Vous êtes sur la page 1sur 38

Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

FACULTE D’ECONOMIE ET DE GESTION DE KENITRA

Formation de Licence en Sciences Economiques et de Gestion

Filière : GESTION COMPTABLE

MEMOIRE DE FIN D’ETUDES

« L’audit interne et le contrôle interne dans la gestion des risques »

Préparé par :

AAFAF MTER

Et

IMANE BENNANI BOUCHIRA

Sous la Direction de Monsieur EL BAKKOUCHI MOUNIR, Professeur à la


Faculté d’Economie et de Gestion de Kenitra, Université Ibn Tofaîl

Année Universitaire 2021-2022

1
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

Dédicace

A nos parents,
Pour tous vos sacrifices pour nous, nul mot ne saura exprimer notre amour et
notre gratitude envers vous.
Que Dieu vous protège et vous accorde sa bénédiction.
******
A nos frères et sœurs,
nous vous remercions pour votre amour inconditionnel. Que Dieu vous garde,
nous vous aimons et nous vous souhaitons une vie pleine de succès et de
réussite.
******
Aux Autre membres de nos familles,
Que cette modeste dédicace puisse vous témoigner nos profondes gratitudes
pour votre soutien et votre encouragement
******
A tous nos amis,
Pour vos encouragements et pour avoir été là pour nous.
******
A tous ceux qui ont contribué de près ou de loin pour la réussite de ce projet
Veuillez trouver ici le respect et la reconnaissance que nous éprouvons pour
vous.

2
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

Remerciements
Avant d’entamer ce présent rapport, il me tient à cœur d’adresser ma sincère
gratitude à certaines personnes notamment :
• Notre professeur monsieur EL BAKKOUCHI MOUNIR, Professeur à la
Faculté d’Economie et de Gestion de Kenitra, Université Ibn Tofaîl, pour
son accompagnement et pour ses efforts considérables à mener bien un
encadrement dans les meilleures conditions ainsi que tous nos
professeurs à la Faculté d’Economie et de Gestion de Kenitra, qui tout au
long de notre parcours, nous ont guidés, orientés et surtout soutenus.
• Nos collègues au Filière de Gestion comptable, pour leur soutien, leur
esprit de travail et leurs précieux conseils.

3
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

Résumé
Ce mémoire concerne le projet de fin d’étude du Licence fondamentale en
sciences économiques et gestion.

Le mémoire de fin d’étude est un projet en soi. Il est important à retenir que le
but est de faire en sorte que tous les éléments qu’il présente permettent de
remettre ensemble et dans le bon enchainement les différents composants du
projet.

Notre Mémoire a pour objet d’avoir une idée sur l’audit interne et contrôle
interne dans la gestion des risques.

L’objectif est de notre recherche est d’établir la relation entre le contrôle


interne et audit interne, pour traiter une problématique qui est l’impact de
l’audit interne dans l’amélioration du dispositif de contrôle interne dans la
gestion des risques.

Toutefois, les obstacles à contourner pour mener cette mémoire à bout,


peuvent probablement être un jour d’une aide considérable.

4
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

Table de matières

Table de figures ................................................................................................................................... 7


Liste des abréviations .......................................................................................................................... 8
Introduction générale.......................................................................................................................... 9

Introduction ...................................................................................................................................... 12
1. les fondements de l’audit et du contrôle interne ........................................................................ 12
1.1. Généralités sur l’audit et le contrôle interne ....................................................................... 12
1.1.1. Définition du contrôle interne .......................................................................................... 12
1.1.2. Définition de l’audit interne ............................................................................................. 13
1.1.3. Distinction entre l’audit interne et le contrôle interne ................................................... 13
1.1.4. Les Principes de l’audit interne......................................................................................... 14
1.1.5. Les Principes du contrôle interne ..................................................................................... 14
1.2. Le positivement de l’audit et du contrôle interne ................................................................ 14
1.2.1. Les avantages du Contrôle interne ................................................................................... 15
1.2.2. Les avantages de l’audit interne ....................................................................................... 15
1.2.3. Les limites du contrôle interne ......................................................................................... 15
1.2.4. Les limites de l’audit interne ............................................................................................ 15
2. le contrôle interne dans l’approche de l’audit ............................................................................. 16
2.1. les objectifs et les acteurs du contrôle interne ...................................................................... 16
2.1.1. Les objectifs du controle interne ..................................................................................... 17
2.1.2. Les composantes du contrôle interne ............................................................................. 17
2.1.3. Les Objectifs de l’audit interne ........................................................................................ 17
2.1.4. Les acteurs du contrôle interne ....................................................................................... 18
2.1.5. Les acteurs de l’audit interne .......................................................................................... 18
2.2. Norme organisation des travaux ................................................................................... 18
2.2.1. Exercice personnel travail en équipe et supervision ....................................................... 18
2.2.2. Planification ..................................................................................................................... 19
2.2.3. Documentation ................................................................................................................ 19

Introduction ..................................................................................................................................... 21
1. Les éléments de définition du risque ................................................................................... 21

5
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

1.1. Définition des risques ................................................................................................... 22


1.2. Les types et les niveaux des risques ...................................................................................... 22
2. La démarche d’audit interne aplatir de contrôle interne dans la gestion des risques Les
éléments de définition du risque ............................................................................................ 25
2.1. Description des procédures du CI (comptabilité et finance) ............................................... 25
2.2. La démarche organisationnelle de la fonction d’audit interne ............................................ 26
2.3. L’impact du contrôle interne dans la gestion des risques .................................................... 27

Introduction ..................................................................................................................................... 30
1. Présentation des résultats .................................................................................................. 30

6
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

Table de figures
Figure 1 Distinction entre l’audit interne et le contrôle interne ........................................................... 13
Figure 2 Le modèle référentiel de COSO ............................................................................................... 16
Figure 3 Les relations entre les acteurs d’audit interne ....................................................................... 18
Figure 4 Cartographie des risques ......................................................................................................... 24
Figure 5 Réponses sur la question : avez-vous une idée sur le contrôle et l'audit interne ? ................ 30
Figure 6 Réponses sur la question : selon vous la définition du contrôle interne est ?........................ 31
Figure 7 Réponses sur la question : pensez-vous que l'audit interne est nécessaire pour une
organisation ? ........................................................................................................................................ 31
Figure 8 Réponses sur la question : parmi les significations de l'audit interne les quelles sont
correcte ?............................................................................................................................................... 32
Figure 9 Réponses sur la question : est ce qu’il existe une relation entre le contrôle et l’audit
interne ? ............................................................................................................................................... 32
Figure 10 Réponses sur la question : que signifie pour vous un risque ? ............................................. 33
Figure 11 Réponses sur la question : parmi ces risques quel sont les anomalies liées au contrôle et
audit interne ? ....................................................................................................................................... 33
Figure 12 Réponses sur la question : est-ce-que les niveaux des risques sont variés selon l'activité de
l’entreprise ? ......................................................................................................................................... 34
Figure 13 Réponses sur la question : est-ce-que la procédure du contrôle interne peut faire face à des
risques ?................................................................................................................................................. 34
Figure 14 Réponses sur la question : si oui parmi ces risques quels sont les anomalies ? ................... 35
Figure 15. Réponses sur la question : avez-vous une idée sur l'impact de l'audit interne sur la gestion
des risques ? .......................................................................................................................................... 35
Figure 16. Réponses sur la question : le jugement de l'auditeur peut être ? ....................................... 36

7
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

Liste des abréviations

CI Contrôle interne.
AI Audit interne.
COSO Committee Of Sponsoring Organizations.

8
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

Introduction générale
De nos jours, et grâce à la concurrence acharnée dans le marché. Forcent les entreprises à
chercher des outils efficaces à leur performance. De même chaque entreprise cherche à
grandir et d’innover ses activités, dans le cadre de garder et protéger ses dernières. Cette
innovation ce n’est pas quelle que chose facile, il est nécessaire d’avoir des risques. Devant
le danger de ces risques, les entreprises doivent envisager à ces risques par des démarches,
structures formelles. Le contrôle interne et l’audit interne restent les pierres angulaires de la
gestion des risques.
C’est dans ce cadre qu’on a choisi traiter le sujet du rôle de contrôle interne et audit interne
dans la gestion des risques.
Le contrôle interne c’est l’ensemble de dispositifs pour sécuriser, garantir et maitriser le
déroulement des opérations, le contrôle interne aussi une procédure et des actions propres
mis en place pour chaque organisation et pour objectif de maitriser les risques. Par la suite
et pour renforcer et détecter le degré de maitrise de l’ensemble des dispositifs de contrôle
interne et pour renforcer, corriger et évaluer son efficace. Il est nécessaire et certain d’un
comité d’audit interne pour identifier, évaluer et recommander.
L’objectif de notre recherche est d’établir la relation entre le contrôle interne et audit
interne, pour traiter une problématique qui est l’impact de l’audit interne dans
l’amélioration du dispositif de contrôle interne dans la gestion des risques.
Et pour traiter cette problématique on a basé notre recherche sur un plan portera sur deux
parties théoriques et une empirique à savoir. La première partie présentera les concepts
essentiels d’audit et de contrôle interne, elle est décomposée de deux chapitres le premier
concerne les fondamentaux de l’audit et du contrôle interne, précisément des généralités
sur l’audit et le contrôle interne, leurs avantages leurs limites. Le deuxième chapitre est
consacré au contrôle interne dans l’approche de l’audit, on va parler sur les objectifs et les
acteurs du contrôle interne et l’audit interne, ensuite l’influence du contrôle interne dans
l’approche de l’audit interne.
La deuxième partie intitulée d’organisation et pilotage d’audit et contrôle interne dans la
gestion des risques le premier chapitre réservera aux éléments de définition du risque.
Le deuxième chapitre sera consacré à la démarche d’audit interne à partir du contrôle
interne dans la gestion des risques à travers une description des procédures de système de

9
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

contrôle interne (exemples : contrôle comptable et finance), puis la démarche


organisationnelle de la fonction d’audit interne et en suite L’impact du contrôle interne dans
la gestion des risques.
La troisième partie sera sous la forme d’un rapport à propos d’un questionnaire destiné au
public. A la fin on a formulé une conclusion qui va englober notre travail.

10
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

Partie 1 : Les concepts essentiels de l’audit


interne et du contrôle interne

11
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

Introduction
L’audit interne et le contrôle interne deux mots, démarches complémentaires. Au premier
lieu on trouve le contrôle interne qu’est un ensemble des dispositifs et des principes qu’ont
des avantages et aussi des inconvénients sur l’organisation de l’entreprise. Cette mission de
contrôle interne à pour l’accomplissement des objectifs, le contrôle interne est nécessaire
dans toute la démarche d’une activité et pour assurer la sécurité, garantir et la maitrise de
cette dernière. Deuxièmes des choses l’audit interne qu’est pour but de détecter tous ce qui
se passe au processus du contrôle interne, a pour finalité d’identifier, recommander et
évaluer les résultats et de chercher est ce qu’il y’a des anomalies à corriger. Le contrôle
interne est toujours une source d’information pour les auditeurs pour bien maitriser leurs
travails, c’est grâce aux informations, testes et rapports des risques, les auditeurs élaborent
les meilleures démarches de travail.

1. Les fondements de l’audit et du contrôle interne.


1.1. Généralités sur l’audit et le contrôle interne.
1.1.1. Définition du contrôle interne.
(a) c’est l’ensemble des dispositifs qui définir et assurer l’ensemble des moyens, de
comportements, de procédures et d’actions propres mis en place pour chaque organisation
et pour objectif de maitriser les risques.
(b) Le contrôle interne c’est la surveillance, le contrôle pour détecter les faiblesses en termes
de contrôle et en suite positionner des points de contrôle efficaces pour s’assurer d’une
séparation des taches conformes à la réglementation et pour faciliter le pilotage et
l’évolution du système de contrôle mis en place.
« Le contrôle interne est mis en œuvre par le gouvernement d’entreprise, la direction et le
personnel pour fournir une assurance raisonnable quant à la réalisation des objectifs de
l’entité concernant la fiabilité de l’information financière, l’efficacité et l’efficience des
opérations, ainsi que leur conformité à la réglementation applicable ».[1]

12
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

1.1.2. Définition de l’audit interne.


C’est une activité universelle, et une mission périodique permet une évaluation globale est
indépendante des dispositifs, elle est rattachée au plus haut niveau de l’organisation. L’audit
interne a pour objectif d’assurer que les processus et les organisations et les actions qui ont
mis en place permettent l’entreprise d’atteindre ses objectifs.
L’audit est officiellement défini comme : « Un processus méthodique, indépendant et
documenté permettant d’obtenir des preuves d’audit et de les évaluer de manière objective
pour déterminer dans quelle mesure les critères d’audit sont satisfaits. ».[2]
« Une activité indépendante et objective qui donne à une organisation une assurance sur le
degré de maîtrise de ses opérations, lui apporte ses conseils pour les améliorer et contribue
à créer de la valeur ajoutée. Il aide cette organisation à atteindre ses objectifs en évaluant,
par une approche systématique et méthodique, ses processus de management des risques,
de contrôle et de gouvernement d’entreprise et en faisant des propositions pour renforcer
son efficacité. » [3]

1.1.3. Distinction entre l’audit interne et le contrôle interne

Contrôle interne Audit interne


VS

Sécuriser Identifier
Garantir Recommander
Maitriser Evaluer

l’audit interne améliore et perfectionne les dispositifs contrôle interne

Il aide l’organisation Il contribue à la maitrise


à atteindre ses objectifs. des activités de
l’organisation .

Figure 1. Distinction entre l’audit interne et le contrôle interne

13
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

1.1.4. Les principes de l’audit interne.

• Intégrité : La sincérité et l’honnêteté des auditeurs interne est la raison de la crédibilité


accordée à leurs jugements.
• Objectivité : Être objectif implique que les auditeurs interne sont professionnels dans la
collecte et l’utilisation des informations. Et l’évaluation des résultats doivent êtres isoler
de leurs propres intérêts.
• Confidentialité : Les auditeurs internes valorisent les informations qu’ils reçoivent, et ils
n’ont pas le droit de partager ces informations qu’avec des manières légales.
• Compétence : Pour la réaliser cette mission, les auditeurs dépendent de leurs
expériences, formations et des connaissances.

1.1.5. Les principes du contrôle interne.

• Principe d’organisation : l’organisation des entreprises à travers des organigrammes


qui accorde chaque responsable à une mission
• Principe d’harmonie : le contrôle interne mis en place doit être adapter à l’entreprise,
son environnement, sa taille, et à son activité.
• Principe d’intégration : l’intégration des informations semblables qui figurent dans des
documents différents doivent être recoupés afin d’assurer de la fiabilité des informations.
• Principe de séparation des taches : les recoupements et les contrôles réciproques
sont indissociables d’une règle de séparation des fonctions.
• Principe de permanence et d’universalité : la mise en place du contrôle interne
suppose une certaine pérennité et pour assurer la sauvegarde du patrimoine
d’entreprise.

14
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

1.2. Le positivement de l’audit et du contrôle interne.


1.2.1. Les avantages du Contrôle interne.

• Le système de contrôle interne permet d’avoir une image claire sur l’activité de
l’entreprise tout en poursuivant les actions et procédures et processus afin d’évité certain
mal entendue et conflits.
• Un bon système de contrôle interne met en place des dispositifs pour prévoir toute erreur
pourront nuire à l’atteinte de l’objectifs et cela permet aussi de donne des meilleures
prestations de qualité.
• Un système de contrôle interne permet aux collaborateurs d’être serein.
• La communication est un élément essentiel pour le bon déroulement de l’activité cela
aide aussi à réduire les couts de l’activité.
• La communication du système de contrôle interne à la clientèle permet d’acquérir une
certaine confiance de la clientèle.

1.2.2. Les avantages de l’audit interne.

L’un de ces principaux avantages et de détecté les défaillances et puis les corriges en temps
et en heurs.
• Il peut être demandé à tout moment par la direction.
• Il garantit des données comptables fiable et pertinent.
• Il élimine toute possibilité d’un risque interne (fraude).
• Il assure efficacité et l’efficience des procédures.
• Il permet d’être à jour au niveau des politiques.

1.2.3. Les limites du contrôle interne.

• Tout système de contrôle ne peut être respecté.


• Un comportement pouvant nuire au processus.
• Le système de contrôle interne ne peut contrôler l’intégralité de risques.
• L’évolution de l’environnement externe peut affecte l’atteinte de l’objectif.
• Les erreurs de jugements.

15
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

1.2.4. Les limites de l’audit interne.

• Un audit interne peut ne pas soustraire un risque de fraude.


• Peut nuire à l’atteinte de l’objectif.
• L’audit interne peut masquer ou erroné certaine information dans le cas où le personnel
se sent évaluer.

2. Le contrôle interne dans l’approche de l’audit.


2.1. Les objectifs et les acteurs du contrôle interne.
2.1.1. Les objectifs du contrôle interne.

Le COSO est la description de la façon dans laquelle les 5 composantes du contrôle interne
permettent à l’atteindre des 3 objectifs.

3 objectifs

5 composants
Figure 2. Le modèle référentiel de COSO.

16
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

Concernant les objectifs du contrôle interne on distingue :


• Objectif lie aux opérations qui concernent l’efficacité et l’efficience des activités
et font référence à la performance opérationnelle et financière.
• Objectif lié aux rapports, qui concerne les rapports internes ou externes,
financiers ou non sur des axes de fiabilité de délais et de transparence ou tout autre
critère exigé par les organismes de normalisation ou instances de régulation.
• Objectif lié à la conformité qui concerne le respect des lois et des règlements applicables.

2.1.2. Les composantes du contrôle interne.

• Identification des risques.


• Classification des risques.
➢ La gravite des risques.
➢ L’impact sur l’atteinte des objectifs (significatif ou pas).
• Activités de contrôle interne (l’ensemble des actions et mesures nécessaires a maitre en
œuvre pour maitriser les risques).
• Maitrise l’information et la communication (collecte les informations utiles ayant un
impact).
• Au niveau du contrôle interne doit communique ces informations à la direction général et
cette dernière doit les communiquer au personnelle ASCENDENTE ET DESCENDANTE
communication horizontal.
• Le pilotage du Contrôle interne, c’est la correction prise lors de la conduite au fur et à
mesure jours au jour.

2.1.3. Les objectifs de l’audit interne.

L’audit interne a pour objectif de :


• Apporter une valeur ajoutée.
• Aider à l’atteinte des objectifs.
• Améliorer le fonctionnement.
• Déterminer la conformité et la qualité des objectifs prescrites.
• L’amélioration du système qualité dans l’entreprise auditée.

17
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

2.1.4. Les acteurs du contrôle interne.

Pour un contrôle interne cohérent, il doit que tous les membres de l’organisation participer :
• La direction.
• Les opérationnels.
• La direction de l’audit interne.

2.1.5. Les acteurs de l’audit interne.

Les acteurs ou bien les participants d’audit interne sont :


• Le gouvernement de l’entreprise c’est la direction générale.
• La direction d’audit interne.

Collecter défuser l’iformation


les informations
Les autres
membres La direction La direction
d’organisation général d’audit interne
détécter
analyser
evaluer

Figure 3. Les relations entre les acteurs d’audit interne.

2.2. Norme organisation des travaux.

2.2.1. Exercice personnel travail en équipe et supervision.

L’opinion d’un auditeur est une obligation envers lui-même pour cela il ne doit pas se lance
dans des fonctions dont il n’est pas capable d’assurer, par contre Il peut se faire épaulé par
des collègues, salarié ou des experts indépendants sans leur donner un quiconque pouvoir.
Car c’est à lui d exerce un contrôle approprié pour l’atteinte de ces objectifs.

18
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

2.2.2. Planification.

L’auditeur a pour obligation d’ordonnée la réalisation de son rôle pour atteindre ces objectifs
d’une façon judicieuse, tout en honorant les délais de la loi et autre recommandation.

2.2.3. Documentation

L’auditeur doit avoir les documents nécessaires qui contiennent des informations
fondamentales, pour bien réalisé sa mission vérifié les travaux de documentation et de bien
justifié ses opinions

Conclusion
Ayant pour but la réalisation de ces objectifs (COSO) décrite par le contrôle et l’audit interne
l’entreprise doit respecté certain normes et limites tout en impliquant ces acteurs .

19
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

Partie 2 : organisation et pilotage de l’audit


interne et du contrôle interne dans la gestion
des risques

20
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

Introduction
L’un des objectifs de toute organisation et d’assurer son activité dans les meilleures
conditions d’efficacité, d’efficience, de qualité et de conformité mais au quotidien tout ne se
passe pas toujours comme prévu.
L’organisation est sujette à ce qu’on appelle des risques avec des impacts plus au moins
importants qui peuvent venir remettre en cause le bon fonctionnement de l’activité
Les niveaux des risques se balance toujours, il est difficile de caractériser un risque par un
niveau précis toujours. La criticité est une méthode à savoir le niveau de risque et son
danger, est ce que l’entreprise doit réagir contre-t-il.
Deux démarches complémentaires permettent de comprendre et de gérer efficacement les
risques dans l’ensemble de l’organisation par le contrôle interne et audit interne.

1. Les éléments de définition du risque.


1.1. Définition des risques.
C’est la probabilité qu’un élément imprévue peut soit affaiblir et/ ou bien ruiner et/ou prolongé
et/ou l’atteinte de l’objectif et/ou l’actif de l’entité.
« Le risque est l’éventualité d’un événement ne dépendant pas exclusivement des parties et
pouvant causer la perte d’un objet ou tout autre dommage ; par extension, [le risque est un]
événement contre la survenance duquel on s’assure. » [4]
« Le risque est constitué par tout événement susceptible de faire perdre de l’argent à
l’entreprise. Un incendie dans un atelier, la perte de parts de marché, un mauvais
positionnement stratégique sont des risques qui peuvent affecter la santé financière d’une
entreprise. »
« Les risques sont les évènements qui empêchent [l’entreprise]d'atteindre ses objectifs
stratégiques : la gestion des risques ou risk management doit être une logique d'entreprise. »
[5]
« Le risque est la probabilité qu'un effet spécifique se produise dans une période donnée ou
dans des circonstances déterminées. » [6]
« Le risque est la combinaison de la probabilité et des conséquence(s), de la survenue d'un
événement dangereux spécifié. » [7].
« Le risque est la menace qu’un événement, une action, ou une inaction affecte la capacité
de l’entreprise à atteindre ses objectifs stratégiques et compromette la création de valeur ».
Cabinet Ernst & Young.

21
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

1.2. Les types et les niveaux des risques.


1.2.1. Les types des risques.
Il est difficile de généraliser un type précis des risques pour toutes entreprises. Chaque
entreprise peut avoir des risques totalement différents à l’autre. Y’a des conditions qui
influencent les risques, qui peut l’entreprise fait face parmi eux on trouve La taille, Secteur de
travail, Technologie, La liquidité, etc……
Mais il y’a trois catégories des risques que les entreprises peuvent avoir souvent, et qui
freinent le déroulement d’une organisation sont :
• Les risques opérationnels.
• Les risques de non-conformité.
• Les risques juridiques.

❖ Les risques opérationnels :

L’article 13 de la Directive Solvabilité II définit le risque opérationnel comme « le risque de


perte résultant de procédures internes, de membres du personnel ou de systèmes
inadéquats où défaillants, ou d'événements extérieurs ».
Les risques opérationnels définis comme les risques de perte résultant de carence, de
défaillance attribuable à des procédures, des personnes, des systèmes internes ou à des
évènements extérieurs.
Le risque opérationnel se répartir en quatre catégories :
• Les risques liés aux systèmes d’information : grâce aux composantes du système
d’information et les mécanismes de fonctionnement ce système peut avoir plusieurs
problèmes parmi eux :
- La mal traitante des informations, tous ce qui analyse, classement etc….
- La complexité du système.
- L’importance des informations reçus.
• Les risques liés aux personnes : sont nombreux car l’être humain par sa nature
prend parti à la zone de confort et de ne pas exercer ses taches comme il faut. Parmi
les causes liées aux personnes en trouve :
- Absentéisme.
- Fraude.
- L’incompétence
- L’incapacité.
- L’attribution plusieurs taches à une seule personne.

22
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

• Les risques liés au processus : il y’a un lien entre risque et processus, pour une
gestion efficace des risques il est donc indispensable de connaitre les processus et
de comprendre comment les ressources, las acteurs et les activités permettant de
générer les résultats.
L’absence de formalisation d’un processus et un risque en soi car il est difficile d’avoir
une vision claire sur les actions et les responsabilités de pouvoir réaliser un pilotage
efficient de la performance de l’entreprise.
• Les risques liés aux évènements extérieurs : parfois même si les éléments qui
sont au saint d’une entreprise travaillent en harmonie et la démarche des activités de
déroulent comme il est prévu, tous sous le contrôle. Mais parfois des évènements
extérieurs qui engendrant les risques parmi eux :
- Des réglementations politiques.
- La concurrence.
- Les catastrophes naturelles.

❖ Les risques de non-conformité :

S’appeler aussi risques de corruption. Sont portes par le modèle économique de l’entreprise.
Il peut d’agir aussi à des risques qui sont liés à l’activité au pays d’implantation, mais
également aux clients, fournisseurs, aux apporteurs d’affaires sous-traitants ou
intermédiaires et également tous les risques qui sont portés par les transactions, les
opportunités commerciales.
Il existe aussi des risques qui sont portées par la culture de l’entreprise et en interne parfois
par les collaborateurs également.

❖ Les risques juridiques :

Sont aussi appeler risques de litiges suite ou non-respect des obligations contractuelles.

1.2.2. Les niveaux des risques.

Il est difficile de considérer à un risque un niveau stable et permanant utilisable à toutes


situations possibles. Les niveaux de risque se changent de temps en temps, d’opération à
l’autre, c’est pour cette raison les organisations utilisent une méthode efficace pour mesurer

23
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

le niveau de risque et son importance. La méthode consiste à juger la criticité de chaque


risque en fonction de deux critères qui sont l’impact ou gravite, quelles seront les
conséquences du risque en comparant aisément que plus les conséquences sont
importantes plus le risque est critique. Un risque peut avoir un impact sur l’ensemble d’un
processus ou plus spécifiquement sur l’une des activités, mais il faut également coupler
l’impact à la notion de probabilité, qu’elles sont les chances pour que cela se produise.
C’est en effet la réunion de l’impact et de la probabilité qui définir la criticité d’un risque, une
échelle de mesure permet de positionner chaque risque à un niveau.

Figure 4. Cartographie des risques

• Lorsque les entreprises identifient le risque comme acceptables c’est-à -dire que la
criticité de ce risque n’a pas une influence négative sur le déroulement de
l’entreprise.
• Les risques avec une criticité intermédiaire va générer un risque mais d’un niveau
moyen que l’entreprise peut agir contre il.
• Un risque intolérable ou bien non acceptable dans ce cas le niveau de probabilité et
de gravite est très élevés.

24
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

2. La démarche d’audit interne aplatir de contrôle interne


dans la gestion des risques.
2.1. Description des procédures du CI (comptabilité et finance).

Le contrôle interne ce compose de 7 procédures :


• La séparation des taches : Se résume à dispatcher les devoirs des comptes,
dépôts, rapport d’audit. Plus les fonctions sont séparées Plus le risque de fraude’ est
diminué.
• Le contrôle d’accès aux système comptable : ce fait par le biais de mot de passe,
verrous et journaux cela peut empêcher chaque utilisateur n’ayant pas droit à
accéder à certaine info tout en permettant aux utilisateurs d identifie la source des
erreurs.
• Audit physique des actifs se compose : Du comptage manuelle de l’argent et toute
actif corporelle.
• Documentation financière standardisé : Factures, demande matérielle interne,
inventaire, rapport de frais de déplacement.
C’est document peuvent faciliter l’examen des dossiers lors de la recherche des
erreurs
• Balance de vérification quotidienne : Le système comptable en partie double
assure la sincérité tout en assurant l’équilibre cela n’empêche pas qu’ils aient des
erreurs le calcul de la balance quotidienne donne une idée sur l’état du système
comptable.
• Rapprochement périodique dans un système comptable : Permet d’assurer que
les solde sont les même avec d autre entité la différence entre ces comptes peuvent
crée des anomalies.
• Exigences en matière de pouvoir d’approbation : des administrateurs particuliers
autorise des transactions qui ajoute une certaine responsabilité aux enregistrements
comptable.
• Pour assurer les transactions ont été analyse approuvée par les autorités
Exiger l'approbation de paiements et de dépenses importants peut empêcher des
employés peu scrupuleux d'effectuer d'importantes transactions frauduleuses avec
les fonds de l'entreprise.

25
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

2.2. La démarche organisationnelle de la fonction d’audit


interne.

La démarche ou bien la structure organisationnelle d’audit interne se compose de quatre


phases importantes :
1- Prise de connaissance et planification de la mission.
2- Evaluation du contrôle interne.
3- Travaux de finalisation de la mission.
4- Rapport.

1- Prise de connaissance et planification de la mission :


La prise de connaissance et planification de la mission se fait dès l’acceptation de la mission
d’audit et permet de planifier cette dernière, à partir de 3 étapes sont :
A : acceptation de la mission.
B : prise de connaissance de l’entreprise.
C : planification de la mission.

2- Evaluation de contrôle interne :


L’évaluation du contrôle interne permet de mieux connaitre les systèmes et procédures de
constations, d’autorisation et d’enregistrement des opérations de l’entreprise.
Elle facilite la prise de connaissance des risques et permet à la fois :
- D’établir un programme de travail spécifique.
- D’atteindre l’attention des dirigeants sur les faiblesses et les risques existants.
Alors dans cette phase l’auditeur peut proposer des recommandations pour améliorer le
système de contrôle interne de l’entreprise, aussi cette phase permettre d’évaluer le niveau
du risque de non contrôle pour planifier les diligences.
Pour l’auditeur cette évaluation est réalisée pour déterminer s’il peut s’appuyer sur le
système de contrôle interne, pour exprimer une opinion sur la conformité des états de
synthèse, par contre si le risque de bon contrôle est très élevé cela demande que l’auditeur
ne puisse pas s’appuyer sur le système de contrôle interne, il doit donc maximiser les
vérifications mis en place.
Pratiquement parlant, l’auditeur doit vérifier 3 choses :
A : L’existence du contrôle interne sous forme de procédures.
B : L’application du contrôle interne, est ce que ces procédures sont-elles appliquées
au sein de l’entreprise.
C : L’efficacité du contrôle interne est ce que l’application de ces procédures
permettent-elles de réduire les erreurs et les anomalies et de les corriger.

26
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

3- Les travaux de finalisation de la mission :


Les travaux de finalisation constituent pour l’auditeur l’étape avant la formalisation de son
opinion et la rédaction du rapport.

4- Rapport :
Finalement le rapport de fin de mission ou l’opinion exprimée par l’auditeur peut prendre
l’une de 3 formes :
- soit l’auditeur va certifier sa réserve c’est-à-dire qu’il n’a aucune remarque.
- soit certifier avec réserves, s’il y’a des anomalies mais qui ne sont pas
significatives.
- ou bien l’auditeur va refuser la certification s’il y’a des anomalies significatives.

2.3. L’impact du contrôle interne dans la gestion des risques.

Modalité et outil de la maitrise des risques : Pour faire face à toute imprévue
l’entreprises dispose d’un certain nombre d’outils pour faire face aux risques.

La modalité de maitrise de risque : les démarches aidant à la maitrise des risques se


compose de 6 étapes :

1 : Identification des risques :

Cette étape consiste a identifié le risque ça source et son niveau de gravité

2 : Évaluation et mesurer des risques :

Une fois que le risque est identifié on procède au calcul du cout de ce dernier. La mesure du
risque dépend d’est ce qu’il est quantifiable ou pas

3 : Sélection des techniques de gestion des risques :

Cette technique vise 3 objectifs :

-Encourir le risque

-Transférer le risque

-Éviter le risque.

4 : Mise en œuvre des techniques de gestion des risques :

Cela consiste à appliquer les techniques choisis par le responsable désigné.

27
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

5 : Le suivie des risques :

La surveillance des risques est nécessaire afin de s’assurer que les résultats des stratégies
réalisent au paravent sont optimaux.

6 : Rapport des risques :

Et à la fin d processus un rapport doit être rédigé contenant toutes les informations
nécessaires destinée au responsable.

Conclusion
A l’aboutissement d’une mission d’audit qui permet de déterminer les risques dont
l’entreprise peut faire face , l’auditeur doit exprimé son opinion afin de prendre les
arrangement nécessaire pour affronter ces anomalies .

28
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

Partie 3 : Partie pratique


(Rapport du questionnaire)

29
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

Introduction
Dans le but d’élaborer un rapport, les résultats de cette partie se basent sur les réponses
d’un questionnaire dédier au public pour répondre à la problématique suivante : quelle est
l’impact de l’audit interne et le contrôle interne dans la gestion des risques.
Les questions proposées sont les suivantes :
1 : avez-vous une idée sur le contrôle et l'audit interne ?
2 : selon vous la définition du contrôle interne est ?
3 : pensez-vous que l'audit interne est nécessaire pour une organisation ?
4 : parmi les significations de l'audit interne les quel sont correcte ?
5 : est ce qu’il existe une relation entre le contrôle et l’audit interne ?
6 : que signifie pour vous un risque ?
7 : parmi ces risques quel sont les anomalies liées au contrôle et audit interne ?
8 : est-ce-que les niveaux des risques sont variés selon l'activité de l’entreprise ?
9 : est-ce-que la procédure du contrôle interne peut faire face à des risques ?
10 : si oui parmi ces risques quels sont les anomalies ?
11 : avez-vous une idée sur l'impact de l'audit interne sur la gestion des risques ?
12 : justification.
13 : le jugement de l'auditeur peut être ?

1. Présentation des résultats.

Question 1 : avez-vous une idée sur le contrôle et l'audit interne ?

Figure 5. Réponses sur la question : avez-vous une idée sur le contrôle et l'audit interne ?

30
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

D’après les résultats, 73.7% des personnes ayant répondus ont une idée sur l’audit et control
interne.

Question 2 : selon vous la définition du contrôle interne est ?

Figure 6. Réponses sur la question : selon vous la définition du contrôle interne est ?

On voit que la définition la plus dominante. Le control interne est une organisation pour
maitriser les risques (68.4%).

Question 3 : pensez-vous que l'audit interne est nécessaire pour une organisation ?

Figure 7. Réponses sur la question : pensez-vous que l'audit interne est nécessaire pour une organisation ?

94.7% des personnes sont d’accord que le contrôle est l’audit interne sont nécessaires dans
une organisation.

31
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

Question 4 : parmi les significations de l'audit interne les quelles sont correcte ?

Figure 8. Réponses sur la question : parmi les significations de l'audit interne les quelles sont correcte ?

64.9% assurent que l’audit interne est une mission périodique.

Question 5 : est ce qu’il existe une relation entre le contrôle et l’audit interne ?

Figure 9. Réponses sur la question : est ce qu’il existe une relation entre le contrôle et l’audit interne ?

97.3% affirme qu’il y a une relation entre l’audit et le contrôle interne

32
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

Question 6 : que signifie pour vous un risque ?

Figure 10. Réponses sur la question : que signifie pour vous un risque ?

55.6% des personnes affirment le risque freine et prolonge l’atteinte des objectifs.

Question7 : parmi ces risques quel sont les anomalies liées au contrôle et audit
interne ?

Figure 11. Réponses sur la question : parmi ces risques quel sont les anomalies liées au contrôle et audit
interne ?

Les réponses les plus réputer d’un pourcentage de 59.5% sont le risque lié au processus et
le risque lié au système d’information.

33
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

Question8 : est-ce-que les niveaux des risques sont variés selon l'activité de
l’entreprise ?

Figure 12. Réponses sur la question : est-ce-que les niveaux des risques sont variés selon l'activité de
l’entreprise ?

97.4% affirme que le niveau de risque varie selon l’activité de la société.

Question 9 : est-ce-que la procédure du contrôle interne peut faire face à des risques?

Figure 13. Réponses sur la question : est-ce-que la procédure du contrôle interne peut faire face à des risques ?

La plupart des personnes certifie que la procédure du contrôle interne peut affronter les
risques.

34
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

Question 10 :si oui parmi ces risques quels sont les anomalies ?

Figure 14. Réponses sur la question : si oui parmi ces risques quels sont les anomalies ?

61,1% des individus considère que la fraude est l’anomalie

Question 11 : avez-vous une idée sur l'impact de l'audit interne sur la gestion des
risques ?

Figure 15. Réponses sur la question : avez-vous une idée sur l'impact de l'audit interne sur la gestion des
risques ?

67.6% des citoyens ont une idée sur l’impact de l’audit interne sur la gestion des risques.

Question 12 : si oui justifiez :

-L'audit interne peut évaluer le contrôle interne qui évite plusieurs risques.
-La protection supplémentaires et le renforcement de la gestion d'entreprise
-correction préventif

35
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

Les trois réponses sont mises en accord sur quel audit et le contrôle interne permettent
d’éviter les risques
Question 13 : le jugement de l'auditeur peut être :

Figure 16. Réponses sur la question : le jugement de l'auditeur peut être ?

44,44% pensent que tous les cas sont possibles.

Synthèse :
Tous les avis de ces individus répondant aux questionnaires ci-dessus nous permet de
répondre à la problématique de cette mémoire ils confirment que l’audit et le contrôle interne
ont un impact dans la gestion des risques.

36
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

Conclusion
La démarche de ce projet c’est révélé très captivante dans le sens où il nous a permis d’avoir
une idée sur l’audit et le contrôle interne et de savoir si ces derniers ont un impact dans la
gestion des risques.

Dans ce cas nous avons pu constater que Lorsque l’entreprise rencontre des risques qui
peuvent freinée l’atteinte de ses objectifs elle cherche a réalisé un audit ou plutôt une
mission d’audit en faisant appel à un auditeur.
Qu’il puisse réaliser une démarche d’audit il faut tout d’abord s’appuyer sur un système de
contrôle interne mis en œuvre par chaque organisme, le contrôle interne est la source de
toutes informations qui permet d’aider l’auditeur d’élaborer un rapport ou bien un jugement
concernant les points faibles de l’organisation et des remarques de l’existence encore des
anomalies significatives.

Contrôle interne est la clé d’une démarche d’audit interne bien réaliser. Il permet de
maitriser et de comprendre les risques toute en respectant certains principes et les miser en
œuvre, pour objectif de garantir la sécurité des membres de l’organisation et l’atteinte de
ces finalités.

En revanche l’audit est une mission périodique qui cherche à fiabiliser son produit, son
système tout en respectant certaines normes et limites.
L’audit et contrôle interne son complémentaire dans le cas où l’audit se base sur un certain
nombre d’informations fournis par le contrôle interne.

En effet, toute entreprise dépend de la réalisation de ces objectifs par des facteurs interne
ou externe qui peuvent mener à faire face à des anomalies que seul le contrôle et l’audit
interne peuvent les détectées et les reformulé sous forme d’un rapport ou l’auditeur donne
son opinion soumis à la direction générale pour prendre les dispositifs nécessaires pour les
gérer.

37
Mémoire de Fin d’Etudes Faculté d’Economie et de Gestion de Kénitra

Bibliographie

[1] KPGM L’incollable contrôle interne édition 2018 page6.

[2] ISO 9000 versions 2000.

[3] ELISABETH BERTIN préface de LOUIS VAURS Audit interne page21.

[4] Le Petit Robert.

[5] Ecole des Mines.

[6] Directive n° 96/82 du Conseil de l’Europe2.

[7] OHSAS 180013.

[8] Cabinet Ernst & Young.

[9] L’article 13 de la Directive Solvabilité II.

38

Vous aimerez peut-être aussi