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Droit constit

Monsieur « L’état est un phénomène historiques politique et juridique »

I/ L’origine de l’État

Texte de BAGUENARD
«  l’origine de l’État est une énigme » qu’elles sont les 3 hypothèses qui sont à l’origine de l’État ?
- L’origine de la volonté divine – l’accomplissement de la volonté humaine -L’état serait un
état de fait. L’auteur nous parles de c 3 hypo mtn l’État de fait : Il y a 3 événements à l’origine de
l’état de fait : - le commerce par le troc – La guerre il dit que la guerre est un événement a
l’origine mais tout de suite après il dit nuance c propos, est ce qu’une guerre amène forcement a un
nouveau État , c pas psq ya une guerre qui a créat° d’un état de fait, De plus la guerre rencontre
uniquement de la formation des États originaire, État premier et ne rend pas compte de la formation
des États qui se créent par la suite. La guerre rencontre uniquement donc de la forme de la création
des états premier et elle survalorise la capacité des conquêtes à faire naître un État. - La tendance
naturelle c un groupe constitué qui chercherais à revendiqué son autonomie, son originalité
distinctive, tout en approfondissent sa cohésion

L’état comme accomplissement de la volonté humaine = Contractualisme Rousseau,Hobbes,


Locke , ce sont des philosophe qui regardent l’état comme un phénomène contractuelle : ainsi l’état
serait le résultat d’un contrat sociale marquant le passage d’un état de nature à un état de société.
Pour Rousseau et Locke partagent une vision pacifique de l’état de nature
Pour Hobbes il va avoir une vision négative de l’état de nature pour lui agressivité domine quand on
est dans un état de nature, pour la survit de l’homme, de sa sécurité de passer à un contrat.
Pour les 3 on a une conceptions de l’État ou on va fondé une société durable dans lequel va primer
la sécurité de l’individu mais également le respect de l’égalité

L’État comme l’accomplissement de l’état divines : Hegel voit dans l’état la réalisation de l’Esprit
sur terre.

B/ Origine historique de l’état


Doc 2 sur Clovis : 2 thèses « continuisme » et « discontinuisme »
« continuisme » Elle considère que la notion d’État a tjr exister a tte les époques, donc la famille, la
cité, la seigneurie féodale, représente un seul et même objet c-a-d : une institutionnalisation de
l’exercice de l’état (= c la distinction entre le titulaire du pouvoir et le pouvoir lui-même). L’histoire
nous montre bien que c dans la nature humaine de vivre en société.
« discontinuisme » qui considère que la notion d’état est une réalité complètement nouvelle dans
l’histoire de l’institution politique. Caractéristique de l’état nouveaux
-L’affranchissement de tout pouvoir religieux ou impériale
– La centralisation de production normative
– La séparation de l’imperium(pouvoir de celui qui gouverne) du dominium (propriété) séparation
entre la fonction de gouverné et la propriété
Les roi à partir du 13é siècles vont commencé à s’émanciper contre les puissances extérieurs (le
sainte empire germanique et l’église catholique « le saint siège ») donc pour cela réf de la bataille
de Bouvine (1214) oppose le roi de France Phillipe 2 Auguste à l’empereur germanique car P.2.A
refusé de céder les terres à son père le roi d’Angleterre qui provoquera une bataille (la France à
gagner)
Va avoir un phénomène de centralisation du pouvoir entre les mains du roi : va passé par le
monopole de l’armée et d’autre part de la lever des impôts : monopole de la violence et monopole
fiscale : thèse de N.Elias (sociologue qui explique la genèse de l’état comme un phénomène
progressive avec la conquêtes de différent monopoles) : Le monopole fiscale est très importante.
Cette centralisation va s’accentuer jusqu’au 18é siècles (révolution). Début 20é M.Webber qui lui
définissait l’état comme le détenteur du monopole de la violence légitime (l’état est le seul à
bénéficier du droit de mettre en œuvre lui même ou par délégation la violence physique).

Doc Soissons

Le monopole de la violence qui se manifeste dans l’histoire de Soissons. On à Clovis qui agit dans
un intérêt publique et il va s’affirmer contre la Noblesse qui elle, revendique un intérêt particulier.
Implicitement ca démontre la lenteur spécifique de la sanction de l’état (clovis qui met 1 an à tuer le
soldat)

A/ L’élément géographique : Le territoire (support géographique sur lequel la populat° de l’état vit
et exerce la souveraineté)

Le territoire est à la fois un titre juridique de l’état mais aussi une limite spatial

a) Le territoire : Titre juridique


c-a-d que l’état agit à travers c organes et limite ratione loci le pouvoir de commandement de c
organes.

b) Le territoire spatial : Titre spatial


Le territoire est fixé par des frontières aux dedans desquels l’état n’y est plus.

B/ La population (ensemble de personne physique vivant sur le territoire)

La populat° peut former un tout un ensemble homogène , elle forme une nation « État-nation »
(létat n’est qu’une manifestation juridique de la nation) à l’inverse elle peut forme aussi un
ensemble hétérogène , donc pas un tout, on parle «D’ état multinationaux » c-a-d au sein même
d’un état plusieurs nations coexistes (ex : La Hongrie)
Nation : c un groupement humain dans lequel les personnes se sont unis les un aux autres et se
conçoivent comme différent des individus qui composent les autres groupements nationaux
Conception Allemande fondé par FICHTE qui valorisé les liens du sang et surtout la langue
commune dans le but de rassembler « la race Allemande » . Cette thèse sera repris par la national
socialiste pour justifier l’extension de l’Allemagne, et l’homme se retrouve pris par son
appartenance national. (patriotisme = aimer défendre sa partie et nationalisme= se sentir supérieur,
qu’elle est meilleur aux autres)
Subjective Française qui à été élaborer par F. DE COULANGES et RENAN qui considère que la
nation n’est pas seulement le produit d’élément objectif (cf Allemand) pour eux , la nation doit ê
voulu pour exister : importance de la volonté.

C/ La puissance publique : La souveraineté

Dernier éléments qui compose l’état c le pouvoir suprême sur le territoire, cette souveraineté se
manifeste par une organisa° juridique et politique qui peut exercer un pouvoir de contrainte et de
coercition.
- L’état et le seul détenteur de la souveraineté
- La souveraineté est égal a la liberté ca-d qu’il est permanent
- La souveraineté = indépendance c-a-d qu’un état ne peut venir s’initier dans l’état
3/ Les formes de l’état

A) État unitaire

L’état unitaire existe un seul système de droit applicable sur tout le territoire il peut être
centraliser(lorsque toute les compétences appartiennent à l’état) et décentraliser (l’’états transfère
à certains organes certaines de ces compétences)
l’état régional : les régions peuvent légiférer dans certains domaine (Italie, Espagne)

État concentré = Le pouvoir central qui met en œuvre c compétence lui même
Etat déconcentré (≠ décentralisé) = Les compétences appartiennent tjr à l’État mais sont
représenter par un entreprenant de l’état (ex préfet)

B) L’état fédérale

=Celui dans lequel il existe plusieurs systèmes juridiques (le 1er l’ordre juridique de l’état fédéral et
l’ordre juridique des états fédérés et c pour ça qu’il existe une répartition de compétence) sous un
même territoire
2 principes : principes d’autonomie ou l’état fédéré à une autonomie législatif leur permettant de
disposés d’une législation propre ert le principe de participation les états fédérés qui participes au
pouvoir législatif et constituant au niveau fédérale

Différence entre Etats fédéral  (intra étatique , le siper état domine)Confédération fédérale

26/10

Doc Georges Bourdeau


il défend l’idée que l’état est une idée plus qu’une réalité autrement dit il défend la conception
idéaliste de l’état. 1er paragraphe = réalité 2é paragraphe = idée 3é paragraphe = la conception
idéaliste ne suffit pas a identifié l’état

Dans quelle mesure la conception de l’état selon G.Burdeau est une conception idéaliste de l’état

I/ L’essence idéale de l’état


A) Une entité impalpable : objet de sentiment subjectif
Si l’état est une réalité c une réalité affectif, et c une réalité sensible, l’auteur dit « comme le sont
notre allégence »
B) Une construction spirituelle exprimant une réalité
Selon l’auteur l’état n’est pas qu’une définition positive exprimant une réalité concrète. L’idée
d’état transcende tout ces élements réel que sont la population, l’état ou la puissance publique.
D’autre part si elle est une réalité c une réalité conceptuelle

II/ La fonction idéal de l’état


A) Le rejet d’une fonction réaliste de l’état
Selon l’auteur il est impossible de comprendre ce qui est l’état en s’intéressant qu’au fait. Il y a une
approche réaliste de l’état en vertu de laquelle l’état serait qu’un instrument de domination des forts
sur les faibles (critique de l’approche marxiste)
B) L’adhésion à une fonction idéal de l’état
L’état permet d’en oublier l’obéissance et conclu que si l’état est une réalité c psq il est avant tous
une idée autrement dit c psq l’on croit à l’idée qu’on voit une réalité (ex agent de police on obeis
pas a la personne mais à l’idée de ce qu’est l’agent)

Séance 3 : Souveraineté comme critères de l’état

doc : contribution à la théorie de l’état


il se demande qu’est ce qui différencie l’état des autres groupement humaine (région , commune
province etc) car ils ont un territoire et une population. Le critère qui lui a paru comme définition de
l’état est la souveraineté cette notion de souveraineté caractérise uniquement l’état

La souverainété : c’est le caractére supreme d’un pouvoir : suprême, en ce que ce pouvoir n’en
admet aucun autre au dessus de lui ou en concurrence avec lui.

1) La double origine de la notion de souveraineté


Les 2 origines de la souveraineté : issus d’un processus historiques puis théoriser

A) Procéssus historique
la notion de souveraineté est née dans la pratique avant d’être théoriser. Cette notion née d’un
phénomène concret (du pouvoir du roi) par l’affirmation de son indépendance (ref bataille de
bouline 1214) et par les conquêtes et d’autre part en soumettant les seigneurs à sa puissance.
B) Une notion issue d’une théorie politique
Le 1er a avoir théoriser la souveraineté et J.Bodin « les civils de la république » de 1476 (ref guerre
des religions au 16é siècles créant un lien de théoriser la notion de souveraineté). Il a essayer
d’échapper au massacre de la saint barthélémi (massacre des prostestant) = les guerres de religion à
profondemment marqué la France. Il va donc théoriser la souveraineété afin de permettre d’affirmer
l’autorité du souverain remis en cause par les catholiques ultra et les protestants
II) La signification de la notion de souveraineté
A)La signification originel de la souveraineté
Chez Bodin la notion de Souv est une critères de l’état il nous dis que la république(renvoie à l’état
pour Bodin) est un droit de gouvernement de plusieurs ménages, et de ce qui leur est commun, avec
puissance souveraine. Pour qu’un état soit état il faut qu’il est la puissance souveraine (c la
souveraineté et la puissance absolues et perpétuelles d’une république)

Souveraineté absolue = indivisible (pe pas ê partager entre plusieurs entité car si elle est partager
elle cesse d’exister) et illimité (s’impose à tous, elle ne requiert pas l’adhésion de ceux a qui elle
s’adresse et que le souverain peut prendre les lois qu’il entend ou les abrogés comme il le souhaite
le souverain n’est pas limité dans sa fonction normative)
Ref Cardin Le Bret = théoriciens de la souveraineté du 16é siècles = la souv nest pas plus divisible
que le point en géométrie

Souveraineté perpétuelles = continue (resiste au changement du temps) et impersonnel (rejoins le


caractère continue, elle subsiste au renouvellement des gouvernent car le pouvoir n’est pas la
propriété du gouvernement ). En posant ici le caractère perpétuelles de la souv J.B pose la déf
moderne de l’état qui suppose à la fois la continuité et la forme impersonel de domination politique
B) Les implications de la signification originel de la notion de souveraineté
1)La distinction entre souv interne et externe
Externe: se manifeste dans les rapports internationaux des états dc elle implique pour l’état
l’exclusion de toute subordination vis à vis des autres états. Elle applique notion d’indépendance
Interne : se manifeste avec les rapports avec les personnes situé dans son territoire.
Elle implique que la volonté de l’état prime,domine tte les autres volontés que ce soit celle des
individus ou des organisations.
2) La définition juridique de la souveraineté
Cette def juridique de la souv aà été apporté par la doctrine allemande du 19é siècles et selon cette
doctrine est souverain celui qui détient la compétence de sa compétence autrement dit est souverain
celui qui peut librement définir l’étendu de sa propre compétence (cette déf juridique va avoir
des implications importante sur les problèmes que pose la notion de souveraineté dans le cadre de
l’état fédérale)
C) Les ambiguïté de la notion de souveraineté
Allemands 3 notions :
Die souveranttat
Die Staatscgewalt = ensemble des pouvoir de la puissance de l’état. Ce terme comprend faire et
cassé la loi, décidé de la guerre et de la paix nommé tous les agents de l’état, juger en dernier ressort
et exercé le droit de grâce
Die herrschaft = organe qui dispose de la souveraineté dans l’état, détendeur de la souveraineté
C 3 termes permet d’etre plus précis. En France qu’une seule notion
III/ La pertinence de la notion de souveraineté
A) La notion de souveraineté à l’épreuve de l’état fédérale
Doctrine Louis le Fur (XIX)fait remarquer que c le droit de l’état fédérale qui prime le plus souvent
sur le droit des états fédérés
B) La notion de souv à lépreuve de la régionalisation et de la mondialisation
Selon l’auteur la souv atteste d’une dimension quasi mystique de la politique c-a-d qu’on croit en la
souveraineté alors qu’elle semble ê de + en + remise en cause. L’auteur va nous parle dans l’ordre
international : il nous montre qui a un décalage entre la notion de souveraineté et la réalité des
relations internationales notamment par l’accumulation des traités des droits de l’homme
Dans l’ordre interne : de nombre de texte constit dans l’ordre interne emploie le terme de souv
notamment la constitution de 1958 mais l’auteur fait remarquer que ceux qui sont amené à exercer
cette souveraineté n’ont sans pas – tenu par les règles de procédure donc si ceux qui exerce leur
souveraineté par les ordres de procédure la souv est encadrer.

Souv partagé = doc 3 = l’auteur nous défini la notion de souv est le fait de détenir la compétence de
sa compétence. La notion de souv et de souv partager et un non sens car le caractére principal de la
souv ne peut pas ê partager car elle n’existera plus mais nombreux auteur parle de la souv partager
= 2 phénomes 1er = construction européenne et 2e= décentralisation (l’état transfère ses
compétences vers des entités locales). L’auteur nous propose une analyse de souv partager. Il nous
parle d’une compétence dites souv qu’il serait le droit de nouer des relations international de + il
nous parle de la c&apacité législatif (capacité de faire des lois) et effectue un lien avec les
fédéralismes psq certain auteur considère qui ya bien un partage de souv au état unis entre les états
fédérés et les états fédéral et cest ce que dit la cours suprême des états unis « les états fédérés ne
sont pas souv mais ils ont conserver une part de souveraineté inviolable et sacrer » et il nous parle
du pouvoir d’auto organisation qui serait également la preuve que la souv p e également partager.
Pour l’auteur la compétence souveraine on ne sait pas ce que c. 2é critique sur capacité législatif
pour affirmer que la capacité à légiférer n’est pas un élément de souveraineté partager l’auteur
invoque la jurisprudence des juridictions constitutionnelles des états régionaux ou selon c derniers
d’apres c juridictions l’exercice du pouvoir législatif (à l’échelon régional) ne confère pas des
pouvoirs souverain a c collectivité et la 3é critiques porte sur l’auto organisation n’obtient qu’une
part de compétence que l’état lui à transféré

Séance 4 : La notion de constitution


Document 1 : Définition d’une condition matérielle

C’est l’ensemble des règles relatives à l’organisation du pouvoir, à son fonctionnement et à la


constitution elle même. On constate que tout état à une constitution peut importe la forme ou le
principe qu’elle applique. Il y a la une critique de l’article 16 de la DDHC, certains considèrent que
d’un point de vue matériel une constitution doit prévoir les droits et liberté fondamentaux ? On peut
considéré qu’un pays on libéral (qu ne protège pas les droits de l’homme et de l’individu) à quand
même une constitution au sens matériel car il y a des règles relative à l’organisation des pouvoirs.
Seuls les états ont une constitution ou l’organisation d’un pouvoir autonome ne peut conserver que
les états. L’auteur ne parle pas de la définition formelle de la constitution or il existe 2 approches
pour définir une constitution. L définition formelle ou matérielle
→ Approche formelle = définition de la constitution en fonction de son mode d’élaboration. Une
constitution est un texte formelle rédigé selon une procédure par un organe spécifique et qui ne
pourra est modifié que selon une procédure spécialement prévu à cet effet.
→ Approche matérielle = Définition de la constitution en fonction de son contenu, de sa matière.

A) Le début sur la constitution européenne

On peut se questionner sur le caractère constitutionnel de l’ordre juridique européen. L’état n’est
pas la seule forme d’organisation politique possible, ont peut donc envisager de parlé de
constitution pour toute forme d’organisation politique et on ne peut réserver le mot constitution aux
états. C’est la relectivisation à des limites on ne peut pas parler de communauté publique pour tout
type d’organisation car par exemple les syndicats et les associations ne sont pas des communes
publique car leur compétences sont soumise à un principe de spécialité alors qu’une communauté
publique peut se saisir de tout sujet politique.
Phénomène de constitutionnalisation des traités. Dans sa thèse l’auteur dit que ce n’est pas parce
qu’on dit que c’est une constitution à la place d’un traité que ce n’est pas lisible.

B) L’union européenne : un ordre juridique constitutionnel ?


L’auteur se questionne sur le fait de savoir si l’union européenne et un ordre juridique ,
constitutionnellement formel et également matériel car il fixe des règles quand à l’organisation du
pouvoir. Certains auteur comme Olivier Dihameil estime qu’il manque une constitution formelle c-
a-d une constitution à un texte officiel rédigé.
La procédure de révision est caractéristique d’un traité et pas d’une constitution. Pour modifié les
traités il faut l’unanimité des pays membres car le traité est un contrat. A l’inverse la révision d’une
constitution ne requiert par l’unanimité des représentants , il suffit d’une majorité. L’auteur explique
par la procédure des révisions des textes européens est caractéristique de traité.
D’un point de vue normatif l’auteur dit que l’UE n’a pas d’ordre juridique constitutionnel car elle
n’est pas souveraine cela prive son texte de caractère constitutionnels. Les traités ne peuvent pas
être considéré comme une norme suprême d’ordre juridique , leur validité dépend de la constitution
des états membres. Le traité ne peut donc pas être une constitution.

Doc 5 :
On a 3 éléments de définition  :
- Acte fondateur : Texte qui expose les principes et les valeurs d’une société
- Acte organisateur : détermine l’organisation et le fonctionnement du pouvoir
- Acte écrit : Constitution qui rend par écrit les valeurs et règles d’organisation
Selon l’auteur on ne peut pas réserver le mot constitution à l’état par exemple on oppose l’empire à
l’état alors que l’empire à une constitution nommé Politéa. La conséquence de ce postulat sur le
débat de l’UE est que le fait que l’europe ne soit pas pas un état n’est pas un obstacle à ce qu’elle ait
une constitution.
Doc 3 :
L’auteur parle de la constitution européenne et il est pour. Il nous donne 3 arguments :
- Cela permettrait d’affirmer que l’UE n’est pas uniquement un marché mais aussi un espace
politique ou il existe des valeurs communes
-Cela permettrait d’avoir un texte clair et concis fixant l’organisation des pouvoirs et les droits et
libertés des citoyens de l’union
- Cela supprimerai l’obligation d’unanimité pour modifier les traités.

Doc 4 :

L’auteur marque la différence entre traité et constitution.


Un traité à valeur interN → c’est un contrat → fait par les états → élaboration secrète
Une constitution à une valeur interne. → C’est un acte unilatéral → Fait par le peuple/souverains
→ délibérer publiquement et voté par les citoyens.

Doc 9
L’auteur dit que le traité est une véritable constitution mais il relativise sans propos d’un point de vu
formel. Le traité n’est pas une constitution car la procédure qu’il lui est attaché est une procédure de
traité. Ce point de vu atténu son argument , il ne s’y attardera mas trop et va se concentrer sur le
point de vu matériel : Le texte contient des règles de notion constitutionnelles qui sont relative à
l’organisation de l’état et au droits fondamentaux.
D’un point de vu organique l’auteur va se demander si il y a un pouvoir constituant originaire. Le
pouvoir constituant originaire c’est celui qui est à l’origine de la constitution et qui peut la modifier
ou l’abroger. Pour l’auteur il y’en a un il serait la somme des pouvoirs constituant dérivé de tout les
états membres. Le traité était une constitution pour l’Europe et devra être abrogé par les états
membres, respectant leur règles de constitution respective. Pour l’auteur cela veut dire que le
constituant dérivé intervient dans chaque état. Cela peut être contestable d’un point de vu
démocratique car ce n’est pas toujours par référendum que le pouvoir constituant dérivé se
manifeste.

II/ Les fonctions de la constitution


A) Une fonction de fondement de l’ordre juridique

On considère que l’ordre juridique est composé de normes qui n’ont pas toute la même valeur. La
plus importante c’est la constitution qui va déterminé le type d’élaboration des autres normes , elle
est donc le fondement de l’ordre juridique. Elle est au sommet de la hiérarchie des normes faites pas
H.Kelsen qui à élaboré un principe en vertu duquel la norme inférieur doit être conforme à la norme
supérieur pour être valide.

B) La fonction d’organisation de la vie politique


C’est le texte constitutionnels qui va déterminer les modalités des résignation des gouvernent et qui
leur attribue des compétences.

C)Les fonctions de limitation de pouvoir de la constitution


Sous la philosophie de droit, adopté une constitution c’est affirmé que le pouvoir n’est pas illimité.
Il y a un lien entre la volonté de limité le pouvoir et la constitution.

D) La fonction symbolique de la constitution


Elle peut être le symbole de l’acte fondateur comme aux états-unis avec la constitution de 1787. Et
elle peut être également le symbole d’un nouveau système politique.
II/ Les composantes de la constitutions
A) Les règles écrites
La majeur partie des constitutions sont écrite. Elle regroupe en une seule loi les règles
fondamentales et celle d’organisation du pouvoir elle vient codifié les règles. Certain considère que
même dans les pays où la constitution est écrite des règles coutumières peuvent existais. C’est le cas
sous la 5é république. Le président peut mettre fin aux fonctions du 1er ministre on à aussi les votes
par procuration des parlementaires qui sont autorisé alors que l’article 27 de la constitution dispose
que le vote soit strictement personnel or depuis 1960 le vote par procuration c’est installé dans les 2
assemblées.

B) Les règles non écrite.


Jusqu’au 18é siècles les constitutions était coutumières. Une coutume est un acte répété et ceux sur
une longue période. C’est le point de vu objectif. Le point de vu subjectif c’est quand tout pouvoir
public considère cette pratique comme obligatoire.
Il faut préciser que même dans les constitutions coutumières il existait des textes venant fixé
certaines règles. L’édit de Moulin de 1566 par Charles IX qui porté sur l’inhabilité de la couronne.

La doctrine gère une distinction importante entre coutume et convention de la constitution. La


coutume est une règle juridique elle est donc obligatoire. La convention de la constitution est une
règle politique non obligatoire. L’idée de convention de constitution à été théorisé par P.Auril qui
part de constat que les organes institué par la constitution sont nécessairement amené à interprété le
texte constitutionnel et leur propre pouvoir (président ,1er ministre, gouvernement). De cette
interprétation vont naître des pratiques que l’on appel convention de la constitution et ce sont les
règles non écrite portant sur la manière dont les pouvoirs juridiques attribue par la constitution
doivent être conforme au principe et au conviction politique reconnu.

Séance 5 : séparation des pouvoirs

Distinction de Montesquieu entre la faculté de statuer (faculté d’agir) et la faculté d’empêcher qui
est celle de surveiller. Puis il va nous parler du pluralisme politique, l’idée que le pouvoir est
fragmenter à tout les niveaux de l’état et de la société en pourrait intégrer le pouvoir de surveille qui
revient souvent à l’opposition dans le parlement, au états unis c une séparation des pouvoirs entre
les états fédérés et l’état fédérales (séparation verticales des pouvoirs) l’auteur , tjr au état unis ,
explique que le pouvoir est aussi exercer d’une certaine façon par les entreprises privés qui peuvent
influencer le droit notamment par le lobbying c la séparation entre le pouvoir politique et
économique théorisé par M.Hauriou en 1910 l’auteur n’en parle pas mais une nouvelle séparation
est apparut entre le politique et le juridique c-a-d entre le pouvoir législatif et exécutive d’un côté et
le pouvoir juridictionnelle de l’autre avec l’émergence du contrôle de constitutionnalité des lois le
pouvoir politique est désormais soumis au juge constitutionnelle. Montesquieu affirmé que le
pouvoir judiciaire était un pouvoir neutre, aujourd’hui il n’est plus neutre, il peut s’opposer au
pouvoir législatif ordinaire, en revanche le pouvoir législatif constitutionnelle peut tjr contourner
une jurisprudence du juge constitutionnelle en modifiant la constitution.

I/ La lecture séparatifs de montesqieu : 2 points une illusions *


A) Les apparences trompeuse de Montesquieu
syst politique du syst anglais et de l’absence des théories de la séparation des pouvoirs dans
l’ouvrage de montesquieu
B)
Hiérarchisation des fonctions aux bénéfices de la lois et de la coopération et de l’interférence des
compétences
II/ Une simple exigence de la simple confusion : une réalité
A) La volonté d’éviter le despotisme
L’obj de liberté politique et des risques d’un juge oppresseur liée à la puissance exécutifs
B) La séparation des pouvoirs réduit à un principe négatif
la nécessaire de la non confusion des pouvoirs qu’il s’agit dun principe négatif modulé selon les
régimes et qui implique la collaboration des pouvoirs

Séance 6 : La démocratie


J.Bernanos « Le dernier degrés de corruption pour un mot c de pouvoir servir à tout le monde et
celui de démocrate en sera bientôt là je le crains. Monsieur Ford attache bcp de prix à ce
pseudonyme , Monsieur Staline y tiens également… c’est pourquoi je préfère donc pour ma part le
décliner »

I/ La distinction démocratique antique, démocratique moderne


Doc 1 : Dans le document 1 la thèse de l’auteur c que la démocratie représentative et que pr l’auteur
n’est pas un régime démocratique mais s’agit enfaîte d’une oligarchie qui se drape du discours
démocratique pour se légitimé.
L’auteur va nous parler de la nature du vote et de la nature du tirage au sort
Le vote est de nature oligarchique ou aristocratique c le tirage au sort qui est de nature
démocratique (selon l’auteur). Rousseau lui disait que la voie du sort est plus dans la nature de la
démocratie également Montesqieu disait que le suffrage par le sort est de nature de la démocratie.
Ariste enfin disait qui l’est considéré comme démocratique que les magistratures soit attribué par le
sort. Comme Oligarchique quelle soit élective. Et il ajoute que l’un des traits du régimes
démocratique est le tirage au sort des législatures

Il va nous parler ensuite des vertus du tirage au sort :


il y a 2 vertus :
1. L’égalité des citoyens pour exercer le commandement politique
2. L’identité entre gouvernent et gouvernés
Le tirage au sort était combiné avec le principe de rotation annuelles des charges c-a-d que les
magistratures tirait au sort été renouvelé tout les gens et on ne pouvait pas ê réélu par le sort à une
même et ensuite il va nous expliqués pq le vote est de nature oligarchique ou aristocratique. Le
premier argument c’est que à la différence de l’élection par le sort qui attribue une fonction
politique à un individu qque soit ses c qualités , l’élection par le vote attribue une fonction politique
à une personne déterminer aussi les électeurs auront tendance à choisir celui qui considère comme
meilleur dans un contexte donné. Donc en se sens l’élection est aristocratique car on désigne à une
fonction politique celui qu’on considère comme étant meilleur.

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