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Nabil SAFFAJ
INTRODUCTION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
I. ORGANISATION ET GESTION DU TEMPS . . . . . . . . . 4
1.Observer comment s’écoule son temps . . . . . . . . . . 4
2. Le planning à long terme c’est un planning au semestre. 5
3. Le planning hebdomadaire . . . . . . . . . . . . . . . . 5
4. L’organisation du travail intellectuel . . . . . . . . . . 5
II.ECOUTE ET CONCENTRATION . . . . . . . . . . . . . . . 6
4. Augmenter la qualité de son écoute et sa concentration 6
a) Bien choisir sa place en classe . . . . . . . . . 6
b) Se préparer pour les exposés magistraux . . . 6
c) développer des habitudes d’écoute active et
méthodique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
2. La concentration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
a) D’où viennent les perturbations . . . . . . . . 7
b) La motivation favorise la concentration . . . 7
b) Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
III. LECTURE METHODQUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
1. Identifier les obstacles à la lecture pour mieux les sur-
monter . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
a) Raisons Socio-affectives . . . . . . . . . . . . 8
b) Raisons cognitives . . . . . . . . . . . . . . . 8
c) Raisons pragmatiques . . . . . . . . . . . . . 8
2. Adapter ses stratégies de lecture à ses objectifs et au
texte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
a) La lecture repérage . . . . . . . . . . . . . . . 9
b) La lecture écrémage . . . . . . . . . . . . . . 9
c) La lecture survole . . . . . . . . . . . . . . . . 9
d) La lecture approfondie . . . . . . . . . . . . . 9
3) Comment choisir un livre en bibliothèque ? . . . . . . . 10
4) Adopter une attitude active dans ses lectures ? . . . . . 10
IV- LA PRISE DE NOTES ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
1. Les notes : un support à l’étude ? . . . . . . . . . . . . 11
2. A propos de la prise de notes . . . . . . . . . . . . . . . 11
3. Méthode pour bien prendre ses notes . . . . . . . . . . 11
a) utiliser des feuilles mobiles . . . . . . . . . . . 11
2
b) utiliser une marge . . . . . . . . . . . . . . . 11
c) Noter systématiquement la date et paginer
vos feuilles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
d) Prendre des notes sous forme de paragraphe . 12
e) Discerner les idées principales . . . . . . . . . 12
f) Ecrire de façon espacée . . . . . . . . . . . . . 12
g) Utiliser des abréviations . . . . . . . . . . . . 12
h) Revoir ses notes le plus tôt possible . . . . . . 13
V- ECRITURE DU TYPE UNIVERSITAIRE . . . . . . . . . . 13
1. Principes de rédaction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
1.1 Etapes préalables à la rédaction . . . . . . . 13
1.2. Parties d’un texte . . . . . . . . . . . . . . . 14
Bibliographie conseillée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
3
INTRODUCTION
Se familiariser avec l’université n’est pas facile : (pour certains elle ressemble
à un labyrinthe). Les étudiants apprivoisent progressivement les lieux, et ap-
prennent à décoder les sigles (TP- TD -CM).
Les étudiants se plaignent souvent de ne pas être suffisamment informés. . . ,
et pourtant, on leur donne quantité d’informations. Mais une information don-
née à quelqu’un qui ne l’a pas demandée, c’est une information qui glisse et est
oubliée.
Voilà pourquoi il est indispensable que vous construisiez vous-même active-
ment votre projet personnel et professionnel en allant d’abord chercher vous-
même toutes les informations dont vous avez besoin.
- Il faut d’abord avoir une vue d’ensemble des différentes formations au sein
de l’université et à l’extérieur et des passerelles qui permettent de passer de
l’une à l’autre ;
- S’informer sur les options, optionnelles, mais dont le manque est grave plus
tard, pour faire les bons choix.
- S’informer largement à l’avance des dates limites de retrait et d’envoi des
dossiers de candidature.
- Comparer les intitulés et les contenus des différentes formations.
- Se poser les bonnes questions ; ne pas avoir d’a apriori.
• Pour mieux réussir vos études :
• Tous les soirs, sans exception, apprendre le cours de la journée : revoir les
notes, les mettre au propre, faire un résumé, souligner les points qui n’ont pas
été compris pour demander des précisions au professeur.
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1 semaine = 24 h x 7= 168 h
Sommeil = ? h x 7 = h
Toilette = ? h x 7 = h
Repas = ? h x 7 = h
etc. . .
e- Additionnez les temps des activités « incontournables », soustrayez cette
somme des 168 h que comporte toute semaine ; vous avez le temps global hebdo-
madaire que vous pouvez consacrer à vos études. Repérez comment il se répartit
dans la semaine.
3. Le planning hebdomadaire
- Faites-vous un planning chaque semaine, surtout si votre emploi du temps
change chaque semaine. Le planning à la semaine, même s’il n’est pas toujours
respecté, permet de repérer quand, où et pourquoi nous perdons du temps.
- Jugez de la pertinence des activités prévues, hiérarchisez vos priorités, soyez
réaliste, évitez de prévoir plusieurs choses à la fois, sachez pourquoi vous faites
telle tâche, ce que vous voulez obtenir. . . ) ; prévoyez un peu de temps dans la
journée pour faire le point sur ce qui a été accompli.
Le planning hebdomadaire doit être :
• diversifié (prévoir toute activité nécessaire à votre équilibre),
• équilibré (entre études et distractions, entre différentes matières),
• souple (il peut y avoir des imprévus, mais en fin de semaine, le travail
prévu doit être terminé, quels que soient les changements intervenus),
• réaliste (ne pas être trop ambitieux, surtout au début)
• contrôlable (objectifs précis que l’on peut vérifier en fin de semaine).
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• Respectez vos heures de sommeil (les nuits blanches se paient toujours).
La matinée et la deuxième moitié de l’après-midi sont des moments privilégiés
pour les activités intellectuellement exigeantes ; après le repas, on peut classer,
revoir, recopier, bref effectuer des tâches beaucoup moins exigeantes. Évitez les
repas trop copieux ou lourds qui entrainent des somnolences, ou alors faites
carrément une courte sieste (20 mn).
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L’étudiant habile et efficace est celui qui parvient à intégrer rapidement les
nouvelles informations dans l’ensemble de la connaissance déjà acquise sur un
sujet. Il doit avoir en tête les grandes lignes du sujet traité avant de se présenter
au cours. Cette préparation augmentera votre motivation d’assister aux cours.
2. La concentration
a) D’où viennent les perturbations ?
Les sources de distraction proviennent tout autant de l’individu que de son
environnement :
• Perturbations physiques (faim, douleur, fatigue)
• Perturbations psychologique (problème affectif à régler)
• Perturbations intellectuelles (préoccupation parce que on a travail à pré-
senter en cours)
Solution : Identifier les sources de distraction et, si possible, les éliminer.
Manger si l’on a faim, dormir si l’on est fatigué, régler les problèmes qui
peuvent l’être, ou les inventorier pour pouvoir les mettre de côté momentané-
ment (une liste de tâches sur un bout de papier ou un post-it permet de se
débarrasser de pensées parasites).
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concerne tous les cours ou presque, il faut revoir son projet, se poser des questions
sur ce que l’on souhaite vraiment faire, envisager un changement d’orientation.
Conclusion
La bonne transmission d’un message dépend, bien sûr, de l’enseignant mais
aussi des étudiants, qui, en tant qu’auditeurs actifs, ont une responsabilité dans
la qualité de l’enseignement. Ne laissez pas des filtres personnels ou extérieurs
altérer la qualité de la transmission, essayez d’être ouverts et actifs
a) Raisons Socio-affectives
• On n’est pas ou on ne se sent pas concerné par l’activité de lecture
• On est débordé par la quantité d’écrits à lire
• On refuse les contenus à lire (lecture imposée = lecture refusée ; raisons
idéologiques)
b) Raisons cognitives
• On méconnait les règles de fonctionnement des lieux ou des supports
(bibliothèques, librairies, CD-ROM, Internet)
• On méconnait les règles de fonctionnement des objets à lire (manuels, ou-
vrages de vulgarisation, ouvrages spécialisés ; index, lexique, table des matières,
...)
c) Raisons pragmatiques
• On ne peut pas lire sans remuer les lèvres ou prononcer dans sa tête
• L’entrainement à la manipulation des livres est insuffisant
• L’entrainement à l’analyse et à la synthèse est insuffisant
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a) La lecture repérage
Ce type de lecture vise la recherche d’informations précises, trouver une
citation ou une définition, dégager un nombre d’éléments. Pour y arriver, il faut
déterminer a apriori ce que l’on recherche
Ses supports : (Annuaires, Dictionnaires, Encyclopédies)
Ses stratégies :
• Identifier le texte et localiser les informations ; se faire une image mentale
de l’information recherchée, laisser glisser son œil sur le milieu de la colonne
jusqu’à ce qu’il reconnaisse l’information attendue.
b) La lecture écrémage
Ce type de lecture conduit à l’essentiel et à ce qui est important, nouveau,
intéressant. Il est adapté aux textes courts, aux articles.
Ses supports : Presse quotidienne, Magazines, Presse spécialisée, Documen-
taires
Ses stratégies :
• Ne lisez que le titre, les sous-titres, le premiers et dernier paragraphe, la
première et la dernière phrase des autres paragraphes et noter les idées retenues.
• Soyez attentif aux mots de liaison chargés de baliser le raisonnement du
texte. La différence avec une lecture complète réside dans la mémorisation de
détails, la lecture complète n’apporte rien de nouveau quant aux idées princi-
pales
c) La lecture survole
• Le survol permet de repérer la structure du document
• Il permet de déceler le contenu, de s’orienter, de trouver les passages cor-
respondants à vos objectifs, de dégager les idées principales, le plan, la structure,
d’avoir une vue globale du texte.
Ses supports : les ouvrages longs.
Ses stratégies : Examiner le titre, le nom de l’auteur, la page de couverture.
Vérifier la date de parution. Parcourir l’avant-propos, la préface, l’introduction,
la conclusion. Regarder la table des matières, le sommaire, l’index. Regarder les
endroits stratégiques, les titres, les sous-titres, début et fin de chapitres. Lire
quelques pages au hasard pour tester la lisibilité de l’ensemble.
d) La lecture approfondie
• La lecture approfondie est probablement celle qui vous est la plus fami-
lière. Elle consiste à lire intégralement un document. Pour retenir un maximum
d’informations, il est nécessaire de les relever, les analyser, les classer. Toute
lecture "gratuite", c’est-à-dire non accompagnée de traces écrites, risque d’être
perdue.
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• Il ne faut jamais oublier que plus le traitement de l’information est pro-
fond, plus on s’approprie le texte. Le meilleur moyen de s’approprier l’informa-
tion est la prise de notes.
Ses stratégies : La lecture approfondie nécessite une série d’opérations :
A) Recenser les informations contenues dans le texte :
-Isoler les divers renseignements que contient le texte
-Annoter, si cela est possible, le texte dans la marge
-Utiliser, si cela est possible, un surligner
B) Sélectionner les informations :
- Éliminer tout ce qui développe un détail, une idée
- Éliminer ce qui répète l’idée sous une autre forme
- Éliminer les exemples qui illustrent l’idée
C) Repérer les caractéristiques communes à plusieurs informations
D) Ordonner l’ensemble des informations
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• Être dans de bonnes conditions matérielles : bien installé, sur un siège
plutôt dur. Les mauvaises positions entrainent des tensions musculaires et une
fatigue intellectuelle prématurée. Évitez de courber la tête excessivement, lisez
dans le calme et le silence pour favoriser la concentration, évitez le surmenage
visuel, par un éclairage adapté, par la gymnastique visuelle, la relaxation. Faire
de courtes pauses pour reposer l’œil.
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• V= vérifier
• Déf = définition
• Arg= argument
• exp=exemple
• Non= pas d’accord
• OK= d’accord
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• Apocope : fac pour faculté ; photo pour photographie ; ciné pour cinéma-
tographie !
• Concentration sur les consonnes : ds (dans), dt (dont) ms (mais), bcp(beau-
coup), cpdt (cependant), dvt (devant), pdt(pendant), pr(pour), qd (quand),
qqf(quelques fois), tjs (toujours), svt (souvent), av (avec), act (activité), abs
(absence), tt (tout), càd (c’est-à-dire), ccl (conclusion), evt (évènement), gp
(groupe), intro (introduction), pb (problème),
• Concentration sur l’amorce du terme : idéol. (idéologie) ; sol. (solution) ;
suppr (supprimer). (attention aux ambigüités : géo = géographie ou géologie ?)
• Initiale : jf (jeune femme), jh (jeune homme),
• Les symboles (voir annexe)
1. Principes de rédaction
1.1 Étapes préalables à la rédaction
1.1.1 Cerner le but de la rédaction Il faut commencer par cerner le but
de tout travail écrit. S’agit-il d’un compte rendu, d’une dissertation littéraire
ou philosophique, d’une étude critique, d’un rapport technique ou d’une thèse ?
La réponse permettra d’orienter la teneur du discours, d’identifier le genre d’ar-
gumentation et le niveau de langue à utiliser.
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remue-méninges. Une fois les recherches terminées, on devrait avoir une idée
des conclusions et des résultats auxquels elles vont aboutir.
C’est à ce moment que les documents qui vont appuyer ses idées sont privi-
légiés et que le reste est mis de côté. Il devient alors possible d’élaborer un plan
qui sera aussi détaillé que possible, afin de faciliter la rédaction. Cependant, une
fois établi, le plan n’est pas un élément figé. Il est un outil et peut changer si
d’autres points importants viennent à l’esprit lors du développement du texte.
L’élaboration d’un plan détaillé consiste à :
• Faire un rapprochement d’idées qui appartiennent à une même catégorie.
• Donner un titre à chaque catégorie.
• Choisir les idées principales du travail. Ces idées et leur ordre de présen-
tation seront annoncés dans l’introduction.
• Classer ces idées principales dans un ordre logique.
• Déterminer les subdivisions intérieures de chacune des idées principales
du travail et à en établir un ordre de présentation logique.
Le plan, une fois confirmé à la fin de l’activité de rédaction, peut servir de
table des matières présentée selon le système décimal ou la méthode tradition-
nelle. Il suffit d’ajouter la pagination. NOTA : La table des matières peut se
limiter à l’énoncé des idées principales et secondaires.
Système décimal Méthode traditionnelle
1. Introduction I. Introduction
2. Idée principale II. Idée principale
2.1. Idée secondaire A. Idée secondaire
2.1.1. Idée tertiaire 1. Idée tertiaire
2.1.2. Idée tertiaire 2. Idée tertiaire
3. Idée principale III. Idée principale
3.1. Idée secondaire A. Idée secondaire
3.1.1. Idée tertiaire 1. Idée tertiaire
3.1.2. Idée tertiaire 2. Idée tertiaire
3.2. Idée secondaire B. Idée secondaire
3.2.1. Idée tertiaire 1. Idée tertiaire
3.2.2. Idée tertiaire 2. Idée tertiaire
4. Conclusion IV. Conclusion
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apporter une réponse.
• Sujet divisé - On annonce les idées principales du sujet à traiter.
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1.2.3. Conclusion La conclusion sert de synthèse, car elle résume les grandes
idées qui ont servi à expliquer le problème de départ, à répondre à la question
posée dans l’introduction. Elle fixe aussi la position de l’auteur vis-à-vis de la
problématique. Enfin, elle pourrait, à la rigueur, permettre un élargissement du
sujet afin d’inciter le lecteur à réfléchir sur l’envergure de la question. « En
somme, si l’introduction peut constituer une sorte d’entonnoir dont l’ouverture
se rétrécit au point de préciser le sujet, la conclusion forme, en sens contraire,
un autre entonnoir qui part du sujet pour en élargir les horizons.» (Renaud,
Laurier. Protocole de présentation et de rédaction des travaux écrits. Montréal,
Guérin, 1988, p.8)
16
Bibliographie conseillée
Recherche documentaire
BATIFOULIER, Christian ; DUPASQUlER, Marie-Hélène.- Organiser sa
documentation et savoir consulter d’autres sources, Paris, éd. du Centre de
formation et de perfectionnement des journalistes, 1993.
DARROBERS, Martine ; LE POTTIER, Nicole.- La recherche documen-
taire, Paris, Nathan, 1994.
LEFORT, Geneviève.- Savoir se documenter, Paris, Editions d’Organisation,
1994.
ROCHEFORT-ALGIS, E., Lecteurs, à vos Marques, Lisez vite et bien,
E.M.E., Paris, 1987.
LEFORT, G., Savoir se Documenter, Paris, éd d’Organisation, 1994.
SOULEZ, Bettina.- Devenir un lecteur performant. Lire plus vite, mieux
comprendre et bien utiliser sa mémoire.- Paris : Dunod, 1991
Méthodes de travail (en général)
ROMAINVILLE, M., GENTILE, C., Des Méthodes pour Apprendre, Paris,
éd. d’Organisation, 1990.
CHEVALIER, Brigitte.- Préparer un examen, gestion mentale et acquisition
de méthodes de travail, Paris, Nathan, 1992.
COEFFE, Michel.- Guide Bordas des méthodes de travail, Paris, Bordas,
1990.
ROMAINVlLLE, Marc ; CONCETTA, Gentile.- Des méthodes pour ap-
prendre, Paris, Editions d’Organisation, 1990.
SAMSON, Pierre.- Organiser son travail personnel, Paris, Editions d’Orga-
nisation, 1992.
SONNAIS, Guy.- Découvrez votre méthode de travail, Monaco, Editions du
Rocher, 1991.
Lecture et prise de notes
CHEVALIER, Brigitte.- Lecture et prise de notes. Gestion mentale et ac-
quisition de méthodes de travail.-Paris : Nathan, 1992.
ROCHEFORT-ALGIS, Elisabeth.- Lecteurs, à vos marques. . . Lisez vite et
bien. Paris : Entreprise moderne d’édition, ESF, 1987.
CHEVALIER, Brigitte.- Lecture et prise de notes.- Paris : Nathan Univer-
sité, 1992.
HOFFBECK, Gérard ; WALTER, Jean.- Prendre des notes vite et bien,
enseignement et concours ; vie professionnelle, Paris, Dunod, 2002.
SIMONET, Renée et Jean.- La prise de notes intelligente, Paris, éd. d’Or-
ganisation, 1988.
TIMBAL-DUCLAUX, Louis.- La Prise de notes efficace.- Paris : Retz, 1988
CHEVALIER, Brigitte.- Lecture et prise de notes ; gestion mentale et ac-
quisition de méthodes de travail.- Paris : Nathan université, 1992.
HOFFBECK, Gérard ; WALTER, Jean.- Prendre des notes vite et bien,
enseignement et concours ; vie professionnelle, Paris, Dunod, 2002.
SIMONET, Renée et Jean.- La prise de notes intelligente, Paris, Editions
d’Organisation, 1988.
17
SOULEZ, Bettina.- Devenir un lecteur performant. Lire plus vite, mieux
comprendre et bien utiliser sa mémoire, Paris, Dunod, 1997.
Expression écrite et orale
GRISELIN, Madeleine ; CARPENTIER, Chantal ; MAÏLLARDET, Joëlle ;
ORMAUX, Serge.- Guide de la communication écrite. Savoir rédiger, illustrer et
présenter rapports, dossiers, articles, mémoires et thèses.- Paris : Dunod, 1992.
ECKENSCHWILLER, Michèle.- L’écrit universitaire, Paris, Editions d’Or-
ganisation, 1994.
FINTZ, Claude ; RISPAIL, Marielle.-Le Français dans le supérieur ; fiches
méthodologiques.- Paris : Ellipses, 1997.
REOL, Gilles ; FLAGEUL, Noë1.- Méthodes et techniques de l’expression
écrite et orale, Paris, A. Colin, 1996.
MEYER, Bernard.- Maîtriser l’argumentation, Paris, A. Colin, 1996. SIMO-
NET, Renée.- L’exposé oral, Paris, Editions d’Organisation, 1989.
SIMONET, Renée.- Comment réussir un exposé oral.- Paris, Dunod, 2000.
Benoit, Denis , Introduction aux sciences de l’information et de la commu-
nication, Les éditions d’organisation 1995.
Boudrias, Gilles , L’art de convaincre, Montréal, McGraw_Hill 1989.
Destrez, Thierry , Demain je parle en public, Dunod, Paris 1998.
Orientation
AZOULA Y, Gilbert.- Que faire après un BTS, DEUG, DUT ? , Paris, L’Etu-
diant, 1998.
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Remplissez le tableau ci-dessous :
19
Le planning à long terme
* Exemple :
Cours Type d’examen Support pour l’étude Travaux à réaliser Dates limites
Etc.
Les abréviations usuelles
ar. arrière
av. avant
tjr. toujours
pdt. pendant
qu. quand
lgtps. longtemps
cpd. cependant
ss. sans
m. même
ds. dans
ê. être
q. que
ql. Quel
qqf. Quelquefois
svt. Souvent
qqu. Quelques-uns
ms. mais
id. identique
nb. nombre
ss. sous
pb. problème
sol. solution
obs. observation
ort. orientation
prtt. pourtant
pr. pour
ârt. partie
bcp. beaucoup
c. comme
càd. c’est-à-dire
int. intérieur
ext. extérieur
max. maximum
min. minimum
gd. Grand
pt. petit
pr. pour
pb. problème
st. sont
20
sté. société
qq. quelque
cf. se reporter
tps. temps
cb ? combien
qcq. qu’est ce que
ns. nous
ts. tous
tt. tout
Adm. Administration
abn. abréviation
accn. accélération
cn. conclusion
Deuxième outil : les symboles (ou idéogrammes)
= égal
// Parallèle
>supérieur à
<inférieur à
différent de
~peu différent de,
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