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Neuro

Théorie

On peut difficilement être dangereux en neuro, contrairement en traumato.

Être très observateur ! on s’en fout des pathologies, il y en a 400 000. On fonctionne avec les
syndromes. (Pyramidal, extrapyramidal, cérébelleux, sensitif, proprioceptif, et plus ou moins
vestibulaire)  fonctionne, on regarde quelle structure est endommagée.

Polyradiculonévrite : Guillain barré, inflammation aigûe (mais de plus en plus svt chronique) au
niveau des racines des nerfs. Récup peut être totale mais pas tt le tps. C’est une réaction auto
immune.

SEP : ralentissement des conduits nerveux. Perturbation cognitive, motrice. Le seul qu’ils ne peuvent
pas avoir, c’est le syndrome extrapiramidal de manière non systématique.

Hémiplégie :

Termes, anat.

La pathologie cérébelleuse (cervelet et pédoncules


cérébelleux).
Ataxie cérébelleuse, trouble de l’exécution du mouvement rapide (coordination), trouble équilibre,
trouble coordination. Hypotonie. Dysarthrie (trouble de la parole et de l’écriture). Nystagmus.

Trouble de la statique : oscillations. Augmentation du polygone de sustentation & marche ébrieuse


en dynamique. La danse des tendons. Ecartement des bras, comme un funambule pour rechercher
l’équilibre. A la marche petite déviation (démarche festonnée).

Ds les troubles de l’éxecution du mvt rapide, hypermetrie, adialokocinésie : difficulté à alterner des
mvts agonistes et antagoniste (poignets marionettes à l’horizontale sur table). L’hypermetrie se teste
avec le test doigt-nez : faire le test avec des mouvements amples pour tester pas une articulation
isolée, mais tester plutôt un mvt long qui fait intervenir plusieurs articulations. Le cervelet n’envoie
pas de message, il régule les messages. Dyschronométrie (qu’on peut retrouver un peut ds l’extra
pyramidal) (rerégulation des actions). Tremblement d’action constant. Asynergie (test du relevé de
buste DD à assis). Le nystagmus . troubles de la parole (parole très scandée). L’écriture va être grande
et assez n’importe comment. Fatigue.

Reflexe tendineux : effectué, ok mais après ça ballote car hypotonie.


Bobath Points clé Point gâchettes

20 septembre 2021 : Cas cliniques :

1 : Patient hémiplégique, rééducation suite à un AVC sylvien superficiel gauche (artère sylvienne
gauche).

1er groupe : quel sont les potentiels drapeaux rouges rencontrables sur ce type de patients, et
éventuellement des drapeaux oranges.

2ème groupe : listing de tous les syndromes retrouvables potentiellement dans cette pathologie.

3ème groupe : listing de tous les choses bilantables sur ce patient , or les choses spécifiques neuro.

4ème groupe : listing des bilans orientés neuro.

5ème groupe : préparer ds le cadre d’un patient reçu à l’hôpital, dans un cas flasque, première visite
dans la chambre, les grands traits les + importants de la prise en charge, bref première séance de
kiné.

6ème groupe pareil mais avec phase hypertonique spastique.

1er groupe : signes de phlébite surveillance. Trbles de la sensibilité, surveiller les zones d’appui si
escarres, même s’il n’y a pas de pb de sensibilité. Nystagmus. Perte de sensibilité, paresthésie.
Aphasie de Broca ou Wernicke. Troubles cognitifs, c’est le signe d’une future bonne rééduc ou pas.
Ds quelle phase il est en post AVC, flasque ou spastique (position sur le lit). Atèle, orthèse, ou pas.
Hémiplégie.

Certains st aphasiques, d’autres non. Broca : parler et écrire (persévérance du mot, manque du mot,
du vocabulaire, conscience de ce qu’il se passe, impact psychologique). Wernicke : compréhension
du langage (raconte n’importe quoi parfois). Les aphasies ont une répercussion sur l’écriture.
Wernicke difficile à rééduquer.

Hémiplégie différence droit et gauche : il y a décussation attention. Hémiplégie droite : A droite


aphasie, aire du langage à gauche. Hémiplégie gauche : dyscalculie apraxie (trouble de la gestuelle
volontaire), trble de la conceptualisation du mvt, donner un but et répéter, faire et refaire, redonner
des stimulus extéroceptifs. Hémiasomatognosie (non reconnaissance de son hémicorps).
Anosognosie (non reconnaissance de sa pathologie). Droite : . Gauche : des gnosies. Troubles visuels,
tactiles, trbles de la sensibilité. La NSU, négligence spatiale unilatérale (se tapent dans les murs).
Droite ou gauche : très important ! le prof préfère les hémi droite (car à gauche wernicke, pb
compréhension). Hémianopsie omolatérale (HLH) : vision diminuée de moitié. Héminégligence. Hémi
à gauche : svt hémi négligeant.

2ème groupe : listing de tous les syndromes retrouvables potentiellement dans cette pathologie. Bilan
spécifique, et bilans pr diagnostic différentiel.

Syndrome pyramidal. Syndrome sensibilité pas forcément superficielle (n’importe quel versant
atteint). Syndrome sens profond proprio pas forcément.
Signes cliniques pr pyramidal :

- Diminution de la motricité volontaire. Echelle de la force de Held Tardieu. Oguabayeur. Aire de


Julie ?
- Perturbation des réflexes ostéo tendineux cutanés. Spasticité. Aschworth et Aschworth modifiée.
Signe de Babinski.
- Trouble du tonus musculaire. Test de Mingasini, test de Barré.
- Syncinésie. Exercices de mobilisation active en demandant
- Héminégligence.
- Aphasie de la parole.

Signes clinique pr sensibilité :

- Lemniscale : pic touche pr somesthésique. Sens positionnel du corps pr la proprio.


- Extra lemniscal : chaud froid.

Signes proprio :

3ème groupe :

Hors neuro.

Anamnèse professions loisirs, profil psychologique, diabète, médocs, quotidien à la maison, famille,
bilan de la douleur EVA, oedeme phlébite, escarre, morpho. Bilan articulaire. (en flasque , pas de
parefeu musculaire, risque de luxation, subluxation). Bilan musculaire, agoniste antagoniste. Activités
de la vie quotidienne. Bilan respi. Cardio ? Histoire de la maladie. Antécédents antérieurs à la
pathologie. Niveau de motivation. Echange avec les autres professionnels importants.
Environnement. Latéralité, ambidextre peut aider de ouf.

4ème groupe

Psychomot, ergo, ortho, neuropsy (fonctions cognitives) ;

Neuromoteur Spasticité, proprioceptif, motricité, ostéo tendineux DROT, transfert, équilibre Berg (),
qualité de vie. Handicap et incapacités. Tinetti, stop and go. Bilan fonctionnel : (troubles
orthostatiques, se remonter avec potence du lit, pont fessier, tsft couché assis au bord du lit avec les
pieds qui touchent par terre, tests d’équilibre assis, test assis debout, la marche, finalement il
marche, voir la boîterie, franchissement d’obstacles, endurance de marche, trotiner sauf si tension à
20 par exemple, pas chassés, les avq, adaptation d’AP skate, vélo, snowboard, trotinette, ne pas non
plus promettre la lune), retournements (toilette au lit), main bouche, les aires de July (capacité du
membre sup ds l’espace, tous les sens), la pince préhension (éval du pouce Kapandji, opposition, éval
des diff pinces), exploration de l’épaule ds l’espace. Hemiplégie du bras dominant. Bilan discriminant
neuro ou douleur cutané reelle, discriminant des douleurs neuro (test DN4). L’échelle d’équilibre
fonctionnelle SEP de Pomponiana (pratique, et sert de base de rééducation).

Anecdote : capteurs sur les prothèses, sensibilité retrouvée, capteurs reliés sur des émergences
sensitives. Associer des sensations à une réalité corporelle.

5ème groupe :

Troubles sensitifs sur mb inf mais surtout mb sup et visage. Le sylvien a moins de trbles de la
déglutition. Le plus important, surveillance des points d’appuis (omoplates, talon, occiput, sacrum).
Hémiplégie gauche : chose spécifique à faire par rapport à la vision, mettre à droite. Choses banales
du bon côté à droite, sonnette à droite. Puis en séance objets à trouver à gauche. Lumière à gauche tt
le tps. Photos de famille en face pr stimuler. Diastasis niv épaule, risque de subluxation. 70% de la
masse musculaire en moins sur un pb neuro, les tendons en prennent un coup. Les paquets vasculo
nerveux , main blanche, algoneurodystrophie sdrc (syndrome épaule main possible, peau qui brille
sudation hyper pilosité très localisée, ongles qui poussent très vite, gonflement, douleurs, chronicité
à partir de 3 semaines), atèle Dujarrier ou K tape ou strap pr éviter le diastasis. Troubles de la
circulation, trbles rtophiques. Phlébite : perte balan du mollet, signe de homans, chaleur, rougeur,
dissociation chronothermique (signe de la pancarte, pouls normal et pourtant température haute).
Phlébite assez fréquente.

Spasticité :

Triple flexion du mb sup spastique. Même en phase spastique, on verifie qud même le diastasis. On
regarde les tendons. Sub lux inf. pectoral spastique, il va tracter l’épaule vers l’avant. Prophylaxie :
flasque puis hypertonie, subluxation antéro inf de l’épaule. Prophylaxie : étirement pectoral,
dynamisation des rhomboïdes et des rotateurs externes de l’épaule. Kabaat, Falicitation neuro
proprioceptive (correspond mieux à ce qu’on cherche à faire, concept : alternance, utiliser les
chaînes d’irradiation musculaire, les diagonales c’est bien de les apprendre surtout pour l’examen ! ,
mais plutôt faire nos propres diagonales de Kabat pour chaque patient, alternance destabilisation ou
stabilisation permet de réintroduire le système agoniste antagoniste, en gros c’est du perfetti, faire le
mouvement pour un but, un objectif pour le mouvement, perfetti on va du distal au proximal, sentir
les lettres distal). Bobath et Perfetti ont les mêmes résultats, Bobath méthode passive, Perfetti le
patient est acteur de sa rééducation.

Bercement pour détendre, c’est très bien. Rouleau pour détendre, au réveil on stimule. Travail de
stimulation pour obtenir un relâchement et un contrôle des mouvmts. Exos de rouleau. On va gérer
l’hypertonie du bicep. Plus j’ai de la résistance, plus le patient peut se repérer. La prog en Neuro on
commence un peu lourd , et ensuite on travail léger. Faire travailler une double tâche. La sensation
de ce qu’il fait. Rajouter des consignes supplémentaires. Schéma moteur à choisir : synergie plus
complexe pour complexifier ! triple extension MS et extension des doigts, puis triple extension MS et
flexion des doigts. Supination souvent très difficile, combienr des mvts pour complexifier.

Varier rapidité d’exécution du mouvement. Soit varier l’angle au niveau de la racine. Aller de plus en
plus vers l’ouverture pour complexifier le mouvement.

Travail agoniste/antagoniste, mvts d’alternance.

Hémiplégique tonique spastique. Mi : double pôle attractif. Pôle à zéro degré. Contrôle actif à
travailler sur la bonne longueur du muscle. Stimulation motrice lors de la mise du pied au sol. Pas de
marche avec jambe portante à 0°, sinon recurvatum. Recurvatum causé par stimulation du pied et
reflexe musculaire d’extension du genou. Triceps soléaire flexion plantaire, inversion du pied, flexion
du genou, retiens glissement du fémur en avant.

Perfetti : utilisation de la stimulation. On apprend au patient à se détendre malgré le mvt.

Fauchage : bercer d’abord et dynamiser fl hanche, fl dorsaux cheville, fl genou (limite extension du
genou, contrôle rotation pied,). Genou se plie car fémur accelere donc pied accelere vers l’arrière
aussi ; il faut que le quadriceps soit relâché. La marche muscles essentiels : moyen fessiers, triceps
surral, quadri, ischio, tibial ant, adducteurs (insérés sur la ligne purement médians, flexion rotation
externe).
Adducteurs rôle à la marche : debut oscill flexion rot ext concentrique, puis extenseur et rot int
excentriques, pose pied sol, extenseur rot int conccentrqieu, puis fl rot ext excentrique. On les étire
svt.

Il faut apprendre à contracter le quadriceps, mais il faut aussi apprendre à relâcher le quadriceps
(bercement étirement).

Etirer triceps surral. Etirer les adducteurs et les ischio jambiers, droit antérieur, (psoas aussi). On stim
les fl de hanche, relev de cheville.

Quadri à relâcher : quel exo ? travailler sur la sensation. Contracté relâcher. Exo relâchement du
Quadri au debut de la marche, début de l’oscillation en cycle avant arrière avant arrière etc.
Décomposition tous les cycles de la marche.

Verrouillage du genou : écrase coussin. Espaliers et élastique derrière le genou. Astuce avancez le
bassin juste avant de poser le pied. Positioner bien le genou, avec les mains du kiné, mob active
aidée.

Les sichios à dynamiser : renforcer en chaîne ouverte en excentrique dans les derniers degrés du pas,
avant la pose du pied, les différentes composantes d’utilisation musculaire.

Tronbeleunbeourg : moyen fessier capacité contractile mais pas suffisante.

Moyen fessier

Ducheyne : Myopathie,

Excentrique : moins dangereux, plus rentable energetiquement.

Installation d’un patient hémiplégique en phase aigüe gauche flasque

Coussin sous les cervicales :

- Eviter l’extension. Garder un peu de flexion.


- Garder l’orientation de la tête
- Position de reference
- Prevenir escarre occiput

Bien axer le bassin avec les épaules.

Coussin sous l’omoplate, dépasser le coussin vers le moignon de l’épaule :

- Ça évite que l’épaule part en arrière

Placer omoplate en sonette externe

Coussin sous l’avant-bras et prend le poignet : avt bras un peu incliné

- Bon positionnement de la main et du poignet

Coussin triangulaire sous le bassin :


- Evite la rotation

Coussin sous le genou :

- Eviter le recurvatum

Coussin ext à la cheville

- Eviter la rot ext de hanche

Botte anti équin :

- Evite rot ext de hanche


- Evite recurvatum

Asseoir avec les pieds bien au sol pr stimuler les récepteurs, ça stimule l’extension active. Mais mieux
vaut la botte en mousse.

Mise sur le côté sain :

- Eviter escarres.

Mise sur le côté plégique

- Mi plégique fléchi
- Coussin dans le dos position de ¾
- MS sain tient poignet plégique

Rehaussement :

- Technique Dolin bras forment une potence humaine, sans bras : mains sous fesses et sous
épaules
- Lit en déclive
- Patient a les bras croisés, nos bras passent sous ses épaules, on accroche ses poignets.

Allongé assis tsft :

- Jambe crochetée. Je croise par-dessus. prendre l’omoplate et la cuisse du patient, demander au


patient : « au top, prenez mon épaule et relevez la tête ». tirer le patient et faire une fente en
avant. Bloquer le corps du patient avec notre bassin.

Placer un patient sur un fauteuil :

- Le kiné se met devant le patient. Le Pas fessier, nos genoux calés devant les siens. Nos genoux
poussent ses genoux. Nos mains tiennent ses épaules
- Le kiné se met derrière le patient. Le patient croise les bras. On passe nos bras sous ses épaules,
et on accroche ses avant-bras.

Assis debout trsft passer d’une chaise à l’autre à 90%.

Spasticité test :
- Avoir la main légère pr avoir un bon ressenti : voir à partir de quel moment il y a la spasticité, et
puis après continuer pr voir si la spasticité s’épuise (tests homogène en terme d’humeur, eviter
les stimulation exteroceptives des gpes musculaires à tester)
- RE1 rot ext epaule à tester ou en RE3.

Pieds au sol et extension de nuque :

- Casser le schéma d’extension, appuyer sur la tête quand il est assis, lui demander de redresser la
tête et de se lever.

Releveur du pied à stimuler :

- DD, triple flexion Mi passive, et puis étirement des ext de cheville , tapotement, et frottement

Rouvrir les doigts :

- Mettre le poignet en flexion


- En pronation les 2 derniers doigts
- En supination les 3 premiers doigts.

Frotter le dos des doigts des extrémités, frotter tapoter les extenseurs du poignet.

(travail avec les chaîne abdo par exemple). Travail en irradiation des chaînes => débordement
d’énergie.

Se servir de la syncinésie d’imitation.

Travail auto ,

Reflexe tonique asymétrique du cou. Rotation de tête. Mnémotechnique de l’archer. Reflexe chez le
bébé, tête tournée bras tendu et opposé au regard fléchi. MS et intérieur avec résistance du cou.

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