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Méthodologie du Travail Universitaire

Nabil SAFFAJ

Année Universitaire 2014-2015


Table des matières

INTRODUCTION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
I. ORGANISATION ET GESTION DU TEMPS . . . . . . . . . 4
1.Observer comment s’écoule son temps . . . . . . . . . . 4
2. Le planning à long terme c’est un planning au semestre. 5
3. Le planning hebdomadaire . . . . . . . . . . . . . . . . 5
4. L’organisation du travail intellectuel . . . . . . . . . . 5
II.ECOUTE ET CONCENTRATION . . . . . . . . . . . . . . . 6
4. Augmenter la qualité de son écoute et sa concentration 6
a) Bien choisir sa place en classe . . . . . . . . . 6
b) Se préparer pour les exposés magistraux . . . 6
c) développer des habitudes d’écoute active et
méthodique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
2. La concentration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
a) D’où viennent les perturbations . . . . . . . . 7
b) La motivation favorise la concentration . . . 7
b) Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
III. LECTURE METHODQUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
1. Identifier les obstacles à la lecture pour mieux les sur-
monter . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
a) Raisons Socio-affectives . . . . . . . . . . . . 8
b) Raisons cognitives . . . . . . . . . . . . . . . 8
c) Raisons pragmatiques . . . . . . . . . . . . . 8
2. Adapter ses stratégies de lecture à ses objectifs et au
texte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
a) La lecture repérage . . . . . . . . . . . . . . . 9
b) La lecture écrémage . . . . . . . . . . . . . . 9
c) La lecture survole . . . . . . . . . . . . . . . . 9
d) La lecture approfondie . . . . . . . . . . . . . 9
3) Comment choisir un livre en bibliothèque ? . . . . . . . 10
4) Adopter une attitude active dans ses lectures ? . . . . . 10
IV- LA PRISE DE NOTES ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
1. Les notes : un support à l’étude ? . . . . . . . . . . . . 11
2. A propos de la prise de notes . . . . . . . . . . . . . . . 11
3. Méthode pour bien prendre ses notes . . . . . . . . . . 11
a) utiliser des feuilles mobiles . . . . . . . . . . . 11

2
b) utiliser une marge . . . . . . . . . . . . . . . 11
c) Noter systématiquement la date et paginer
vos feuilles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
d) Prendre des notes sous forme de paragraphe . 12
e) Discerner les idées principales . . . . . . . . . 12
f) Ecrire de façon espacée . . . . . . . . . . . . . 12
g) Utiliser des abréviations . . . . . . . . . . . . 12
h) Revoir ses notes le plus tôt possible . . . . . . 13
V- ECRITURE DU TYPE UNIVERSITAIRE . . . . . . . . . . 13
1. Principes de rédaction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
1.1 Etapes préalables à la rédaction . . . . . . . 13
1.2. Parties d’un texte . . . . . . . . . . . . . . . 14
Bibliographie conseillée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17

3
INTRODUCTION
Se familiariser avec l’université n’est pas facile : (pour certains elle ressemble
à un labyrinthe). Les étudiants apprivoisent progressivement les lieux, et ap-
prennent à décoder les sigles (TP- TD -CM).
Les étudiants se plaignent souvent de ne pas être suffisamment informés. . . ,
et pourtant, on leur donne quantité d’informations. Mais une information don-
née à quelqu’un qui ne l’a pas demandée, c’est une information qui glisse et est
oubliée.
Voilà pourquoi il est indispensable que vous construisiez vous-même active-
ment votre projet personnel et professionnel en allant d’abord chercher vous-
même toutes les informations dont vous avez besoin.
- Il faut d’abord avoir une vue d’ensemble des différentes formations au sein
de l’université et à l’extérieur et des passerelles qui permettent de passer de
l’une à l’autre ;
- S’informer sur les options, optionnelles, mais dont le manque est grave plus
tard, pour faire les bons choix.
- S’informer largement à l’avance des dates limites de retrait et d’envoi des
dossiers de candidature.
- Comparer les intitulés et les contenus des différentes formations.
- Se poser les bonnes questions ; ne pas avoir d’a apriori.
• Pour mieux réussir vos études :
• Tous les soirs, sans exception, apprendre le cours de la journée : revoir les
notes, les mettre au propre, faire un résumé, souligner les points qui n’ont pas
été compris pour demander des précisions au professeur.

I. ORGANISATION ET GESTION DU TEMPS


• Gérer son temps, c’est se donner un pouvoir dans l’organisation de ses
études, éviter la passivité, se sécuriser en traitant le temps sous l’angle qualitatif,
et non plus quantitatif.
• Gérer son temps permet d’améliorer ses habitudes de travail et de gagner
du temps.

1. Observer comment s’écoule son temps ( voir grille d’ob-


servation, annexe)
a- Durant une ou deux semaines, astreignez-vous tous les soirs à noter, avec
honnêteté et sans rien omettre, ce que vous avez fait dans la journée écoulée, et
le temps que vous avez consacré à chaque activité.
b- Essayez de voir comment vous pouvez réduire ou augmenter certains
chapitres de votre « budget temps »
c- Repérez les pertes de temps, les activités dévoreuses de temps. . .
d- Calculez le temps dont vous disposez en moyenne par semaine pour votre
travail universitaire :

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1 semaine = 24 h x 7= 168 h
Sommeil = ? h x 7 = h
Toilette = ? h x 7 = h
Repas = ? h x 7 = h
etc. . .
e- Additionnez les temps des activités « incontournables », soustrayez cette
somme des 168 h que comporte toute semaine ; vous avez le temps global hebdo-
madaire que vous pouvez consacrer à vos études. Repérez comment il se répartit
dans la semaine.

2. Le planning à long terme C’est un planning au semestre.


Préciser pour chaque cours les échéances, les travaux indispensables à réa-
liser, définir les priorités, établir quels sont les travaux quotidiens, ou hebdo-
madaires, ceux qui exigent un investissement sur le long terme, etc. Comptez
les semaines, numérotez-les. Afficher ce planning sous vos yeux (voir exemple
annexe)

3. Le planning hebdomadaire
- Faites-vous un planning chaque semaine, surtout si votre emploi du temps
change chaque semaine. Le planning à la semaine, même s’il n’est pas toujours
respecté, permet de repérer quand, où et pourquoi nous perdons du temps.
- Jugez de la pertinence des activités prévues, hiérarchisez vos priorités, soyez
réaliste, évitez de prévoir plusieurs choses à la fois, sachez pourquoi vous faites
telle tâche, ce que vous voulez obtenir. . . ) ; prévoyez un peu de temps dans la
journée pour faire le point sur ce qui a été accompli.
Le planning hebdomadaire doit être :
• diversifié (prévoir toute activité nécessaire à votre équilibre),
• équilibré (entre études et distractions, entre différentes matières),
• souple (il peut y avoir des imprévus, mais en fin de semaine, le travail
prévu doit être terminé, quels que soient les changements intervenus),
• réaliste (ne pas être trop ambitieux, surtout au début)
• contrôlable (objectifs précis que l’on peut vérifier en fin de semaine).

4. L’organisation du travail intellectuel


• Notez l’heure de mise au travail
• Organisez le temps par périodes de 40-50 mn suivies d’une pause de 10 mn.
Vaut mieux des pauses courtes et fréquentes que des pauses rares et longues.
Après 40-50 mn. de concentration, la fatigue augmente, la mémorisation et
le rendement diminuent, une pause est nécessaire si l’on veut rester efficace.
Reprendre le travail après une pause par une brève révision de ce qui vient
d’être mémorisé. Prévoir des pauses plus longues après 3 ou 4 périodes de 40-50
mn (sport, balade, repas . . . )
• Ne reculez pas devant la difficulté.

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• Respectez vos heures de sommeil (les nuits blanches se paient toujours).
La matinée et la deuxième moitié de l’après-midi sont des moments privilégiés
pour les activités intellectuellement exigeantes ; après le repas, on peut classer,
revoir, recopier, bref effectuer des tâches beaucoup moins exigeantes. Évitez les
repas trop copieux ou lourds qui entrainent des somnolences, ou alors faites
carrément une courte sieste (20 mn).

II. ÉCOUTE ET CONCENTRATION


1. Augmenter la qualité de son écoute et sa concentration
Entendre et écouter sont deux choses bien différentes. écouter, c’est non
seulement entendre et percevoir correctement des sons, mais c’est aussi et sur-
tout faire un travail intellectuel pour comprendre, c’est-à-dire sélectionner, or-
ganiser et intégrer l’information transmise. L’écoute est donc un ensemble de
comportements menant à la compréhension. L’acquisition de ces comportements
est essentielle à la réussite d’études supérieures, surtout si l’on considère qu’au
niveau universitaire une bonne part des informations est transmise oralement
sous forme d’exposés magistraux.
Voici quelques uns des défauts les plus courants des mauvais auditeurs :
- être distrait et rêvasser si l’orateur est lent, car le cerveau travaille quatre
fois plus vite que nous parlons.
- Prendre beaucoup trop de notes, parfois tout en notes c’est rassurant, mais
mauvais pour l’attention et la concentration.
- Écouter passivement, sans montrer aucune énergie.
Si vous avez des difficultés à écouter attentivement, voici trois suggestions
qui peuvent vous être utiles :

a) Bien choisir sa place en classe


Choisir une place à l’avant de la classe permet de mieux entendre le pro-
fesseur, de lire plus facilement au tableau et de maintenir un bon niveau de
concentration. Il n’est toujours pas possible d’avoir une bonne place, parfois à
cause d’un problème de local, mais dans le cas où il y a des possibilités, en arri-
vant quelques minutes avant le cours, vous serez assurés d’avoir une meilleure
place.

b) Se préparer pour les exposés magistraux


On ne subit pas les exposés magistraux, on s’y prépare. Avant un cours, il
est utile de relire les notes précédentes et de consulter le matériel de références
(manuels, texte, les documents,. . . ). Cela permet de :
- Revoir le vocabulaire et les concepts qui seront utilisés
- Situer le cours à venir dans son contexte et percevoir la suite des idées.
- Préciser ce que vous saisissez moins bien de façon à préparer des questions
à poser au professeur.

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L’étudiant habile et efficace est celui qui parvient à intégrer rapidement les
nouvelles informations dans l’ensemble de la connaissance déjà acquise sur un
sujet. Il doit avoir en tête les grandes lignes du sujet traité avant de se présenter
au cours. Cette préparation augmentera votre motivation d’assister aux cours.

c) développer des habitudes d’écoute active et méthodique


Plus votre écoute est active et méthodique, plus elle stimule votre concentra-
tion et favorise votre compréhension. La prise de notes, les signes non verbaux
d’écoute, les questions et la connaissance des étapes du cours sont des stratégies
qui vous permettent de développer des habitudes d’écoute efficaces.
* Prendre des notes Plus vous êtes actifs, mieux vous êtes concentré.
La prise de note favorise donc votre concentration et votre écoute.
* Donner des signes non verbaux d’écoute
Le signe le plus évident que l’on est à l’écoute est de regarder son interlocu-
teur. D’autre part, un hochement de tête, un sourire un regard interrogateur,
sont des actions simples qui ont des effets bénéfiques. Ils fournissent au profes-
seur des indices pour percevoir si vos avez compris, s’il doit ajouter un exemple,
s’il doit ralentir son rythme.
* Poser des questions en classe
Les professeurs acceptent volontiers de répondre aux questions qui surgissent
au cours de leurs exposés. Cependant plusieurs étudiants hésitent à demander
des explications par peur de déranger l’ensemble de la classe qui semble com-
prendre. N’oubliez pas que ceux qui semblent saisir sont peut être des individus
qui hésitent eux aussi à poser des questions. Vos questions doivent cependant
être brèves et précises.

2. La concentration
a) D’où viennent les perturbations ?
Les sources de distraction proviennent tout autant de l’individu que de son
environnement :
• Perturbations physiques (faim, douleur, fatigue)
• Perturbations psychologique (problème affectif à régler)
• Perturbations intellectuelles (préoccupation parce que on a travail à pré-
senter en cours)
Solution : Identifier les sources de distraction et, si possible, les éliminer.
Manger si l’on a faim, dormir si l’on est fatigué, régler les problèmes qui
peuvent l’être, ou les inventorier pour pouvoir les mettre de côté momentané-
ment (une liste de tâches sur un bout de papier ou un post-it permet de se
débarrasser de pensées parasites).

b) La motivation favorise la concentration


Qualité et vitesse d’apprentissage varient selon l’intérêt que suscite le cours.
Motivez-vous pour ce que vous allez apprendre. Si la difficulté à se concentrer

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concerne tous les cours ou presque, il faut revoir son projet, se poser des questions
sur ce que l’on souhaite vraiment faire, envisager un changement d’orientation.

Conclusion
La bonne transmission d’un message dépend, bien sûr, de l’enseignant mais
aussi des étudiants, qui, en tant qu’auditeurs actifs, ont une responsabilité dans
la qualité de l’enseignement. Ne laissez pas des filtres personnels ou extérieurs
altérer la qualité de la transmission, essayez d’être ouverts et actifs

III. LECTURE METHODQUE


1. Identifier les obstacles à la lecture pour mieux les sur-
monter
Les obstacles à la lecture peuvent être d’ordre socio-affectif, cognitif ou prag-
matique.

a) Raisons Socio-affectives
• On n’est pas ou on ne se sent pas concerné par l’activité de lecture
• On est débordé par la quantité d’écrits à lire
• On refuse les contenus à lire (lecture imposée = lecture refusée ; raisons
idéologiques)

b) Raisons cognitives
• On méconnait les règles de fonctionnement des lieux ou des supports
(bibliothèques, librairies, CD-ROM, Internet)
• On méconnait les règles de fonctionnement des objets à lire (manuels, ou-
vrages de vulgarisation, ouvrages spécialisés ; index, lexique, table des matières,
...)

c) Raisons pragmatiques
• On ne peut pas lire sans remuer les lèvres ou prononcer dans sa tête
• L’entrainement à la manipulation des livres est insuffisant
• L’entrainement à l’analyse et à la synthèse est insuffisant

2. Adapter ses stratégies de lecture à ses objectifs et au


texte
• Il s’agit ici de lectures de documents de travail, la lecture « plaisir » ou
détente n’est pas prise en compte.
• Le bon lecteur diversifie ses stratégies de lecture en fonction des objectifs
de sa lecture, des textes sur lesquels elle porte, du temps dont il dispose.
On regroupe les façons de lire des lecteurs actifs en cinq stratégies :

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a) La lecture repérage
Ce type de lecture vise la recherche d’informations précises, trouver une
citation ou une définition, dégager un nombre d’éléments. Pour y arriver, il faut
déterminer a apriori ce que l’on recherche
Ses supports : (Annuaires, Dictionnaires, Encyclopédies)
Ses stratégies :
• Identifier le texte et localiser les informations ; se faire une image mentale
de l’information recherchée, laisser glisser son œil sur le milieu de la colonne
jusqu’à ce qu’il reconnaisse l’information attendue.

b) La lecture écrémage
Ce type de lecture conduit à l’essentiel et à ce qui est important, nouveau,
intéressant. Il est adapté aux textes courts, aux articles.
Ses supports : Presse quotidienne, Magazines, Presse spécialisée, Documen-
taires
Ses stratégies :
• Ne lisez que le titre, les sous-titres, le premiers et dernier paragraphe, la
première et la dernière phrase des autres paragraphes et noter les idées retenues.
• Soyez attentif aux mots de liaison chargés de baliser le raisonnement du
texte. La différence avec une lecture complète réside dans la mémorisation de
détails, la lecture complète n’apporte rien de nouveau quant aux idées princi-
pales

c) La lecture survole
• Le survol permet de repérer la structure du document
• Il permet de déceler le contenu, de s’orienter, de trouver les passages cor-
respondants à vos objectifs, de dégager les idées principales, le plan, la structure,
d’avoir une vue globale du texte.
Ses supports : les ouvrages longs.
Ses stratégies : Examiner le titre, le nom de l’auteur, la page de couverture.
Vérifier la date de parution. Parcourir l’avant-propos, la préface, l’introduction,
la conclusion. Regarder la table des matières, le sommaire, l’index. Regarder les
endroits stratégiques, les titres, les sous-titres, début et fin de chapitres. Lire
quelques pages au hasard pour tester la lisibilité de l’ensemble.

d) La lecture approfondie
• La lecture approfondie est probablement celle qui vous est la plus fami-
lière. Elle consiste à lire intégralement un document. Pour retenir un maximum
d’informations, il est nécessaire de les relever, les analyser, les classer. Toute
lecture "gratuite", c’est-à-dire non accompagnée de traces écrites, risque d’être
perdue.

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• Il ne faut jamais oublier que plus le traitement de l’information est pro-
fond, plus on s’approprie le texte. Le meilleur moyen de s’approprier l’informa-
tion est la prise de notes.
Ses stratégies : La lecture approfondie nécessite une série d’opérations :
A) Recenser les informations contenues dans le texte :
-Isoler les divers renseignements que contient le texte
-Annoter, si cela est possible, le texte dans la marge
-Utiliser, si cela est possible, un surligner
B) Sélectionner les informations :
- Éliminer tout ce qui développe un détail, une idée
- Éliminer ce qui répète l’idée sous une autre forme
- Éliminer les exemples qui illustrent l’idée
C) Repérer les caractéristiques communes à plusieurs informations
D) Ordonner l’ensemble des informations

3) Comment choisir un livre en bibliothèque ?


• Noter ce que vous savez déjà sur le sujet.
• Faire une liste de ce que vous voulez savoir.
• Faire une liste des ouvrages trouvés sur le sujet et planifier l’ordre des
lectures.
• Commencer par les ouvrages de vulgarisation.
• Passer ensuite à des ouvrages plus spécialisés pour approfondir certains
aspects intéressants.
• Finir par un ouvrage de synthèse pour renforcer la mémorisation.

4) Adopter une attitude active dans ses lectures


• Ne pas laisser son esprit vagabonder lorsqu’on lit
• Être motivé : chercher une réponse à une question ;
• Chercher à confronter ses idées aux idées d’autrui, à vérifier des hypo-
thèses ;
• Repérer : le type d’écrit (lettre, rapport, article, transcription d’une confé-
rence orale, compte-rendu. . . )
• Le type de texte (narratif, explicatif, informatif, descriptif, argumentatif)
• La structure du texte, le plan (table des matières)
• Les phrases de transition
• Chercher les informations aux endroits stratégiques : introduction, (thème
traité, problème ou intérêt, annonce du plan), conclusion, début et fin de para-
graphes ; visuels ; titraille et chapeau
• Faire des liens avec ce qu’on sait déjà sur la question, d’autres textes sur
le même sujet, d’autres écrits du même auteur
• Se fixer des échéances
• Reformuler mentalement ou oralement ce qu’on vient de lire (« de quoi
ça parle » et ce qu’on en dit) ou par écrit (prise de notes sous forme de mots
clés, de schémas, de résumés)

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• Être dans de bonnes conditions matérielles : bien installé, sur un siège
plutôt dur. Les mauvaises positions entrainent des tensions musculaires et une
fatigue intellectuelle prématurée. Évitez de courber la tête excessivement, lisez
dans le calme et le silence pour favoriser la concentration, évitez le surmenage
visuel, par un éclairage adapté, par la gymnastique visuelle, la relaxation. Faire
de courtes pauses pour reposer l’œil.

IV- LA PRISE DE NOTES


1. Les notes : un support à l’étude
• l’assistance au cours est aussi importante que la lecture des textes obli-
gatoires. Cette activité constitue une partie magistrale de l’apprentissage aussi
convient-il d’en tirer un maximum de profits.
• Quant l’information présentée dans le cours étant matière à examen est
disponible uniquement dans l’exposé du professeur, la prise de note devient
nécessaire car le taux d’oubli suite à un exposé est très élevé et rapide. Il est
alors important de prendre les notes les plus complètes possible car c’est le seul
moyen de révise la matière.

2. A propos de la prise de notes


• La prise de notes constitue le seul moyen d’avoir accès à nouveau à de
l’information uniquement donnée dans l’exposé d professeur.
• De bonnes notes de cours sont prises rapidement et font ressortir l’essentiel
de l’exposé du professeur.
• La révision de notes de cours est importante pour bien réussir l’examen.

3. Méthode pour bien prendre ses notes


a) utiliser des feuilles mobiles
le système des feuilles mobile vous permet d’insérer d’autres documents.
Essayez également de n’écrire que sur un coté des pages. Lors de la révision
vous pourrez ainsi étendre vos feuilles afin de saisir l’ensemble des idées d’un
cours en ayant une bonne représentation visuelle.

b) utiliser une marge


tracez une ligne verticale à environ 5cm du coté gauche de chaque feuille.
Cette marge sert à compléter vos notes de cours et à extraire des mots-clés.
Exemple d’annotation dans la marge :
• ? = Pas compris, obscure
• I. = Intéressant
• R.= A retenir
• A= Approfondir

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• V= vérifier
• Déf = définition
• Arg= argument
• exp=exemple
• Non= pas d’accord
• OK= d’accord

c) Noter systématiquement la date et paginer vos feuilles


d) Prendre des notes sous forme de paragraphe
votre objectif devrait être de prendre des notes de façon aussi claire et com-
plète que possible, de façon à les comprendre même si vous ne les relisiez que dans
quelques mois. Assurez-vous d’avoir une seule idée pour chaque paragraphe.

e) Discerner les idées principales


Sachez bien différencier les idées principales des détails. Cela vous permettra
de comprendre le développement des idées. Vous pouvez ajouter plus tard les
détails.

f) Écrire de façon espacée


Sautez un ligne à la fin de l’exposé d’une idée. Indiquez les sous points et les
détails en utilisant des chiffres ou des lettres sous l’idée principale.

g) Utiliser des abréviations


la plupart des professeurs ne dictent pas et quand ils le font, ils vont très
vite. Les abréviations vous feront gagner du temps mais assurez vous que vous
les comprendrez en les réutilisant plus tard. Faites vous un code pour les termes
qui reviennent fréquemment dans votre discipline.
Les abréviations sont des réductions d’un mot ou d’un groupe de mots. On
ne les emploie que pour les mots courants afin d’éviter les confusions. On peut
créer ses propres abréviations tout en évitant de tomber dans l’excès des notes
codées.
Principes d’utilisation :
• Faire suivre l’abréviation d’un point. Ex. : c.à.d (c’est à dire)
• Garder la même abréviation sans distinction entre substantif, adjectif,
adverbe ou verbe. Ex. : ann. Pour année, annuel, annuelle, annuellement.
• Doubler les consonnes initiales pour marquer le pluriel : p.=page, pp.=pages,
M.=Monsieur, MM.=Messieurs etc.
• Créer une abréviation provisoire pour un mot ou une expression qui re-
viendra souvent lors de l’exposé. Ex. : sc.= semi conducteur, c.s.=cellule souche,
F.P. = formation permanente, L.C.=Langue et communication, Mod. = module
• Abréviations courantes codifiées conventionnelles : Dr, M., Mme, vol, km,
mn

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• Apocope : fac pour faculté ; photo pour photographie ; ciné pour cinéma-
tographie !
• Concentration sur les consonnes : ds (dans), dt (dont) ms (mais), bcp(beau-
coup), cpdt (cependant), dvt (devant), pdt(pendant), pr(pour), qd (quand),
qqf(quelques fois), tjs (toujours), svt (souvent), av (avec), act (activité), abs
(absence), tt (tout), càd (c’est-à-dire), ccl (conclusion), evt (évènement), gp
(groupe), intro (introduction), pb (problème),
• Concentration sur l’amorce du terme : idéol. (idéologie) ; sol. (solution) ;
suppr (supprimer). (attention aux ambigüités : géo = géographie ou géologie ?)
• Initiale : jf (jeune femme), jh (jeune homme),
• Les symboles (voir annexe)

h) Revoir ses notes le plus tôt possible


Il est important de revoir ses notes tout de suite après le cours ou au plus tard
le soir même. Relisez vos notes, complétez les mots mal écrits ou trop abrégés
et remplissez les espaces laissés vides. Soulignez ensuite ou encadrez les idées
principales. Lorsque vous revoyez vos notes, inscrivez dans la colonne de gauche
les mots ou les phares-clés qui serviront d’indices pour les idées développées
droite de la page. Cela vous amènera à relire les idées, à les résumer, à y réfléchir
et à les structurer.

V- ÉCRITURE DU TYPE UNIVERSITAIRE


Rédaction et présentation matérielle de travaux écrits

1. Principes de rédaction
1.1 Étapes préalables à la rédaction
1.1.1 Cerner le but de la rédaction Il faut commencer par cerner le but
de tout travail écrit. S’agit-il d’un compte rendu, d’une dissertation littéraire
ou philosophique, d’une étude critique, d’un rapport technique ou d’une thèse ?
La réponse permettra d’orienter la teneur du discours, d’identifier le genre d’ar-
gumentation et le niveau de langue à utiliser.

1.1.2 Identifier le lecteur du document Il importe également d’identifier


son public cible et ses besoins, qu’il soit du corps professoral ou autre. Ignorer
son lecteur risque d’entrainer des conséquences fâcheuses : on pourrait inclure
des données non pertinentes ou omettre des détails importants. Même si le texte
s’adresse à un lecteur expert dans le domaine, il devrait éviter le jargon et les
acronymes encombrants qui nuisent à la compréhension.

1.1.3 Faire le plan de la rédaction Il est recommandé d’inscrire sur des


fiches (un point par fiche) tous les points qui se dégagent des lectures ou d’un

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remue-méninges. Une fois les recherches terminées, on devrait avoir une idée
des conclusions et des résultats auxquels elles vont aboutir.
C’est à ce moment que les documents qui vont appuyer ses idées sont privi-
légiés et que le reste est mis de côté. Il devient alors possible d’élaborer un plan
qui sera aussi détaillé que possible, afin de faciliter la rédaction. Cependant, une
fois établi, le plan n’est pas un élément figé. Il est un outil et peut changer si
d’autres points importants viennent à l’esprit lors du développement du texte.
L’élaboration d’un plan détaillé consiste à :
• Faire un rapprochement d’idées qui appartiennent à une même catégorie.
• Donner un titre à chaque catégorie.
• Choisir les idées principales du travail. Ces idées et leur ordre de présen-
tation seront annoncés dans l’introduction.
• Classer ces idées principales dans un ordre logique.
• Déterminer les subdivisions intérieures de chacune des idées principales
du travail et à en établir un ordre de présentation logique.
Le plan, une fois confirmé à la fin de l’activité de rédaction, peut servir de
table des matières présentée selon le système décimal ou la méthode tradition-
nelle. Il suffit d’ajouter la pagination. NOTA : La table des matières peut se
limiter à l’énoncé des idées principales et secondaires.
Système décimal Méthode traditionnelle
1. Introduction I. Introduction
2. Idée principale II. Idée principale
2.1. Idée secondaire A. Idée secondaire
2.1.1. Idée tertiaire 1. Idée tertiaire
2.1.2. Idée tertiaire 2. Idée tertiaire
3. Idée principale III. Idée principale
3.1. Idée secondaire A. Idée secondaire
3.1.1. Idée tertiaire 1. Idée tertiaire
3.1.2. Idée tertiaire 2. Idée tertiaire
3.2. Idée secondaire B. Idée secondaire
3.2.1. Idée tertiaire 1. Idée tertiaire
3.2.2. Idée tertiaire 2. Idée tertiaire
4. Conclusion IV. Conclusion

1.2. Parties d’un texte


1.2.1 Introduction L’introduction s’écrit normalement après avoir rédigé le
développement, au cas où celui-ci varierait légèrement du plan de départ. Toute
introduction doit respecter les trois étapes suivantes :
• Sujet amené - Le contexte du sujet et ce qui nous a amené à traiter du
sujet. Ceci permet de partir du général pour aller vers le spécifique.
• Sujet posé - C’est à ce moment qu’on dit exactement de quoi on va parler,
soit en reprenant la question originale ou en la reformulant en ses propres mots.
Pour certains départements, dont Histoire, cette section comprend deux parties
distinctes : une question (ou problématique) et une hypothèse qui permettra d’y

14
apporter une réponse.
• Sujet divisé - On annonce les idées principales du sujet à traiter.

1.2.2. Développement Un travail écrit, que ce soit une composition, un es-


sai, un travail de recherche, un rapport technique, doit respecter le plan établi
dans l’introduction. Les grandes parties du plan sont annoncées clairement par
l’emploi de phrases jalons qui marquent la direction de la pensée et qui per-
mettent au lecteur de s’orienter dans l’argumentation. De plus, il est important
de lier les paragraphes par des mots ou des expressions de transition qui rendent
« visibles » les liens logiques entre les étapes du développement.
Chaque idée principale du plan représente un paragraphe (parfois, une seule
idée principale peut demander plusieurs paragraphes selon le nombre d’idées
secondaires). En principe, le développement consiste en une série de paragraphes
qui se construisent autour des mêmes principes que ceux de la composition en
général :
• L’introduction du paragraphe consiste à présenter, généralement dans la
première phrase, l’idée principale.
• Dans le développement du paragraphe, les idées secondaires (ou tertiaires)
sont utilisées pour illustrer et expliquer l’idée principale.
• La conclusion ferme le paragraphe en reprenant l’idée principale.
Le paragraphe suivant illustre bien ce principe : (Simard, Jean-Paul. Guide
du savoir-écrire. Montréal, Éditions de l’Homme, 1998, p. 176)
Devant les problèmes de la vie moderne, de idée principale énoncée
plus en plus de gens s’intéressent à l’éthique
et s’interrogent sur le sens des valeurs
Depuis une vingtaine d’années au Québec, exemple
des diversités se remarquent dans les
croyances religieuses et les options morales. Il
devient évident que le monolithisme n’existe
plus et plusieurs membres de la communauté
québécoise font connaitre ouvertement leurs
positions
En fait, une société qui bouge est une société explication
qui évolue et, dans une société en perpétuel
réajustement, il est clair que des oppositions
s’affrontent, des tensions se créent, des
ruptures se vivent, des débats émotifs
s’engagent
Le temps permettra à chacun et à chacune, à conclusion
travers les luttes et les difficultés, de mieux
se comprendre, d’accepter le pluralisme
grandissant au Québec, mais surtout de
l’intégrer dans leur vie.

15
1.2.3. Conclusion La conclusion sert de synthèse, car elle résume les grandes
idées qui ont servi à expliquer le problème de départ, à répondre à la question
posée dans l’introduction. Elle fixe aussi la position de l’auteur vis-à-vis de la
problématique. Enfin, elle pourrait, à la rigueur, permettre un élargissement du
sujet afin d’inciter le lecteur à réfléchir sur l’envergure de la question. « En
somme, si l’introduction peut constituer une sorte d’entonnoir dont l’ouverture
se rétrécit au point de préciser le sujet, la conclusion forme, en sens contraire,
un autre entonnoir qui part du sujet pour en élargir les horizons.» (Renaud,
Laurier. Protocole de présentation et de rédaction des travaux écrits. Montréal,
Guérin, 1988, p.8)

16
Bibliographie conseillée
Recherche documentaire
BATIFOULIER, Christian ; DUPASQUlER, Marie-Hélène.- Organiser sa
documentation et savoir consulter d’autres sources, Paris, éd. du Centre de
formation et de perfectionnement des journalistes, 1993.
DARROBERS, Martine ; LE POTTIER, Nicole.- La recherche documen-
taire, Paris, Nathan, 1994.
LEFORT, Geneviève.- Savoir se documenter, Paris, Editions d’Organisation,
1994.
ROCHEFORT-ALGIS, E., Lecteurs, à vos Marques, Lisez vite et bien,
E.M.E., Paris, 1987.
LEFORT, G., Savoir se Documenter, Paris, éd d’Organisation, 1994.
SOULEZ, Bettina.- Devenir un lecteur performant. Lire plus vite, mieux
comprendre et bien utiliser sa mémoire.- Paris : Dunod, 1991
Méthodes de travail (en général)
ROMAINVILLE, M., GENTILE, C., Des Méthodes pour Apprendre, Paris,
éd. d’Organisation, 1990.
CHEVALIER, Brigitte.- Préparer un examen, gestion mentale et acquisition
de méthodes de travail, Paris, Nathan, 1992.
COEFFE, Michel.- Guide Bordas des méthodes de travail, Paris, Bordas,
1990.
ROMAINVlLLE, Marc ; CONCETTA, Gentile.- Des méthodes pour ap-
prendre, Paris, Editions d’Organisation, 1990.
SAMSON, Pierre.- Organiser son travail personnel, Paris, Editions d’Orga-
nisation, 1992.
SONNAIS, Guy.- Découvrez votre méthode de travail, Monaco, Editions du
Rocher, 1991.
Lecture et prise de notes
CHEVALIER, Brigitte.- Lecture et prise de notes. Gestion mentale et ac-
quisition de méthodes de travail.-Paris : Nathan, 1992.
ROCHEFORT-ALGIS, Elisabeth.- Lecteurs, à vos marques. . . Lisez vite et
bien. Paris : Entreprise moderne d’édition, ESF, 1987.
CHEVALIER, Brigitte.- Lecture et prise de notes.- Paris : Nathan Univer-
sité, 1992.
HOFFBECK, Gérard ; WALTER, Jean.- Prendre des notes vite et bien,
enseignement et concours ; vie professionnelle, Paris, Dunod, 2002.
SIMONET, Renée et Jean.- La prise de notes intelligente, Paris, éd. d’Or-
ganisation, 1988.
TIMBAL-DUCLAUX, Louis.- La Prise de notes efficace.- Paris : Retz, 1988
CHEVALIER, Brigitte.- Lecture et prise de notes ; gestion mentale et ac-
quisition de méthodes de travail.- Paris : Nathan université, 1992.
HOFFBECK, Gérard ; WALTER, Jean.- Prendre des notes vite et bien,
enseignement et concours ; vie professionnelle, Paris, Dunod, 2002.
SIMONET, Renée et Jean.- La prise de notes intelligente, Paris, Editions
d’Organisation, 1988.

17
SOULEZ, Bettina.- Devenir un lecteur performant. Lire plus vite, mieux
comprendre et bien utiliser sa mémoire, Paris, Dunod, 1997.
Expression écrite et orale
GRISELIN, Madeleine ; CARPENTIER, Chantal ; MAÏLLARDET, Joëlle ;
ORMAUX, Serge.- Guide de la communication écrite. Savoir rédiger, illustrer et
présenter rapports, dossiers, articles, mémoires et thèses.- Paris : Dunod, 1992.
ECKENSCHWILLER, Michèle.- L’écrit universitaire, Paris, Editions d’Or-
ganisation, 1994.
FINTZ, Claude ; RISPAIL, Marielle.-Le Français dans le supérieur ; fiches
méthodologiques.- Paris : Ellipses, 1997.
REOL, Gilles ; FLAGEUL, Noë1.- Méthodes et techniques de l’expression
écrite et orale, Paris, A. Colin, 1996.
MEYER, Bernard.- Maîtriser l’argumentation, Paris, A. Colin, 1996. SIMO-
NET, Renée.- L’exposé oral, Paris, Editions d’Organisation, 1989.
SIMONET, Renée.- Comment réussir un exposé oral.- Paris, Dunod, 2000.
Benoit, Denis , Introduction aux sciences de l’information et de la commu-
nication, Les éditions d’organisation 1995.
Boudrias, Gilles , L’art de convaincre, Montréal, McGraw_Hill 1989.
Destrez, Thierry , Demain je parle en public, Dunod, Paris 1998.
Orientation
AZOULA Y, Gilbert.- Que faire après un BTS, DEUG, DUT ? , Paris, L’Etu-
diant, 1998.

18
Remplissez le tableau ci-dessous :

Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche


Sommeil
Repas
Toilette-beauté
Trajets
Travail professionnel
Travaux domestiques
Travail universitaire
Loisirs
Lecture
Activités sportives
Coups de téléphone
Presse, radio, télévision
Autres
Imprévus

19
Le planning à long terme
* Exemple :
Cours Type d’examen Support pour l’étude Travaux à réaliser Dates limites

Etc.
Les abréviations usuelles
ar. arrière
av. avant
tjr. toujours
pdt. pendant
qu. quand
lgtps. longtemps
cpd. cependant
ss. sans
m. même
ds. dans
ê. être
q. que
ql. Quel
qqf. Quelquefois
svt. Souvent
qqu. Quelques-uns
ms. mais
id. identique
nb. nombre
ss. sous
pb. problème
sol. solution
obs. observation
ort. orientation
prtt. pourtant
pr. pour
ârt. partie
bcp. beaucoup
c. comme
càd. c’est-à-dire
int. intérieur
ext. extérieur
max. maximum
min. minimum
gd. Grand
pt. petit
pr. pour
pb. problème
st. sont

20
sté. société
qq. quelque
cf. se reporter
tps. temps
cb ? combien
qcq. qu’est ce que
ns. nous
ts. tous
tt. tout
Adm. Administration
abn. abréviation
accn. accélération
cn. conclusion
Deuxième outil : les symboles (ou idéogrammes)
= égal
// Parallèle
>supérieur à
<inférieur à
différent de
~peu différent de,

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