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Projet innovation

Notre Sujet

Inspection interne et en service des chaudières par caméras thermiques


: Évaluation de la faisabilité technique, les limites de l'inspection, la
fiabilité des outputs, la qualification des procédés et le retour sur
investissement.
Table des matières
I. Abstract ................................................................................................................. 3

II. Résumé .................................................................................................................. 4

III. Introduction........................................................................................................... 5

IV. Contexte et Problématique .................................................................................. 6

V. Etat de l’art ............................................................................................................ 7

VI. Planification et organisation .............................................................................. 27

VII. Conclusion ........................................................................................................... 30

VIII. Bibliographie ....................................................................................................... 31


I. Abstract
Energetic companies and industrial organizations rely on many ways to transform
mechanic or thermic energies to electrical ones. Industrial boilers usually take part in this
process, especially the part of transforming mechanic or hydric energy into dust to be
transformed after to electrical energy using other components. As these industrial
machines are so important, their inspection is mandatory. Companies use many ways to do
this inspection, as nondestructive testing that use currents, magnetic fields or electrical
waves to detect cracks or damages in boilers, but in our study, we focus on thermographic
inspection using thermic cameras. In this case, we have searched for existing solutions for
this kind of inspection, did a Benchmark of similar ones, tried to measure the feasibility of
using thermic cameras according to our meeting with our company’s tutor who showed us
the kind of boilers TAQA uses, their dimensions, the problems they’re facing and existing
solutions so far. So, in this bibliographic study, we tried to search, ask about and find boilers
inspection’s solution to know what to optimize or where to start the project and compare
them with our results to study their efficiency and return on investment.
II. Résumé
Le monde industriel énergétique repose sur le fait de transformer l’énergie
mécanique ou calorifique en énergie électrique, les chaudières tiennent bien place dans ce
processus surtout en se basant sur le fait qu’elles font entrer une énergie mécanique ou
hydraulique et font ressortir une énergie calorifique et une vapeur qui se transforme après
en énergie électrique. Leur maintenance s’avère alors difficile parfois pour l’Homme, vu
leur dimension gigantesque et leur température si élevée qui nécessite leur arrêt pour les
test et maintenance, mais cela mène à des pertes énergétiques et financières importantes.
TAQA utilise des chaudières à charbon, qui sont de grandes dimensions et nécessitent bien
une inspection en utilisant des technologies non destructives. Nous avons, dans cette
étude bibliographique, fait un Benchmark qui nous a aidé à optimiser l’inspection des
chaudières, conserver l’énergie et avoir un bon retour sur investissement. Nous avons
abouti au fait qu’il existe plusieurs autres solutions d’inspection tel l’inspection par drones
mais pour notre sujet, nous allons nous limiter à l’étude de l’inspection thermographique
par caméras thermiques en étudiant sa faisabilité technique, ses limites et le retour sur
investissement de cet usage.
III. Introduction
L’innovation est une notion indispensable pour la pérennité́ et la prospérité́ d’une
entreprise. Elle renvoie sur l’amélioration de ses procédés, ses services ou ses produits et
peut être appliquée à n’importe quel département et domaine de cette dernière.

L’Ecole Centrale Casablanca, par sa culture orientée projet et afin de familiariser ses
étudiants avec la réalité́ du monde professionnel, a intégré́ les projets « innovation » dans
leur cursus académique. Ceux-ci sont la meilleure opportunité́ pour mettre en pratique les
connaissances théoriques et les compétences techniques que nous, élèves ingénieurs,
avons pu acquérir lors de notre formation. D’autant plus, en étant dans un cadre de
l’entreprise et sous la supervision d’un professionnel, nous pourrons forger nos soft skills
développés pendant les différents Ateliers de Développement Personnel et de Leadership.
Dès lors, nous pourrons apporter une vision jeune et critique à l’entreprise qui nous a été́
affectée.

Notre sujet du projet innovation s’intitule « Inspection interne et en service des


chaudières par caméras thermiques : Évaluation de la faisabilité technique, les limites de
l'inspection, la fiabilité des outputs, la qualification des procédés et le retour sur
investissement. » et s’attache à̀ l’étude de faisabilité de l’inspection des chaudières en
utilisant des caméras thermiques ainsi que l’optimisation de la consommation du charbon
dans la procédure de génération de l’énergie électrique, tout en restant dans l’optique
d’augmenter la durée de vie des chaudières.
IV. Contexte et Problématique
Personne ne peut imaginer le monde actuel sans électricité. Elle est devenue
essentielle dans notre quotidien. Ce qui a poussé l’Homme à développer différentes
méthodes et techniques pour produire l’électricité, on cite par exemple les centrales
thermiques qui sont répandues dans le monde et qui utilisent les énergies fossiles comme
source d’énergie.

Face aux enjeux environnementaux, et aux directives réglementaires normatives et


sécuritaires, il est primordial de repenser les méthodes utilisées afin d’optimiser la
consommation des ressources naturelles, et améliorer la façon avec laquelle on procède à
l’inspection et à la maintenance des équipements, notamment au niveau de l’inspection
des chaudières.
Ainsi pour veiller sur le bon fonctionnement du système, il est nécessaire de faire des auto-
contrôles et des inspections d’une manière périodique et préventive. Sinon, on perdra à
chaque panne beaucoup de temps, et donc beaucoup d’argent, ce qui n’est pas du tout
bénéfique pour l’entreprise.

De plus, notre client, TAQA Morocco, est conscient de ces enjeux, c’est pour cela qu’il est
engagé dans ce processus d’amélioration continue en cherchant des outils d’inspections
au niveau des chaudières, on cite par exemple les caméras thermiques comme étant un
outil parmi d’autres.

Ainsi, notre mission est d’étudier la faisabilité de l’usage des caméras thermiques pour
l’inspection, afin d’optimiser la consommation du charbon et d’augmenter la durée de vie
des chaudières. Ceci en anticipant les pannes et les pertes par une maintenance continue
et préventive dans l’optique de :

• Assurer la Sécurité au Travail et la protection de l’Environnement.


• Maintenir et améliorer la disponibilité opérationnelle des installations de production.
• Assurer la qualité au niveau de toutes les phases des processus de production.
• Maîtriser et optimiser les coûts de maintenance.
V. Etat de l’art
1. Inspection
a. Les raisons d’être d’une inspection industrielle :
L’inspection des machines industrielles, quels que soient leurs domaines, est imposé
pour des raisons de sécurité et de santé des personnes travaillant au sein de la zone
industrielle en premier plan, puis pour la qualité des livrables et marchandises qui en
sortent.

Cette inspection veille ainsi à la prévention des accidents de travail et pour assurer
cela, les entreprises planifient un cycle de maintenance et d’inspection pour chaque
machine de façon à ce que celle-ci suit les normes et les réglementations écrites par le
fournisseur ou la compagnie de création de la machine.

b. Les raisons d’inspection des chaudières (Cas d’étude : les


chaudières TAQA à Jorf Lasfar) :
• Les chaudières ont à l’intérieur une très grande pression (vu leur fonctionnement) qui
pourrait conduire à un effet bombe, donc l’une des raisons de l’inspection est d’éviter cet
effet bombe et de garder la sécurité au sein de la centrale.
• Aussi, Les chaudières sont parmi les machines qui subissent le plus de fissures et de
corrosion surtout au niveau des joints et des soudures qui ne peuvent pas être vus à l’œil
nu donc ils ont besoin d’inspection par l’une des méthodes non destructives de contrôle.
• L’inspection des chaudières par les caméras thermiques se fait pour raison préventive.
• Aussi pour la vidange, le remplissage et l’installation des fluides thermiques sans avoir
besoin d’échantillons, et la favorisation de la combustion, on utilise avant cette opération
une inspection par l’une des méthodes NDT (non destructive testing).
• Pour éviter la concentration des points de surchauffe de la chaudière, on a besoin d’une
inspection.
• On besoin d’une inspection aussi pour s’assurer de la continuité des performances
énergétiques.
c. Fréquence d’inspection d’une chaudière :
La vérification régulière avec intervention humaine ou la maintenance quotidienne
sont dangereuses pour une inspection de chaudière.
Vu leur danger, le fournisseur définit un cycle périodique d’inspection qui peut être
hebdomadaire ou selon un nombre de mois et parfois soudain en cas de détection
d’anomalie de fonctionnement.
Toutes les sortes de chaudières sont inspectées au moins une fois par an. (Une fois par
semestre est conseillé).

d. Les types d’inspection des machines industrielles :


❖ Time-Of-Flight Diffraction (TOFD)
Time of flight diffraction est un genre d’inspection qui repose sur le fait de calculer
le temps du trajet d’une onde pendant sa diffraction qui reflète une anomalie dans le
matériau.

❖ Full Matrix Capture (FMC)


Full Matrix Capture est une technique d’inspection basée sur la reconstruction des
données prises par méthode ultrasonore des multiéléments voire les fissures.

❖ Courants de Foucault conventionnels (ECT)


L’inspection par courants de Foucault est une technique qui se base sur une source
de champ magnétique ou une bobine, et un matériau électriquement conducteur. Elle
concerne tous les matériaux sauf ceux qui sont poreux avec un maximum de profondeur
de 8mm.

❖ Small Control Area Radiography (SCAR)


Small Control Area Radiography est basée sur l’utilisation d’un appareil d’exposition
compact. Elle ne touche qu’une seule partie définit de l’engin qui est concerné par
l’inspection et est plus profonde que la méthode d’inspection par courant de Foucault.

❖ Le contrôle par ressuage


Le ressuage est adapté à une grande variété de matériaux, à condition qu’ils ne
soient pas trop poreux. Cette méthode nécessite que la surface à examiner soit exempte
de peinture, de graisse ou de revêtement qui pourraient gêner le processus de ressuage.
Seules les discontinuités débouchantes seront misent en évidence par cette méthode.

e. Les types d’inspection des chaudière (Cas d’étude : chaudières


TAQA) :
❖ LE CND PAR THERMOGRAPHIE INFRAROUGE
Le Contrôle Non Destructif par thermographie infrarouge implique l'utilisation
d’une caméra infrarouge d’un côté et un système d’excitation de l’autre.

Chaque mode d’excitation a ses propres spécificités techniques (mise en œuvre, taille de
la zone inspectée, contraintes techniques, …) et sera bien adapté à certains types de
matériaux.

f. Les procédures d’inspection des chaudières :


❖ Pour la pré-inspection :
Éteindre l'alimentation électrique et l'alimentation en combustible avant de
travailler sur la chaudière. Tel que :

• L’alimentation électrique se trouve généralement sur une plaque de commutation


rouge près du brûleur.
• L’alimentation en combustible se trouve généralement près du tuyau d'arrivée de
gaz ou du réservoir de pétrole.

❖ Pour le nettoyage :
• Aspirer la poussière autour de la chaudière et des bouches d'aération pour que l'air
puisse circuler librement et aussi au niveau des bruleurs et autour de la base de la
chaudière.
• Retirer les boulots de fixation de la soufflerie
• Nettoyer les courroies et les poulies qui relient la soufflerie au moteur.

❖ Remplacement des filtres jetables :


• Retirer le filtre
• Vérification de la taille et du type de filtre.
• Fermez l'accès au filtre en utilisant les fermoirs pour vous assurer qu'il reste fermé.

❖ Pour l’inspection :
• Assurer que les ouvertures d'air de combustion ne sont ni bloquées ni obstruées.
• Inspecter la conduite de fumée pour vérifier qu'il n'y ait pas de corrosion ou de
fuites.
• Vérifier que la courroie de transmission du ventilateur n'est pas fendue.
• Utiliser une toile émeri pour le nettoyage du capteur de flamme.
• Vérifier que les conduits ne présentent pas de fuites d'eau et ne sont pas rouillés.
• Vérifier que les panneaux ne sont pas desserrés et des conduites d’évacuation.
• Vérifier le thermostat électronique pour la détermination des piles au cas où
doivent être changées.

2. Chaudière
a. Définition d’une chaudière
Une chaudière est un système dont le rôle principal est d’augmenter la température d'un
fluide caloporteur (fluide pouvant transporter de la chaleur) qui est très souvent de l’eau afin
de déplacer de l'énergie thermique. Généralement utilisée dans les habitations pour faire
chauffer de l’eau, elle est également un outil indispensable pour faire fonctionner une centrale
thermique.

Ses caractéristiques sont :

♦ Puissance thermique (MW) : chaleur reçue par le fluide thermique


♦ Timbre : pression maximale de fonctionnement
♦ Température et pression du fluide produit
♦ Surface de chauffe
Exemple de chaudière industrielle

b. Fonctionnement d’une chaudière


• Une chaudière a besoin d’un carburant ou d’une source d’énergie pour
fonctionner à savoir : bois, fioul, gaz, électricité, ou plus récemment, air.
• Pour les chaudières à combustion, le carburant est brûlé, et c’est cette action qui
produit de la chaleur.
• Pour les modèles électriques, il n’y pas de combustion, mais l’utilisation d’une
source d’énergie.
• Dans tous ces cas, l’objectif est le même : l’énergie utilisée ou dégagée par la
combustion sert à produire de la chaleur. Cette chaleur se transmet ensuite à des
circuits reliés à des émetteurs de chaleur (radiateurs, planchers chauffants) et/ou
au dispositif d’alimentation en eau chaude.
• La chaleur produite permet de chauffer l’eau contenue dans les tubes. Dans le
cas d’une centrale thermique, l’eau est rendue en vapeur. Cette vapeur est
transférée à une turbine qui est ainsi mise en rotation.
• Les vapeurs dégagées et résidus de combustion sont évacués, sauf dans les
modèles à condensation, dans lesquels la vapeur est utilisée en circuit interne.
c. Types de chaudière et classification
Les types de chaudière dépendent de la nature du combustible utilisé, de leur puissance, de
leur application, du fluide caloporteur utilisé, de type de circulation et bien d’autres facteurs.
Ci-dessus un récapitulatif de ces différents types.

Classification par
Classification par Classification par Classification par Classification par
type de fluide
gamme de puissance application source de chaleur construction
caloporteur

Puissance < 70 kW :
Production d'énergie Chaudière à Chaudière à tube
Chaudière L'eau
électrique combustion d'eau
individuelle

Puissance > 70 kW :
Chauffage d'eau Chaudière à tube de
Chaudière Vapeur d'eau Chaudière électrique
sanitaire fumée
industrielle

Fluide thermique

1-Tableau : Différents types de chaudières

1-Schéma : Chaudière à tube d’eau 2- schéma : Chaudière à tube fumée

A cela, nous pouvons ajouter deux autres catégories de chaudière en fonction du matériau
utilisé. Nous avons :
• Chaudières en fonte

Elles sont obtenues par moulage à partir d’un modèle et se trouvent dans la gamme
des puissances peu élevées (< 2000 th/h). Ce sont généralement des chaudières à eau
chaude.

• Chaudières en acier

Généralement obtenues par soudage à partir de tôles et de tubes, elles couvrent


presque toutes les gammes de puissances.

d. Comparaison des performances des chaudières

Chaudière à tube de Chaudière à tube


Propriété
fumée d’eau

Mise en fonctionnement (avec la même


Lente Rapide
puissance

Surface de chauffe Moyenne Élevée

Sécurité Médiocre Bonne

Encombrement Faible Fort

Limité (12 500,00 $US - Elevé (29.500,00


Prix
12 700,00 $US) $US-30.000,00 $US)

Puissance Moyenne Importante

Débit 1,5 à 25 t/h 4 à 200 t/h

Timbre 10 à 20 bar 90 à 225 bar

2-Tableau : comparatif des performances de chaudière


Aussi, en fonction du combustible utilisé, ces chaudières présentent des avantages et
inconvénients :

Types Avantages Inconvénients

Chaudières Moins chères à l’achat et Consomme beaucoup d’énergie,


électriques installation car pas de tuyaux est donc installé provisoirement

Chaudières au fioul Moins chers et utile pour Emet beaucoup de C02


chauffer de grand espace

Coût d’installation abordable Coût élevé de gaz


Chaudière au gaz
Installation raide
Chaudière au bois Source d’énergie propre Prévoir des espaces de stockage

3-Tableau : avantages et inconvénients des chaudières

e. Constituants d’une chaudière


Dans le cadre de notre contexte d’étude, nous nous focaliserons spécifiquement sur les
centrales thermiques plus particulièrement la chaudière au charbon.

❖ Chambre de combustion
C’est l’endroit où l’on brûle le combustible. C’est dans cette chambre que se dégage
l’énergie calorifique du combustible utilisé.

❖ Les brûleurs
Leur rôle est d’engendrer et d’entretenir la combustion en assurant le mélange du
combustible avec l’air ambiant. La chambre de combustion possède 12 bruleurs.

❖ Ventilateurs de soufflage
Leur rôle est de fournir l’air requis à la combustion au niveau des brûleurs. Ils injectent
cet air dans les bruleurs après avoir aspiré l’ai atmosphérique.

❖ Réchauffeur d’air rotatif


Il permet d’augmenter la température de l’air pour améliorer la combustion. Aussi, l’air
chaud est parfois utilisé pour faire sécher le charbon

❖ Réservoir
Il est généralement de forme cylindrique et disposé à la partie haute de la chaudière.
Il contient 84 cyclones (les cyclones permettent de séparer de la vapeur de l’eau du mélange
issu de l’évaporation). Les parties supérieures et inférieures du ballon contiennent
respectivement de la vapeur de de l’eau.

❖ Economiseur
C’est un échangeur thermique ayant pour but de récupérer une partie de la chaleur
restante de la combustion pour élever la température de l’eau d’alimentation avant d’être
introduite dans le réservoir.

❖ Surchauffeur
Il s’agit aussi d’un échangeur thermique permettant de récupérer une partie de la
chaleur issue de la combustion et d’élever la température de la vapeur provenant du réservoir.

❖ Cheminées
Ce sont les zones où s’échappent les gaz de fumée de la combustion. Elles sont
généralement très élevées (80m) afin que l’évacuation de la fumée se fasse dans
l’atmosphère.

❖ Ventilateur de tirage
Ils sont installés à la base de la cheminée. Ils aspirent ainsi facilement les gaz de fumée
dès leur sortie de la chaudière pour les propager dans les cheminées.

❖ Ventilateur de recyclage
Ils aspirent les fumées à la sortie de la chaudière, les refoulent dans celle-ci en face des
bruleurs. Ce processus de refoulement de fumée permet d’accroitre le rendement de la
chaudière.

Les principaux circuits d’une chaudière et les facteurs qui influencent leur bon
fonctionnement
Les principaux circuits d’une chaudière sont :
▪ Le circuit permettant d’alimenter la chaudière en eau
▪ Le circuit d’alimentation en air
Ce circuit permet d’avoir une bonne combustion permettant ainsi un bon rendement
▪ Le circuit d’alimentation en combustible
▪ Le circuit d’eau chaude ou de vapeur produite
▪ Le circuit d’extraction de fumée
La fumée issue de la combustion doit être évacuée à travers les cheminées

Description de la chaudière de la centrale thermique de JORF LAFSAR (MAROC)


Notons que la centrale thermique de JORF LAFSAR possède 06 unités de production donc
possède 06 chaudières.

 La hauteur des chaudières varie entre 50 m et 70 m


 La hauteur des foyers varie entre 38 m et 45 m. Les unités 1, 2, 3 et 4 ont une base
carrée de dimension 12x12. Les unités 5 et 6 sont cependant des rectangles de 16x18.

f. Efficacité énergétique des chaudières :


L'efficacité d'une chaudière est un élément important car le coût annuel du
combustible peut représenter 2 à 3 fois le coût d'installation de l'équipement. Le terme
efficacité utilisé dans le contexte d'une chaudière comprend l'efficacité thermique,
l'efficacité de la combustion et l'efficacité du combustible.

L'efficacité thermique fait référence à l'efficacité de l'échangeur de chaleur qui est


l'efficacité combustible-vapeur. Cependant, le rendement carburant-vapeur est le plus
important, mais il est difficile à calculer dans des situations réelles. Par conséquent,
l'efficacité de combustion peut être facilement calculée à l'aide d'un analyseur de gaz de
combustion. L'efficacité de la combustion est égale à la chaleur totale dégagée lors de la
combustion, moins la chaleur perdue dans les gaz de cheminée, divisée par la chaleur totale
dégagée.

3-Schéma : dispersion de chaleur dans la chaudière

Lorsque le brûleur est en fonctionnement et lorsqu’il est à l’arrêt : une partie de l’énergie
contenue dans le combustible consommé est directement perdue par la chaudière.
Un mauvais rendement de combustion d’une chaudière peut avoir pour origine :

• Un brûleur inadapté à la chaudière,


• Un mauvais réglage du brûleur,
• Un encrassement de la chaudière,
• Un tirage trop important de la cheminée,
• Des entrées d’air parasites.

g. Cadre de maintenance :
L'objectif clé de la maintenance est d'assurer le fonctionnement, la durée de vie et
la sécurité du système avec un minimum de coûts et de dépenses. Des machines ou des
équipements mal entretenus peuvent entraîner des pannes aléatoires entraînant un arrêt
de la production.

Un fonctionnement efficace de la chaudière peut être atteint si une stratégie de


maintenance préventive est en place. Il y a de nombreux avantages à avoir une stratégie
de maintenance préventive, qui s'applique à tous les types et tailles d'installations. Le
programme de maintenance préventive consiste en des actions qui améliorent l'état des
éléments du système pour l'optimisation des performances et la prévention des
défaillances ou des effondrements involontaires du système. Cela implique l'inspection,
l'entretien et la réparation.

Cette inspection concerne :

• Niveau d'eau.
• Répartition de la température dans le foyer.
• Pression et température de fonctionnement.
• Pression et température de l'eau d'alimentation.
• Pression et température d'huile.
• Température des condensats.
• Température des fumées.
• Calcul du débit d’air.
• Consommation de carburant.
Dans une centrale thermique au charbon, la vapeur nécessaire pour entraîner les
turbines est produite par la combustion du charbon pulvérisé. L'énergie libérée au cours
de ce processus chauffe une chaudière avec canalisations intégrées. L'eau introduite dans
cette chaudière est ensuite convertie en vapeur. Pour garantir un fonctionnement fiable et
efficace, il est nécessaire de surveiller l'injection de charbon pulvérisé dans le brûleur avec
une quantité d'air définie, ainsi que l'eau d'alimentation et l'air de combustion dans le
surchauffeur et l'unité de préchauffage. Cela exige que les signaux puissent être transmis
de manière fiable entre l'usine et la salle de commande.

i. Equipements de mesure obligatoire :

• La réglementation impose surtout la présence d’un certain nombre d’appareils de


mesure :
• Un indicateur de température des gaz de combustion à la sortie de chaudière.
• Un analyseur des gaz de combustion (CO2 ou O2).
• Un appareil de mesure de l’indice de noircissement (sauf si la chaudière est
uniquement utilisée avec des combustibles gazeux ou du charbon pulvérisé ou
fluidisé).
• Un déprimomètre (sauf si le foyer est en surpression).
• Un indicateur : soit un indicateur d’allure de fonctionnement pour plus de 400 kW
et moins de 2 MW, soit un indicateur du débit de combustible dans les autres cas.
• Un enregistreur de pression de vapeur pour les chaudières de plus de 2 MW.
• Un appareil de mesure de la température du fluide caloporteur.
ii. Dans le cadre de l’entreprise TAQA :
❖ Infrastructures :

La Centrale thermique est dotée d’installations performantes assurant un taux de


disponibilité de plus de 90 % avec :

• Capacité globale des 6 Unités : 2 056 MW

• 5,4 millions de tonnes de charbon/an importées

• Un parc à charbon d’une capacité de 1 000 000 tonnes

• Deux réservoirs de fioul d’une capacité de 50 000 m3 chacun

• Une station d’alimentation en eau déminéralisée

• Une station d’alimentation en eau de réfrigération

• Une carrière de stockage des cendres.

❖ Programme de maintenance :
Chaque cycle de maintenance majeure est assuré 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7
par plus de 750 sous-traitants supplémentaires. La politique de maintenance de TAQA
Maroc tient compte d'un calendrier d'arrêts programmés de l'usine selon un cycle de 8 ans,
composé de trois types d'arrêts pour maintenance : Arrêts simples pour inspection : 7 jours
; arrêts mineurs : 21 jours/25 jours ; arrêts majeurs : 42 jours.
3. Caméra thermique
a. Qu’est-ce que l’infrarouge ?
Nos yeux sont des détecteurs destinés à capter la lumière visible, c'est-à-dire la
partie visible du spectre électromagnétique. Toutes les autres formes de rayonnement
électromagnétique, par exemple l'infrarouge, sont invisibles à nos yeux. L'existence de
l'infrarouge est découverte en 1800 par l'astronome Frederick William Herschel. Voulant
savoir si la lumière produit des températures différentes selon sa couleur, il utilise un
prisme pour diviser un rayon de soleil. Il mesure la température de chaque couleur du
spectre, et constate que les températures augmentent du violet au rouge. Herschel décide
alors de mesurer la température juste après la portion rouge du spectre, dans une zone où
aucune lumière n'est visible. À sa surprise, il y trouve une température plus élevée encore.

Dans le spectre électromagnétique, l'infrarouge se situe entre le visible et les micro-


ondes. La source principale de rayonnement infrarouge est la chaleur, ou rayonnement
thermique. Tout objet dont la température est supérieure au zéro absolu (–273,15 °C ou
0 kelvin) émet un rayonnement dans la plage infrarouge. Même les objets que nous
percevons comme très froids, des glaçons par exemple, émettent ce rayonnement.

L’infrarouge fait partie de la vie de tous les jours. Nous le ressentons sous forme de
chaleur en provenance du soleil, d'un feu ou d'un radiateur. Bien qu'il soit invisible à nos
yeux, les nerfs de notre peau le détectent comme de la chaleur. Plus un objet est chaud,
plus il émet de rayonnement infrarouge.

L'énergie infrarouge provenant d'un objet est focalisée par l'optique sur un
détecteur infrarouge. Ce détecteur envoie les informations à la partie électronique du
capteur chargée du traitement d'image. Cette partie électronique convertit les données du
détecteur en une image qui peut être observée dans le viseur, ou sur un écran vidéo ou
LCD.

L'imagerie thermique consiste à transformer des mesures du rayonnement


infrarouge en une image radiométrique, qui permet la lecture des valeurs de température.
Ainsi, chaque pixel de l'image radiométrique est une mesure de température. Pour cela, la
caméra thermique comporte des algorithmes complexes qui font de cette dernière l’outil
idéal pour les applications électriques et mécaniques.

b. Fonctionnement
Le principe d’une caméra thermique est de mesurer et d’enregistrer les différentes
ondes de chaleur, rayonnements infrarouges, émis par un corps ou un objet. Elle reproduit
une image représentant l’intensité du rayonnement, ce qui permet d’évaluer la
température. En effet, plus la température d’un corps ou d’un objet est élevée, plus le
rayonnement est important. Ce sont ces données qui permettent aux caméras thermiques
de restituer une cartographie spatiale des températures, appelée thermographe. Pouvant
détecter les corps chauds, comme les corps froids, elle applique à chaque température une
couleur et indique celle-ci en degrés Celsius ou en degrés Fahrenheit. Le plus généralement
les températures froides sont dans des teintes de bleus, et les températures chaudes, dans
des teintes de rouges. Vous pouvez ainsi voir, si une fenêtre est mal isolée par exemple,
des nuances de bleus montrant les flux d’airs froids qui induisent une déperdition de
chaleur.

c. Applications
Les caméras thermiques sont des outils puissants et non invasifs pour surveiller et
diagnostiquer l'état des installations et des composants. Une caméra thermique permet
d'identifier les problèmes très tôt, donc de les documenter et de les corriger avant qu’ils
s’aggravent et entraînent des réparations coûteuses. Pour l'expert de la maintenance, les
données exactes de température sont une information importante sur l'état du matériel
inspecté. Les inspections peuvent être menées pendant que les opérations de production
battent leur plein. Dans de nombreux cas, la caméra thermique peut même contribuer à
optimiser le processus de production lui-même. Les caméras thermiques sont des outils
tellement précieux et polyvalents qu'il est impossible d'énumérer toutes leurs applications.

d. Types
Il existe aujourd’hui deux catégories de caméras thermiques infrarouges
disponibles sur le marché : les caméras infrarouges refroidies et les caméras infrarouges
non refroidies
i. Caméras Infrarouges Refroidies
Une caméra infrarouge refroidie moderne intègre un détecteur d’image couplé à un
refroidisseur cryogénique.

Le refroidissement cryogénique est l’utilisation de températures extrêmement


froides pour refroidir rapidement et efficacement des matériaux. Dans la plupart des cas,
cela implique l’utilisation de gaz liquides qui, à une température de -160 °C ou moins, sont
dits « cryogéniques ». L’utilisation d’un refroidisseur cryogénique permet de réduire le bruit
induit thermiquement à un niveau inférieur à celui du signal émis par la scène.
Les caméras thermiques refroidies sont les plus sensibles et peuvent détecter les plus
petites différences de température. Elles peuvent fournir des images dans la bande
infrarouge à longueur d’onde moyenne (MWIR) et à grande longueur d’onde (LWIR), là où
le contraste thermique est élevé du fait des caractéristiques physiques des corps noirs. Plus
le contraste thermique est élevé, plus il est facile de détecter des objets sur un fond qui
n’est pas nécessairement beaucoup plus froid ou plus chaud que l’objet.

ii. Caméras Infrarouges Bolométrique (Non Refroidies)


Les caméras avec un capteur infrarouge non refroidi. Le capteur fonctionne par la
mesure de la variation d'une grandeur (courant, tension) en fonction de la température en
chaque point du capteur. Cette température varie en fonction de la quantité de
rayonnement infrarouge reçue. Comme ce type de caméra n'a pas besoin d'enceinte
cryogénique, il est meilleur marché que l'autre type, mais souffre de performances
inférieures.
iii. Comparaison des 2 types de caméras thermiques
Exemple 1 : OBSERVATION D’UNE SCÈNE THERMIQUE À GRANDE VITESSE

Images obtenues à gauche avec une caméra thermique refroidie, à droite avec une caméra

thermique non refroidie

Deux caméras thermiques, une refroidie et une non refroidie, ont été utilisées pour
observer un pneu en rotation à 9 m/s. Nous pouvons alors constater qu’avec la caméra
thermique refroidie (image de gauche ci-dessus), le pneu semble à l’arrêt. Tandis qu’avec
la caméra thermique non refroidie (image de droite ci-dessous), le pneu semble
effectivement bien en mouvement. Cette différence est due à la fréquence d’acquisition,
plus élevée sur la caméra refroidie que sur la non refroidie.

Exemple 2 : DIFFÉRENCE DE RÉSOLUTION SPATIALE

Images obtenues à gauche avec une caméra thermique refroidie, à droite avec une caméra
thermique non refroidie
Un autre point de comparaison entre les caméras thermiques est l’agrandissement
maximal possible de la scène thermique observée. Les images thermiques ci-dessus
illustrent parfaitement cette différence :

• À gauche, une image prise avec une caméra thermique refroidie équipée d’un objectif
macro 4x. Le pas du détecteur de la caméra étant de 13 μm, la taille finale du pixel
observé est de 3,5 μm;
• À droite, une image prise avec une caméra thermique non refroidie équipée d’un objectif
macro 1x. Le pas du détecteur de la caméra étant de 25 μm, la taille finale du pixel
observé est de 25 μm.

Comme vous pouvez le constater, l’image prise avec la caméra thermique refroidie
peut-être beaucoup plus agrandie que celle prise avec la caméra thermique non refroidie.
En effet, c’est habituellement le cas car le détecteur des caméras thermiques refroidies
permet de capter des longueurs d’onde infrarouges plus courtes que celui des non
refroidis. Cela les rend donc beaucoup plus sensibles, ce qui permet d’utiliser des objectifs
avec plus d’éléments optiques ou plus épais pour agrandir l’image, sans risquer de
dégrader le rapport signal sur bruit.

Les caméras thermiques refroidies présentent un avantage sur les caméras


thermiques non refroidies : il est possible d’ajouter un filtre entre leur détecteur et leur
objectif. Cela permet ainsi de déceler certains détails et de prendre des mesures
impossibles sans le filtre. Pour illustrer l’utilité de ces filtres, prenons l’exemple d’utilisation
des masques au protoxyde d’azote. Le but de l’étude était d’améliorer leur conception et
plus particulièrement celle du système d’évacuation du gaz. Sur l’image de gauche ci-
dessus, nous pouvons voir une image thermique de l’ancienne version ; à droite, une image
thermique de la nouvelle version. En effet, grâce au filtre inséré dans la caméra thermique
refroidie, les opérateurs ont pu mettre en évidence les fuites de protoxyde d’azote causées
par le premier masque. Afin de corriger ces fuites qui peuvent occasionner de nombreux
problèmes, un nouveau modèle a été conçu. Après vérification avec la caméra thermique
refroidie et le filtre, il semble en effet bien meilleur car il ne présente plus de fuites de gaz.
4. Faisabilité technique
La faisabilité technique détermine si vous disposez des connaissances, des
compétences, de l'équipement ou des outils nécessaires pour exécuter les procédures,
fonctions ou méthodes impliquées dans un projet.

De cette façon, il permet de savoir si un projet est faisable (réalisable) avec les ressources
techniques existantes ou de les étendre si nécessaire.
Ces ressources techniques ou technologiques sont celles qui servent de support à d'autres
telles que productives, commerciales ou financières. Par exemple, un programme de
gestion et de comptabilité.
Elle peut être réalisée lors d’une démarche de création, de développement ou de
restructuration d’entreprise. À noter qu'il est préférable d'avoir clairement défini les
contours de son projet avant de procéder à une étude de faisabilité.
Réaliser à une étude de faisabilité est un excellent moyen pour mettre toutes les chances
de votre côté pour assurer la réussite de vos futurs projets.
On peut dire que la faisabilité technique s’articule autour d’une méthodologie qui
repose sur les 6 étapes majeurs suivantes :

o Etape 1 :

Avoir des objectifs CLAIRS pour le projet, afin de pouvoir évaluer les moyens à
déployer pour mener à bien le projet. L’identification de ces objectifs se fait à l’aide de la
méthode *SMART. (*SMART : méthode qui vise à définir des objectifs Spécifiques,
Mesurables, Acceptables, Réalistes et Temporellement définis.)
o Etape 2 :

Le projet est conditionné par des influences internes et externes. Pour réussir une
étude de faisabilité, il est nécessaire de bien définir toutes ces influences et de bien les
prendre en considération. Pour ce faire on peut recourir à la méthode d’analyse *PESTEL.
(*PESTEL : méthode qui vise à identifier les éléments externes qui influent sur le projet sur
les plans Politique, Economique, Social, Technologique, Environnemental et Légal.)
o Etape 3 :

Déterminer les besoins et le budget du projet. Ces besoins peuvent être :

Ж Besoins matériels
Ж Besoins techniques
Ж Ressources humaines
Ж Ressources de production
Ж Besoins de commercialisation et communication
o Etape 4 :

Evaluer le ROI (Retour sur investissement) du projet. La mise en place de la solution


ne doit pas coûter plus que ce que le projet va rapporter. Il doit y avoir un bénéfice.
Combien de temps pour avoir ce bénéfice ?

o Etape 5 :
Pour mener à bien une étude de faisabilité technique, il est nécessaire de prévoir
plusieurs scénarios pour le projet en cours. Un scénario optimiste, un pessimiste et enfin
un scénario neutre. Il est important que tous les scénarios soient rentables, y compris le
scénario pessimiste.

Ces scénarios peuvent être identifiés à partir d’une matrice de *SWOT regroupant les
forces, faiblesse, opportunités et risques de notre projet. (SWOT : Strenghs, Weaknesses,
Opportunities and Threats).

o Etape 6 :

Après avoir identifié tous les scénarios possibles, on passe alors au choix du scénario
optimale pour le projet.

VI. Planification et organisation


1. Répartition des rôles
Membre Rôle

M. Hicham GUENOUN Tuteur Ecole

M. Mostafa DAIF Tuteur Entreprise

Mohammed AHLAL Responsable communication (ECC)

Hamza BELAAZRI Responsable Qualité

Alaa Eddine AIT ZAOUIT Responsable Design et IT

Zineb Kabbaj Responsable planification

Fatima Zahra ASSMINA Secrétaire générale

Raja AARAB Co-Leader

Lassane SAWADOGO Responsable communication (entreprise)

Aymane AOUZAL Leader


2. Espace de travail
❖ Monday.com
Nous avons choisi de travailler avec Monday.com qui est un système d'exploitation
pour les professionnels, grâce auquel notre équipe peut mener à bien ce projet en toute
confiance. C'est un Work OS simple, qui nous permet de personnaliser le flux de travail,
de s'adapter à l'évolution des besoins, de créer de la transparence, de collaborer
efficacement et de supprimer les tâches manuelles et ennuyeuses. Monday.com nous
permet
• D’optimise le travail d'équipe.
• D’avoir un suivi à temps réel.
• D’avoir une vision globale sur le projet.
• Outils de visualisation et organisation.

❖ Kanban
Cet outil permet de visualiser l’avancement et la répartition des tâches.
❖ Gantt
Ce diagramme permet de visualiser dans le temps les diverses tâches composant un
projet.

❖ OneDrive
Nous avons aussi utilisé OneDrive comme étant un dossier partagé qui permet de
centraliser et synchroniser nos travaux dans un seul endroit, et qui permet aussi de
modifier les différents fichiers en collaboration.
VII. Conclusion
En guise de conclusion, nous pouvons considérer que cette recherche
documentaire nous a permis de mieux définir la problématique de notre projet. Ainsi nous
avons pu identifier les besoins de notre client afin de mieux pouvoir y répondre par la suite.

Par la suite, nous comptons nous projeter davantage en étudiant plus en


profondeur la faisabilité de l’utilisation de caméras thermiques pour la maintenance et
l’inspection des chaudières à charbon.

Ainsi, l’une de nos premières actions après la soutenance bibliographique sera


d’effectuer une visite à Jorf Lasfar afin de voir de plus près les chaudières et leur
fonctionnement.
VIII. Bibliographie
[1]. Montérémal, J. (2022, 1 avril). « Étude de faisabilité : méthode en 6 étapes et exemple. »
appvizer.fr. Consulté le 11 octobre 2022, à l’adresse :
https://www.appvizer.fr/magazine/operations/gestion-de-projet/etude-de-faisabilite
[2]. PIROBLOC : « Inspections et légalisations de chaudières et autres équipements sous
pression », Consulté le 05 octobre 2022, à l’adresse :
https://www.pirobloc.com/fr/inspections-legalisations-chaudieres/
[3]. NUCLEOM: « Les types d ’essais non destructifs », Consulté le 06 octobre 2022, à
l’adresse : https://nucleom.ca/fiches/les-types-dessais-non-destructifs/
[4]. Metalblog : David Mannetier, Publié le 25 novembre 2019, « Les différentes technologies
de CND », Consulté le 02 octobre 2022, à l’adresse :
https://metalblog.ctif.com/2019/11/25/les-controles-cnd-des-pieces/
[5]. Thermoconcept : « Le cnd par thermographie infrarouge », Consulté le 27 octobre 2022,
à l’adresse : https://www.thermoconcept-sarl.com/documents/controle-non-
destructif/
[6]. SafetyCulture : « Liste Pour L'entretien Complet De La chaudière », Consulté le 28
septembre 2022, à l’adresse : https://public-library.safetyculture.io/products/liste-
pour-lentretien-complet-de-la-chaudiere-gheylcjvmtzvifo8

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