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INTRODUCTION :
• né a … et meurt a Brugg
• engagé auprès des enfants pauvres, en situation difficiles, abandonnés par le système
• humaniste et philanthrope
• il se considère lui même « fils spirituel » de Rousseau et applique ses pratiques au mieux.
• guerre de Stanns (?) laisse bcp d’enfants orphelins, malades, démunis … Pestalozzi est appelé a ouvrir un orphelinat dans
cette ville alors qu’il « représente » ceux qui les personnes ayant vécu cette violence, déteste.
• pour résoudre les problèmes il était confronté, Pestalozzi va s’appuyer sur « l’hétérogénéité » de ses élèves, il construit une
« société éducative »
• les élèves s’aident entre eux, comme les âges sont mélangés, les grands peuvent aider les plus jeunes…
• Pestalozzi était « très en avance » sur son temps, il n’était pas abattu d’éduquer ceux que la société à rejetés
finalement, il faut une bonne relation avec les élèves et avec leurs parents.
• orphelin de son père a ses 6ans, il est élevé par sa mère et une servante
• né a Zurich
• malgré que la ville est démocrate, la richesse est conservée par quelques familles (« oligarchie »)
• avec le début de l’industrialisation, les « paysants » gagnent un peu plus et peuvent alors participer aux débats
• Pestalozzi naît dans une famille citoyenne, il est accepté dans l’université de Zurich (l’une des meilleures)
• l’idée des patriotes est l’établissement d’un régime démocratique et le développement des pauvres.
• il écrit des articles dans la revue de ce groupe et pour cela il se retrouve en prison (qlq jours)
• sa famille et sa belle famille se mettent contre ses envies politique et il quitte le groupe
• il fait un stage chez un agriculteur et devient peut après agriculteur « a temps plein »
• ils achètent (avec l’argent de la famille d’Anna) un domaine: le domaine de Neuhof. Ils en font une petite ferme, mais le
climat de l’Europe a cette époque est très mauvais pour cultiver.
• 1770: naissance de Hans-Jacob, (en référence a Rousseau), Pestalozzi souhaite alors l’élever dans les traits d’Emile (de
Rousseau)
• ses amis de PATRIOTES continuent le combattpolitique alors il se tourne vers l’éducation a la campagne (comme Rousseau)
• en 1773, il ouvre un institut à Neuhof pour les enfants « va-nus-pieds » (des enfants pauvres, orphelins ou non, mendiants )
• l’idée de Pestalozzi est de faire travailler les enfants dans la ferme tout en les éduquants dans son institut.
• pas un grands succès car les enfants ne sont pas très enthousiastes, mais par le travail de Pestalozzi, les enfants sont
quand même appris des choses, ils sont nourris grâce au travail qu’ils fournissent dans la ferme
• ils gagnent quand même en valeurs morale et de justice, ils ont un meilleur comportement…
• Pestalozzi transforme petit a petit sa ferme en atelier de filage et de tissage, les travaux des enfants étaient ensuite vendus
en ville.
• les parents qui laissent les enfants chez Pestalozzi veulent que les enfants soit « mieux qu’avant » après leur passage dans
la ferme, mais ils ne partagent pas les idées de Pestalozzi
• le passage de « l’école en extérieur/ a la ferme » à l’atelier de tissage est peu satisfaisant pour les enfants, ils s’ennuient,
font des bêtises, gaspillent le coton de filage…
• les commerçants en villes récupèrent le travail des enfants mais étant donnés que leur « oeuvres » ne sont pas parfaites, ils
ne peuvent pas vendre la marchandises comme ils l’aimeraient. Ils n’apprécient pas la philanthropie de Pestalozzi
• l’utopie de Pestalozzi (de former une communauté où tout le monde travaille pour son intérêt et l’intérêt de chacun) disparaît
• l’éducation qu’il a inculqué a son fils a « raté », son fils ne sais ni lire, ni écrire à l’âge de 10ans, désespéré il le confie a une
famille amie
• sa femme s’éloigne de lui a cause des problèmes financiers, familiaux, les enfants quelles se retrouve a éduqué en plus, la
réputation de son mari…
3.2 1797: « MES RECHERCHES SUR LA MARCHE DE LA NATURE DANS LE DÉVELOPPEMENT DU GENRE HUMAIN » (p. 75
du document)
• Pestalozzi continue la réflexion de Rousseau, sauf qu’en plus il se met dans l’action.
• « Éphémérides de l’humanité »
3.3 COMMENT CONCILIER LA LIBERTÉ NATURELLE ET LES CONTRAINTES SOCIALES ? (p.77 du document)
on ne peut pas laisser un enfant pousser/ grandir tout seul, il faut l’aider et l’accompagner dans sa jeune vie.
• Stapfer: ministre des arts et des sciences dans cette république, il sollicite Pestalozzi mais refuse qu’il mette en place son
projet de ferme
• passage de Napoleon a Stans: bataille de Stans, Stapfer laisse PESTALOZZI s’occuper des enfants orphelins…
• Pestalozzi est nommé directeur de cet institut, et se voit devenir une figure paternelle pour pas mal d’enfants.
• il doit aider les enfants. en gagnant d’abord la confiance des enfants, il utilise la méthode active (+ d’actions que de mots)
• comme les enfants n’avaient pas tous le même âge, les enfants s’aidait mutuellement.
https://www.meirieu.com/PATRIMOINE/lettredestans.pdf
• il met alors en place ses méthode de travail et publie l’ouvrage: « Comment Gertrude instruit ses enfants »
• Commence à être connu comme pédagogue et praticien et des visiteurs viennent de plus en plus dans l’école pour
apprendre de lui.
• il fonde sa propre ecole a Yverdon, ses 18ans de pauvreté lui ont permis de découvrir et de réfléchir sur sa pédagogie, il a
mûri, lu et écrit énormément et sa pédagogie s’est grandement améliorée
• ouverture internationale, des visiteurs (hommes politiques, pédagogue, écrivain…)viennent du monde entier
• tous sont acceptés, chrétiens, juifs, pauvres, riches, malades, bien portants… tous sont ensemble.
• retombés dans les domaines touristique et économique, la ville d’Yverdon est prolifique grâce à l’influence de Pestalozzi.
• au total ils crée 4 écoles: 1804 pour les garçons, 1806 pour les filles, 1813 pour les sourds-muets, 1818 pour les pauvres
• lui qui ne fait pas de distinctions entre les classes, il crée un ecole pour les pauvres car avec le recul il a remarqué qu’ils ont
des besoins plus spécifiques, en les « isolants » il peut leur offrir plus d’aide. la gestion est plus pratique dans
l’apprentissage entre les groupe.
• c’est une ecole où les élèves sont à l’aise dans leur éducation
• les cours sont vivants, les exercices et travaux sont très souvent en
groupe, les promenades permettent aux enfants de découvrir le monde
qui les entourent
• rivalités entres les enseignants, les attitudes entre eux sont de moins en moins bienveillante, l’équipe n’est plus aussi soudé
• les prostestants othordoxes le critique car d’après eux parce que Pestalozzi ne propose pas un enseignement religieux, il
est anti christianisme.
6. LA PÉDAGOGIE DE PESTALOZZI
• pour certains pédagogues, ses méthodes étaient obscures, nébuleuses et « sybillins », il n’agit pas sur des bases
scientifique, il agirait comme bon lui semble OR cette « obscurité » fait qu’il arrive mieux à apprendre a tous, il s’adapte a
tous, c’est facile a personnaliser et a mettre en place
• fort engouement pour sa méthode: Ith (doyen de la collegial de berne, grand savant) fait un rapport sur Pestalozzi qui est
très élogieux; Stapfer introduit Pestalozzi a des personnes très influente un peu partout dans le monde surtout dans les pays
du nord, notamment Talleyrand (conseiller de Napoléon en France, qui l’a refusé); Pestalozzi attire une certaine admiration
grâce aussi a sa personne, sa morale et son éthique.
• 3 type de pédagogie
• Principe de l’Anschauung: il faut que ce qu’on apprennent aux enfants leur parle, ça doit concerne l’environnement
immédiat de l’enfant, on passe aussi par les sens
• Principe de l’accomplissement achevé: épuiser toutes les possibilité de quelque chose afin d’atteindre le point ultime de son
sujet
• Principe de la reprise autonome: il faut accompagner l’enfant tout en respectant son autonomie
CONCLUSION:
Pestalozzi est le pionnier de l’éducation populaire et nouvelle/moderne. Militant éducatif, son but est de faire reculer la misère
et la délinquance pour former un monde meilleur, l’éducation est donc une arme puissante. L’éducation s’apparente comme
un acte de charité envers les faibles et les pauvres Pour Pestalozzi, « l’homme se fait tant et par l’éducation ».
« Rousseau brisa avec force d’un Hercule les lourdes chaînes de l’esprit humain » - Pestalozzi ( on pourrait remplacer le nom
de Rousseau par celui de Pestalozzi)