférentiel :
Exonération du DI et TEE pour les produits figurant sur une liste commune dès l'entrée en
vigueur de l'Accord, ainsi que les produits dont les taux cumulés du DI et TEE sont inférieurs
à 25%. Pour les autres produits : démantèlement suivant schéma ci-après :
Schéma de démantèlement :
Produits dont les taux des DI et TEE cumulés varient entre 0 et 25 % : bénéficient d'un
démantèlement annuel progressif pour atteindre un taux de 0 % au terme de 5 ans.
Produits dont les taux des DI et TEE cumulés sont supérieurs à 25 % bénéficient d'un :
- démantèlement annuel progressif pour atteindre un taux de 25 % au terme de 5 ans
- démantèlement sur 7 ans à compter de la 6ème année de l'entrée en vigueur de la
convention pour les 25 % des taux des DD et TEE restants.
Existence de listes négatives
- TVA reste exigible (assiette TVA intègre montants non perçus au titre des DI et
TEE)
Règles d'origine :
Caractère originaire du produit :
- L'entière obtention
- La transformation suffisante constituée par une valorisation locale d'au moins 40% du prix
départ usine du produit ;
- Le cumul des matières entre les parties contractantes.
Transport direct
Preuve documentaire du caractère originaire du produit :
Certificat d'origine :
- A l'importation :
Certificats d'origine délivrés par la Chambre de Commerce ou d'Industrie et authentifiés par le
Ministère du Commerce et de l'Industrie jordanien.
- A l'exportation :
Certificat d'origine jaune délivré et visé par l'Administration des Douanes et Impôts Indirects
(A.D.I.I).
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B. Accords Multilatéraux :
1.1. Description :
L’Accord d’Agadir est un accord de libre-échange entre l’Égypte, la Jordanie, le Maroc et la
Tunisie. Portant le nom de la ville marocaine d’Agadir, où le processus d’élaboration de
l’entente a été lancé en mai 2001, l’accord a été signé à Rabat en février 2004 et est entré en
vigueur en mars 2007.
Tout autre pays arabe membre de la Ligue arabe et de la Grande Zone arabe de libre-échange,
et lié à l’Union européenne (UE) par un accord d’association ou de libre-échange peut
éventuellement adhérer à l’Accord d’Agadir. Son but est de faciliter l’intégration entre les États
arabes et l’EU en vertu du plus vaste processus UE-Méditerranée, mais il a également d’autres
ramifications.
Une des caractéristiques importantes de l’Accord d’Agadir est qu’il se base sur les règles
d’origine de l’UE, qui entrent en conflit avec celles des États-Unis, ce qui rend leur application
difficile par les pays méditerranéens et du Moyen-Orient dans leurs relations commerciales
avec ces deux puissances en concurrence. L’UE permet à ces partenaires méditerranéens
d’accumuler de la valeur ajoutée, c’est-à-dire que l’UE ferme les yeux sur ce à quoi la valeur
est ajoutée, pour des motifs de tarifs préférentiels, tant que le pays en question est un partenaire
dans un accord de libre-échange (ALE). Les États-Unis (ÉU), en plus de dispositions spéciales
dont celles qui s’appliquent aux zones franches d’exportation, ne considèrent que la valeur
ajoutée intérieure des pays qui exportent vers les ÉU. Ces régimes conflictuels donnent à l’UE
un avantage dans sa compétition avec Washington pour conclure un ALE euro-méditerranéen
afin de contrebalancer l’ALE ÉU-Moyen-Orient.
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À peine deux semaines après être entré en vigueur, des conflits entre l’Accord d’Agadir et
l’ALE ÉU-Maroc ont émergé. En vertu de l’accord avec les ÉU, le Maroc a accepté de ne pas
baisser ses tarifs sur certaines importations agricoles provenant de pays qui n’exportent pas
encore ces produits. Cela ne peut qu’affecter les pays arabes qui s’attendaient à vendre des
produits agricoles au Maroc sans tarifs, dans le cadre de l’Accord d’Agadir.
En novembre 2008, les membres de l’Accord d’Agadir ont signé un protocole sur le commerce
des textiles.
a. Champ d’application :
Les produits industriels, agricoles et agro-industriels, originaires et en provenance des pays
contractants, à l’exception :
Des produits prohibés pour des raisons sanitaires, de moralité, de sécurité publique et
de sauvegarde de l’environnement,
Des produits agricoles concernés par la clause de préférence mentionnée sous le titre II
2.3 paragraphe (b) de la circulaire n° 4977/222 du 30/12/2005 telle que modifiée.
Toutefois, il est précisé qu’il est exclu du cumul des règles d’origine avec l’UE, la Turquie,
l’AELE, les produits agricoles et agro-industriels, non encore libéralisés, dans le cadre des
accords de libre-échange signés entre les pays contractants et pays susvisés.
Les produits agricoles libres à l’importation au Maroc, pouvant bénéficier du cumul des règles
d’origine en application des dispositions des Accords conclus avec l’UE, et la Turquie sont
repris dans la liste n° 4 de l’annexe II au niveau de la circulaire n° 5047/223 du 27/03/2007.
Ceci étant, il est précisé que l’accord conclu avec l’AELE ne concerne que les produits
industriels.
b. Régime préférentiel :
Exonération totale du droit d’importation et des taxes d’effet équivalent.
La taxe sur la valeur ajoutée (TVA) demeure exigible et son assiette n’intègre pas les montants
non perçus au titre du droit d’importation.
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L’entière obtention :
Les produits entièrement obtenus dans un Etat membre sont définis à l'annexe II de la circulaire
n° 5047/233 du 27 Mars 2007.
- Principe général : Les produits non entièrement obtenus dans un Etat membre sont considérés
comme suffisamment ouvrés, lorsque les conditions indiquées pour le produit concerné dans
le document 3 de l’annexe II à la circulaire susvisée sont remplies.
- Tolérance pour l'utilisation de matières non originaires : Le protocole sur les règles
d'origine prévoit une dérogation au principe général précité en permettant l'acquisition de
l'origine, sous certaines conditions, aux produits autres que les textiles fabriqués à partir
d'intrants non autorisés en vertu du document 3 susvisé ;
Certaines opérations subies par des matières d’origine tierce sont toujours considérées comme
insuffisantes (chapitre I-Section 3 de l'annexe II) pour conférer aux produits qui en résultent le
caractère originaire.
Origine cumulative :
En vertu de la règle du cumul, sont considérés comme originaires d'un pays membre, les
produits qui y sont obtenus en incorporant des matières originaires des pays avec lesquels le
cumul est applicable, à condition que ces matières aient fait l'objet dans le territoire d'un Etat
membre d'ouvraisons ou de transformations allant au-delà des opérations insuffisantes.
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Transport direct
Le régime préférentiel prévu par l’accord est applicable uniquement aux produits et aux
matières qui sont transportés directement entre les territoires des Etats membres ou en
empruntant les territoires des autres pays avec lesquels le cumul est applicable.
Toutefois, le transit par des pays tiers avec éventuellement transbordement ou entreposage
n'altère pas l'origine, si les conditions fixées au (chapitre III-Section 3) de la circulaire sont
respectées.
Les intrants, les emballages et les accessoires non originaires des pays participant au cumul,
utilisés pour la fabrication des marchandises ayant acquis le caractère originaire ne doivent
bénéficier d’aucune suspension, exonération, remise ou remboursement du droit d’importation
dans le pays exportateur.
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1.2. Objectifs :
Les objectifs de l’accord d’Agadir (zone de libre-échange euro-méditerranéenne) sont les
suivants :
Les pays membres de l’accord d’Agadir doivent graduellement établir une zone de libre-
échange
L’établissement d’une zone de libre-échange, avec l’objectif de développer l’activité
économique, de soutenir l’emploi, d’augmenter la productivité et d’améliorer les
conditions de vie dans les pays membres (l’Égypte, la Jordanie, le Maroc, la Tunisie)
La coordination de l’ensemble des secteurs économiques et politiques dans les pays
membres, spécialement en ce qui concerne le commerce international, l’agriculture,
l’industrie, le régime fiscal, les finances, le commerce de services et les douanes pour
garantir les conditions pour une concurrence objective parmi les pays membres
Le rapprochement des législations parmi les pays membres de l’espace économique,
avec l’objectif de créer un climat favorable à l’intégration économique parmi les pays
membres.
2.1. Description :
Le programme exécutif de la Convention de facilitation et de développement des échanges
commerciaux interarabes est entré en vigueur en janvier 1998 ; il est présentement appliqué par
17 des 22 membres de la Ligue des États arabes. Son objectif est la création d'une grande zone
arabe de libre-échange dans un délai de dix ans, à travers le démantèlement des droits de douane
au rythme de 10 pour cent par an. L'organe principal en charge d'assurer l'application du
programme est le Conseil économique et social de la Ligue arabe. Le 1er janvier 2005, 15 pays
avaient achevé le démantèlement accéléré de leurs barrières tarifaires. Il s'agit de l'Arabie
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saoudite, de Bahreïn, de l'Égypte, des Émirats arabes unis, de l'Irak, de la Jordanie, du Koweït,
du Liban, de la Libye, De la Tunisie, d'Oman, de la Palestine, du Qatar, de la Syrie, et de la
Tunisie (le Soudan et le Yémen, en tant que PMA dispose d'un délai plus long
a. Champs d’application :
Tous les produits originaires et en provenance des pays arabes contractants à l'exception des
produits prohibés exclus pour des raisons sanitaires, de moralité, de sécurité publique et de
sauvegarde de l'environnement, (cf. circulaire n ° 4933/223 du 30/12/2004 )
Les produits agricoles concernés par la clause de préférence mentionnée sous le titre II 2.3
paragraphe (b) de la circulaire n° 4977/222 du 30/12/2005 telle que modifiée.
b. Régime préférentiel :
Exonération totale des droits d'importation et des taxes d'effet équivalent à compter de
01/01/2005.
La taxe sur la valeur ajoutée (TVA) reste exigible et les montants non perçus ne sont pas
incorporés dans l'assiette servant au calcul de cette taxe
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Preuve documentaire du caractère originaire du produit :
Certificat d'origine conforme au modèle conventionnel arrêté, comportant l'emblème de la
Ligue Arabe, délivré et visé par les autorités compétentes du pays d'exportation.
2.2. Objectifs :
Les Etats arabes espèrent tout de même de réussir d'autres objectifs, on cite :
Les relations diplomatiques entre la Jordanie et le Maroc sont caractérisés par des affinités
fortes, pour plusieurs raisons :
Ces deux pays sont des monarchies, et leurs souverains, Abdallah II et Mohammed
VI sont proches en âge, arrivés sur le trône la même année (1999) et entretiennent
une amitié de longue date.
Les deux souverains partagent la pratique de l’islam sunnite et leurs deux dynasties,
hachémite et alaouite et revendiquent leur descendance du prophète de
l'islam Mahomet.
Les deux gouvernements se sont entraidés lorsqu'ils ont chacun subi une tentative
de coup d'État au début des années 1970 (septembre noir en Jordanie en 1971,
le coup d'État des aviateurs en 1972 au Maroc), et d'importants mouvements de
contestation en 2011.
Tous deux font partie des pays arabes à entretenir des relations diplomatiques avec
Israël (le Maroc ayant normalisé ses relations en décembre 2020), tout en ayant
tenant rôle essentiel de médiateur dans le conflit israélo-palestinien et de gérant
des lieux saints musulmans à Jérusalem-Est.
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Dans les vingt premières années de son règne, entre 1999 et 2019, le roi Abdallah II s'est rendu
au Maroc à six reprises, tandis que Mohammed VI s'est rendu à Amman en mars 2012. Lors de
sa dernière visite, celui-ci rencontre son homologue marocain, et les deux souverains publient
un communiqué commun affirmant vouloir « hisser les relations de fraternité et de coopération
entre le Maroc et la Jordanie au niveau d’un partenariat stratégique multidimensionnel ».
En novembre 2020, la Jordanie annonce l'ouverture d'un consulat à Laâyoune, reconnaissance
de fait le Sahara occidental comme territoire marocain
Les conventions signées ont pour objectifs de renforcer la coopération et l’échange d’expertises
entre le Maroc et la Jordanie dans plusieurs domaines notamment économique, industriel,
culturel, juridique, environnemental, sportif, éducatif …etc. Ces accords visent à consolider les
relations entre les deux pays et à les hisser au niveau des aspirations de leurs dirigeants et des
attentes de leurs peuples frères amis.
Il s’agit de :
Domaine commercial :
Secteur artisanale :
Un mémorandum d'entente signé qui porte sur la mise en place d'un cadre de coopération et de
partenariat entre les deux parties en matière de préservation, de développement et de production
des métiers traditionnels, ainsi que l'échange d'expertises.
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Secteur audiovisuel :
Domaine d’éducation :
Secteur d’emploi :
Domaine artistiques :
Secteur de l’industrie :
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Domaine de la jeunesse :
Domaine sportive :
Domaine de l'eau :
Secteur touristique :
Le programme exécutif de la coopération 2016-2017 vise, pour sa part, la mise en œuvre des
dispositions de la convention portant sur le domaine touristique signée entre les deux pays en
1998.
Domaine de l'environnement :
Un programme exécutif de coopération pour les années 2016-2018, il vise la mise en œuvre du
mémorandum d'entente signé entre les deux pays à Amman en 2008, à travers la coopération
dans les domaines de l'économie verte, l'éducation environnementale, l'adaptation aux
changements climatiques et la mise en action des lois environnementales.
Ces coopérations étaient l'occasion pour les deux parties pour surmonter les obstacles et faciliter
les mesures visant à garantir la participation du secteur privé dans les deux pays et jouer
pleinement son rôle dans la promotion d'échanges commerciaux qui ne dépassent pas 50
millions de dollars. Le renforcement de la coopération économique bilatérale est un réel pari
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pour obtenir des résultats prometteurs et pour forger un partenariat qualitatif, à la faveur de la
présence des deux pays sur deux positions géographiques stratégiques qui permettent l'accès à
des marchés internationaux attractifs.
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Conclusion :
Le Maroc et la Jordanie sont deux pays frères et amis liés par une histoire commune et ancestrale
et par des relations économiques promises à un avenir meilleur sous la conduite des souverains
des deux pays, SM le Roi Mohammed VI et le Roi Abdellah II, et animés par un souci partagé
de promouvoir le partenariat bilatéral.
Ces relations sont, en effet, un exemple à suivre en matière de cohérence, de coopération et de
coordination, à la faveur des dénominateurs communs entre les deux pays, notamment en ce
qui a trait à l'approche de réforme adoptée et au développement économique.
Elles ont été marquées, depuis toujours, par le plus haut niveau de coordination et de
coopération, en particulier au volet économique auquel les deux pays accordent un grand intérêt
afin de hisser le niveau des investissements et des échanges commerciaux.
Ces liens ancestraux distingués reflètent ainsi la justesse de la politique étrangère prônée par
les deux pays, basée sur les principes de dialogue, de respect de la souveraineté nationale et de
la non-ingérence dans les affaires intérieures des Etats.
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