Devoir maison 

Introduction :

Avant de débuter je vais d’abord définir ce qu’est la socialisation. La socialisation qui vient
du latin socialis, sociable e peut se définir comme le processus par lequel l’individu intègre
les « valeurs » et « normes » de la société. Les valeurs incarnent les principes et idéaux
moraux partagé par un groupe ou une société, et les normes, les règles sociales explicite ou
implicite qui dirigent le comportement des individus. Il existe 2 types de socialisation :
primaire et secondaire. Primaire pour le moment de la naissance à l’adolescence. Secondaire
de l’âge adulte jusqu’à la mort. Je vais donc me pencher sur la socialisation primaire pour ce
devoir.

Mais la socialisation primaire détermine-t-elle totalement un individu   ?

Pour répondre à cette problématique je vais essayer de montrer par quel moyen la
socialisation nous impacte. Que ce soit la façon de penser ou d’agir. Un individu quelque
conque est impacté par la socialisation de 3 manières différentes : l’inculcation,
l’imprégnation et l’interaction. Ces 3 modes impact un individu en continue, dans la vie de
tous les jours. Notamment à l’école ou avec la famille ou la plus grande partie de la
socialisation sera faites. Ainsi que les amis ou relation extérieur et les médias qui impact de
plus en plus. Par « impacté » on pourrait entendre une forme d’influence. Ce sont ses
groupes qu’on appelle les acteurs, qui vont ancrer les valeurs et normes dans un individu.
La famille dans la socialisation :

Le rôle de la famille est primordial voir indispensable dans la socialisation de l'enfant. C'est
dès son plus jeune âge que l'enfant va incorporer le plus de codes sociaux élémentaires tel
qu'apprendre à parler correctement, à manger ou à marcher. Elle a pour rôle 1 er d’éduquer
et dispenser les connaissances. La famille transmet plusieurs choses à l’enfant, comme les
valeurs ou le savoir-faire que l’enfant va mobiliser et réutiliser à l’école ou plus tard dans sa
vie d’adulte. De plus cette socialisation est renforcée par le contact parents-enfants. Les
parents sont comme un modèle pour leurs enfants. Ce qui va mener l’individu à reproduire
leurs gestes, façon de faire ou même le langage. C’est une socialisation par observation
(exemple : une petite fille qui joue à la dinette et qui va imiter les mouvements de sa
maman). C’est une base sur laquelle l’enfant va se reposer pour construire sa personnalité.
Les parents plongent aussi l’enfant dans un bain culturel en fonction des familles. D’après
Emile Durkheim (sociologue français) « chaque modèle culturel est transmis par la
génération précédente, c'est pour cela que les enfants sont différents dans chaque famille ».
De plus la famille joue un rôle maître dans la construction de l’habitus de l’enfant (manière
d'être d'un individu, liée à un groupe social et se manifestant dans son apparence physique
(vêtements, maintien…). En effet en fonction du milieu social ou les conditions de vie
certaines choses vont changer. Comme le langage qui dans les classe plus populaire ou les
« cités » va beaucoup changer comparer aux familles assez aisées. Mais aussi la façons de
pensées et les idées auxquelles l’enfant va adhérer. Comme la religion ou dans la plupart des
cas l’enfant va avoir la même que sa famille.

L’école une continuité à la socialisation :

Par la suite l’enfant ira à l’école ou aussi une grande partie de la socialisation se fera. C’est
une sorte de socialisation complémentaire à la famille. Elle va pour la plupart du temps
renforcer les valeurs et normes déjà véhiculé par la famille. Mais l’école fera une éducation
plus tournée vers le savoir-faire (le travail en autonomie etc…), le savoir-être (les règles de
politesses et de comportement) et le savoir culturel (connaissances multiples). Elle transmet
des choses qui n’ont pas forcément pu être apprise par la famille. Son objectif est d’intégrer
et apprendre les valeurs de la société à n’importe quel enfant issu de n’importe quel milieu.
Elle va donc former des citoyens et essayer de répartir au mieux l’égalité des chances.
L’école va former l’enfant à sa vie futur. De plus elle permet de rencontrer des autres
acteurs hors famille qui vont permettre à l’enfant de recevoir une socialisation/influence
différente. En ayant des amis ou des professeurs. Avec ces interactions l’enfant apprendre à
se construire
Les médias et réseaux sociaux en développement dans la socialisation  :

Les médias et les réseaux sociaux deviennent de plus en plus un acteur de la socialisation
principalement chez les adolescents. En effet la plupart ayant un smartphone, ils sont
exposés aux réseaux sociaux. Ils transmettent des valeurs de comportement mais d’une
manière plus simple et moins lente que dans la vraie vie. Les mouvements qui vont
influencer les jeunes de plusieurs manières que ce soit comme la manière de s’habiller,
seront appelés les « effets de modes ». Ces effets de modes seront pour la plupart du temps
donc suivis par les jeunes qui veulent se faire plus ou moins accepté aux seins de la société.
Ce qui créer des « standard » qui souvent sont de « beauté », véhiculé depuis un certain
temps et qui grandit de plus en plus (exemple : à la télévision ou sur les réseaux sociaux ou
une femme mince sera plus représentée et montré qu’une femme ayant plus de forme).
Mais malgré ça, ses réseaux changent aussi les façons de pensée, les normes ou les valeurs
tels que : le mouvement BLM contre le racisme. Et qui peuvent donc s’opposer à celles
véhiculé par la famille.

La socialisation primaire est le facteur qui va le plus jouer sur la personne qu’on devient. On
nous inculpe des normes et des valeurs qui aident à construire sa personnalité. Cependant
au fur et à mesure du temps, à un certain âge un adolescent peut ne plus être en accord
parfait avec les normes et les valeurs qu’on lui a inculpé. Car il va développer son esprit
critique et donc ne pas forcément adhérer à certaines choses. D’après moi la socialisation
primaire est un élan, une poussée vers le fait de se découvrir. Et Cela ne détermine donc pas
totalement un individu.