généralités ( liaisons cinétique entre les pièces mécaniques).

Définition  :

Dans un mécanisme quand une pièce sera en contact avec une autre il y‘a une liaison
mécanique entre ces deux pièces.

Modélisation des pièces par des solides parfaits  :

Nous supposons dans nos études mécaniques que les pièces sont des solides parfaits. Un corps
qui a une masse constante, est parfait lorsqu’il est :

- Indéformable.
- Géométriquement parfait.
- Isotrope.
- Homogène.
 On peut parler d‘une liaison entre deux pièces lorsque celles-ci sont en contact.

Modélisation par des liaisons parfaites  :

Nous supposons dens nos études mécanique que les liaisons entre deux pièces sont parfaites

si on a :

 Des surfaces de contacts géométriquement parfaites

 Jeu de fonctionnel t nulle entre les surfaces de contact
 Un contact supposé sans adhérence
- Une liaison parfaite est donc théorique tant de point de vue géométrique que de point
de vue de la nature physique de contact

Notion de repère local  :

Le repère local associé à une liaison entre deux pièces n'appartient à aucun des deux pièces. De
plus l'origine de ce repère local sera placé en un point caractéristique de la liaison et les vecteurs
directeur de sa base corresponds de la mesure du possible a des axes de symétrie de revolution.

Isotrope  : il a le même module de Young , dans toutes les direction (x,y,z)

Il sera choisi de tel sort que les mouvements des moteurs soient indépendants.

Notion de degré de liberté d'une liaison  :

Soit R (o, x→, y→, z→ ) le repère local associé à la liaison entre deux solides 1 et 2 , donc on peut
définir les mouvements relatives .
Définition  : un degré de liberté d une liaison est un mouvement relatif indépendant que la
liaison autorisé entre 2 solides considérés . il ‘Ya une exception pour la liaison hélicoïdale :

- 3 translations : Tx, Ty, Tz

- 3 rotations : Rx, Ry, Rz
 Le nombre de DL◦ entre 2 solides et le nombre des paramètres cinématiques
indépendant à définir pour spécifier le torseur cinématique relatif entre les 2 pièces
solides.

Liaison normalisée entre solides  :

La nature d’une liaison mécanique dépond de la géométrie du contact ( ponctuel,

surfacique ,linéaire) ainsi que le nombre et la position relative de ces contacts.

Graphe de liaisons

les liaisons cinématiques peuvent être schématiser sous formes de graphe qui représente le
mécanisme a étudier sous une phase bien définie, il sera établi suivant les quatre étapes
suivantes :

 étape 1  : on précise la phase d’étude :

c’est indiqué dans quelle phase vous étudiez le mécanisme. Certaines pièces (exemple ,
VIS) n’ont pas le même mouvement pendant leurs fonctionnement que pendant leurs
montage ou pendant leurs réglages.
 Etape 2  : rechercher les classes équivalences cinématiques :
c’est un groupe de pièces en liaison encastrement entre elles . Cette étape se devise en
2 sous étapes :
- Sous étape 1  : rechercher et colorier défirament chaque (CEC) classe équivalent
cinématique sur le dessin d’ensemble.
- Sous étape 2  : lister les pièces de chaque (CEC) en commencent par le premier CEC.

 Remarque :

- Toutes les pièces qui se déforme sont à exclure du (CEC)

exp : ressort , joint
- Les éléments roulants comme roulement ne sont pas pris en compte.

 Etape 3  : Réaliser le graphe de liaison :

 1) On doit commencer par placer les CEC en faisant en sort quelles soit environs dans
la même position que sur le dessin.
2) Préciser la pièce qui est le bâti.
3) Déterminer les liaisons entre ces CEC en identifiant la géométrie des contacts.
Exemple : serre joint.

Remarque  : on ne laissera jamais apparaitre liaison d’encastrement sur un graphe de liaison

 Etape 4  : tracer le schéma cinématique minimal.

1) Positionner en respectant les proportions, les centres et les axes de liaisons.
2) Mettre en place les représentations symboliques des liaisons élémentaires et le bâti en
respectant le code de couleur retenu et l’orientation de la liaison par rapport au repère.
3) Relier tous les éléments de même couleur en respectant les proportions et les formes
générale du mécanisme a schématisé.
4) Compléter par quelque trait le schéma pour faciliter la compréhension
5) Vérifier le schéma, pour cela analyser les mouvements , les différents CEC, les schémas
et confronter cette analyse au mouvements de mécanisme réel.
  Liaisons entre éléments roulants  :
Certains liaisons dans les mécanismes n’utilise pas le principe de glissement du surfaces
de contact, n’est celui de l’interposition d’éléments roulants. Les composants
mécanique particulier permet alors de réaliser la plupart des liaisons normalisés (sauf
l’encastrement et la liaison rotule a doigt .)

Les roulements à bille, a rouleaux ou a aiguille   : c’est en fonction des indications de

comportement fourni par les constructeur ( le roulage maximum)on peut mobiliser la liaison
entre bague intérieur et bague extérieur des diffèrent roulement par des liaison pivot glissant,
rotule ou linéaire.

- Si le rotulage maximum est supérieur a 5° alors on suppose que les rotations suivent les
axes secondaire sont possible.
 Roulement a bille : { le plus souvent le rotulage ˃ 5°= » liaison rotule
{parfois le rotulage ˂5°= » liaison pivot

 Roulement a 2 rangées de bille  :

{ le plus souvent le rotulage ˃ 5°= » liaison pivot
{parfois le rotulage ˂5°= » liaison rotule

 Roulement a rouleaux cylindrique :

{ le plus souvent le rotulage ˃ 5°= » linéaire annulaire
 {parfois le rotulage ˂5°= » pivot glissant

 Roulement a aiguille :
{ le plus souvent le rotulage ˃ 5°= » pivot glissant
{parfois le rotulage ˂5°= » lineaire annulaire

 Roulement a rotule (bille ou rouleau)

{ le rotulage toujours ˃ 5°= » rotule

 Roulement a rouleaux coniques

{ le plus souvent le rotulage ˃ 5°= » rotule
{parfois le rotulage ˂5°= » pivot

Butées a billes ou a rouleaux :elle permettent de réaliser un type de liaisons appui plan

La douille a bille ou a rouleaux  : elle permettent de réaliser des liaisons de type pivot glissant

La vis a bille  : elle permettent de réaliser des liaisons type hélicoïdale

Les guidages à billes ou a rouleaux sur rails  : ils permette de réaliser des liaisons de type glisser.

 Liaisons cinématique équivalente  :

 Définitions des liaisons cinématiques équivalentes  : lors d’une approche globale afin
de simplifier la modélisation d'un mécanisme on peut être amener à rechercher des
liaisons fictives équivalentes a un ensemble des liaisons réels. Cette recherche peut se
faire analytiquement par les torseurs cinématiques.

Remarque  : la liaison fictive équivalente et une liaison qui a le même comportement que
l’association des liaisons réels.

1) Liaisons de série  : la liaison équivalente est identifier à partir de son torseur

cinématique associé
 {V leq}= { V 3/0}= {V 3/2}+{V 2/1}+{V 1/0}

Remarque  :

Technologiquement parlant il est préférable de réaliser une liaison ponctuelle par une mise en
série des liaisons appui-plan et d'une liaison rotule pour limiter la pression de contact, on passe
d'un contact ponctuel ou la pression est infinie a un contact surfacique ou la pression devient
admissible pour les matériaux.

 Les fonctions d'assemblage  :

1) Les assemblages démontables  :

Definition  : c’est une solution constructive d'assemblage a pour fonction de lier des
pièces , les unes aux autres en utilisant les différents moyens d'assemblage :

- Par organes filtés

- Par collage
- Par soudage , ext ….

2) Types d'assemblage  : chaque moyen peut être définit par 5 critères

1- Assemblage complet ou partiel
2- Assemblage démontable ou non démontable
3- Assemblage élastique ou rigide
4- Assemblage par obstacle ou par adhérence
5- Assemblage direct ou indirect
3) Moyens d'assemblages démontables  :
A) Assemblage avec élément non filté  :
1- Assemblage par goupille  :
Les goupilles sont utilisées pour assurer le positionnement relative de 2 pièces,
elle réalise les immobilisations d'une pièce par rapport à une autre, les trous de
passage dans les montages doivent être débouchant, c'est éléments mécanique
travail au cisaillement

Il' ya plusieurs types de goupille  :

- Les goupilles coniques
- Les goupilles cylindriques cannelées
- Les goupilles cylindrique fondus
- Les goupilles cylindriques creuses

B) Les assemblages avec organes filtés  : les pièces filtés sont d'une utilisation
fréquente en mécanique , un ensemble filté peut avoir différentes formes
d'applications ,parmi ces applications assurer une liaison complète , rigide,
démontable entre des pièces en créant un effort de pression entre celles-ci :

 Assurer une liaison partiel rigide , example : de type glissière par vis.
 Transformer un mouvement de rotation en un mouvement de translation

L’assemblage est considérer obtenu par adhérence indirect :

- Assemblage par vis assemblage

- Assemblage par boulon = vis+écrou
- Assemblage par goujon
- Assemblage par vis de pression
C) Les assemblages par clavettes  : Le clavettage forcé peut être considéré
comme une liaison par obstacle, mais la stabilité de l'organe d'assemblage
formant l’obstacle est obtenu par coincement par adhérence.
Le clavettage est dit transversal ou longitudinal, suivant la position de la
clavette, la liaison obtenue est dite complète. Cette liaison n'est pas apte a
transmettre les efforts suivant toutes les directions.

D) Assemblages par adhérence  : 3 types  :

1- Par déformation ou pincement  :
La liaison est assurée par déformation une des 2 piéces a liée

2- Par tampons ou tangents  :

Le rapprochement de 2 tampons assure le maintien en position des 2
pièces a liées.

3- Par coincement  :
La conicité des pièces a liées est tel que l'adhérence entre les matériaux
qui maintient les pièces liées .

2) Les assemblages non démontables (permanents)  :

 A) Liaison par rivet  : en application du même procédés de formation d'obstacle, on
utilise pour liées Plusieurs pièces de organe d'assemblage appelés rivet , c'est des
tiges d'acier, d'aluminium, de laiton ou de cuivre, dont l'une des extrémité a été
préparé en forme de tête( les têtes sont normalisé) , la seconde tête dite rivure
étant forgé après la pose.
B) Liaison par soudure  : le soudage est un procédé de liaison entre pièces métallique
caractérisé par la maniéré employée pour rendre solidaire l'obstacle (appelé joint de
soudure) des pièces à réunir.
Calcul de soudure  : de la nature de la soudure, de la disposition des pièces, dépond
la résistance de la liaison ; leurs résistance est maximal lorsque elle sont sollicité en
cisaillement.

Section () = longueur du cordon X la plus petite épaisseur.

C) Emmanchement a force  : la liaison par assemblage cylindrique forcé est très simple
à concevoir :
- Un alésage cylindrique qui reçoit une tige de la même forme.
Une liaison par adhérence doit superposer à la liaison par obstacle. Cette adhérence va
résulter d'un effort normal au surface de contact, un effort qui trouvera son origine dans
une déformation élastique des pièces ( dilatation de l’alésage, compression de l’arbre).
D) Liaison par collage  :
Les liaisons par collage s'accommodent de forme simple, d'état de surface peu
poussé et de tolérance dimensionnelle large ainsi que d'ajustement libre.
Les colles pour métaux permettent d'assembler entre eux ou sur d'autres matériaux
des matières fragile tel que : verre , céramique…..etc . elle résiste bien à la plupart
des produits chimique , elle permettent aussi de réaliser des liaisons étanche .
 Les guidages en translation

Dans un guidage les liaisons doivent laisser une possibilité du mouvement bien défini et
pratiquement très limité.

Les liaisons ne permettent que les déplacements prévu et équilibré pendant le mouvement
toute les forces extérieure .

Il convient de plus de mettre en évidence que :

1- Les liaisons doivent assuré en mouvement la précision, exiger par la destination du

guidage .
2- La réduction des résistances passives doit être recherché
 Les guidages fréquemment rencontrés en construction mécanique sont :
- Les guidages en translation rectiligne .
- Les guidages en rotation au tour d'un axe .
- Les guidages en rotation au tour d'un point.
1) Guidage en translation  :
Dans un guidage de translation la pièce mobile est une coulisseau et la pièce fixe est
glacière.
  Formes des surfaces fonctionnelles  :
La forme des surfaces fonctionnelles du contact entre le coulisseau et la glissière resulte
de 4 ordres de considérations :
 Liaison, position, graissage ,l'équilibre des efforts.
La précision des guidages dépend de :
- La valeur des jeux entre parties fixe et partie mobile
- Le rapport entre L et l ( la longueur et la largueur )

1-1) Guidage en translation par une surface cylindrique  :

- Les efforts s'exerçant sur la coulisseau en une direction parallèle a l'axe de la glissière .
- La glissière est une tige cylindrique creuse ou pleine.
- Le coulisseau est une pièce généralement moulée en fonte ou alliage d'aluminium
- Un obstacle empêche le pivotement du coulisseau par rapport a la glissière.
- Pour un guidage précis la condition et ( L ˃ 2d )

1-2) guidage en translation par 2 surfaces cylindriques  :

2 tubes cylindrique parallèles peuvent servir a un guidage plus précis, lorsque les efforts sont
importants sur le coulisseau et l'entraxes ( glissière-coulisseau) est très précis ( ce dernier a une
bonne stabilité et très précis , le parallélisme est exigé) .

1-3) guidage en translation par 2 surfaces prismatiques   :

Ce type de guidage destiné aux efforts importants sur le coulisseau sans pivotement possible .

(surface carré)

rainure en " T "  : destinée au guidage a résultante des efforts a une direction quelconques . la
forme des surfaces assure une bonne stabilité du coulisseau. l'usure provoque l'augmentation
des jeux . les 2 éléments ( glissière-coulisseau) peuvent être réalisé en fonte est obtenu par
moulage , la surface de contact rectifiées.
 - Le mécanisme étant neuf, un empilage de cales est a prévoir entre la glissière et la
contre glissière . la suppression d'une partie de cale permet le rattrapage du jeux du à
l’usure .

1-4) guidage par queue d'arrondie  : la solution la plus répondu pour les mécanismes soumise à
des chocs ou à des efforts très élevé. La résultante des efforts s'exerçant sur le coulisseau peut
avoir une direction quelconque. la glissière et le coulisseau sont généralement réalisé soit en
fonte soit en acier.

- Le taillage des surfaces fonctionnelles s'effectue par l'utilisation d'une fraise conique 2
tailles.

2) Le guidage en rotation  : lorsque un arbre est dans l'espace il peut tourner sur
n'importe quel sens suivant le nombre de degré de liberté. dans un mécanisme
comportant des éléments animé de mouvements de rotation, les différents organes
transmettant les couples sont porté par des barres en acier creuse ou pleine de section
circulaire en rotation autour de leur axe appelé arbre. la partie de l'arbre permettant de
guidé celui-ci est appelé tourillon.
 2-1) guidage par palier  : c'est l'endroit où s'appuis le tourillon. Les paliers sont des
organes mécanique permettant de guider un arbre en rotation , un arbre est souvent
guidé en rotation par 2 paliers :
1- Séparer pour un arbre long.
2- Juxta posé .
Les paliers se classe suivant la nature de frottement en 2 grandes catégories.
1- Les paliers lisse a glissement ou frottement.
2- Les paliers théoriquement sans frottement, a roulement

2-1-1) palier lisse  :

le guidage en rotation est obtenu par contact direct des surfaces cylindrique
ARBRE/LOGEMENT, des arrêtes suppriment les degrés de liberté en translation.

- Cout peu élevé mais l'inconvénient majeur trop de frottement .un palier est composé
d'un corps palier (logement) d'une bague de frottement ou glissement , d'un tourillon
( la ou sa tourne) . il existe 2 formes de paliers :
-palier fermé généralement une bague
-palier ouvert en appelle souvent coussinet à cause des risques d’échauffement, cette
solution est réservée au domaine suivant :

* faible vitesse.

* des efforts transmissibles peu élevé.

2-1-1-1) guidage par glissement ou frottement  :

Utilisant des bague autolubrifiante, est une solution de guidage par glissement :

- Suppression des graisseurs .

- Suppression des frais d'entretien .
- Fonctionnement silencieux.

2-1-1-2) guidage par bague de frottement  :

le principe de contact direct est amélioré en intervenant des bagues de frottement qui vont :

- Diminuer le coefficients de frottement.

- Augmenter la durée de vie de l'arbre et de logement .
- Diminuer le bruit et reporté l’usure .

Il existe 2 nuances importante de matériaux autolubrifiant :

1) Bronz ( BP-25) / 2) alliage ferreux ( FP-25)

  Un palier sert d'appuis a un arbre en rotation l'arbre support des charges, des éléments
roulants (roue denté , poulé…) suivant l'intensité de charge en trouve :
1) charge radial unique.
2) Charge axial unique.
3) Charge mixte unique.
 Calcul des bagues autolubrifiant  :

Les paramètres principaux intervenant dans le calcul d'un coussinet autolubrifiant sont :

-V : la vitesse linéaire d'un pont appartenant a la () de l'arbre [ M /S]

P : la pression spécifique exerçant sur le coussinet [ DAN/cm 2]

-18 : nombre d'essais de l'expérience applicable en nuance BP – 25 , FP – 15

En général pour un type donnée de coussinet, correspond une pression diamétrale admissible
(Padm)

pour qu'un coussinet remplisse sa fonction, l’équation doit être vérifier :

P = F / DL ˂ (Padm)

F : effort dans la liaison.

D : diamètre intérieur de coussinet .

L : longueur de coussinet.

2-2) palier hydrodynamique  : ils sont constitué de coussinet comportant une rainure
permettant l'arrivé d'un lubrifiant sous pression . la formation d'un fil d'huile n'est possible qu'a
partir d'une certaine vitesse relative d'un arbre/logement.

2-3) les paliers hydrostatique  : l'arbre est en suspension au centre du mécanisme sous l'effet
d'un fluide envoyé sous pression .le coefficient de frottement devient alors très faible. Le cout
élevé de ce type de montage le réserve a des systèmes particulier généralement de haute
précision.