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FISCALE – IEDF -
FINANCES LOCALES
FINANCES LOCALES
2
Les finances locales reposent globalement sur l’études des budgets des
collectivités locales (territoriales).
(territoriales). Il s’agit du budget de la wilaya et du
b d t de
budget d la
l commune
commune..
Toutefois, il est important de savoir que les finances locales diffèrent dans
leurs définitions et compositions selon l’organisation des Etats
(Algérie, Tunisie, Allemagne, Etats
Etats--Unis, Italie …
En effet, selon l’organisation de l’Etat, en Etat unitaire ou en Etat fédéral, la
définition des finances publiques et locales en particulier, doit être
appréhendée avec prudence
prudence..
À ce titre, concernant notre présentation, nous allons faire abstraction de
l’organisation fédéral, en se conformant à notre organisation, et dans les
développements du sujet des finances locales nous nous
concentrerons, pour plus d’enseignements, sur la commune, collectivités
territoriale de base de l’Etat
l’Etat..
1
Sommaire
3
1) Références bibliographiques
bibliographiques..
2) Rappel des principes généraux
généra régissant le budget
b
budget.
dget.
3) Les règles de présentation et la structure des budgets de
wilaya et de la commune.
commune.
4) Préparation, adoption et approbation du budget communal
communal..
5) Exécution du budget communal
communal..
6) Le contrôle de l’exécution budgétaire.
budgétaire.
7) L’exécution administrative et comptable des recettes et des
dépenses..
dépenses
8) Un aperçu sur les recettes communales et les aides
budgétaires de l’Etat accordées récemment aux communes
communes..
2
ARRETES
•Arrêté interministériel du 20-02-1968 relatif au paiement avant ordonnancement de certaines
dépenses obligatoires communales ;
•Arrêté
A êté interministériel
i t i i té i l des
d 03/041968 portant
t t modalités
d lité de é li ti des
d réalisation d constructions
t ti scolaires
l i ;
•Arrêté interministériel du 16-05-1985 fixant les modalités d’applications progressive aux communes
du nouveau cadre budgétaire fixé par le décret n° 84-71 du 17/03/1984 ;
•Arrêté interministériel du 06-01-2014 fixant le cadre du budget communal et déterminant l’intitulé et
le numéro des subdivisions des chapitres et des comptes
•Arrêté interministériel du 12-06-1989 portant contribution des wilayas et des communes pour la
promotion des initiatives de la jeunesse et du développement des pratiques sportives ;
•Arrêté interministériel du 14-02-1995 fixant les conditions dans lesquelles il est paré aux insuffisances
des recouvrements par rapport aux prévisions des recettes fiscales des collectivités locales ;
Arrêté interministériel du 9 mai 2010, modifié, fixant le calendrier de mise en œuvre du contrôle
•Arrêté
préalable des dépenses engagées applicable aux budgets des communes
•Arrêté du 16-01-1996 précisant les domaines d’intervention des chambres de la Cour des comptes et
déterminant leurs subdivisions et sections ;
INSTRUCTIONS
•Instruction interministérielle C1 sur les opérations financières des communes.
•Instruction interministérielle n° 331 du 24-06-1995 sur les nouvelles modalités de garantie et de
compensation des moins-values de recettes fiscales des collectivités locales.
•Instruction n° 19-94 du 30-03-1994 relative aux modalités nouvelles d’octroi de subventions
exceptionnelles d’équilibre.
OUVRAGES:
Douat,
Douat, Michel S. Kott et C. Badin, Guengant,
Guengant,
Etienne Bouvier Moniolle Xavièr Alain
3
OUVRAGES:
www.joradp.dz/
http://www.collectivites-locales.gouv.fr/finances-locales-communes
http://www.performance-publique.budget.gouv.fr/les-enjeux-des-finances-
htt // f bli b d t f /l j d fi
publiques/le-financement-des-collectivites-territoriales.html
http://www.vie-publique.fr/decouverte-institutions/finances-
publiques/collectivites-territoriales/
http://www.ccomptes.fr/Thematiques/Finances-publiques/Collectivites-
territoriales
4
ETUDES ET RAPPORTS:
10
1) RAPPEL DES
PRINCIPES GÉNÉRAUX
RÉGISSANT LE BUDGET.
5
Rappel des principes généraux régissant le budget.
11
Il s’agit de :
1) l’autorisation préalable ;
2) l’annualité budgétaire;
3) l’équilibre budgétaire ;
4) l’unité budgétaire ;
5) ll’universalité
universalité budgétaire ;
6) la séparation des ordonnateurs et des comptables ;
7) la spécialité des crédits.
6
Rappel des principes généraux régissant le budget.
13
1) l’autorisation préalable :
Principe selon lequel les dépenses et les recettes, proposées
et effectuées par l’exécutif local (wilaya et
commune), doivent être autorisées par l’organe
délibérant, l’Assemblée populaire (APW ou APC)APC)..
Aussi, généralement un autre principe est associé à
l’autorisation préalable, il s’agit du principe d’antériorité
selon lequel le budget doit être voté et réglé avant le
début de la période d’exécution
d’exécution..
2) l’annualité budgétaire :
7
Rappel des principes généraux régissant le budget.
15
3) l’équilibre budgétaire :
Le principe de l’équilibre
l équilibre du budget signifie que les
montants des prévisions de recettes et les montants des
prévisions de dépenses doivent être équilibrés
équilibrés..
Pour les budgets des collectivités territoriales, cet équilibre
doit se réaliser au sein des deux sections du budget de la
commune ((section de fonctionnement et section
d’équipement et d’investissement), elles
elles--mêmes divisées en
recettes et en dépenses.
dépenses. C’est un principe fondamentale
pour la commune.
commune.
Le budget de l’Etat, n’est pas soumis forcément à ce
principe.. (le déficit budgétaire,
principe budgétaire, théorie keynésienne …)
8
Rappel des principes généraux régissant le budget.
17
4) l’unité budgétaire :
5) l’universalité budgétaire :
Principep selon lequel q le budget
g de la commune doit
rassembler en une seule masse l’ensemble des recettes et
doit imputer sur cette masse l’ensemble des dépenses
dépenses..
Ce principe a deux conséquences :
l’intégralité des recettes et des dépenses doit figurer au
budget, ce qui interdit une compensation entre les recettes
et les dépenses ;
ce principe s’oppose à ce qu’une recette soit affectée au
financement privilégié d’une dépense particulière particulière..
(l’exception : les recettes grevées d’affectation spéciale (ou
fonds spéciaux)).
spéciaux)).
9
Rappel des principes généraux régissant le budget.
19
10
LES FINANCES LOCALES
21
22
2) LES RÈGLES
È DE PRÉSENTATION
É
ET LA STRUCTURE DU BUDGET
LOCAL
(WILAYA et COMMUNE).
11
A) LES RÈGLES DE PRÉSENTATION
23
L’ANNUALITE
L’ANTERIORITE
L’UNITE
L’UNIVERSALITE
LA SPECIALITE
L’EQUILIBRE
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LA STRUCTURE DU BUDGET
LOCAL (WILAYA ET COMMUNE):
COMMUNE):
25
26
3) PRÉPARATION,
É ADOPTION
ET APPROBATION DU
BUDGET COMMUNAL
COMMUNAL..
13
3-1) PRÉPARATION DU BUDGET
27
COMMUNAL.
Le budget de la commune est préparé et exécuté par le
président de l’A.
p l’A.P.C. conformément au code communal.
communal.
Toutefois, avant son exécution, le budget communal est
discuté et voté par l’A. l’A.P.C., approuvé et,
éventuellement, réglé par l’autorité de tutelle.
tutelle.
le budget communal est préparé par le P/APC en
collaboration avec son secrétaire général de la
commune..
commune
Le projet étant arrêté, il est soumis pour avis à une
commission chargée des finances avant qu'il ne soit
proposé à l'APC.
l'APC.
28
14
A/ LE BUDGET PRIMITIF
29
15
31
Dépenses obligatoires;
Dépenses nécessaires;
Dépenses facultatives. .
32
16
33
Dépenses nécessaires
nécessaires:: sont généralement des dépenses
d
devant
t permettre
tt lel fonctionnement
f ti t normall de
d l’administration
l’ d i i t ti
communale et des services communaux. Sont constituées,
notamment par :
Dépenses de fournitures: (carburant combustible...)
Les fournitures de bureaux ;
Les abonnements souscrits (journal officiel,
journaux),
….
34
…
17
35
36
18
B/ LE BUDGET SUPPLÉMENTAIRE
37
38
19
C/ LE COMPTE ADMINISTRATIF
39
20
41
3-3) APPROBATION DU
42
BUDGET COMMUNAL.
Le budgets communal, suite à la délibérations de l’Al’A..P.C., est
obligatoirement
g adressés aux autorités de tutelle ((walis ou
chefs de daïra) pour être approuvés.
approuvés.
Le non respect des principes liés à la présentation du
budget, essentiellement celui de l'équilibre,
l'équilibre, qu'est une
obligation juridique (loi) que la commune est tenue à
respecter,
p , entraîne le rejet
j du budget
g p par l'autorité de
tutelle, il doit être présenter de nouveau à l'APC
dans un délai fixé, pour son équilibre obligatoire et donc
sa mise à niveau.
niveau.
21
43
44
4) L’EXÉCUTION
É DU BUDGET
COMMUNAL.
22
L’EXÉCUTION DU BUDGET
45
COMMUNAL
le budget communal ne peut être exécuté qu’après son
vote par ll’A
A.P.C. et son approbation par ll’autorité
A. autorité de
tutelle..
tutelle
L’exécution se réalise :
EN MATIÈRE DE DÉPENSESDÉPENSES,, par les actes
d’engagement, de liquidation, d’ordonnancement et
d paiement
de i ;
EN MATIÈRE DE RECETTES RECETTES,, par des actes de
constatation, de liquidation et de recouvrement
recouvrement..
A/ LE PRINCIPE FONDAMENTAL DE
L’EXÉCUTION DU BUDGET COMMUNAL
46
23
A/ QUELS SONT LES PRINCIPAUX ACTEURS
DE L’EXÉCUTION DU BUDGET COMMUNAL
47
Le président de l’A
l’A..P.C., ordonnateur ;
Le trésorier communal, comptable public
public..
24
A-2/ LE COMPTABLE PUBLIC DU BUDGET
COMMUNAL
49
25
51
5) LE CONTRÔLE DE
L’EXÉCUTION
É DU BUDGET
COMMUNAL.
Le contrôle de l’exécution du budget
communal est assuré par plusieurs
organes distincts, au même titre que les
autres budgets publics. Mais pour la
première fois la budget de la commune est
soumis à un nouvel organe introduit
récemment
Ordonnateur :
Comptable :
Trésorier Communal
Président APC
principe de séparation des ordonnateurs et des comptables
26
PROBLEME, L’ORDONNATEUR
A DÉJÀ ENGAGÉ LA COMMUNE
CE QUI DONNE NAISSANCE A
LA DETTE.
SOLUTION
CONTRÔLER L’ENGAGEMENT
A LA SOURCE.
Le Trésorier Communal
27
L’ENGAGEMENT DE LA DEPENSE
L’opération
p d’engagement,
g g , q
quelle qque soit sa
nature, doit donner lieu à l’établissement par
l’ordonnateur d’une fiche d’engagement
accompagnée des pièces justificatives
réglementaires (bon de
commande, convention, marché, etc.
etc.).
La fiche d’engagement :
le libellé de l’opération ;
les numéros d’inscription de l’équipement public de
l’Etat ;
le solde des engagements déjà effectués ;
le montant de l’engagement envisagé, par rubrique.
28
Le Contrôleur Financier :
CF
AGIT EN TANT QUE
PROVISOIRE DEFINITIF
29
Part ailleurs, il y a lieu de rappeler que cet aspect
de Contrôle préalable des dépenses engagées est
explicitement traité et balisé par le décret
exécutif n° 92-
92-414 relatif au contrôle préalable
des dépenses engagées du 14 novembre 1992,1992, qui
est modifié et complété pour, entre
autres, étendre ce contrôle aux budgets des
communes..
communes
Que dispose
dispose--t-il le décret exécutif N° 92-
92-414 du 14
novembre 1992
1992,, modifié et complété,
complété relatif au
contrôle préalable des dépenses engagées, pour le
budget Communal ?
30
« Art
Art.. 2: Le contrôle préalable des dépenses
engagées
g g s’applique
pp q aux budgets
g des institutions et
administrations de l’Etat, aux budgets annexes, aux
comptes spéciaux du Trésor, aux budgets des
wilayas, aux budgets des communes
communes,, aux budgets des
établissements publics à caractère administratif, aux
budgets des établissements publics à caractère
scientifique et culturel et professionnel et aux budgets
des établissements publics à caractère administratif
assimilés..
assimilés
l suite
la it de
d l’art
l’ t 2: La
L mise
i en œuvre de
d la
l
mesure d’extension du contrôle préalable aux
communes s’effectue, graduellement, selon un
calendrier fixé par les ministres chargés
respectivement du budget et des collectivités
locales..».
locales
31
«Art
Art.. 17:
17: Les dates de clôture des engagements
de dépenses effectués par la wilaya et la commune
demeurent soumises aux dispositions réglementaires
qui les régissent.
régissent.
Toutefois, en cas de nécessité dûment justifiée, ces
dates peuvent être prorogées par décision du
ministre chargé du budget»
32
Art.2.- Les budgets des communes sont soumis
Art.
graduellement
d ll t au contrôle
t ôl préalable
é l bl des
d dé
dépenses
engagées, conformément au calendrier suivant :
à compter de l’exercice budgétaire 2010, 2010, pour les
communes chefs lieux de wilayas ;
à compter du mois d’avril 2012,2012, pour les communes
chefs
h f lieux
li d daïras,
de d ï ainsi
i i que les
l communes chefsh f
lieux de circonscriptions administratives relevant de
l’autorité de walis délégués ;
à compter du mois d’avril 2013, 2013, pour le reste des
communes..
communes
6/ L’EXÉCUTION ADMINISTRATIVE ET
COMPTABLE DES DEPENSES COMMUNALES
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6-1) la phase administrative de l’exécution des dépenses
(La suite)
la phase administrative de l’exécution des dépenses
3. L’ordonnancement
L’ordonnancement:: est l’acte par lequel est donné
l’ d de
l’ordre d payer la
l dépense
dé
dépense. .
L’ordonnancement est matérialisé par un mandat de
paiement daté et signé par le président de l’A. l’A.P.C.
Chaque mandat est accompagné des pièces
justificatives réglementaires (délibérations, factures,
mémoires marchés,
mémoires, marchés etc
etc..).
Les mandats de paiement, récapitulés sur un bordereau
et appuyés des pièces justificatives, sont émis et
transmis par le président de l’A
l’A..P.C. entre le 1er et
20ème
20 ème jour de chaque mois, au trésorier communal.
communal.
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(La suite)
la phase administrative de l’exécution des dépenses
Le mandat vaut titre de paiement lorsque le règlement est
prévu en numéraire ou bien doit être accompagné
p p g d’un
avis de crédit avec ordre de virement
virement..
Si le président de l’A l’A..P.C. refuse d’ordonnancer une
dépense obligatoire, le wali prend un arrêté qui tient lieu
de mandat de président
président..
Le mandatement d'office p par le wali ne p
peut toutefois
intervenir que s'il existe un crédit régulièrement ouvert
et si la dette n'est pas contestée
contestée..
Le président de l’A l’A..P.C. peut déléguer son pouvoir
d’ordonnateur.. Mais nonobstant cette délégation, il
d’ordonnateur
conserve le droit d’ordonnancer
d’ordonnancer..
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6-2) la phase comptable de l’exécution des dépenses
7/ L’EXÉCUTION ADMINISTRATIVE ET
COMPTABLE DES RECETTES COMMUNALES
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7-1) la phase administrative de l’exécution des recettes
1. La constatation:
constatation: est l’acte par lequel est consacré le
droit de la commune, créancière
créancière..
2. La liquidation:
liquidation: de la recette permet de déterminer le
montant exact de la dette du redevable au profit de la
commune et d’en ordonner le recouvrement au
moyen d’un titre légalement établi « le titre de
recettes ».
(La suite)
la phase administrative de l’exécution des recettes
37
7-2) la phase comptable de l’exécution des recettes
(La suite)
la phase comptable de l’exécution des recettes
2. Le recouvrement:
recouvrement: il désigne l’ensemble des opérations
permettant de percevoir les recettes à partir du moment
où celles
celles--ci ont été liquidées.
liquidées.
Cette opération appartient au trésorier communal chargé
seul et sous sa responsabilité de poursuivre la rentrée de
tous les revenus de la commune et de toutes les sommes
qui lui sont dues
q dues..
A cet effet, le trésorier communal est tenu, sous sa
responsabilité personnelle, de faire contre les débiteurs
toutes les significations et poursuites nécessaires
permettant le recouvrement des produits.
produits.
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UN APERÇU SUR LES
RECETTES REVENANT AUX
COMMUNES , AINSI QUE LES
AIDES ACCORDEES PAR
L’ETAT
LF2007 : Chambre
de Chambre de
6% l'artisana commerce et Commue Wilaya FCCL Etat
Crée par
L'impôt forfaitaire 12% t et des d'industrie
l'article 2 de LF
unique (IFU) LFC2008: métiers
2007
5%
12% ∗∗ 2007 - - 40% 5% 5% 50%
2008 0,5% 1% 40% 5% 5% 48,5%
39
∗
∗∗
80 % FCCL
Art 46 LF 1997
Tarif suivant la
Arts 299 à 309 du
Vignette Automobile puissance et
C.T. modifiés et 20 % Budget de l’Etat
l’ancienneté du véhicule
complétés
Taxe d’incitation aux déstockages Art. 203 10,50 DA par kilogramme 75 % "Fonds
Fonds national pour l’environnement
des déchets industriels. LF 2002 importé ou produit de sacs et la dépollution " (FEDEP)
plastiques. 25 % Commune
incitation au déstockage des Article 204 24.000
Taxe dd’incitation 24 000 DA par tonne de 75 % "Fonds
Fonds national pour ll’environnement
environnement
déchets liés aux activités de soins de 2002 déchets stockés et la dépollution " (FEDEP)
des hôpitaux et cliniques 25 % Commune
Taxe complémentaire sur la Art. 205 Coefficient multiplicateur 75 % "Fonds
Fonds national pour l’environnement
pollution atmosphérique d’origine LF 2002 compris entre 1 et 5 selon et la dépollution " (FEDEP)
industrielle. les quantités émises 25 % Commune
Taxe complémentaire sur les eaux Art. 94 LF Un coefficient 50 % "Fonds
Fonds national pour l’environnement
usées industrielles 2003 multiplicateur compris et la dépollution " (FEDEP)
entre 1 et 5, en fonction du 50% Commune
taux de dépassement des
valeurs limites.
T
Taxe sur les
l pneus neufs f importés
i té Art 60 10 DA – pneu véhicules
éhi l 10 % Fonds
F d N National
ti l du
d Patrimoine
P t i i Culturel
C lt l
et/où produits localement LF2006 lourds 40 % communes
05 DA pneu véhicules 50 % "Fonds
Fonds national pour l’environnement
légers et la dépollution " (FEDEP)
(voie réglementaire)
- 50% Communes
- 50 % FEDEP (Voie réglementaire)
Impôt sur les bénéfices miniers Article 163 3% de l'Impôt sur les 100 % collectivités locales
de Minière Bénéfices Miniers
Redevance de mise en concession de Art 60 LF Tarifs variables Communes côtières
l’exploitation touristique des plages 2012
40
Les Ressources Locales (la suite)
Incidence financière
entretien et g
règlement des
compensation
ti Garde
G d Rémunérations
Ré é ti de
d la
l révision
é i i des
d
Années gardiennage des dettes des
TAP/VF Communale des agents C.L traitements et
écoles communes
rappels
2001 5,9 29.5
2002 18.5 29.5
2003 22.8 30.3
2004 31.4 32.31
2005 31,4 32,31
2006 54,22 35,28
2007 68,18 38,25
2008 70,45 49,82 15,1 18,42 22,3
2009 75,01 49,578 15,1 18,42
2010 81,36 49,578 15,1 22 8,666
2011 86,2 49,578 15,25 22 50,666
total 472,72 304,394 60,55 80,84 22,3 59,332
41
Postes budgétaires ouverts au profit des Collectivités Locales (C.L) et pris en
charge par les services déconcentrés du MICL.
Incidence
Postes financière en
Années
budgétaires M.DA
Évolution des PCD en millions de DA, tous programmes confondus, entre 2000 - 2014.
2003 39 000
100 000
2004 35 645
2005 33 000 80 000
dotations
2009 95 000
20 000
2010 60 000
2011 86 075 -
2012 94 135
2013 40 000
2014 65 000
42
43