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2 grands éléments :
a. le salaire :
Vont rentrer en compte tous les avantages en nature (voitures de fonction, frais de
restauration…). Si le salarié touche moins que le plafond de la sécurité sociale (2476 euros)
par moi, la valeur des avantages en nature s’élève à un SMIC. Pour les salariés dépassant ce
plafond, le montant s’élève à 1,5 fois le SMIC.
Pour les voitures, la législation est de plus en plus stricte, et cela revient à peu près à
1/3 de la valeur du véhicule.
- Dans le cas d’une SA : soumis aux mêmes règles que les aux autres salariés
- Contrôles de cohérence et de vraisemblance sur les bilans qui leurs sont remis.
- A l’issu de la remise de ces bilans, ils remettent une attestation, qui permettra à
l’entreprise de bénéficier d’un abattement de 20% sur son résultat imposable. Cet
abattement étant plafonné à 110 000 euros maximum.
- Ces centres e gestion vont collecter des informations sur les entreprises, les secteurs
d’activité, et donc faire des statistiques.
- Elles permettent une rémunération du conjoint plus importante.
- En matière de formation, elles autofinancent une partie importante de la formation des
adhérents. Elles dispensent même des formations gratuitement.
- Ces association, permettent d’avoir un contact avec un inspecteur des impôts une à
deux fois par mois. Consultation d’un professionnel gratuitement.
- Il faut payer une cotisation, qui coûte annuellement entre 150 et 200 euros.
- Faire tenir sa comptabilité par un expert comptable.
- Fournir le bilan et/ou compte de résultat au centre, et répondre à un questionnaire.
Les entreprises adhérentes sont seulement les entreprises individuelles, donc pas de
sociétés ou sociétés civiles immobilières. Les entreprises adhérentes fournissant un bilan et/ou
un compte de résultat, les entreprises en régime micro sont exclues.
Le taux d’impôt sur les plus value est de 16%, plus 10% de CSG, CRDS, donc le taux
passe à 26%.
La retraite par les organismes privés, il existe deux types de contrats, prévu par les
articles 82 et 83 du code des impôts. L’article 83, ne permet qu’une sortie en rente, qui va
venir en complément de la retraite normale. Celle-ci étant calculée en fonction des tables de
mortalité. Si le bénéficiaire meurt avant la fin de la rente, celle-ci seront versées aux enfants
ou autres.
L’article 82, laisse le choix entre percevoir une rente, ou prendre tout le capital. Mais
pour l’URSSAF ce sont des avantages en nature. Et donc des charges sociales vont devoir être
versées sur les cotisations.
Pendant des années ils n’avaient pas les avantages des salariés, et donc ils devaient
déclarer les bénéfices, payer des impôts, et s’il en rester il mettait de coté pour leur retraite
personnelle.
La loi Madelin, qui permet aux artisans, professions libérales, de cotiser comme tous
les les salariés à des compléments retraite. Mais ils n’ont pas le droit à l’article 82, ils ne
peuvent recevoir qu’une rente. De plus les versements qu’il peut faire sont plus ou moins
encadrés. Il est fonction des versements versés tous les mois. Ils ont 1,5% de 8 A qui
correspondent au complément chômage, qui correspond à l’assurance chômage.
3 formules :
- 19% de 8 A => enveloppe globale.
- 3% de 8 A =>
- 1,5 % de 8 A => assurance chômage.
L’article 39 charges sociales salariales :
Un salarié quand il part à la retraite, il peut avoir droit à quelque chose, s’il a 10 ans
d’ancienneté dans l’entreprise. Il va recevoir une IDR ou IFC. Elle est égale à 10% de son
salaire mensuel, par année d’ancienneté. Ex : pour 1à ans d’ancienneté 10*10 = 100% soit 1
mois de salaire. Les conventions collectives sont souvent plus généreuses. La règle des 10%
étant la règle de base.
La provision ne peut pas être déductible.
Pour parrer ceci, les entreprises ont fait intervenir des assureurs qui provisionnent à leur place.