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Enseignant responsable :
Dr RABEARISOA Andry Harinaina, Maître de conférences
Année 2022
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I. INTRODUCTION
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Dans toutes les sociétés d’Europe occidentale, le taux de réussite scolaire a
augmenté et les études sont plus longues que jamais auparavant. Aujourd’hui, plus
d’un jeune Européen (18-24 ans) sur trois, même avec de faibles qualifications, est
étudiant et ne travaille pas, tandis que presque un jeune adulte (25-34 ans) sur huit a
suivi dans les quatre dernières semaines des cours ou une formation . Ces
chiffres, et bien d’autres, montrent la prolongation des trajectoires éducatives
aboutissant aux biographies d’apprentissage des jeunes. Quand l’apprentissage
occupe une place plus importante dans la vie, les limites entre éducation, vie
professionnelle et loisirs ont tendance à s’estomper. De nouvelles
combinaisons apparaissent : itinéraires doubles d’études et de travail ou
activités de loisirs pour l’acquisition de compétences linguistiques, comme
dans les programmes d’échange européens, qui allient apprentissage et
expérience de vie dans un environnement différent . Cette évolution modifie
la relation entre apprenants et professeurs/formateurs : ces derniers peuvent
être apprenants dans un autre contexte et l’étudiant peut vouloir élaborer son propre
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peuvent être dissociées les unes des autres pour analyse, mais sont dans la réalité
inextricablement liées
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a lieu majoritairement en dehors du système éducatif formel et est volontaire.
Elle couvre une grande variété de domaines d’apprentissage : travail de
jeunesse, clubs de jeunesse, associations sportives, service volontaire,
formation et bien d’autres activités qui constituent des expériences
d’apprentissage. Ses programmes sont moins clairement définis et son «
pouvoir de certification » moins important, ce qui lui confère une position
sociale et financière plus faible. Le degré de professionnalisation est également
plus bas et moins strictement défini que pour l’éducation formelle. Celle-ci est
obligatoire pour la majorité des élèves et doit reposer sur une motivation
d’apprentissage extrinsèque. L’éducation non formelle présente en revanche
l’avantage d’être volontaire et peut en principe compter sur la motivation
intrinsèque des participants. Dans certains pays, elle même est perçue comme
un processus d’apprentissage sans programmes évidents, sans enseignants et sans
examens ou tests.
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nombreux jeunes, en particulier dans des filières au niveau plus faible, veulent « faire
quelque chose », et ils ne parlent pas d’apprentissage à l’école. Ils ont l’impression que ce
qu’ils y apprennent ne les aidera pas nécessairement, ou pas du tout, à trouver du travail,
alors à quoi bon ? On observe une augmentation des écoles et universités privées, qui
répond aux besoins et souhaits des étudiants privilégiés (et de leurs parents), tandis que
l’éducation publique demeure indispensable pour la majorité des moins privilégiés.
L’écart qui risque de se creuser entre écoles et institutions privées pour étudiants aisés et
écoles publiques pour les autres constitue une menace à la fois pour l’éducation formelle
et pour l’éducation non formelle. Les « écoles communautaires» allient éducation formelle
et activités non formelles dans les quartiers, essentiellement pour les étudiants
défavorisés [5] .
Enfin, le rapport entre l’éducation formelle et l’éducation non formelle
dépend fortement de chaque pays. Les traditions favorisant l’éducation non
formelle sont fortes en Scandinavie et en Allemagne, mais faibles en Europe
du sud et inexistantes dans les pays communistes, à l’exception des
organisations d’Etat pour la jeunesse. Il n’existe donc pas de réponse ni
d’analyse uniques pour ce problème. Chaque pays doit trouver une solution qui
corresponde à ses traditions et à ses besoins.
Les “nœuds” que nous avons mis en lumière entre formel et non formel
doivent être resserrés: il est démontré que des relations plus étroites produisent des
situations motivantes et promotrices d’autres apprentissages. Les participants
qui ont déjà fréquenté des activités d’éducation non formelle y reviennent souvent:
motivés par une expérience enrichissante, par la satisfaction apportée par les
connaissances acquises, il n’est pas rare qu’ils se tournent vers l’éducation
formelle. Il y a là un va-et-vient éducatif et formatif à exploiter et à stimuler. Ceci
passe notamment par plus d’échanges entre les formateurs du formel et ceux du non
formel: ils se méconnaissent souvent car trop rares sont les occasions de collaborer
activement.
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III- FORMEL, NON-FORMEL, INFORMEL : UN CLASSEMENT PAR
DÉFAUT
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➢ Éducation formelle : désigne l’enseignement dispensé dans le système des
écoles, lycées, collèges, universités et autres établissements d’enseignement
organise qui constitue normalement une « échelle » continue d’éducation à
temps complet pour les enfants et les jeunes et débute en général à l’âge de
cinq, six ou sept ans et se poursuit jusqu’à 20 ou 25 ans.
➢ Éducation non formelle : peut avoir lieu aussi bien à l’intérieur qu’à
l’extérieur des établissements d’enseignement et s’adresser à des personnes
de tous âges. Elle peut, selon les contextes nationaux, comprendre des
programmes éducatifs destinés à alphabétiser des adultes, à dispenser
l’éducation de base à des enfants non scolarisés, ou à transmettre des
connaissances utiles, des compétences professionnelles et une culture
générale. Les programmes d’éducation non formelle ne se conforment pas
nécessairement au système de « l’échelle » ;ils peuvent être de durées
diverses et être ou ne pas être sanctionnés par un certificat des acquis de
l’apprentissage effectué.
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normalement, en général, pas nécessairement » – suggèrent des espaces de
problématisation.
L’intégration des jeunes sur le marché du travail est l’un des principes
fondamentaux – peut être le plus important - de la politique européenne pour la
jeunesse. L’hypothèse est que le chômage des jeunes mène directement à
l’exclusion sociale. Des mesures nationales et européennes visent à maintenir
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les jeunes dans le système éducatif ou sur le marché du travail, d’une façon ou
d’une autre. Dans ce contexte, l’éducation non formelle joue un rôle crucial mais
ambivalent. En ce qui concerne la formation professionnelle, la didactique
et les programmes d’éducation non formelle sont utilisés dans les institutions
formelles et en dehors, afin d’identifier les jeunes dans des situations
précaires et de leur proposer des qualifications et des perspectives d’emploi.
L’éducation non formelle, autrefois associée à l’animation de jeunesse dans
le « secteur souple » du développement personnel et des activités de loisirs,
est aujourd’hui définie de façon beaucoup plus stricte, et financée pour
compenser le manque de compétences professionnelles chez les jeunes. D’un côté,
elle a été revalorisée et est devenue indispensable pour la lutte contre le
chômage des jeunes. De l’autre, elle a perdu une part importante de son
autonomie et est contrainte par les exigences de la formation professionnelle et les
besoins du marché du travail.
L’éducation non formelle par nature promet aux jeunes un
épanouissement personnel et la liberté de participer ou non aux activités
proposées. Elle est censée permettre aux jeunes d’apprendre à connaître leurs
besoins, leurs forces et leurs défauts pendant la période où ils mûrissent pour
devenir des adultes autosuffisants. En saisissant les possibilités offertes par
l’éducation non formelle, les jeunes devraient prendre conscience de leur
participation active dans des institutions et des décisions concernant la société.
Pourtant, de leur point de vue, ces principes fondamentaux de l’éducation
non formelle se transforment en exigences relativement coercitives de
participer à des programmes de formation qui leur imposent des emplois peu
payés, temporaires et peu attrayants.
L’éducation non formelle est de plus en plus utilisée pour combler les
manques de l’éducation formelle, en particulier de la formation
professionnelle, qui produit un nombre croissant d’exclus, ainsi que pour
compenser l’inaptitude du marché du travail à absorber (tous) les jeunes.
Pour les exclus du système scolaire – qui ont quitté l’école tôt, sont
démotivés et déçus, obtiennent des résultats scolaires médiocres ou sont au
chômage – la version « stricte » de l’éducation non formelle peut être la seule
façon d’entrer finalement sur le marché du travail. Mais ces programmes ne
peuvent parvenir à motiver de nouveau les jeunes que s’ils adoptent des
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stratégies individuelles vis-à-vis des candidats. En d’autres termes, les
programmes d’éducation non formelle n’ont de chances d’intégrer les catégories
de jeunes les plus difficiles que s’ils font ce que la formation professionnelle
ne fait pas ou ne peut pas faire : passer beaucoup de temps avec chaque
personne, apporter des conseils individuels et adapter les mesures autant que
possible aux besoins et aux compétences de chacun.
❖ EMPLOI
• Le développement d’une carrière satisfaisante, la réussite personnelle,
l’indépendance financée par un revenu individuel, font partie intégrante
des orientations professionnelles des jeunes. Les politiques pour l’emploi doivent
élargir le concept et la signification du travail, afin d’inclure à la fois les activités
non marchandes et les modalités d’emploi atypiques, pour tenir compte des
besoins spécifiques, comme les soins ou gardes. A ce propos, l’expérience de
l’éducation non formelle dans les situations mixtes études-travail des jeunes
doit être appréciée à sa juste valeur.
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adaptées individuellement aux apprenants, leur permettant ainsi de s’essayer
à plusieurs approches ou à différentes offres d’apprentissage.
Apprentissage coopératif L’éducation non formelle mise sur des méthodes
actives de la coopération et sur des processus de dynamique de groupe.
«Apprendre » n’est pas un processus solitaire ou isolé. L’apprentissage
autonome se déroule dans l’interaction du sujet enfant/ jeune et de son
environnement social. Les enfants et les jeunes apprennent ensemble, mais
aussi l’un de l’autre.
Ouverture Le caractère ouvert de l’éducation non formelle nécessite
d’adapter et de réévaluer constamment ses propres concepts et, plus
généralement, de diversifier ses pratiques. Puisque les actions et les résultats
sont libres (mais pas n’importe lesquels), cette ouverture fraie le chemin à
une contribution active des participants à l’action de l’apprentissage :
enfants et jeunes participent activement à leurs propres processus de
développement et d’éducation.
Centré sur l’apprenant Dans l’éducation non formelle, les méthodes et les
objectifs sont adaptés individuellement aux participants et, dans la mesure
du possible, à leurs besoins et intérêts. La transmission et l’assimilation de
l’offre éducative dépendent des circonstances. Il peut y avoir non seulement
des modifications au moment de la planification, mais également au cours
de l’apprentissage, en établissant par exemple de nouvelles priorités.
Participation La prise de responsabilité et l’autodétermination sont à la fois
des objectifs du travail avec les enfants et du travail avec les jeunes et des
méthodes de travail pédagogiques essentielles. Dans la mesure du possible,
les décisions sont prises de pair avec les enfants et les jeunes. La
participation des enfants et des jeunes aux processus de décision encourage
la conscience et l’engagement démocratiques.
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VI- CHAMPS D’ACTION
L’UNESCO apporte un soutien aux États membres dans les domaines suivants :
◗ mener des actions de plaidoyer en faveur de l’alphabétisme pour tous et mobiliser
la volonté politique et les ressources nécessaires pour défendre cette cause ;
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◗ étoffer la base d’informations et de connaissances sur l’alphabétisme et
l’éducation non formelle au travers de la création, la gestion et la diffusion de
connaissances ;
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- Suivi Le travail pédagogique des structures est soumis au regard critique des
experts externes. Ceux-ci font régulièrement des expertises qui comprennent,
entre autres, des propositions d’amélioration.
Qui sont les agents de l’éducation non formelle? Sur quel type de
compétences construisent-ils les activités d’éducation non formelle?
Psychologues, conseillers sociaux, éducateurs de rue, animateurs
sociaux, enseignants ou professionnels de branches, artisans ou artistes, et
beaucoup de bénévoles: rares sont les agents de l’éducation non formelle formés
aux spécificités de l’éducation des adultes. Souvent rompus aux techniques
d’animation, d’accompagnement socio-psychologique, ils ont en commun un
large spectre de compétences relationnelles et sociales (empathie, écoute, conseil,
enthousiasme, …) et un réservoir inépuisable de bonne volonté et de
persévérance, au service d’une part des plus démunis et d’autre part de projets de
société (économie sociale et solidaire, commerce équitable, activités socialement
reconnues, …). Expérimentés, ils savent monter des actions, des dispositifs, des
programmes et des politiques à forte teneur d’intégration – que ce soit dans la
société, dans la société d’accueil, sur le marché du travail … – de développement
local, de prévention de tous genres (santé communautaire, environnement, …). Ils
savent l’objectif poursuivi. Mais ils peinent à dire une intention éducative, et
résistent, plus ou moins consciemment, à nommer des compétences visées.
X- RECONNAISSANCE SOCIALE
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d’attirer des volontaires et des participants, et pour ceux qui sont bénévoles,
toute une haie d’obstacles se dresse sur le chemin de la création d’opportunités
basées sur la reconnaissance de leur contribution. Dans certains cas, le
volontariat est perçu comme une perte de temps. Peu de gens sont conscients
des avantages du volontariat pour la société. Aboutir à la reconnaissance sociale
de l’éducation non formelle signifie placer le travail volontaire au rang des
atouts majeurs pour le développement de la société civile.
Enfin, l’éducation non formelle a également tout son sens, dans « la société de
la connaissance », pour soutenir un changement de la vision traditionnelle
d’apprentissage, tout comme elle a tout son sens dans une prospective de
développement local et de promotion d’activités socialement reconnues pour des
personnes ayant très peu de chances de (re)trouver un travail dans les réseaux de
l’économie primaire.
La mise en valeur des résultats des processus d'apprentissage et les modes de
validation des connaissances et des compétences acquises dans les processus
d’éducation non formelle, dans une optique de construction des identités
culturelles, jouent ici un rôle essentiel.
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▪ Des conditions subjectives (relatives aux agents et aux participants)
Ces conditions, délicates à cerner, sont déterminées par l’histoire de vie de
l’adulte et en particulier son « parcours d’élève, son degré de confiance en ses
capacités à apprendre, mais aussi par le regard que vont porter sur lui les acteurs
sociaux et éducatifs qu’il va rencontrer ». L’agent éducatif doit donc être en
mesure de reconnaître et accueillir les expériences passées aussi bien que les
espoirs et attentes de chaque adulte apprenant.
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XIII- CONCLUSION
Convaincus de la nécessité d’accroître la mobilité et la flexibilité
dans l’éducation, de renforcer le lien entre éducation et marché du travail, et de
manière générale, d’augmenter les possibilités d’éducation et de formation ,
nous pensons que des mesures pour reconnaître les compétences réelles sont
grandement nécessaires.
• Croit que l’accent doit être placé sur les compétences réelles : valoriser
l’éventail complet des qualifications des personnes, qu’elles soient acquises par
l’éducation formelle, non formelle ou informelle.
• Encourage les décideurs au niveau adéquat de compétence à éliminer les
obstacles à la participation des programmes d’éducation non formelle.
• Demande l’élimination des barrières entre l’éducation formelle et non
formelle comme étape suivante sur le chemin de la stimulation des synergies
entre les deux secteurs.
• Souligne que l’éducation non formelle est une composante essentielle du
processus d’éducation et de formation et que les organisations de jeunesse sont
un espace pour l’apprentissage non formel.
• Souligne que la contribution de l’éducation non formelle aux
compétences des jeunes doit être reconnue par les employeurs et le marché du
travail en général.
• Demande que les pouvoirs publics et les parties prenantes du marché du travail
s’engagent auprès des organisations membres pour développer des moyens
concrets d’accroître la visibilité des bénéfices de l’éducation non formelle.
• Demande aux gouvernements et aux organisations internationales de soutenir la
recherche pour documenter l’étendue de la contribution de l’éducation non
formelle pour l’individu et la société. Reconnaître et soutenir les organisations de
jeunesse équivaut à donner aux jeunes les droits, les moyens, l’espace, et si
nécessaire le soutien pour faire l’expérience de la démocratie et surtout pour
contribuer à sensibiliser davantage les jeunes de la plus jeune génération à
leur rôle de citoyens actifs aujourd’hui et pour le reste de leur vie et que
l’éducation non-formelle constitue un levier pour le développement humain. Les
dimensions du développement se distinguent de la croissance et lorsque
l’homme est au centre du développement, on parle de développement
humain. L’éducation non-formelle est complémentaire aux autres formes
d’éducation et constitue un modèle qui intéresse les apprenants de tout
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âge en leur offrant des compétences sociales personnalisées. Plusieurs
conventions internationales, la constitution et des lois nationales fixent
le cadre de l’éducation non-formelle. Celle-ci comprend l’école enfantine,
l’alphabétisation fonctionnelle et l’éducation à la citoyenneté et au civisme. La
prise en compte de l’éducation non-formelle dans les stratégies et politiques a
permis d’enregistrer des progrès dans l’indice du développement humain à
Madagascar.
« La notion d'éducation et de formation tout au long de la vie n'a plus une portée
restrictive; il doit désormais s'agir du principe régissant l'offre et la participation,
quel que soit le cadre d'apprentissage considéré.
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REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
[1] L. Chisholm (2000), The educational and social implications of the transition to
knowledge societies, in von der Gablenz, O./Mahnke, D./Padoan, P.-C./Picht,
R.(Eds) Europe 2020: Adapting to a Changing World, Nomos Verlag: Baden
Baden (pp. 75-90).
[2] M. Baethge (2000). Der unendlich lange Abschied vom Industrialismus und die
Zukunft der Dienstleistungsbeschäftigung, in: WSI-Mitteilungen 3/2000.
[3] P. Dalin (1996). Towards Schooling for the Twenty-First Century. London:
Cassell.
[4] Ex. Espagne où le taux de chômage des jeunes est très élevé (25% for the age
group under 25) et où même les jeunes bien formés ne trouvent pas d’emploi
(Eurostat news release 135/2000. Luxembourg: Office for Official Publications of
the European commission).
[5] Voir pour les Pays-Bas S. van Oenen & F. Hajer (Eds) (2001). De school en het
echte leven. Leren binnen en buiten school. Utrecht: NIZW.
[7] Smith, M. K. (2003). Infed.org. The home of informal education [pages Web].
Accès : http ://infed.org
[10] R. Dasen & Ch. Perregaux (Éds), Pourquoi des approches interculturelles
en sciences de l’éducation ? (pp. 107-123). Bruxelles : De Boeck (Coll.
Raisons éducatives).
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[11] Dasen, P. R. & Perregaux, Ch. (Éds) (2002). Pourquoi des approches
interculturelles en sciences de l’éducation ? Bruxelles : De Boeck (Coll.
Raisons éducatives).
[13] Delbos, G. & Jorion, P. (1984). La transmission des savoirs. Paris : Maison
des sciences de l’homme.
[14] Baudouin, J.-M. & Friedrich, J. (Éds). (2001). Théories de l’action et éduca-
tion. Bruxelles : De Boeck (Coll. Raisons éducatives).
[15] Bautier, E. & Rochex, J.-Y. (2004). Activité conjointe ne signifie pas signifi-
cations partagées. In Ch. Moro & R. Rickenmann (Éds). Situation éduca-
tive et significations (pp. 199-220). Bruxelles : De Boeck (Coll. Raisons
éducatives).
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