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I/ L’origine de l’État
Texte de BAGUENARD
« l’origine de l’État est une énigme » qu’elles sont les 3 hypothèses qui sont à l’origine de l’État ?
- L’origine de la volonté divine – l’accomplissement de la volonté humaine -L’état serait un
état de fait. L’auteur nous parles de c 3 hypo mtn l’État de fait : Il y a 3 événements à l’origine de
l’état de fait : - le commerce par le troc – La guerre il dit que la guerre est un événement a
l’origine mais tout de suite après il dit nuance c propos, est ce qu’une guerre amène forcement a un
nouveau État , c pas psq ya une guerre qui a créat° d’un état de fait, De plus la guerre rencontre
uniquement de la formation des États originaire, État premier et ne rend pas compte de la formation
des États qui se créent par la suite. La guerre rencontre uniquement donc de la forme de la création
des états premier et elle survalorise la capacité des conquêtes à faire naître un État. - La tendance
naturelle c un groupe constitué qui chercherais à revendiqué son autonomie, son originalité
distinctive, tout en approfondissent sa cohésion
L’État comme l’accomplissement de l’état divines : Hegel voit dans l’état la réalisation de l’Esprit
sur terre.
Doc Soissons
Le monopole de la violence qui se manifeste dans l’histoire de Soissons. On à Clovis qui agit dans
un intérêt publique et il va s’affirmer contre la Noblesse qui elle, revendique un intérêt particulier.
Implicitement ca démontre la lenteur spécifique de la sanction de l’état (clovis qui met 1 an à tuer le
soldat)
A/ L’élément géographique : Le territoire (support géographique sur lequel la populat° de l’état vit
et exerce la souveraineté)
Le territoire est à la fois un titre juridique de l’état mais aussi une limite spatial
La populat° peut former un tout un ensemble homogène , elle forme une nation « État-nation »
(létat n’est qu’une manifestation juridique de la nation) à l’inverse elle peut forme aussi un
ensemble hétérogène , donc pas un tout, on parle «D’ état multinationaux » c-a-d au sein même
d’un état plusieurs nations coexistes (ex : La Hongrie)
Nation : c un groupement humain dans lequel les personnes se sont unis les un aux autres et se
conçoivent comme différent des individus qui composent les autres groupements nationaux
Conception Allemande fondé par FICHTE qui valorisé les liens du sang et surtout la langue
commune dans le but de rassembler « la race Allemande » . Cette thèse sera repris par la national
socialiste pour justifier l’extension de l’Allemagne, et l’homme se retrouve pris par son
appartenance national. (patriotisme = aimer défendre sa partie et nationalisme= se sentir supérieur,
qu’elle est meilleur aux autres)
Subjective Française qui à été élaborer par F. DE COULANGES et RENAN qui considère que la
nation n’est pas seulement le produit d’élément objectif (cf Allemand) pour eux , la nation doit ê
voulu pour exister : importance de la volonté.
Dernier éléments qui compose l’état c le pouvoir suprême sur le territoire, cette souveraineté se
manifeste par une organisa° juridique et politique qui peut exercer un pouvoir de contrainte et de
coercition.
- L’état et le seul détenteur de la souveraineté
- La souveraineté est égal a la liberté ca-d qu’il est permanent
- La souveraineté = indépendance c-a-d qu’un état ne peut venir s’initier dans l’état
3/ Les formes de l’état
A) État unitaire
L’état unitaire existe un seul système de droit applicable sur tout le territoire il peut être
centraliser(lorsque toute les compétences appartiennent à l’état) et décentraliser (l’’états transfère
à certains organes certaines de ces compétences)
l’état régional : les régions peuvent légiférer dans certains domaine (Italie, Espagne)
État concentré = Le pouvoir central qui met en œuvre c compétence lui même
Etat déconcentré (≠ décentralisé) = Les compétences appartiennent tjr à l’État mais sont
représenter par un entreprenant de l’état (ex préfet)
B) L’état fédérale
=Celui dans lequel il existe plusieurs systèmes juridiques (le 1er l’ordre juridique de l’état fédéral et
l’ordre juridique des états fédérés et c pour ça qu’il existe une répartition de compétence) sous un
même territoire
2 principes : principes d’autonomie ou l’état fédéré à une autonomie législatif leur permettant de
disposés d’une législation propre ert le principe de participation les états fédérés qui participes au
pouvoir législatif et constituant au niveau fédérale
Différence entre Etats fédéral (intra étatique , le siper état domine)Confédération fédérale
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Dans quelle mesure la conception de l’état selon G.Burdeau est une conception idéaliste de l’état
La souverainété : c’est le caractére supreme d’un pouvoir : suprême, en ce que ce pouvoir n’en
admet aucun autre au dessus de lui ou en concurrence avec lui.
A) Procéssus historique
la notion de souveraineté est née dans la pratique avant d’être théoriser. Cette notion née d’un
phénomène concret (du pouvoir du roi) par l’affirmation de son indépendance (ref bataille de
bouline 1214) et par les conquêtes et d’autre part en soumettant les seigneurs à sa puissance.
B) Une notion issue d’une théorie politique
Le 1er a avoir théoriser la souveraineté et J.Bodin « les civils de la république » de 1476 (ref guerre
des religions au 16é siècles créant un lien de théoriser la notion de souveraineté). Il a essayer
d’échapper au massacre de la saint barthélémi (massacre des prostestant) = les guerres de religion à
profondemment marqué la France. Il va donc théoriser la souveraineété afin de permettre d’affirmer
l’autorité du souverain remis en cause par les catholiques ultra et les protestants
II) La signification de la notion de souveraineté
A)La signification originel de la souveraineté
Chez Bodin la notion de Souv est une critères de l’état il nous dis que la république(renvoie à l’état
pour Bodin) est un droit de gouvernement de plusieurs ménages, et de ce qui leur est commun, avec
puissance souveraine. Pour qu’un état soit état il faut qu’il est la puissance souveraine (c la
souveraineté et la puissance absolues et perpétuelles d’une république)
Souveraineté absolue = indivisible (pe pas ê partager entre plusieurs entité car si elle est partager
elle cesse d’exister) et illimité (s’impose à tous, elle ne requiert pas l’adhésion de ceux a qui elle
s’adresse et que le souverain peut prendre les lois qu’il entend ou les abrogés comme il le souhaite
le souverain n’est pas limité dans sa fonction normative)
Ref Cardin Le Bret = théoriciens de la souveraineté du 16é siècles = la souv nest pas plus divisible
que le point en géométrie
Souv partagé = doc 3 = l’auteur nous défini la notion de souv est le fait de détenir la compétence de
sa compétence. La notion de souv et de souv partager et un non sens car le caractére principal de la
souv ne peut pas ê partager car elle n’existera plus mais nombreux auteur parle de la souv partager
= 2 phénomes 1er = construction européenne et 2e= décentralisation (l’état transfère ses
compétences vers des entités locales). L’auteur nous propose une analyse de souv partager. Il nous
parle d’une compétence dites souv qu’il serait le droit de nouer des relations international de + il
nous parle de la c&apacité législatif (capacité de faire des lois) et effectue un lien avec les
fédéralismes psq certain auteur considère qui ya bien un partage de souv au état unis entre les états
fédérés et les états fédéral et cest ce que dit la cours suprême des états unis « les états fédérés ne
sont pas souv mais ils ont conserver une part de souveraineté inviolable et sacrer » et il nous parle
du pouvoir d’auto organisation qui serait également la preuve que la souv p e également partager.
Pour l’auteur la compétence souveraine on ne sait pas ce que c. 2é critique sur capacité législatif
pour affirmer que la capacité à légiférer n’est pas un élément de souveraineté partager l’auteur
invoque la jurisprudence des juridictions constitutionnelles des états régionaux ou selon c derniers
d’apres c juridictions l’exercice du pouvoir législatif (à l’échelon régional) ne confère pas des
pouvoirs souverain a c collectivité et la 3é critiques porte sur l’auto organisation n’obtient qu’une
part de compétence que l’état lui à transféré
On peut se questionner sur le caractère constitutionnel de l’ordre juridique européen. L’état n’est
pas la seule forme d’organisation politique possible, ont peut donc envisager de parlé de
constitution pour toute forme d’organisation politique et on ne peut réserver le mot constitution aux
états. C’est la relectivisation à des limites on ne peut pas parler de communauté publique pour tout
type d’organisation car par exemple les syndicats et les associations ne sont pas des communes
publique car leur compétences sont soumise à un principe de spécialité alors qu’une communauté
publique peut se saisir de tout sujet politique.
Phénomène de constitutionnalisation des traités. Dans sa thèse l’auteur dit que ce n’est pas parce
qu’on dit que c’est une constitution à la place d’un traité que ce n’est pas lisible.
Doc 5 :
On a 3 éléments de définition :
- Acte fondateur : Texte qui expose les principes et les valeurs d’une société
- Acte organisateur : détermine l’organisation et le fonctionnement du pouvoir
- Acte écrit : Constitution qui rend par écrit les valeurs et règles d’organisation
Selon l’auteur on ne peut pas réserver le mot constitution à l’état par exemple on oppose l’empire à
l’état alors que l’empire à une constitution nommé Politéa. La conséquence de ce postulat sur le
débat de l’UE est que le fait que l’europe ne soit pas pas un état n’est pas un obstacle à ce qu’elle ait
une constitution.
Doc 3 :
L’auteur parle de la constitution européenne et il est pour. Il nous donne 3 arguments :
- Cela permettrait d’affirmer que l’UE n’est pas uniquement un marché mais aussi un espace
politique ou il existe des valeurs communes
-Cela permettrait d’avoir un texte clair et concis fixant l’organisation des pouvoirs et les droits et
libertés des citoyens de l’union
- Cela supprimerai l’obligation d’unanimité pour modifier les traités.
Doc 4 :
Doc 9
L’auteur dit que le traité est une véritable constitution mais il relativise sans propos d’un point de vu
formel. Le traité n’est pas une constitution car la procédure qu’il lui est attaché est une procédure de
traité. Ce point de vu atténu son argument , il ne s’y attardera mas trop et va se concentrer sur le
point de vu matériel : Le texte contient des règles de notion constitutionnelles qui sont relative à
l’organisation de l’état et au droits fondamentaux.
D’un point de vu organique l’auteur va se demander si il y a un pouvoir constituant originaire. Le
pouvoir constituant originaire c’est celui qui est à l’origine de la constitution et qui peut la modifier
ou l’abroger. Pour l’auteur il y’en a un il serait la somme des pouvoirs constituant dérivé de tout les
états membres. Le traité était une constitution pour l’Europe et devra être abrogé par les états
membres, respectant leur règles de constitution respective. Pour l’auteur cela veut dire que le
constituant dérivé intervient dans chaque état. Cela peut être contestable d’un point de vu
démocratique car ce n’est pas toujours par référendum que le pouvoir constituant dérivé se
manifeste.
On considère que l’ordre juridique est composé de normes qui n’ont pas toute la même valeur. La
plus importante c’est la constitution qui va déterminé le type d’élaboration des autres normes , elle
est donc le fondement de l’ordre juridique. Elle est au sommet de la hiérarchie des normes faites pas
H.Kelsen qui à élaboré un principe en vertu duquel la norme inférieur doit être conforme à la norme
supérieur pour être valide.
Distinction de Montesquieu entre la faculté de statuer (faculté d’agir) et la faculté d’empêcher qui
est celle de surveiller. Puis il va nous parler du pluralisme politique, l’idée que le pouvoir est
fragmenter à tout les niveaux de l’état et de la société en pourrait intégrer le pouvoir de surveille qui
revient souvent à l’opposition dans le parlement, au états unis c une séparation des pouvoirs entre
les états fédérés et l’état fédérales (séparation verticales des pouvoirs) l’auteur , tjr au état unis ,
explique que le pouvoir est aussi exercer d’une certaine façon par les entreprises privés qui peuvent
influencer le droit notamment par le lobbying c la séparation entre le pouvoir politique et
économique théorisé par M.Hauriou en 1910 l’auteur n’en parle pas mais une nouvelle séparation
est apparut entre le politique et le juridique c-a-d entre le pouvoir législatif et exécutive d’un côté et
le pouvoir juridictionnelle de l’autre avec l’émergence du contrôle de constitutionnalité des lois le
pouvoir politique est désormais soumis au juge constitutionnelle. Montesquieu affirmé que le
pouvoir judiciaire était un pouvoir neutre, aujourd’hui il n’est plus neutre, il peut s’opposer au
pouvoir législatif ordinaire, en revanche le pouvoir législatif constitutionnelle peut tjr contourner
une jurisprudence du juge constitutionnelle en modifiant la constitution.