Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Du sujet à la soutenance
Mostafa FTOUH
E.ftouh@usms.ma
1
1. Qu’est-ce que la méthodologie de la recherche ?
La recherche scientifique est un processus dynamique ou une démarche rationnelle qui
permet d’examiner des phénomènes, des problèmes à résoudre, et d’obtenir des réponses
précises à partir d’investigations. Ce processus se caractérise par le fait qu’il est
systématique et rigoureux et conduit à l’acquisition de nouvelles connaissances. Les
fonctions de la recherche sont de décrire, d’expliquer, de comprendre, de contrôler, de
prédire des faits, des phénomènes et des conduites. La rigueur scientifique est guidée par la
notion d’objectivité, c’est-à-dire que le chercheur ne traite que des faits, à l’intérieur d’un
canevas défini par la communauté scientifique.
La méthodologie devient alors une discipline qui s’établit elle-même comme objet
d’observation, d’analyse, de réflexion et de contestation. La méthodologie ne reste pas un
code stable, elle est sujette à des remaniements. Comme le droit évolue en fonction des
changements sociaux, la méthodologie évolue en fonction des objets et des pratiques
dominantes de recherche. Ce sont le polymorphisme et la dynamique des objets et des
pratiques de recherche qui donnent à la codification des méthodes sa complexité et, parfois
même, ses apparentes contradictions (Van der Maren, 1996).
3
2. Les différents niveaux de recherche
Il y a trois niveaux essentiels dans la recherche en sciences sociales et science humaines:
- La description
- La classification
- L’explication / compréhension
Plan de mémoire
Ø Introduction générale
Ø Partie théorique : Cadre conceptuel
Ø Concept 1
Ø Sous concept 1
Ø Sous concept 2
Ø Sous concept 3
Ø Introduction générale Ø Concept 2
Ø Partie théorique Ø Sous concept 1
Ø Partie pratique Ø Sous concept 2
Ø Conclusion générale Ø Sous concept 3
Ø Partie pratique
Ø Présentation de l’entreprise cas pratique
Ø Méthodologie de recherche
Ø Présentation des résultats
Ø Analyse et discussion des résultats
Ø Recommandations
Ø Conclusion générale
5
Plan de mémoire
Ø Introduction générale
Ø Partie théorique : Cadre conceptuel
Ø Concept 1
Ø Sous concept 1
Ø Sous concept 2
Ø Sous concept 3
Ø Introduction générale Ø Concept 2
Ø Partie théorique Ø Sous concept 1
Ø Partie méthodologique Ø Sous concept 2
Ø Partie pratique Ø Sous concept 3
Ø Conclusion générale Ø Partie méthodologique
Ø Présentation de l’entreprise cas pratique
Ø Méthodologie de recherche
Ø Partie pratique
Ø Présentation des résultats
Ø Analyse et discussion des résultats
Ø Recommandations
Ø Conclusion générale
4. L’étude empirique représente une technique de recherche qui s’appuie sur l’observation et
l’expérience.
L’étude empirique recueille des informations appelées “données empiriques”. Après analyse, ces
données doivent permettre au chercheur de tester et répondre à une ou plusieurs hypothèses de
départ.
Cette technique de collecte de données ne se base pas sur une approche théorique ou un
raisonnement abstrait, il s’agit de tester des hypothèses concrètement.
6
l’observation de faits et événements « positifs », c’est-à-dire existant indépendamment du
chercheur, des faits objectifs.
Cette méthode s’appuie sur des instruments ou techniques de recherche quantitatives de
collecte de données dont en principe la fidélité et la validité sont assurées. Elle aboutit à des
données chiffrées qui permettent de faire des analyses descriptives, des tableaux et graphiques,
des analyses statistiques de recherche de liens entre les variables ou facteurs, des analyses de
corrélation ou d’association, etc.
Pour rapprocher les propositions théoriques de la réalité, ou pour confronter les hypothèsesà
l'observation, il faut opérationnaliser les concepts, c'est-à-dire établir une relation
systématique entre les concepts et la réalité observable, au moyen d'indicateurs. On peut
définir les indicateurs comme des « signes, comportements ou réactions directement
observables par lesquels on repère au niveau de la réalité les dimensions d'un concept »
Opérationnaliser un concept, c'est donc lui associer un ou plusieurs indicateurs qui
permettront de distinguer avec exactitude les variations observées dans la réalité par rapportau
concept. Distinguer les variations, cela veut dire mesurer : l'opérationnalisation d'un
concept conduit donc à la mesure.
7
Les deux approches ne s’opposent donc pas. Elles se complètent: L’approche qualitative, par
observation, par entretien, par protocoles (etc.…) permet de récolter énormément
d’informations. Certaines d’entre elles n’étaient pas attendues. Elles font progresser la
recherche. Cependant la durée d’une enquête qualitative limite son recours à des sujets de
recherche pour lesquelles on dispose de peu d’informations. L’enquête qualitative sera choisie
dans une phase exploratoire d’un nouveau sujet de recherche. Elle permet de développer une
théorie et relève donc d’un processus inductif.
L’approche quantitative repose sur un corpus théorique qui permet de poser des hypothèses.La
phase empirique d’une telle recherche se réalise souvent en conduisant une enquête par
questionnaires. Le questionnaire permet d’interroger un beaucoup plus grand nombre
d’individus. Mais le format de l’enquête ne permet de recueillir que les informations relatives
aux questions.
La qualité du rapport de mémoire repose en grande partie sur la clarté de la démarche
méthodologique.
La partie empirique servira de support pour apporter de vraies préconisations ou un plan d’action
en fonction du type de mémoire qui sera rédigé, cette partie constituera le cœur de la valeur
ajoutée de votre mémoire.
6. Définition du plagiat
Le plagiat consiste à utiliser les idées, propos, parties d’œuvres d’autrui et de les insérer dans
son propre travail sans citer la source.
6.1. Les différentes formes de plagiat
• Reprendre une citation telle quelle
• Reprendre une idée générale en la paraphrasant
• Effectuer des copier/coller
• œuvre imprimée sans citer la source
• Traduire un texte sans mentionner l’auteur original
7. La structure générale de la partie théorique
7.1. La convention de forme :
ü Les paragraphes devraient être justifiés et le texte suffisamment aéré
ü Marges de 2,5cm sur chaque côté
ü Un interlignage simple
ü Une police Times 12 points
8
7.2. Numérotation des pages :
ü La pagination commence à partir de la première page de l’introduction.
ü Les pages de garde, de titre, les remerciements, la table des matières ne feront pas l’objet
d’une pagination.
ü Les annexes feront l’objet d’une pagination à part en chiffres romains en
majuscules (I, II, III,IV, etc.)
7.3. Les Chapitres ou les Parties essentielles:
ü Ces parties (Introduction ; chapitre ; etc.) doivent toujours commencer dans une nouvelle
page.
ü Les paragraphes essentiels doivent être numérotées en 1, 2, 3, etc.
ü Les sous-parties et les subdivisions en 1.1 ; 1.2 ; 1.3 en taille 12
ü Les subdivisions qui suivent en 1.1.1 ; 1.1.2 ; 2.1.1; 2.1.2 ; etc. de taille 12
ü Pas de ligne seule (isolée du reste du paragraphe) en début ou fin de page.
7.4. le fond de la partie théorique
• La recherche doit se baser sur l’apport des chercheurs. Les sections devront s'enchaîner
logiquement avec des transitions et des annonces de plan qui permettent au lecteur de se
repérer dans la structure globale du propos.
• Elle doit logiquement déboucher sur la problématique
• Chaque page de cette partie (ou presque) doit comporter des notes de bas de page
indiquant la source des informations
fournies
9
des expériences et leur signification.
Ce type d’étude s’appuie sur une collecte de données obtenues grâce à deux méthodes principales :
´ Observation
´ Entretiens
´ L’observation est une méthode de recherche très populaire pour mener une étude
qualitative.
L’entretien individuel:
Dans un entretien individuel, la personne est interrogée individuellement dans un lieu qui lui est
familier : à son domicile ou à son lieu de travail ou encore dans une salle spécifique.
L’entretien face à face permet d’obtenir une connaissance approfondie du phénomène étudié. Le but
est généralement de comprendre les mécanismes psychologiques profonds, les croyances, les systèmes
de valeurs et les processus de décision de l’interviewé.
Les techniques d’entretien individuel varient selon le degré de liberté d’expression accordé au répondant.
Les types des entretiens :
Trois types d’entretien ou techniques d’interrogation peuvent être menés : libre, semi-
directif et directif.
L’entretien libre ou non directif : Il est utilisé lorsque l’objectif de l’étude est
l’exploration en profondeur d’un thème. Il consiste à laisser l’interviewé s’exprimer
librement sur le thème général énoncé dans ses propres termes et aussi longtemps qu’il
dira.
L’entretien semi directif : Il est appliqué lorsque le chargé d’étude cherchera à approfondir
et/ou à vérifier des points particuliers. L’animateur bâtit un guide d’entretien qui doit
faire apparaître les thèmes à aborder. Il indique au participant le thème à traiter.
L’entretien directif : Ce mode est utilisé pour vérifier et /ou contrôler certaines données
obtenues antérieurement. Il consiste à poser au participant une série de questions ouvertes
précises dans un ordre prédéfini.
ü La réunion de groupe:
Un focus group (ou groupe de discussion) est une forme de recherche qualitative / étude
qualitative qui prend forme au sein d’un groupe spécifique culturel, sociétal ou idéologique, afin
10
de déterminer la réponse de ce groupe et l’attitude qu’il adopte au regard d’un produit, d’un
service, d’un concept ou de notices.
• Mini groupe :
La méthode DELPHI est une méthode visant à organiser la consultation d’experts sur un sujet
Précis, souvent avec un caractère prospectif important.
• Groupe de créativité :
Un groupe de créativité est une réunion de groupe s’étalant généralement sur plus d’une journée.
L’enquête n’est pas structurée pour permettre au groupe de formuler des idées et/ou des solutions.
´ Le focus group
Le focus group, également appelé “groupe de discussion”, est une méthode de recherche
qualitative qui rassemble un groupe de personnes sur un sujet prédéterminé.
À travers les questions de l’enquêteur, les personnes donnent leur avis, échangent et
débattent. Le chercheur prend lui des notes qui devront lui servir à comprendre une
situation ou un phénomène qu’il étudie.
Après avoir mené un focus group, l’enquêteur doit analyser les données informatives en sa
possession. Sa conclusion doit lui permettre de répondre à ses hypothèses de départ.
Dans une étude qualitative
´ Si l’étudiant choisit l’étude qualitative, le focus group (la discussion de groupe) semble
être l’un des outils les plus pertinents pour récolter des informations. En effet les nouvelles
technologies de communication suscitent beaucoup de débat entre diverses générations. Il
peut être intéressant d’organiser une discussion sous forme de débat, avec des participants
d’âges différents. Cela peut permettre de faire émerger certaines divergences selon la
catégorie d’âge des personnes interrogées.
L’étudiant rédige ainsi le guide d’entretien pour mener son focus group. Avec cet outil, les
questions doivent être très générales et ouvertes. Elles invitent les participants à débattre
entre eux .
b) Choisir entre l’entretien individuel et la réunion de groupe :
Chacune de ces deux techniques d’investigation a des avantages et des inconvénients :
Entretien individuel :
Les avantages : faciles à organiser, permet de comprendre en profondeur l’inconscient du
répondant. Il favorise le climat de confiance nécessaire à la récolte d’information à
caractère intime et personnel.
Les inconvénients : coût élevé, durée de collecte élevée, nécessité d’un animateur
psychologue très qualifié
La réunion de groupe :
Les avantages : : rapidité de la collecte, il génère plus d’idées que les entretiens individuels,
la richesse des informations favorisées par l’expression libre et par l’interactivité et
11
l’échange dynamique entre les participants.
Les inconvénients : difficulté de recruter des participants ayant un profil parfois très
spécifique, analyse et synthèse des résultats parfois difficile du fait du grand nombre
d’idées variées, coût élevé, effet de la présence d’un leader.
8.2. Collecter des données dans une étude quantitative
´ Pour mener une étude empirique, le chercheur a le choix entre trois méthodes :
´ L’étude mixe
• Les études quantitatives ont pour objectifs de guider les actions grâce à une connaissance
quantifiée.
• Une étude quantitative sert à prouver ou démontrer des faits en quantifiant un phénomène.
• Les résultats sont souvent exprimés sous forme des données chiffrées (statistiques).
• Le plus souvent, on retrouve les résultats d’études quantitatives sous forme des tableaux
statistiques ou des graphiques.
Elles permettent de tirer un échantillon d’une population mère en appliquant des méthodes
probabilistes ou empiriques afin d’administrer un questionnaire à cet échantillon afin de collecter
des informations.
2. Construction de l’échantillon
a. La présentation de l’échantillon :
• Il faut définir correctement la population étudiée.
• Le sous-ensemble d’individus ainsi constitués est appelé échantillon.
12
• l’échantillon est représentatif lorsqu’il comprend des proportions identiques de la population
mère.
• Une bonne définition de la population mère évite de commettre des erreurs lors de la sélection de
l’échantillon.
• La sélection de l’échantillon consiste à choisir un groupe représentatif de cette population mère : le
groupe se répartit de la même manière que la population mère sur le phénomène étudié.
b. La méthode d'échantillonnage :
• La méthode d'échantillonnage probabiliste :
Ø L'échantillonnage aléatoire simple est rarement utilisé mais il offre les bases théoriques à
l’ensemble des méthodes probabilistes. Son principe est de tirer aléatoirement les individus
à interroger à partir de la base de sondage.
ü Dans cette méthode on part de l’hypothèse qu’un certain nombre de variables (âges, sexe,
taille…) influencent ou expliquent le phénomène étudié et l’on impose à l’échantillon
d’avoir une structure identique à celle supposée connu de la population mère.
c. La taille de l’échantillon:
ü Celle-ci dépend de la variance par rapport au phénomène observé et non de la taille de la
population mère.
ü Lorsque la méthode d’échantillonnage sélectionné est une méthode probabiliste. Les lois
statistiques donnent les résultats. Pour cela le seuil et l’intervalle de confiance doivent être
choisis.(marge d’erreur d’une enquête qui varie entre 1% & 10%)
3. Le questionnaire :
a. Définition :
13
• Le questionnaire est la base écrite de collecte de l’information.
• Il peut prendre la forme d’un papier ou une forme numérique.
b. La rédaction du questionnaire
• Les questions doivent être organisées en entonnoir :il faut commencer par les questions
les plus générales et les moins impliquâtes puis évoluer progressivement vers les questions
plus particulièrement et les plus impliquâtes.
• L’ordre des questions doit être par thème, cela permet d’aborder un thème avant d’aborder
un autre.
• Le vocabulaire des questions doit être : simple, neutre, mots de même sens pour tous les
interrogés, …
• Ordinales
• Intervalles
• Numérique ou de rapport.
• Les questions fermées : lorsque les réponses possibles à une question sont limitées et
indiquées dans le questionnaire.
• A B C D
• Les questions semi-ouvertes : c’est une forme hybride entre la question ouverte et la
question fermée. L’enquêteur propose un nombre limité de réponse mais offre aussi une
possibilité d’ouverture dans le cas où la réponse désirée par le répondant ne figure pas
parmi les modalités proposées.
14
• A B C D Autres ………
Ø Les échelles numériques ou de rapport : elles ont référence à toutes les informations ou la
codification chiffrée à un sens dans l’absolu. L’âge du répondant, son revenu et le nombre
de personne dans le foyer .
Ø Les échelles d’intervalles : elles sont couramment utilisées pour mesurer les attitudes et la
perception des interviewé. Elles permettent d’établir une progression dans les réponses
possibles et d’indiquer une intensité d’attitude ou de perception.
Ø Les échelles ordinales : Les variables ordinales sont des catégories qui sont
naturellement ordonnées.
Ø d. L’administration du questionnaire;
• L’administration par téléphone : Elle est rapide et coûte moins chère que la méthode
précédente. L’enquêteur peut saisir directement les réponses sur ordinateur ce qui permet
un gain de temps. Elle permet aussi d’interroger un échantillon de taille importante et
répartie sur un large territoire. Mais elle ne permet pas l’administration d’un
questionnaire long ni d’utiliser un support visuel.
• L’administration par voie postale : Elle permet d’administrer un questionnaire long, qui
demande réflexion ou vérification de certains éléments disponibles chez soi.
15
• Ce traitement commence par un tri à plat de toutes les questions.
• Chaque question est traitée indépendamment des autres questions. Dans le cas d’une
question quantitative, on obtient une valeur moyenne sur l’ensemble de l’échantillon.
• Pour une question qualitative le tri à plat donne le pourcentage d’individus associés à une
modalité particulière.
• Le but d’un tri croisé est de repérer dans quelle mesure la réponse faite à une question
dépend de celle faite à une autre question.
• Le traitement des données peut se faire à l’aide des logiciels spécifiques: (SPHINX, SPSS.)
• Mais la phase la plus difficile est celle qui porte sur l’analyse des données.
• Les précisions des analyses et leur degré de fiabilité conditionnent la réussite de l’étude.
• L’analyse doit se faire en faisant appel à l’aide des spécialistes dans tous les domaines :
économie, sociologie, psychologie, culture...
Logiciel sphinx
Sphinx est un logiciel d'enquête et d'analyse des données. Il permet de vous assister dans
chacune des quatre grandes étapes de réalisation d'une enquête :
q la réalisation du questionnaire
q la saisie des réponses
q les traitements quantitatifs des données et l'analyse des données qualitatives
16
q Le Sphinx Plus² : il offre les mêmes fonctionnalités que "Primo" mais intègre des
techniques d'analyse multidimensionnelle plus avancées et permet d'analyser tout
fichier contenant des nombres et/ou du texte.
q Le Sphinx Lexica : il permet d'enrichir les possibilités d'analyse lexicale et de contenu
existantes dans "Primo" ou "Plus²" (traitement des questions ouvertes, des interviews
non directives ou de tout autre texte quelle que soit son origine).
Le Sphinx Plus² est organisé en 3 parties qui correspondent aux trois stades logiques de
réalisation de toute enquête :
1. Élaboration du questionnaire, cette partie permet :
q de rédiger des questions ;
q d’organiser le questionnaire ;
2. Collecte des réponses
q Elle permet de collecter tous les résultats d’enquête, avec la saisie des réponses, leur
gestion et leur consultation.
3. Traitements et analyses, cette partie permet de « faire parler » les données, de les rendre
lisibles et compréhensibles avec le calcul de plusieurs paramètres :
q Dépouillement automatique des résultats ;
q Analyses de données : tris à plat – tris croisés – traitement de texte
q Préparation de tableaux de bord.
17
Une citation est un passage tiré d'un document généralement utilisé pour illustrer ou
appuyer ce qui est avancé dans un travail. La source doit absolument être indiquée en format abrégé avec la
citation et en format complet dans la liste de références. (Provost, 2010, p. 48). On distingue deux
différents types de citations :
les citations directes.
les citations indirectes.
18
• BROCKWAY, D., 1982, « Connecteurs pragmatiques et principes de pertinence », In Langage, Nr.
67, pp. 7-23.
Autres remarques
• Les [« »], [:] et [;] doivent être précédés d’un espace Insécable.
• Éviter les césures.
• Éviter les « veuves » et « orphelines »
• Chaque nouveau chapitre commence sur une page impaire (droite).
• La pagination doit être uniforme
Comment rédiger la conclusion
• La conclusion répond à la problématique posée au début de la composition. C'est la dernière étape
de l'exercice, elle doit donc être convaincante pour laisser le correcteur sur une bonne impression.
La conclusion doit être nettement séparée du corps du développement par un blanc.
Objectif : élaborer une conclusion synthétique et ouvrir sur une question proche
Conclusion :
• Le traitement des données peut se faire à l’aide des logiciels spécifiques: (SPHINX,
SPSS..)
• Mais la phase la plus difficile est celle qui porte sur l’analyse des données.
• L’analyse doit se faire en faisant appel à l’aide des spécialistes dans tous les domaines :
économie, sociologie, psychologie, culture...
Bibliographie :
´ Aubert B & al., 2008, Méthodologie de recherche, Paris, Pearson éducation, p397.
19