Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
1. Obligation de déclaration :
Elle va permettre de faire connaitre à l’administration les éléments qui doivent lui permettre soit
d’établir l’imposition soit de vérifier si le précompte a été réellement versé ou si celui-ci n’a pas été
fait que cela est normal. Pour qui ?
- Les débiteurs des revenues passibles du précompte mobilier et les débiteurs soumis au
précompte prof.
- Les contribuables qui sont assujetties à l’impôt (IPP,IPM,INR ,…)
- Ceux qui offre des appareils de divertissement organisation de jeux et paris imposable)
2. La déclaration :
- La déclaration papier : formulaire établi par le Roi, il devra être complété conformément aux
indications qui y apparaissent, authentifié, daté et signé.
La déclaration + les annexes éventuels devra être renvoyé au service mentionner sur le
formulaire. ( possibilité de se faire aider pour)
3. Annexe à la déclaration :
Tous documents ou renseignements demandé dans la formule de déclaration doivent être joint à la
déclaration, si cela n’est pas fait, la déclaration ne pourra être considéré comme valable sauf si le
contribuable répond à la demande de régularisation auquel il devra satisfaire dans les 8 jours.
Délai particulier :
- Déclaration via tax-on-web: plus longs que les délais habituels (varie selon les année)
1
- En cas de départ à l’étranger : le contribuable doit demander un formulaire de déclaration
pour la partie de l’année ou il est encore habitant du royaume et de souscrire cette
déclaration dans les 3 mois à partir de la date à partir de laquelle les conditions
d’assujettissement ont cessé d’exister.
Vous devrez au registre national des personnes physique préciser la date de départ vers l’étranger et
communiquer l’adresse.
1) Déclaration IPP pour les revenues 2019 (E.C 2020) délai de rentré normal TOW juillet
2) Déclaration IPP pour les revenues du 1/1/2020 au 30/4/2020 déclaration spécial à rentrer
dans les 3 mois du départ à l’étranger 31/07/20 ( Exercice imposable 2020)
3) Déclaration INR du 01/5 30 décembre si toujours des revenues en Belgique.
La déclaration devra être rendu dans les 6 mois au maximum mais au maximum 1 mois après
l’approbation des comptes par l’AG.
Idem si société qui ont fusionné, scission,…
6. Prolongation du délai :
b) Demande individuelles :
- Prolongation pour motif sérieux : une prolongation du délai peut être accordée aux
contribuables qui fait valoir des juste motifs pour justifier le non envoi de la déclaration dans
le délai initial.
accordé que dans le cas où cela se justifie (gens de mer, résidents travaillant à l’étranger, maladie
grave, disparition de document suite à un vol ou incendie, RC non encore fixé,…)
Le volume de travail du contribuable ne peut être considéré comme un motif grave sans autre
justification pouvant permettre la prolongation du délai de la déclaration.
- Prolongation pour force majeure : ne relève pas de la volonté de l’homme et que ce dernier
ne pouvait pas prévoir ou éviter.
NE PEUT PAS ÊTRE CONCIDERE COMME FORCE MAJEURE :
Une erreur ou négligence d’un mandataire, comptable,avocat,…
La retenue de la comptabilité par le comptable
La disparition du contribuable
La maladie
Le séjour en prison
2
7. Réception de la déclaration :
8. Condition de validité
b) irrégulier inexistante , une déclaration non valable doit être renvoyé immédiatement,
invitant le contribuable à la remplir correctement. Un délai de 8 jours lui sera octroyé.
(raison pour laquelle elle est irrégulière page 12)
9. Dispense de déclaration :
La dispense de l’obligation de déclaration est applicable pour l’exercice d’imposition dont la période
imposable suit l’année civile au cours de l’accueil il a été satisfait aux conditions nécessaires pour
pouvoir bénéficier de cette dispense de déclaration. Si c’est personnes sont expressément invité par
un fonctionnaire à souscrire une déclaration IPP ils devront le faire.
Il s’agit de contribuable qui ne doivent seulement déclarer que certaines catégories de revenus et
autres éléments.
Les contribuables qui doivent déclarer des revenus d’origine étrangère, qui sont titulaire d’un ou
plusieurs comptes bancaires ou contrat d’assurance vie à l’étranger ou qui ont leur domicile à
l’étranger ne pourront avoir droit à une déclaration simplifiée.
3
Toutefois, si le contribuable n’a pas communiqué à l’administration dans le délai fixé, toute
inexactitude lacunes relevées dans la proposition d’imposition, cette dernière est assimilé à une
déclaration inexacte ou incomplète mais jamais à une déclaration tardive.
10. Pas de déclaration à l’impôt des PP mais pas non plus de proposition de déclaration simplifié
Sont dispensés de l’obligation de déclaration à l’IPP et l’administration n’est pas tenu de leur envoyer
une proposition d’imposition les contribuables qui n’ont pas d’activité professionnelle lorsque leurs
revenus imposables sont inférieur à :
- La quotité du revenu exempté d’impôt si contribuable imposé isolément
- La somme des revenus exemptées d’impôt lorsqu’il s’agit des conjoints.
Vérification de la déclaration :
4
Pouvoirs d’investigation :
Par document on entend également toutes les pièces et les données qui peuvent éclairer le taxateur
sur l’organisation et la structure de l’entreprise et sur la manière dont la comptabilité est tenu, d’eux-
mêmes que toutes les pièces extra comptable.
Les documents de nature privée peuvent être demandé si et seulement si ils sont nécessaires à la
détermination du montant des revenus imposables du contribuable.
Une dispense de communiquer les documents ou renseignements demandés peut être consenti si le
contribuable invoque le secret professionnel, en cas de doute l’administration peut solliciter
l’intervention de l’autorité disciplinaire dont dépend le contribuable afin de savoir si le secret
professionnel joue réellement.
Lorsqu’elle est requise par l’administration la personne visée un contrôle est également tenus
d’effectuer sur son matériel en présence des agents de l’administration des copies dans la forme que
les agents souhaite de tout ou partie des données précité ainsi que les traitements informatiques
jugé nécessaire à la détermination du montant de ses revenus imposables, un contrôleur ne peut
toucher à l’ordinateur.
Les données enregistrées sur des supports informatiques doivent être communiqué sous une forme
lisible et intelligible.
Le droit de rétention offre aux fonctionnaires chargés d’un contrôle la possibilité d’importer tous les
livres et documents nécessaires à fin de déterminer le montant des revenus imposables du
contribuable ou deux tiers que l’assujettie est tenus de présenter sans déplacement.
Les livres doivent toutefois être clôturé de sorte que le contribuable ne soit pas gêné dans l’exercice
de son activité. (sauf si électronique)
5
Les livres peuvent être gardé au bureau pour la durée normale de l’investigation et doivent au moins
être rendu aux contribuables au moment où un avis reposant sur des découvertes provenant de ses
livres et documents lui est envoyé.
La rétention doit faire l’objet d’un procès-verbal de rétention qui fait foi jusqu’à preuve de contraire
le contribuable de recevoir une copie du PV dans les cinq jours ouvrables qui suivent celui de la
rétention, ce qui va permettre à l’agent taxateur de dresser un inventaire détaillé du contenu des
documents emporté
Le PV de contenir toutes informations comme le nom le prénom la qualité du rédacteur, il devrait
être daté et signé par le rédacteur et doit satisfaire à la loi sur l’emploi des langues, il devrait être
repris de manière précise les motifs et les circonstances ayant mené à la décision prise.
Le fonctionnaire taxateur peut demander aux contribuables des explications verbale ou écrite au fin
de vérifier sa situation fiscale. On ne peut convoquer le contribuable sans motif sérieux ni lui
demander, par écrit, des renseignements qui n’ont aucune utilité pratique.
a) Demandes verbales :
Le fonctionnaire peut afin d’ éviter de devoir procéder ultérieurement une vérification sur place,
inviter le contribuable à communiquer à son bureau certains documents déterminé. Il faut cependant
que cette communication de documents avec déplacements soient proposés comme une alternative
et non comme une obligation, sinon peut entraîner l’annulation de la cotisation qui en découle.
b) Demande écrites :
Quand le fonctionnaire taxateur désire obtenir de l’explication écrite, il est tenu d’envoyer son
questionnaire en double exemplaire, la copie devant porter mention « copie à conserver par le
contribuable ». le contribuable doit répondre dans un délai 1 moi à compter du troisième jour
ouvrable suivant la date d’envoi de la demande écrite. Le contribuable peut demander une
prolongation du délai de réponse, mais il doit avancer un juste motif à cet effet. Page 20 et 21 !!!
Lors de la vérification des écritures et les demandes de renseignements, il est permis de recueillir
tous renseignements utiles pouvant servir à la vérification des déclarations de tiers ou à
l’établissement d’autres impôt sur ces éléments.
L’administration n’est pas autorisé à recueillir dans les comptes livres et documents des
établissements de banque de change de crédit et d’épargne, des renseignements en vue de
l’imposition de leurs clients. Cependant si l’enquête fait apparaître des éléments concrets
permettant de présumer l’existence sous la préparation d’un mécanisme de fraude fiscale, un
contrôleur de grade d’attaché peut relever dans les comptes livres et documents de l’établissement,
des renseignements permettant de compléter l’enquête et de déterminer les impôts dus par ce
client.
La visite doit obligatoirement avoir lieu à un moment ou une activité quelconque est exercée mais
elle ne peut, ni entraver l’activité du contribuable ni être faite chez un titulaire d’une profession
libéral d’une charge ou d’un office alors qu’il exerce son activité en présence d’un client.
de 5 heures du matin à 21h et uniquement avec l’autorisation du juge de police.
a) Reçues page 23
1) Les montants :
- De leurs recettes reportées des carnets de reçus
- De toutes autres reçues perçues par la voie de leurs comptes
En principe, le montant des recettes transférer à la fin de chaque journée, par encaissement, dans le
journal.
Frais professionnels doivent être inscrit dans le journal poste par poste :
- Soit à la réception de la facture ou de la pièce justificative
- Soit à la date du paiement lorsqu’il n’y a pas eu de facture dressée.
Par ailleurs pour la tenue d’un journal, le praticien n’est pas relevé de l’obligation de démontrer la
réalité et le montant des frais professionnels qui l’inscrit dans ce journal et qu’il veut déduire de ses
revenus brute imposable.
Le ministre des finances peut imposer à quiconque est passible d’une imposition quelconque
(IPP,ISOC,…) la tenue de livres ou l’utilisation de documents et de formule dont il fixe le modèle et
l’emploi et qu’il estime nécessaire, soit au contrôle de leurs recettes de leurs dépenses soit au
contrôle des recettes ou des dépenses de tiers.
Administration peut également requérir deux tiers de la production, pour ou partie de leurs
opérations ou activités, des renseignements portant sur un ou plusieurs contribuable, même non
nominativement désignés avec qui ils ont été directement ou indirectement en relation en raison de
ces opérations ou activités.
Les actes, pièce, registre et documents ou renseignements liés à la procédure judiciaire ne peuvent
être toutefois consulter ou copier par le service de taxation sans autorisation formelle du ministère
public sauf concernant :
- Les établissements publics de crédit, BPost.
- l’institu national des statistique et l’institut d’étude économique et sociales des classes
moyennes.
La commission des jeux de hasard doit immédiatement informé le ministre des finances lorsqu’elle
constate auprès d’un organisme dont elle assure le contrôle, des éléments concrets permettant de
présumer l’existence ou la préparation d’un mécanisme de fraude fiscale.
La cellule de traitement des informations financières informe le ministre des finances de toute
transmission qui concerne des informations relatives au blanchiment de capitaux.
Les officier du ministère public auprès des cours et tribunaux qui ont une information en cours
mettant en lumière des indices de fraude en matière d’impôt direct ou indirect doivent
immédiatement en avertir le ministre des finances.
- Toutes les administrations qui ressortent du SPF finances sont tenus de mettre à disposition
de tous les agents du service public tous les renseignements adéquat, pertinent et non
excessif en leur possession qui contribue à la poursuite de la mission de ses agents en vue de
l’établissement ou du regroupement de n’importe quelle impôts établi par l’État
- Tous agent du SPF finances régulièrement chargé d’effectuer un contrôle ou une enquête et
de plein droit habilité à prendre, rechercher ou recueillir les renseignements adéquat qui
contribue à assurer l’établissement de n’importe quel autre impôts établi par l’État
- Tous renseignements, pièce, PV, découvert ou obtenu dans l’exercice de ses fonctions par un
agent du SPF finances peut être invoqué par l’État pour la recherche de toute somme due en
vertu des lois d’impôts.
La loi permet donc aux agents du SPF finances qui au moment du contrôle font mention de l’impôt
pour lequel ils sont régulièrement chargé et font pour ce fait usage de pouvoirs d’investigation
propre à cet impôt, de transmettre les renseignements recueillis à leurs collègues d’une autre
administration fiscale. Ex page 32.
6. La coopération internationale :
L’administration peut s’échanger des documents, renseignements entre les états.
Cette échange de renseignements peut se dérouler de plusieurs manières :
- L’échange de renseignements sur demande
- L’échange de renseignements automatique (compte épargne, biens immobiliers)
- L’échange de renseignements spontanée (fausse facture)
- Contrôle simultané/envoi à l’étranger
9
Limite au pouvoir d’investigation :
1. Le secret bancaire :
Lorsque l’administration investigue auprès d’une institution de la banque, de change, de crédit ou
d’épargne, ils ne peuvent récolter des renseignements dans le but de taxer leurs clients.
Ce n’est que dans des circonstances déterminée et à la condition de respecter des conditions de base
de formes prescrites que le secret bancaire peut être levé et que l’administration peut récolter des
renseignements auprès de ses institutions dans le but de taxer leurs clients.
Ce sont les clients des institutions visées qui sont protégés par le secret bancaire. L’on vise et si
toutes les personnes physique ou personne morale dans la mesure où elles sont cliente au sens
commercial du mot.
- Titulaire d’un compte bancaire
- Obtienne un prêt d’une société de crédit.
- Vendent ou achète des titres.
Le secret bancaire n’est pas en vigueur vis-à-vis des tiers qui ne sont pas clients de l’institution
financière, ces institutions ne peuvent donc pas refuser de communiquer les renseignements dont
elle dispose concernant des tiers, en ce qui concerne, par exemple, les commissions et honoraires
qu’ils auraient payé, les contrats de livraison qu’ils auraient conclu ou les ventes qu’ils auraient
réalisé. Lorsqu’une institution financière de ce type développe aussi d’autres activités que ces
opérations financières spécifiques, le secret bancaire n’est évidemment pas en vigueur par rapport
aux personnes physique ou personne morale qui sont clients de l’institution s’occupant des autres
activités. Exemple page 35.
- Lorsqu’elle dispose d’un ou plusieurs indices de fraude fiscale dans le cadre du contrôle
- Lorsqu’elle envisage d’évaluer la base imposable sur la base de signes ou indice tous résulte
une aisance supérieur à celle qui atteste les revenus déclarés
- Lors d’une demande d’assistance par la part d’un État étranger.
Administration peut aussi demander l’aide au point de contacts centrale pour l’ensemble du secteur
bancaire au sein de la banque nationale de Belgique.
Avant tout ça une procédure spécifique doit être suivi sauf dans certains cas :
- Si la demande ne concerne pas la taxation des clients de cette institutions.
- En cas d’échange de données dans le cadre de la directive sur l’épargne.
- Dans la phase d’investigation de la réclamation
- Lors de renseignement obtenues de manière légitime à a suite de cons d’un dossier judicaire.
La procédure :
10
1e étape :
L’administration devra demander au contribuable les renseignements qu’elle souhaite obtenir par le
biais d’une demande de renseignement. formulaire , le contribuable aura un délai de 1 mois pour
y répondre à compter du troisième jour ouvrable suivant l’envoi de la demande.
L’administration doit bien y préciser que si non collaboration, ces questions pourront être
demandé à l’établissement financier.
Il doit s’agir de document pertinent en la matières.
2e étape :
Si l’assujetti ne répond pas ou de façon incomplète, et qu’après que le délai ai expiré, que
l’administration pourra s’adresser à l’institution financière et ce uniquement dans deux cas :
- Il doit y avoir des indices de fraude fiscale, qui ne doit pas déjà forcément avoir été constaté,
une suspicion de fraude fiscale suffit. L’indice ne doit pas être démontré mais ne peut pas
non plus reposer sur des suppositions folle ou vague.
- Si elle envisage d’évaluer la base imposable sur la base des signes et indice d’où résulte une
naissance supérieur à celle qui atteste les revenus déclarés.
3e étape :
Si un de ces deux cas un fonctionnaire ayant le grade de conseiller général doit vérifier.
4e étape :
Après ce contrôle, le fonctionnaire (le grade de conseiller général) Donne l’autorisation de recueillir
tous renseignements qui pourrait s’avérer utile pour pouvoir établir le montant des revenus
imposables de l’assujettie.
1e possibilité : Le fonctionnaire mandaté dispose des données pour s’adresser à la bonne institution
financière en Belgique.
Après avoir reçu l’autorisation de la part du conseil général, le fonctionnaire pourra s’adresser
directement à l’institution pour collecter les données. Le contribuable sera informé par recommandé,
soit des indices de fraude fiscale soit des données pouvant amené à des preuve par signe et indice.
sauf si les droits du trésor sont mis en péril, possibilité d’abandonner cette obligation mais ils
devront prévenir le contribuable au plus tard 30 jours après l’envoi de la demande.
Principe d’application quand un renseignement bancaire est demandé par état étranger.
Lorsqu’un renseignement bancaire est demandé par un État étranger, l’administration peut
s’adresser à l’institution financière concernée et/ou au point de contacts centrale.
Lors d’une simple consultation du PCC, pas besoin d’envoyer une lettre au contribuable.
3. Le secret professionnel :
c) Que se passe-t-il lorsque quelqu’un appel à tort au secret professionnel afin de ne pas
donner d’information.
Une demande sera faite à l’autorité disciplinaire compétente (IEC, ordre des médecins) à fin de se
prononcer sur la demande et de statuer sur le sujet.
Si confirmation l’administration doit s’incliner
Si autorisation mais que le contribuable maintient l’administration peut établir une cotisation
d’office et appliquer une majorité d’impôt et infliger une amende administrative si il s’agit d’un tiers.
4. La limite territoriale d’investigation :
Territorialement limités par les compétences semblables des autres état. Interdit à l’administration
fiscal belge de faire usage de ses pouvoirs hors Belgique.
possibilité échange de renseignements
5. Secret professionnel imposé aux fonctionnaires :
12
Tous documents est transmis au contribuable sous pli fermés, tous fonctionnaires est tenu au secret
professionnel en dehors du travail sous peine de sanction très lourde. Ils ne peuvent pas
communiquer de renseignement au conjoint de quelqu’un.
Ils ne doivent pas garder le secret professionnel lorsqu’ils communique au service administratif de
l’État, parquet et greffe des tribunaux et de toutes juridictions, aux communauté, région,…
Ou si ils sont requis par une ordonnance ou réquisition express du juge d’instruction de
communiquer le dossier d’un contribuable.
Si le principe de bonne administration joue, l’administration peut lever celui-ci en précisant aux
contribuables que dès l’année suivante l’administration ne s’appliquera plus, par exemple un
pourcentage accepté. Afin d’ éviter les problèmes l’administration après un contrôle envoie une
notification de fin de contrôle précisant ce qui a été contrôlé.
Si lors du contrôle le contrôleur a accepté quelque chose contraire à la loi, la loi est toujours
supérieur aux principes de bonne administration.
Le droit d’enquête de l’administration fiscale est régi par le principe de la finalité. Elle ne peut utiliser
son autorité que pour les compétences qui lui a été légalement été donnée.
Ex : prendre des factures dans une fiduciaire pour taxer les clients on ne peut pas.
13
Délai d’investigation :
L’administration peut purement et simplement utiliser son pouvoir d’investigation durant la période
imposable et durant 3 ans à partir du 1 e janvier qui désigne l’exercice d’imposition et cela sans
notification préalable et sans motivation formelle.
Ex : exercice d’imposition 2021 1/1/20 au 31/12/21 délai : 1/1/21 au 31/12/23.
Si le contribuable tient une comptabilité autrement que par année civile, le délai de trois ans est
prolongé d’une période égal à celle qui s’étend entre le 1 er janvier de l’année de l’exercice
d’imposition et la date de clôture des écritures de l’exercice au cours de cette année.
Exemple page 51.
Le délai d’investigation de trois ans est prolongée si le contribuable a introduit une réclamation
contre la cotisation établi pour cette exercice d’imposition dans cette période de trois ans, il est alors
prolongé d’une durée égale au temps qui s’est écoulé entre la date de l’introduction de la
réclamation est là décision prise concernant la réclamation avec un maximum de 6 mois.
Exemple page 52.
Le délai d’investigation de trois ans est prolongée de 4 ans si l’administration dispose de preuve de
faute fiscale. Cela peut être le cas lorsque :
- Des pratiques anormales constatées au cours d’un contrôle effectué pendant le délai de 3
ans permettent à l’administration de présumer que les mêmes pratiques ou d’autres sont
utilisées par le contribuable depuis plus longtemps.
- Les renseignements parvenus en provenance d’autres administrations ou services publics
constituent des indices de fraudes caractérisée.
L’administration ne peut pas étendre sans plus son investigation aux quatre années qui précède le
délai d’indication de trois ans. L’administration ne peut le faire que si elle notifie aux contribuables
les indices de fraude fiscale qui existe à son encontre, de façon, préalable, de manière précise, par
écrit sinon cela constitue un vice de procédure.
Il est ainsi exigé que :
La notification soit motivé en mentionnant les éléments de fait, dont ressorte les indices de fraude
fiscale. Si cela n’est pas fait, cela entrainera la nullité de l’imposition.
1. Fardeau de la preuve :
La charge de la preuve, en général déterminer quelle partie doit prouver les éléments de faits d’un
litige.
a) L’administration :
L’Administration supporte le fardeau de la preuve en ce qui concerne l’établissement de la date
d’impôts. Si elle ne le peut alors elle ne pourra pas être recouvrée.
Une présomption d’exactitude est attaché à une déclaration valable (rentrer dans le délai et sans vice
de forme). L’administration ne pourra modifier cela que si elle prouve l’inexactitude. Si déclaration
non valable ne vaut que comme simple renseignement.
- Preuve provenant d’actes réalisés en infraction au droit matériel : vol, non-respect du secret
professionnel, secret des lettres, secret bancaire ou en matière de droit de visite.
- Preuves provenant d'actes dans lesquels les formes substantielles n'ont pas été respectées :
À l’occasion de la communication d’un dossier pénal, audition fiscal de témoin, investigation.
- Preuves provenant d'actes réalisés en infraction aux principes généraux de droit : droits de la
défense, violation du droit sur la vie privée.
Le fonctionnaire. Taxateur peut pour établir la base imposable avoir recours à tous les moyens de
preuve admis par le droit commun, y compris les procès-verbaux des agents du service public fédéral
finances, sauvent le serment ce sont donc :
- La preuve écrite - l’aveu
- Par témoin ( testimonial) - le PV.
- Par présomption
Le taxateur doit respecter certaines règles de procédure
Le problème qui se pose lors du contrôle d’une déclaration ou document mis à la disposition du
controleur est la force probante de ces documents.
Titulaires de professions libérales, charges ou offices : la comptabilité spécial des titulaires de professions
libérales n’a de valeur probante que si elle est régulière et si ses mentions sont contrôlable.
Lire exemple page 61
Les témoignages recueilli par l'administration peut être utilisé comme moyen de preuve.
Cette procédure a un caractère exceptionnel et il ne faut y recourir que si elle est réellement requise,
cela sera le cas quand le contribuable conteste la sincérité où l'exactitude des renseignements
fournis par écrit par des tiers ou récolté chez eux à l'occasion de la vérification de leurs déclarations.
Normalement, les renseignements sont demandés au tiers par écrit. lire page 64.
Les présomptions sont des conséquences que l'on tire d'un fait connu à un fait inconnu on distingue
2 sortes de présomptions :
1) Les présomptions légales : lorsque c’est la loi elle-même qui fait le raisonnement.
a) Signe ou indice :
Si on constate qu’un contribuable vie au-dessus de ces moyens en vue de ce qu’il déclare.
le taxateur pourra dans ce cas invoquer ces signes et indices pour majorer les revenues net, il
appartient dans ce cas au contribuable à prouver, au moyen d’élément positif et vérifiable la réalité.
Peu utiliser en société comme le bilan est censé être équilibré.
Les signes et indices retenu dans ce cas, ne peuvent pas résulter eux-mêmes de simples
présomptions puisqu’ils doivent constituer les faits connus sur lequel est assise la présomption
légale.
Ne peuvent pas être considéré :
- La notoriété publique
- une lettre de dénonciation anonyme
b) Méthode de comparaison
L'administration peut arrêter un accord avec les groupements professionnels intéressés, des bases
forfaitaires de taxation précisant les caractères qui doivent être envisagées pour fixer les revenus
imposables des contribuables qui ne tiennent pas d'écritures comptables suffisante
17
3) Accords collectifs en matière de dépenses ou charges professionnelles :
L'administration peut aussi établir, d'accord avec les mêmes groupements, des forfaits pour
l'évaluation des dépenses ou charges professionnelles qu'il n'est généralement pas possible de
justifier au moyen de documents probants.
- Des frais de représentation - l’entretien normal des locaux professionnels
- Frais d’usage mix de voiture - frais de déplacement fortuits (taxis, transport en com.)
4) Minimum forfaitaire de bénéfice et de profits : ne peut être renversé que par la preuve du
montant exacte des revenus imposables.
Lorsqu'une entreprise personne physique ou le praticien d'une profession libérale ne transmet pas
ou transmet tardivement leur déclaration, l'administration dispose d'un moyen de preuve basé sur
les bénéfices ou profits minimum forfaitaire. Ce moyen de preuve entre dans le cadre de la
procédure de l'imposition d'office et a pour but d'en accélérer l'application par une évaluation
forfaitaire de la base imposable.
- Le minimum est un forfait absolu qui ne peut être réduit par rapport au nbr de mois.
- Pas de distinction entre le personnel à temps pleins et de façon complémentaire
- Le minimum ne peut être réduit de frais professionnel.
- Il faut respecter les règles de bonne administration : le système de cotisation forfaitaire ne
peut dès lors être appliquée que lorsque le contribuable n'a pas souscrit sa déclaration ou la
souscrites avec un retard conséquent sans avoir demandé aucun report et sans pouvoir
démontrer sa bonne foi
- Si le contribuable introduit une déclaration tardive basée sur des données ayant force
probante, il faut tenir compte de la déclaration.
2) Les présomptions dites de l’homme lorsque c’est le juge qui placé devant un fait dont
l’existence n’est pas établie fait le raisonnement.
Le fonctionnaire taxateur peut, par raisonnement sain et logique, déterminé un élément inconnu en
partant de faits connus ou démontrer le caractère fictif de certaines opérations ayant une incidence
au point de vue fiscal point. Elles doivent être :
d) L’aveu du contribuable :
Les procès-verbaux ont une force probante jusqu’ à preuve du contraire mais sera valable que
lorsqu'il mentionne le nom, la qualité et la signature du fonctionnaire du SPF finances qualifiées à
cette fin ainsi que la date et la description précise et circonstanciée des constatations faites. Il
sera servi pour établir l’existence et le montant de la dette d’impôt mais aussi dans la recherche
d’infraction.
Il comprend, les recherches, les renseignements obtenues, les déclarations obtenues et sera utile
lorsqu’il s’agit de constater des faits ou infractions qui ont un caractère fugitif, comme le nombre
d’employé, …
18
Force probante du procès-verbal :
Force probante sur tous les actes que les verbalisant déclarent avoir accomplis et faits dont ils
déclarent avoir été témoins.
La force probante ne s’étend pas sur des déductions tirer, elles restent soumises au contrôle des
tribunaux.
Preuve contraire : c’est au contribuable d’apporter la preuve contraire, seul des données positive
et contrôlable peuvent porter atteinte à la force probante d’un pv.
Chaque administration dispose dans l'exercice de sa mission des mêmes moyens de preuve.
La procédure de taxation :
La déclaration est vérifiée et la cotisation est établie par l'administration générale de la fiscalité.
Lorsque le contribuable est dispensé de l'obligation de déclaration, l'imposition est établie sur la base
des éléments mentionnés dans la proposition de déclaration simplifiée, celle-ci étant corrigé si
nécessaire par le contribuable.
2) Rectification de la déclaration :
a) Généralités :
Lorsque l'administrateur estime devoir rectifier les revenus d’un contribuable, elle doit lui faire
connaitre par recommandé :
- Les revenues et les autres éléments qu’elle se propose de changer et cela en le justifiant.
Aucune modification ou rectification ne peut en principe être apportée sur la déclaration même.
Cependant la rectification ne doit pas être notifié notamment quand :
- Il y a diminution des revenues déclaré
- La rectification porte sur une perte.
- Si elle est rectifiée avec accord du contribuable
- Si imposition d’office.
1. Forme et expédition :
Envoi d’un avis de rectification par recommandé établie en 3 exemplaires (2 pour contribuable qui
devra renvoyer l’original et prendra force probante), le troisième est gardé par l’administration.
2. Motivation de la rectification :
La rectification de la déclaration doit être motivé, il y a motivation suffisante lorsque l'avis de
rectification énonce les raisons de la rectification et donne aux contribuables la possibilité d'examiner
ces raisons et d'y répondre. On peut citer :
- Les signes et indices d’une aisance supérieure.
- Les présomptions de l’homme
- Les renseignements qui font ressortir l’inexactitude de la déclaration.
Pour être dûment motivée, l'avis de rectification doit permettre au contribuable de prendre
connaissance de façon suffisante des chiffres faits et circonstances sur lequel l'administration se
base. Si cela n'est pas fait, cela entraînera la nullité de la procédure d'imposition et de la cotisation
qui en résulte.
19
3. Présomption :
Les raisons de la modification doivent être clairement exposées dans l'avis de rectification
4. Délai de réponse :
Le contribuable dispose d'un délai d'un mois pour faire connaître par écrit ses observations ou pour
marquer son accord au sujet du montant des revenus, ce délai d'un mois doit être calculé depuis le
3e jour ouvrable qui suit celui ou le pli a été remis au service de la poste et se compte de quantième
à veille de quantième. Si pas jour ouvrable ou férié prolongé jusqu’au prochain jour ouvrable. Ex : 82
La cotisation basées sur les revenues à modifier ne peut pas être établie avant l’expiration du délai
de réponse du contribuable sauf si il a marqué son accord sur la rectification ou si les droit du trésor
sons en péril.
3. Désaccord :
Si dans le délai imparti le contribuable marque son désaccord par écrit sur la base imposable notifié
dans la vie de rectification il faut examiner les arguments qu'il invoque et s'il y a lieu les éléments
probants qu'il produit.
Une Notification au contribuable du suivi donné à sa réponse devra être faite en mentionnant
- Des observations du contribuable dont l’administration ne prend pas compte
- Des motifs qui justifient la décision de l’administration
Cette information doit être envoyée au contribuable par lettre recommandée à la poste au plus tard
le jour de l'établissement de la cotisation, si cela n’est pas fait alors nullité de la taxation.
3) Taxation d’office
a) Généralité :
L’administration a droit d’établir d’office l’impôt sur le revenus imposables qu’elle peut présumer
sans être pour autant assises sur des bases fixées arbitrairement.
Elle doit être basée sur des revenues déterminés au moyen de présomptions nettement spécifié.
En cas d’imposition d’office et pour autant que les éléments nécessaire soient connus, l’impôt est
calculé compte tenu des charges de famille au 1 e janvier de l’exercice d’imposition.
d) Délai de réponse :
Idem que le délai lors de rectification. Ces remarques doivent être faites par écrit et envoyer à
Jambes ou elles seront scanné et auront force probante.
Ce délai d’un mois n’est pas d’application quand :
- Quand le contribuable n’a pas répondu à l’avis de rectification
- Le droit du trésor est en péril
- Il s’agit de Prm ou Prp
4) Fardeau de la preuve :
En cas de taxation d’office, le fardeau de la preuve incombe au contribuable à l’aide de preuve
constitué d’élément précis et contrôlables.
Le contribuable taxé d’office peut faire valoir que l'évaluation des revenus imposés est arbitraire si
fondé administration doit donner une évaluation raisonnée.
La preuve des revenus imposable incombe à l’administration si le contribuable prouve que de juste
motif l’ont empeché de communiquer à temps voulu ces livres et document ou de répondre dans les
délais fixés à une demande de renseignements ou avis de rectification.
Idem si le droit du trésor est en péril, elle établit l’impôt avant l’expiration du délai.
5) Conditions de validité
Les circonstances qui justifient la taxation d'office doivent être établies par les documents figurant au
dossier d'imposition. Si taxateur lors de la vérification déclare une déclaration comme valable, il ne
peut plus par la suite modifier son point de vue et établir une taxation d’office pour décl. Tardive.
6) Imposition généralités
a) Imposition établissement de l’impôt qui est établi sur les revenus et autres éléments
déclarés, modifiés ou présumés.
b) Rôles le rôle est un acte authentique par lequel l’administration manifeste sa volonté
d’exiger le paiement de l’impôt. Lire page 87.
21
c) Lieu d’imposition le lieu d’imposition est la commune ou est situé le 1 e janvier de
l’exercice d’imposition, le domicile fiscal, siège social ou principal établissement.
1) Délai :
Il existe plusieurs délai qui relève de l’ordre public, il appartient à l'administration d'appliquer le délai
d'imposition qui lui convient à condition toutefois que ce délai satisfasse aux conditions de son
application.
a) Le délai ordinaire :
Pour qu'une déclaration soit valable elle doit en principe être établi au plus tard le 30 juin de l'année
mais le délai d'imposition (enrôlement) ne peut jamais être inférieur à 6 mois à compter de la date à
laquelle la déclaration est parvenue au service indiqué sur le formulaire.
Voir exemple page 88 + feuille.
22
Sanctions :
1) Sanction administrative :
Par revenu non déclaré ont doit entendre notamment : la majoration des revenues bruts, les rejets
de frais et de perte professionnels, les rejets de dépenses déductibles de L’Ensemble Revenu net.
a) Accroissement d’impôt :
En cas d'absence de déclaration ou en cas de déclaration incomplète ou inexacte, les impôts dus sur
la portion de revenus non déclarés sont majorés d'un accroissement d'impôt fixé d'après la nature et
la gravité de l'infraction, les graduations sont déterminées par le Roi et vont de 10% à 200%.
L'accroissement est seulement appliqué dans le cas où les revenus non déclarés atteignent 2500€.
Le contribuable doit être informé de la disposition légale concernée et argument à l’appui de
l’accroissement d’impôt applicable. avis de rectification ou la notification impôt d’office ou par
courrier en l’absence de ceux-ci.
b) Cas d’application :
IPP 10.000 non déclaré 40% impôt = 4000 accroissement 10% = 400 4400.
d) Calcul de l’accroissement :
L’accroissement ne peut pas être supérieur au montant non déclaré.
1000 non déclaré 50% impôt 500 100% accroissement 500 1000 ok 200% NOK
23
f) Échelle des accroissements :
Pour déterminer le taux applicable il suffit de se prononcer sur la nature de l'infraction, l'existence
éventuelle d'une intention d'éluder l'impôt et le rang de l'infraction.
La sanction de l’accroissement se module en fonction de deux éléments :
- Élément matériel (déclaration inexacte ou incomplète) qui donne le droit.
- Élément moral qui anime le contribuable : l’absence de mauvaise foi, éluder l’impôt.
Lors qu’un fonctionnaire découvre une infraction il doit dès lors rechercher les circonstances qui sont
à l’origine du comportement de l’intéressé :
- Si l’infraction est due à des circonstance indépendante pas d’accroissement.
- Ou du moins sans intention d’éluder l’impôt. on peut en principe appliquer. 10,20,30% en
absence de mauvaise foi il peut être renoncé au minimum de 10%
Ex : page 99 et 100.
L’accroissement d’impôt ne peut être porté au rôle qu’au moment où l’impôt éludé est lui même
enrôlé. S'il n'est pas satisfait à l'obligation de motivation virgule la cotisation pourra en principe être
annulée dans le cadre de la procédure de réclamation à concurrence de l'accroissement.
2) Amendes administratives `
Une amende administrative entre 50 et 1250 euros peut être infligé pour toute infraction.
Les chefs de service peuvent seuls être délégué pour infliger l’amende dans son ressort.
Ex page 102.
Afin de respecter les principes de bonne administration virgule le fonctionnaire taxateur veillera
également à ne pas sanctionner la simple erreur du contribuable commise par inadvertance ou de
bonne foi.
1) Catégorie d’infractions :
- La première catégorie infraction qui bien que punissable pénalement, ne sont visé que par
la loi fiscal. non respect des règles du CIR règle que par la loi fiscal 8 jours ou 8j à 5
ans si fraude fiscale d’emprisonnement et/ou d’une amende entre 250 et 500.000€.
- La deuxième catégorie infraction dans le code pénal mais que la loi fiscal reprend en leur
donnant un régime particulier quant au peine applicables :
1. Du faux en écritures et de l’usages de faux
2. Infractions relative à l’exercice de certains pouvoirs d’investigation de la loi : défaut de
comparaitre ou refus de témoigner.
24
- La troisième catégorie que par le code pénal mais qui peuvent être soumis à des fins de
fraude fiscale (secret professionnel)
2) Rôle de l’administration
Tous fonctionnaire ou officier public a l’obligation d’informer le procureur du Roi du crime ou délit
dont il a connaissance. cette communication est soumise à l’autorisation du directeur régional.
4) Concertation
Le procureur du roi peu s'ils engagent des poursuites pour des faits pénalement punissable aux
termes du présent code demander l'avis du directeur régional compétent point le procureur du roi
joint à sa demande d'avis les éléments de fait dont il dispose. Le directeur répond dans les 4 mois.
En cas de procédure pénale, une rectification d'impôts pourra être fait mais pas d'accroissement ou
amande.
25