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Suite du cours d’économie agroalimentaire (PIERLOT Frederic)

1) Quelques définitions
Sur un marché il y a forcément une notion géographique. En effet, le marché est le lieu de rencontre entre l’offre et
la demande donc il faut que les clients accèdent géographiquement au marché.

Il y a également une notion de marché sectoriel :


- marché principal
- marché complémentaire (par exemple pour un vélo : l’entretien, les accessoires, l’équipement…)
- marché substitution (exemple pour le vélo : la trottinette) = ce sont des produits qui vont répondre aux mm besoins
- marché support

L’offre : c’est ce qu’on propose comme produit en réponse à un besoin. Qui dit offre dit choix de entreprises qui font
de la production. Chaque fois une entreprise ne peut pas tout faire car moyens de production limité (capital ou
travail).

La demande :
- optimisation de la satisfaction
-propension (=la part du revenu que je vais consacrer à la consommation) à consommer : consommation/revenu, le
demande s’adapte à ces deux contraintes : le prix et le revenu
-propension marginale à consommer : différence de consommation/différence de revenu
-l’élasticité revenu : (différence consommation/consommation) /(différence revenu/revenu)  quasi nul à très court
terme, car les évolution de revenu ne se traduise pas par évolution de la consommation car utilisation de l’épargne
-L’élasticité prix : (différence consommation/consommation) /(différence prix/prix)
En règle générale négatif car quand augmentation des prix on a une baisse de la consommation.
Quel que soit les variations de prix, les conso ne varie pas = élasticité vaut 0, pour les produits qui n’ont
pas de substitus, produits de première nécessité = on a une demande rigide donc toute action sur les prix ne
sert a rien. Plus on se rapproche de 0 plus on va vert des produits essentiels avec peu de produits de
substitution
Quand = -1, c’est que delta C =delta P, on parlera alors d’une demande élastique. On observe cela pour les
produits non essentiels. Plus élasticité est négative plus on va vers les produits dits accessoires.
 Cas particulier : l’élasticité prix positive. Si le prix augmente la conso augmente. Concerne le luxe, les
effets de mode et pour la spéculation (matière première)

Loi de Engels (en lien avec l’élasticité revenu)  :


-La part de l’alimentation dans le budget des ménages diminue quand le budget augmente
- les dépenses liées à l’habillement et au logement sont constantes quel que soit le revenu = car en lien direct avec
les revenus, aspect social
- les dépenses liées aux loisirs et à la culture augmentent lorsque les revenus augmentent

2) La loi du marché
La pente de ces courbes va dépendre du type de produit. Il existe un prix
d’équilibre. Si on sort de ce prix d’équilibre les consommateurs ne vont
pas acheter donc les prix vont devoir rebaisser  effet yoyo qui ramène à
l’équilibre.

Facteurs influençant la courbe de l’offre  :


- les couts des matières et les couts de l’énergie
- la technique : cad les gains car va faire qu’on sera plus efficace dans la
production + de quantité de produit pour le meme prix
- la réglementation (contrainte sanitaire par exemple)

Les facteurs influençant la courbe de la demande  :


- phénomènes cycliques (crise sanitaire avec la demande en masque par exemple), effets de modes
- la saisonnalité
- les revenus
- l’instauration des taxes : a concerné surtout les entreprises car ont dû baisser leur prix pour absorber augmentation
des taxes, sinon consommateur aurait moins acheté. Influence plus l’offre que la demande
-impact des changements sur d’autres marché : cas des marchés complémentaires et de substitution (exemple,
pénurie de café va entrainer moins de besoin de sucre en morceau donc diminution de la demande de sucre en
morceau)

3) La typologie des marchés


a) Le monopole 
Un seul producteur, un produit unique sans produit de substitution et des acheteurs en quantité importante.
Ajd les monopoles tendent à disparaitre puisque c’est contraire à la politique actuelle.
L’un des seuls monopoles qu’il reste en France est la poste

Les types de monopoles :


- monopole géographique : on est le seul à avoir accès à la ressource  accès géographique limité
- monopole technologique/technique : lié à un brevet, une fabrication particulière
- monopole d’état : choix politique qu’une seule entreprise a le droit de vendre ce service ou ce produit
- monopole économique : l’entreprise, par sa taille, empêche tout le monde d’entrer sur le marché
- monopole du a des accords entre les entreprises : accords bien souvent illégaux

Cas particuliers :
- duopole/oligopole : exemple le cas de windows
-monopsone : c’est l’inverse du monopole cad une multitude de vendeurs mais un seul acheteur, par exemple ERDF

b) La concurrence pure et parfaite


Marché idéal sur lequel on essais de tendre sur les courants de pensées libéraux.

Caractérisée par 5 facteurs :


- L’homogénéité : le client ne peut pas faire la distinction entre les produits de deux entreprises, cad que les produits
sont substituables.
- L’atomicité : cad qu’un grand nombre d’entreprise, un grand nb de client et les entreprises doivent toutes être de
taille équivalente, cad que l’une ne peut pas plus influencer le marché par rapport à l’autre.
- La transparence : sur les quantités produites et les prix qui sont pratiqués
- La fluidité : pas de barrière légale pour rentrer sur le marché, peut rentrer et sortir du marché librement
- La mobilité des facteurs : en fonction des opportunités son peut rediriger sa production sur un autre marché à tout
moment.

La concurrence pure et parfaite est donc un marché théorique, cad un marché que l’économie libérale cherche à
atteindre. Ça n’existe pas. C’est donc un marché qui incite à l’ouverture à la concurrence qui a comme souhait de
limiter toutes les contraintes réglementaires et administratives.

4) Régulation des marchés


Noir : prix du lait en europe, bleu : prix mondiaux du lait

Jusqu’en 2007 on est supérieur au prix du lait mondial


Courbe en bleu foncé : prix minimum garanti par l’UE
Avant 2007 on a garanti des prix aux agriculteurs
déconnectés de la loi de l’offre et de la demande.
Avant il y avait des quotas laitiers. Au niveau international
pas de quota donc Europe était accusée de faire de
l’interventionnisme et de fermer son marché à d’autre.
C’était une entrave à la libre concurrence. La seule chose qui
jouait avant 2007 c’était la saisonnalité. Après 2007, on a
enlevé la partie régulation européenne et les cours mondiaux ont augmenté car demande bcp plus forte ntm tirée
par les pays asiatiques.
2009-2010 : ralentissement généralisé de la demande. Production laitière a diminué en France car les prix ne sont
plus garantis

a) Le marché monétaire
Fonctions de la monnaie :
- facilitateur des échanges économie de troc, nécessite d’avoir la double concordance des besoins.
- l’évaluation des valeurs : on a une grandeur de référence qui permet de calculer toutes les valeurs
- c’est une réserve de valeurs

Les acteurs de la monnaie :


- Les banques commerciales : elles ne peuvent produire que ce qu’on appelle la monnaie scripturale, cad que de la
monnaie écrite (des lignes de compte)
- Les banques centrales : contrôle les banques commerciales (les banques commerciales sont responsables de
l’argent qu’elles ont créé et elles doivent respecter des réserves obligatoires avec un pourcentage de cet argent créé
en fond propre.), elles permettent aux banques commerciales de se financer, ce sont les seules à pouvoir créer de la
monnaie fiduciaire (pièces et billets), c’est la seule qui peut faire les échanges de devises/monnaie étrangères pour
les convertir en monnaie nationale.
- L’état : il a déjà sa propre banque commerciale qui est la banque postale, il crée aussi de la monnaie puisqu’il va
chercher de la monnaie sur les marchés financiers pour compenser son déficit public.

Décomposition de la masse monétaire  :


- Masse monétaire 1 (M1) : correspond à la monnaie liquide cad : la monnaie fiduciaire et tout ce qu’il y a sur les
comptes courants.
- M2-M1 : tout ce qu’il y a sur les comptes épargnes et qui est mobilisable facilement
-M3-M2 : correspond à l’épargne bloquée

Évolution de la masse monétaire entre 1997 et 2013 : la masse monétaire globale a plus que doublé en 15 ans (M1,
M2 et M3)
Cela signifie que plus d’argent en circulation. Cela explique aussi en partie l’augmentation des prix, car on aura un
effet de levier plus important. Plus d’un tiers des évolutions des prix s’explique par augmentation masse monétaire
et spéculation qui est elle aussi bcp plus importante.
2008 : crise des subprimes : ce sont des sociétés financières aux États Unis qui se sont spécialisées dans prêts
immobiliers pour les américains à faibles revenus avec des taux d’intérêts plus élevés. De plus les intérêts étaient à
taux variables. Pour limiter la création monétaire la banque a augmenté son taux directeur. Les familles ne pouvaient
plus payer donc les banques ont saisies leur maison donc bcp d’offres sur le marché immobiliers.
Le cours des monnaies a un impact sur les échanges. Les monnaies sont appréciées les unes par rapport aux autres
uniquement par la loi des marchés.

Les crypto-monnaies : n’est pas une monnaie car n’a pas un cours légal, n’est pas dirigé par une banque centrale
mais par l’ensemble des ordinateurs qui y participent de plus aucune régulation de cette monnaie qui joue avec la loi
de l’offre et de la demande + aucune traçabilité sur les échanges car les échanges sont cryptés.

b) Le marché financier
Titre équivalent monétaire émise par des entreprises : valeurs mobilières de placement (VMP) il y en a deux grands
types :
- Les actions 
- Les obligations 

o Une action : part du capital d’une entreprise. La rémunération de ces actions est liée au résultat de
l’entreprise, cad que c’est une partie du bénéfice des entreprises qui est redistribué vers les actionnaires
sous la forme de dividende (=part du bénéfice d’une entreprise). Donne le droit de vote également : obligé
de réunir assemblée générale des actionnaires pour voter pour le conseil d’administration et rôle du PDG.
Une action = un vote donc celui qui a le plus d’action a le plus de votes. On a aussi le droit à l’information :
accès à l’ensemble des comptes de l’entreprise. Si la société est vendue les actionnaires vont récupérer une
part du patrimoine de l’entreprise.

L’action a plusieurs valeurs :


o Valeur intrinsèque : valeur réelle de l’action (exemple pour facebook : des serveurs, des climes pour
refroidir les serveurs et des lignes de codes)
o Valeur vénale : valeur à laquelle on peut vendre l’action et l’acheter. La valeur vénale dépend
uniquement de la loi de l’offre et de la demande.
o Valeur de rendement : ce qu’on gagne par rapport à ce qu’on a investi.

o Les obligations : une obligation est un emprunt.


On peut choisir de découper un emprunt en plusieurs morceaux/plusieurs petites sommes, car plus facile
d’emprunter une petite somme a plusieurs personnes différentes. Les obligations sont mises en ventes sur les
marchés financiers. La rémunération de ces obligations est le taux d’intérêt qui est fixé par rapport à ces
obligations. Les emprunts d’Etat et les obligations souveraines correspondent à 46% du marché. Ces obligations
peuvent s’échanger. Elles ont une durée de vie.

Il y a deux grands types d’obligations :


- les obligations privées
- les obligations d’état : pour financer leur déficit public ils vont émettre des obligations. Les dettes des états sont
découpées en plusieurs parties. Ces obligations fonctionnent bien parce que ce sont des placements surs 
aucun état n’a jamais fait faillite.

Ces différents éléments passent par des places boursières. Elles sont toutes évaluées par des indices boursiers.

Fluctuation importante du prix des céréales est du : au prix du transport (niveau international mais aussi en interne
ntm avec le prix de l’azote). Le prix du transport s’explique aussi par rapport au fait que les voies maritimes sont
navigables ou non. Fluctuation aussi due à la parité des monnaies, ou encore à la situation géo-politique.
Vert : prix d’achat de la grande
distribution et en rouge prix d’achat
du consommateur
Les pics correspondent à la
saisonnalité du produit avec des prix
qui montent en été.
Pas tant de fluctuation car variation
est surtout saisonnière, ceci
s’explique aussi par le fait que c’est
un marché très régulé avec des aides
de la politique agricole. Le salaire
des agriculteurs est donc aussi due à
ces aides et pas uniquement par le
prix d’achat du consommateur

Pour le porc fluctuation différente en fonction


des saisons par rapport à la vache. Sur les 15
ans pas d’évolution des prix, ils sont restés
globalement stables. Saisonnalité de la
demande.
En vert et rouge ne concerne que le rpix de la
côte de porc. Marge plus réalisée sur l’abattoir
que la grande distri car c’est un produit plus
basique.

Lait UHT :
Le producteur est payé en fonction de la
saisonnalité (lait hiver lait été), mais cela
n’a pas d’impact sur les ventes du produit.
Le consommateur consomme du lait toute
l’année peu importe la saison. On est sur
un produit de base avec une demande
assez constante.
Quand on a des évolutions on a
substitution de produits.
Première utilisation est l’alimentation
animale donc ne cas de grosse montée
d’un produit on se rapporte sur l’autre.
La deuxième partie concerne tout ce qui
est biocarburant. Pour cela on peut
aussi se rapporter sur l’une ou l’autre
des matières. Enfin, concerne
l’alimentation humaine avec ici des
utilisations différentes.

Ici on voit que le prix va dépendre de la


région. Dépend des marchés : dans les
endroits ou production est fait pour
aller sur les marchés mondiaux on va
s’adapter au marché mondial. On a des
régions ou marché plus local.
Dépend aussi de la qualité : régions
spécialisées dans des teneurs
protéiques etc par exemple.
Rhone alpe par exemple valorisé sur des
cours mondiaux.

Conclusion :
Régulation du marché aussi bien d’état que de type de marché, lié aussi au prix des matières premières et des co
produits qui vont avec, les parités des monnaies le rôle des marchés financiers etc.

5) La mise en marché

a) Les circuits de distribution


Circuit cours : au max 1 intermédiaire entre le
producteur et le consommateur. Se définit juste en
termes de nombre d’intermédiaires, absolument
pas une notion géographique.

Deux grandes filières :


- le commerce intégré via la grande distribution qui
passe par des centrales d’achat : chaque Auchan
par exemple est un établissement du groupe
Auchan. A la tête il n’y a qu’un directeur qui est
salarié du groupe Auchan.
- le commerce indépendant associé : Leclerc par
exemple en fait partie chaque magasin est une
entreprise a part entière. A la tête de chaque
Leclerc on a un patron qui est propriétaire du
magasin.
Mine : marché d’intérêt national avec des grossistes qui sont rps, en partie public car c’est la préfecture qui délivre
autorisation pour pouvoir intégrer marché d’intérêt national

b) Les marchés physiques


Pour vendre un agriculteur peut faire :
o Du gré à gré (personne à personne). C’est ce qui se passe encore régulièrement pour la vente d’animaux.
Bouchers viennent directement négocier avec agriculteurs sur place. Les agriculteurs peuvent aussi
directement vendre à des associations comme amap (association pour le maintien d’une agriculture
paysanne), ou bien vendre sur des marchés fermiers.
On trouve différents modèles : des modèles d’enchères (la criée), le modèle de l’abonnement, l’affiliation ou
encore la vente à domicile.

o Les contrats d’intégration : l’agriculteur est quasiment salarié du groupe. Par exemple cocorette spécialisé
dans les œufs pleins air label rouge et bio. Cocorette fourni les poules et les aliments, agriculteur fournit
juste bâtiment et la main d’œuvre. Ensuite cocorette vient récupérer les œufs. Agriculteurs a deux façons de
gagner de l’argent : les œufs déclassés et les poules de réforme.

o Les groupements de producteurs peuvent avoir plusieurs formes :


o Coopératives : production avec des agriculteurs de la commune
o L’interprofession publique regroupée au sein d’un établissement appelé France AgriMer
o L’interprofession privée (Interbev)

Les coopératives agricoles :


C’est un groupement uniquement d’agriculteurs, ils doivent tous avoir le statut de producteur. Au minimum 8
producteurs se regroupent au sein d’une coopérative. Pour la mise en commun de leur production, ils se regroupent
et le statut « coopérative » impose d’avoir une implication financière cad que chaque agriculteur dépose des parts
sociales, et donc possède une partie de la coopérative. C’est un droit d’entrée.
Il y a 3 grands types de coopérative/3 grandes fonctions :
 Coopérative d’achat : les agriculteurs se regroupent pour acheter en commun pour avoir de meilleurs prix en
achetant en gros format
 Coopérative de collecte : regroupent leur collecte pour pouvoir accéder à d’autres marchés (exemple : le
marché à terme). Permet d’avoir des volumes plus importants pour accéder à d’autres marchés comme les
grandes surfaces.
 Coopérative de transformation 

Comment se prend une décision dans une coopérative ?


Un homme = une voie
Il y a des assemblées générales des coopérateur et on élit un conseil d’administration de la coop, puis sera élu le
président, le trésorier, …

Que fait-on des bénéfices d’une coopérative ?


Pas le droit de les redistribuer envers les coopérateurs, les bénéfices doivent être réinvestis. Sinon ils sont fait sous
forme de complément de prix. Par exemple si coop de collecte, l’agriculteur s’engage a verser l’entièreté de sa
production à la coop.

Les agriculteurs d’une coopérative ont normalement une règle d’exclusivité avec la coopérative. Enfin, une coop a
une dimension territoriale, elle est sur un territoire donné et n’a pas le droit de sortir des limites du territoire qui lui
sont fixé. Les coop n’ont pas le droit de se concurrencer entre elles.

France est a la deuxième place derrière Allemagne pour le chiffre affaire de l’agroalimentaire.
On ets premier en production mais que deuxième en termes de transformation. La France sur la production est
tournée sur grande production a visée de l’exportation mais sur les produits bruts, surtout pour les céréales. En
revanche, Allemagne favorise des entreprises locales de transformation. La France reste tout de même premiere
concernant la production de boissons
Grosse différence entre entreprise française et allemande en terme de taille : française sont très grands groupes
(Danone est le plus grand groupe français) mais aussi de toutes petites structures.

Pour la France :

En Allemagne partie en rouge va être le type d’entreprises qu’on va le plus retrouver.

TOP 3 inversé pour les produits transformés :


Les grandes cultures sont donc majoritairement ailleurs
La maj du CA est sur un secteur viande mais qui rps la plus petite
partie en termes d’exportation, à vocation pour population
locale. Différent pour les boissons car plus d’un tiers qui part à
l’export.

Cette répartition est en termes de filière mais aussi en terme de


région :
- bretagne
- pays de loire
- auvergne rhone alpe

Dans le grand est 5eme place.


Bretagne 1er car près de la mer donc moins cher pour importer
Exportation majoritairement sur les pays au sein de l’UE.

3 grands traités de libre échanges :


- japon
- canada
- amérique du nord

pays bas spécialisé dans les cultures maraichères comme les


tomates.
a gauche importation et a droite exportation. Si barre bleu vers la
droite c’est que plus d’importation que d’exportation.
6) La distribution

Le modèle GMS (grande et moyenne surface)


permet d’acheter les deux tiers des produits
alimentaires.
Alimentation spécialisée= la boulangerie, les
artisans (bouchers, fromagers, …)
Petites surfaces alimentation générale= ceux
principalement situé en milieu urbain
(petites épiceries pas affiliée).

Les distributeurs français :

Leclerc rps ajd le plus grand distributeur français suivi d’Intermarché. Carrefour a trois endroits car un seul groupe
séparé en plusieurs tailles en fonction de la taille de magasins.
Leclerc et Intermarché : commerce indépendant associé
Carrefour et Auchan : commerce intégré

Quand des entreprises se font rachetés elles doivent céder une partie de leurs activités à d’autres car pas le droit
d’avoir le monopole.
Dans le monde, le premier groupe français de grande distribution est carrefour à la neuvième place mondiale car
développement aussi à l’international contrairement à Leclerc.
Amazon commence à se développer fortement dans la production alimentaire aussi.

En 20 ans on a multiplié le chiffre d’affaires des produits issus de l’agriculture biologique par plus de 10.
Entre GMS et magasin bio= le bio s’est démocratisé pour la population française et la GMS s’est emparée de plus de
50% des ventes de produits d’origine bio car on va toucher d’autres consommateurs. Le bio vendu en GMS n’est pas
le mm que celui en magasin bio ou en vente directe. On va rechercher du bio grand public sur des produits de conso
courante et avec le développement de grand groupe d’industrie alimentaire qui se sont spécialisés dans les produits
bio (une gamme de produits bio Danone par exemple).
Aussi une part dans la restauration collective augmenté à partir de 2010 notamment grâce à la loi Egalim et aux
annonces qui ont été faites pour les cantines scolaires etc.
A partir de 2014 on commence à voir le bio arriver dans la restauration commerciale donc assez récent = mais fort
développement et accroissement.
Dans les changements d’habitudes :

Augmentation en circuit court majoritairement sur les


marchés (1 tiers), vente à la ferme et magasins de
producteurs ensuite puis assez repartis dans le reste.
8% de circuits courts vendus en grande distribution :
souvent dans le commerce indépendant associé ou on a la
possibilité de ne pas passer par des gros volumes donc
possibilités de passer en direct avec des petits producteurs.

La majorité de ce qui est acheté en bio concerne


l’épicerie. C’est avant tout ce qu’on va retrouver
en grande distri (pates, conserves, …)
Fruits et légumes = on importe bcp de fruits et
legumes bio
La grande distrubution s’est très bien adaptée à
cela.

En France, on peut voir que la majorité des pertes alimentaire se passent à la distribution et au foyer. Dans les pays
comme Afrique c’est l’inverse la majeur partie des pertes se fait à la production car pas assez de moyens pour
stocker et transformer assez rapidement.

Réduction du gaspillage avec la distribution mtn car il y a eu too good to go mais aussi les réductions sur les dates
courtes. Depuis 3 ans loi pour lutter contre le gaspillage alimentaire qui oblige a donner les produits alimentaires en
fin de vie. Pour eviter d’avoir à les donner ils ont fait des réductions sur les dates courtes et les paniers via too good
to go. De nos jours la plus grosses pertes est donc la consommation au foyer.

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