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DSCG UE 1 – DROIT DES CONTRATS ET DE LA

CONCURRENCE – Florence NYKIEL

BIBLIOGRAPHIE :

 Droit civil « Les obligations » (cours et travaux dirigés corrigés) de Stéphanie PORCHY-SIMON


chez Dalloz – Hypercours

 Lexique des termes juridiques - chez Dalloz

 « Introduction au droit » (cours et TD) de Bernard BEIGNIER et Corinne BLERY chez LGDJ

 Sur ScholarVox (BU de l’Ucly en ligne) : « L’essentiel du droit des obligations » de Corinne
RENAULT-BRAHINSKY chez Gualino Collection « Les Carrés ».

 Droit de la consommation « 30 fiches de synthèse » de S. BERNHEIM-DEVAUX chez Studyrama

 Droit de la concurrence interne et communautaire de M. MALAURIE-VIGNAL chez Sirey

COORDONNÉES :

 06 07 70 01 11
 fnykiel@univ-catholyon.fr
 flonykiel@yahoo.fr

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CHAPITRE 1 : LA THÉORIE DU CONTRAT

SECTION 1 : LA NÉGOCIATION DES CONTRATS


Définition = les négociations, ou pourparlers, désignent une période exploratoire durant laquelle les futurs contractants
échangent leurs points de vue, formulent et discutent les propositions qu’ils se font mutuellement afin de déterminer le
contenu du Ct, mais sans être pour autant assurés de conclure le Ct.

A : LES PRINCIPES


Article 1112 al. 1er Cciv : « L’initiative, le déroulement et la rupture des négociations précontractuelles sont libres. Ils doivent
impérativement satisfaire aux exigences de la bonne foi ».
La loi pose donc 4 principes :
 Le principe de liberté
 Le principe de loyauté
 Le devoir précontractuel de confidentialité
 Le devoir d’information

B : LA FAUTE COMMISE DANS LES NÉGOCIATIONS

SECTION 2 : L’OFFRE ET L’ACCEPTATION


Article 1113 al 1 Cciv : « Le Ct est formé par la rencontre d’une offre et d’une acceptation, par lesquelles les parties
manifestent leur volonté de s’engager ».
A : L’OFFRE
Définition = l’offre, appelée aussi pollicitation, consiste en une proposition ferme de conclure un Ct à des conditions
déterminées, de telle sorte que son acceptation suffit à la formation de celui-ci.

a) Les caractères de l’offre


b) La caducité de l’offre
c) La rétractation de l’offre

B : L’ACCEPTATION
a) Les formes de l’acceptation
 Principe = le silence ne vaut pas acceptation => article 1120 cciv
En droit « qui ne dit mot, ne consent pas » parce que le silence est équivoque. Il faut manifester sa volonté de contracter.
 Exceptions = au nombre de 3 

b) Les délais de réflexion et de rétractation


c) Les conditions générales de vente (CGV)
d) Le moment et le lieu de formation du Ct

SECTION 3 : LA CONCLUSION DU CONTRAT PAR VOIE


ÉLECTRONIQUE
A : L’OFFRE PAR VOIE ÉLECTRONIQUE
B : L’ACCEPTATION PAR VOIE ÉLECTRONIQUE

SECTION 4 : LES CONDITIONS DE FORMATION DU CONTRAT


A : LE CONSENTEMENT
Le consentement se caractérise par la volonté clairement exprimée de chaque partie de s’engager dans le contrat. Il peut se
définir comme la rencontre d’une offre et d’une acceptation.
Le principe est qu’il n’y a pas de consentement valable, si le consentement n’a été donné que par erreur, ou s’il a été extorqué par
violence ou surpris par dol = vices du consentement.
L’erreur
Le dol
La violence

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B : LA CAPACITÉ
C’est l’aptitude d’une personne à être titulaire de droits et SURTOUT à les exercer.
Toute personne - qui a la personnalité juridique - peut contracter, sauf si elle en déclarée incapable par la loi.

C : LE CONTENU DU CONTRAT
Le contenu renvoie aux prestations que les parties se sont engagées à exécuter. L’article 1162 Cciv exige un contenu licite et
certain 
D : LES CONDITIONS DE FORME
Le principe
Les deux exceptions

SECTION 5 : LA NULLITÉ DU CONTRAT


Quand un Ct ne respecte pas une des 3 conditions de validité, il encourt la nullité.
Dès le départ, dès sa formation, le contrat se trouve vicié au niveau du consentement  ; ou il y a un pb de capacité ou encore le
contenu n’est pas licite ou certain ; il ne mérite pas de continuer à exister, d’où son annulation.
Le Code civil prévoit désormais deux types de nullité :
 La nullité consensuelle càd constatée par les parties elles-mêmes qui reconnaissent toutes les deux que le Ct n’est
pas valable : gage de simplicité et d’efficacité !
 La nullité judiciaire càd prononcée par le juge ce qui suppose un procès.
Le juge a lui-même deux types de nullité à appliquer.

A : LA NULLITÉ ABSOLUE (nullité judiciaire)


a) les causes
b) régime
B : LA NULLITÉ RELATIVE (nullité judiciaire)
a) les causes
b) le régime
C : LES EFFETS DE LA NULLITÉ

SECTION 6 : LES CLAUSES CONTRACTUELLES


Une clause est une disposition particulière au Ct que les parties stipulent expressément pour qu’une règle spécifique
s’applique.
On ne les trouve donc pas dans tous les Cts. Il faut que les parties les prévoient. Très fréquentes dans le monde des affaires !

A : LES CLAUSES RELATIVES AU RÈGLEMENT DU LITIGE


Principe = le procès a lieu au domicile du défendeur.
Exceptions :
 la loi qui prévoit le lieu de situation de l’IM, le lieu où le contrat, la prestation s’exécute.
 les clauses prévues par les parties dans leur contrat, pour le règlement de leur litige :
La clause attributive de compétence
La clause compromissoire

B : LES CLAUSES RELATIVES À L’EXÉCUTION DU CONTRAT


La clause résolutoire
La clause suspensive
La clause de réserve de propriété (CRP)

C : LES CLAUSES RELATIVES À LA RESPONSABILITÉ


La clause pénale
La clause exonératoire de responsabilité

SECTION 7 : LA FORCE OBLIGATOIRE DU CONTRAT


“Les conventions légalement formées tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faites” (article 1103 al.1 du Cciv)
 Le contrat conclu/signé = une loi privée
 La modification / révocation du Ct par consentement mutuel
 L’imprévision

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SECTION 8 : L’INEXÉCUTION DU CONTRAT = LA RESPONSABILITÉ
CONTRACTUELLE
A : LES CONDITIONS DE LA RESPONSABILITÉ CONTRACTUELLE
a) Une faute contractuelle à l’origine du dommage
b) Un dommage et un lien de causalité

B : LES RÉPONSES FACE À UN CONTRAT MAL EXÉCUTÉ


a) L’exception d’inexécution
b) L’exécution forcée au paiement d’une somme d’argent
c) L’exécution forcée en nature d’une prestation (non d’une somme d’argent)
d) La réduction du prix
e) La résolution du Ct
La clause résolutoire
La résolution unilatérale
La résolution judiciaire
f) La réparation du préjudice par le versement d’une somme d’argent = DI
La clause pénale
Les intérêts moratoires
Les intérêts compensatoires

C : LA CAUSE D’EXONÉRATION = LA FORCE MAJEURE

CHAPITRE 2 : LES RÈGLES SPÉCIFIQUES À CERTAINS


CONTRATS
I : LE CONTRAT DE VENTE
Art 1582 du Code civil : « la vente est une convention par laquelle l’un s’oblige à livrer une chose, et l’autre à la payer ».
Elle peut être faite par acte authentique ou sous seing privé ».
A : LA FORMATION DU CONTRAT DE VENTE
1) Les contrats préparatoires à la vente
 Promesse synallagmatique de vente et d’achat
C’est l’engagement pris simultanément par le vendeur de vendre et par l’acheteur d’acheter (vente d’IM, de fonds de commerce) =>
c’est une promesse de vente et d’achat : les deux sont engagés.
 Promesse unilatérale de vente
Ct par lequel une personne s’engage envers une autre à lui vendre une chose déterminée, une prestation, un service, moyennant un
certain prix, sans que l’acheteur s’engage en retour à acheter.
 Pacte de préférence
Ct par lequel une partie s’engage à proposer prioritairement à son bénéficiaire de traiter avec lui pour le cas où elle déciderait de
contracter (article 1123 al 1 Cciv).
2) Le prix de vente
 Il faut un prix
 Partie du prix versée à la commande (arrhes/acompte)
3) Les délais de paiement entre professionnels

B : LES EFFETS DU CONTRAT DE VENTE


1) Le transfert de propriété et des risques
2) Les obligations du vendeur
a) L’obligation de conseil
b) L’obligation de sécurité
c) L’obligation délivrance
d) La garantie de conformité = garantie légale
e) La garantie d’éviction
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f) La garantie des vices cachés (ou vices rédhibitoires)
Article 1641 Cciv : « le vendeur est tenu de la garantie à raison des défauts cachés de la chose vendue qui la rendent impropre
à l’usage auquel on la destine, ou qui diminue tellement cet usage, que l’acheteur ne l’aurait pas acquise, ou n’en aurait donné
qu’un moindre prix, s’il les avait connus ».
3) Les obligations de l’acheteur

II : LE CONTRAT D’ENTREPRISE OU DE LOUAGE D’OUVRAGE


Article 1710 du code civil : « le Ct d’E est la convention par laquelle un entrepreneur s’engage contre rémunération à réaliser
au bénéfice d’un donneur d’ordre, ou maître d’ouvrage, un travail, de façon indépendante et sans le représenter »

A : LES CARACTÈRISTIQUES DU CONTRAT D’ENTREPRISE


B : LES EFFETS DU CONTRAT D’ENTREPRISE
1) Les obligations de l’entrepreneur (le professionnel)
2) Les obligations du maître de l’ouvrage (le client)

C : LE CONTRAT DE SOUS-TRAITANCE


C’est la loi du 31/12/1975 qui définit la sous-traitance comme l’opération par laquelle un entrepreneur (donneur d’ordre) a
recours à un tiers (sous-traitant) pour réaliser, sur ses ordres et indications, tout ou partie des biens, objets, prestations ou
marchandises qu’il doit fournir ou vendre à ses propres clients.
III : LES CONTRATS DE DISTRIBUTION
A : LES RÈGLES COMMUNES AUX CONTRATS DE DISTRIBUTION
B : LES RÈGLES PARTICULIÈRES AUX PRINCIPAUX CONTRATS DE DISTRIBUTION
1) Le Ct de concession exclusive
Définition = le Ct de concession exclusive, appelé aussi concession commerciale est un Ct-cadre par lequel un fournisseur (le
concédant) titulaire d’une marque, réserve la commercialisation de ses produits, sur un territoire défini, à un distributeur (le
concessionnaire), ce dernier s’obligeant en contrepartie à respecter la politique du concédant et à ne distribuer que les
produits concédés ou sélectionnés par le concédant.

2) Le Ct de franchise ou de franchisage
Définition = le franchisage est une convention par laquelle une personne (le franchiseur) met à la disposition d’une autre
personne (le franchisé) un savoir-faire original ainsi que des signes distinctifs – telle une marque, une enseigne, un agencement
ou une présentation spécifique et uniforme des produits sans oublier une assistance technique et juridique.
a) Les obligations du franchiseur
b) Les obligations du franchisé

IV : LE CONTRAT D’ASSURANCE


A : LA FORMATION DU CONTRAT D’ASSURANCE
B : LA MODIFICATION DU CONTRAT D’ASSURANCE
C : LA DURÉE DU CONTRAT D’ASSURANCE
D : LE PAIEMENT DE LA COTISATION
E : LES ASSURANCES CONTRACTÉES PAR L’ENTREPRISE
1) L’assurance des biens de l’E
2) L’assurance-crédit
3) L’assurance de la responsabilité civile de l’E
4) L’assurance de la responsabilité civile du chef d’entreprise
1) L’assurance « homme clé »
F : LE CONTRAT D’ASSURANCE-VIE
1) Les principaux contrats d’assurance-vie
2) La conclusion du Ct d’assurance-vie
3) Le dénouement du Ct d’assurance
4) Le régime fiscal de l’assurance-vie

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CHAPITRE 3 - L’ENTREPRISE ET LA CONCURRENCE

SECTION 1 : LES CONCENTRATIONS D’ENTREPRISES


On peut définir la concentration, au sens commercial du terme, comme toute opération juridique tendant à créer une unité de
décision entre des E autonomes, dans le but d’en accroître la puissance économique.
Afin d’éviter des abus et afin d’assurer l’effectivité d’une concurrence, un contrôle des concentrations est opéré. Il consiste en
l’examen, par une autorité publique, du rapprochement d’E, jusqu’alors autonomes, susceptibles d’accroître une position
économique sur un marché et supprimer ou réduire corrélativement le caractère concurrentiel d’un marché.
 Le contrôle est exercé a priori : il vise à autoriser ou non (ou à autoriser sous condition) une opération de concentration qui
n’existe pas encore. Ce contrôle est d’autant plus notable qu’il s’agit de l’un des rares contrôles a priori exercés par les autorités
publiques sur les activités des E.
 Le contrôle est effectué par le droit interne (Autorité de la Concurrence pour la France) et par le droit communautaire
(Commission européenne de Bruxelles).

A : LES CONDITIONS DU CONTRÔLE DES CONCENTRATIONS


B : LA PROCÉDURE DE CONTRÔLE DES CONCENTRATIONS

SECTION 2 : LES PRATIQUES ANTICONCURRENTIELLES


I : LES ENTENTES
A : LES ENTENTES ILLICITES
Au niveau français : Une entente illicite est une concertation qui a pour objet ou pour effet d’entraver le jeu de la concurrence
sur un marché pertinent.
Au niveau européen : Une entente illicite est une concertation qui est susceptible d’affecter le commerce entre états membres
et qui a pour objet ou pour effet d’entraver le jeu de la concurrence sur un marché pertinent à l’intérieur du marché de l’UE.
1) Les formes de l’entente
2) L’objet de l’entente

B : LES ENTENTES LÉGITIMÉES


1) Les exemptions catégorielles
2) Les exemptions individuelles

II : LES ABUS DE POSITION DOMINANTE


La domination d’une E sur un marché peut donner lieu à 2 types de contrôle :
 un contrôle a priori, celui de concentrations (déjà vu)
 un contrôle a posteriori, celui des abus de position dominante par l’Autorité de la Concurrence pour la France et la
Commission européenne de Bruxelles pour l’Europe.
Le droit communautaire et le droit français interdisent et sanctionnent l’abus de position dominante. Ce dernier peut toutefois faire
l’objet d’exemption.

A : L’INTERDICTION DES ABUS DE POSITION DOMINANTE


Un abus de position dominante c’est une situation de domination dont il est fait une exploitation abusive et qui a pour objet ou
pour effet d’entraver le jeu de la concurrence sur un marché pertinent.
La position dominante d’une E sur un marché n’est pas sanctionnée en elle-même. Seul l’abus de cette position est répréhensible.
1) La position dominante
 Définition de la position dominante
 Définition du marché
 La notion de seuil
2) L’abus de position dominante

B : LES DÉROGATIONS À L’INTERDICTION

III : LA POURSUITE ET LES SANCTIONS DES PRATIQUES


ANTICONCURRENTIELLES

A : LES SANCTIONS EN DROIT COMMUNAUTAIRE


B : LES SANCTIONS EN DROIT FRANCAIS
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SECTION 3 : LES PRATIQUES COMMERCIALES DÉLOYALES
Loi du 4/08/2008 : Une pratique est considérée comme déloyale si « elle est contraire aux exigences de la diligence
professionnelle et qu’elle altère, ou est susceptible d’altérer de manière substantielle, le comportement du consommateur
normalement informé et raisonnablement attentif et avisé, à l’égard du bien ou d’un service ».

I : LES COMPORTEMENTS CONCURRENTIELS DÉLOYAUX = LA FAUTE


A : LE DÉNIGREMENT
Le dénigrement désigne le comportement consistant à noircir, rabaisser ou discréditer, soit la réputation (image de marque, fait
d’être honorablement reconnu d’un point de vue moral) ou la renommée (notoriété, reconnaissance d’une personne par un public
étendu) d’un concurrent désigné ou identifiable, soit un produit concurrent ou un service ou une marque, identifiée ou
identifiable.
L’objet est de détourner la clientèle, de tromper le consommateur et faire du CA !

B : L’IMITATION
A l’inverse du dénigrement, l’imitation ne consiste pas à se distinguer d’un concurrent mais au contraire, à s’identifier à celui-
ci. Le but est en revanche commun :
 détourner la clientèle
 tromper le consommateur
 faire du CA.
On dit d’ailleurs qu’imiter c’est l’art de créer la confusion dans l’esprit de la clientèle.
Il convient de distinguer 3 niveaux :
 Imitation autorisée de signes distinctifs
 Action en concurrence déloyale pour imitation (condamnable au civil)
 Action en contrefaçon (condamnable au pénal)

C : LE PARASITISME
Le parasitisme ne suppose pas une imitation à l’identique mais consiste à se placer dans le sillage d’une E concurrente ou non,
d’une marque pour tirer parti, profit de ses efforts, de ses – bonnes ! - idées.
Parasiter, c’est l’art de se nourrir de la substance d’autrui.
On trouve deux façons de parasiter :
 Parasitisme par usurpation de notoriété
 Parasitisme par usurpation des investissements d’autrui

D : LA DÉSORGANISATION
Catégorie doctrinale adoptée par facilité afin d’y ranger tout ce qui n’est pas dénigrement, imitation ou parasitisme ==> catégorie
fourre-tout.
Il y a un comportement déloyal en général qui cause un préjudice et qui doit donc être sanctionné.
On dit aussi que c’est l’arme des faibles car elle est utilisée par ceux qui n’ont pas les moyens de capter sur leurs propres
valeurs la clientèle de la concurrence et qui se sert de moyens déstabilisants.

II : LE PRÉJUDICE ET LE LIEN DE CAUSALITÉ

SECTION 4 : LA TRANSPARENCE ET LES PRATIQUES RESTRICTIVES


DE CONCURRENCE
I : LA FACTURATION
II : LA REVENTE À PERTE (ou dumping)
L’article L.442-2 du Code de Commerce interdit la revente à perte, càd le fait pour tout commerçant de revendre (ou
d’annoncer sa revente) un produit en l’état à un prix inférieur à son prix d’achat effectif => on apprécie la notion par rapport
au seuil de revente à perte (SRP).
III : LES SOLDES
IV : LES PRIX IMPOSÉS
Est puni d’une amende de 15 000€ le fait pour toute personne d’imposer, directement ou indirectement, un caractère minimal
au prix de revente d’un produit ou d’un bien, au prix d’une prestation de service.
V : LES SANCTIONS ADMINISTRATIVES EN MATIÈRE DE TRANSPARENCE ET
DE PRATIQUES RESTRICTIVES

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