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Table de matière

Introduction.....................................................................................................................................4

Justification......................................................................................................................................5

Objectifs...........................................................................................................................................6

Général:...........................................................................................................................................6

Spécifiques.......................................................................................................................................6

Pertinence de l'étude........................................................................................................................6

Délimitation du thème.....................................................................................................................7

Interrogatoire...................................................................................................................................7

Questions de recherche....................................................................................................................7

Hypothèses.......................................................................................................................................8

MÉTHODOLOGIE.........................................................................................................................9

Méthode...........................................................................................................................................9

Type d'approche...............................................................................................................................9

Description ....................................................................................................................................10

Fondement théorique.....................................................................................................................12

Cohérence textuelle et connecteurs logiques.................................................................................12

Les critères de cohérence et d'articulation textuelle......................................................................13

Types de connecteurs.....................................................................................................................13

Calendrier des activités..................................................................................................................15

Références bibliographiques..........................................................................................................16
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1. Introduction

Produire un bon texte c’est rendre les mots connectés et compréhensible . Ainsi, les connecteurs
sont des outils qui permettent la connexion d'éléments de langage. Dans un texte, afin que nous
puissions nous exprimer de manière satisfaisante, les connecteurs sont les outils qui nous
permettent de relier les idées de manière claire et organisée. Nous savons bien que clarté et
organisation sont les mots-clés pour qu'un texte atteigne son objectif communicationnel, car, s'il
n'y a pas de clarté, les lecteurs ne comprendront pas le message et, malheureusement, l'objectif
de la production textuelle n'aura pas été atteint.

Cependant, pendant le déroulement de notre formation académique, plus spécifiquement dans le


deuxième semestre de la première année de formation, dans la matière de langue française deux,
les étudiants étaient donnés de textes argumentatifs pour produire, c’est à partir de ces textes que
nous avons constaté que les étudiants de la première année en enseignement de FLE, à
l’université Licungo-Beira, ont de difficultés dans l’emploi de connecteurs logiques dans la
production écrite de textes argumentatif, ce constat a été possible grâce à l’analyse de textes de
ces étudiants où après avoir mis le connecteur après, il ne mettaient pas le connecteur puis après
pour nommer d’autres éléments suivants, ils utilisaient le connecteur donc à l’écrit au lieu de
l’oral, ils utilisaient le connecteur pourtant dans la conclusion au lieu de le mettre dans des
propositions adversatives.

Face à cette constatation, nous nous sommes proposé la question suivante :

Quelles sont les raisons les plus fréquentes arrière aux difficultés dans l’utilisation de
connecteurs logiques ?
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1.1. Justification

Un bon texte peut communiquer et transmettre des informations à ses lecteurs. Pour cela, il est
essentiel que l'auteur du texte expose ses idées de manière claire et objective et avec des
connexions très bien articulées.

La cohésion textuelle, le nom attribué à cette articulation, est explicite à travers des éléments de
connexion, généralement des conjonctions, des adverbes et des pronoms. La bonne utilisation
des éléments de cohésion favorise la chaîne d'idées et contribue à la progression textuelle. En
réalité, ce sont les connecteurs logiques responsables de l'enchaînement des idées entre les
phrases et les périodes et ils permettent également un processus de création de paragraphes bien
structuré, étant essentiel au maintien de l'axe thématique que l'auteur entend développer.

Ainsi, le choix de ce thème évoqué plus haut est dû au fait que les étudiants de deuxième année
de l'Université Licungo utilisent des connecteurs logiques dans les textes argumentatifs, bien
qu'implicitement, ce qui les a motivés à faire cette étude afin de vérifier la cohérence dans
l'application de ces connecteurs.

À cette fin, cette étude contribuera positivement au respect de l'utilisation correcte des
connecteurs logiques dans la construction de textes argumentatifs, ce qui conduira le lecteur ou
l'auditeur à une perception facile et à un accord ou non aux arguments de l'auteur. C'est à partir
de cette étude qu'il sera possible de planifier l'étude et d'appliquer les connecteurs logiques dans
les textes argumentatifs.

A cet effet, ce travail sera fait afin d'analyser les raisons qui interagissent dans ce phénomène qui
constitue une curiosité pour une approche analytique dans cette étude. En plus, si les enseignants
ignorent les causes de ces problèmes, ils ne réussiront pas des corrections nécessaires, ni
contribueront à la solution des difficultés et / ou des progrès dans les compétences littéraires de
leurs élèves.
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1.2. Objectifs

1.2.1. Général:

 Sélectionner les principaux types de connecteurs logiques qui présentent de difficulté de


leur utilisation, chez les étudiants de la deuxième année de l'Université Licungo, dans la
production de textes argumentatifs.

1.2.2. Spécifiques

 Identifier les connecteurs logiques utilisés dans les textes argumentatifs et leurs
fonctions;
 Décrire comment le groupe cible manipule les connecteurs logiques dans les textes
argumentatifs à partir de leurs propres textes écrits;
 Identifier les principaux facteurs arrière au problème dans l’utilisation de connecteurs
logiques dans les textes argumentatifs.
 Proposer des solutions pour que les connecteurs logiques soient utilisés selon l'intention
communicative des utilisateurs de la langue, en particulier les étudiants de deuxième
année de l'Université Licungo.

1.3. Pertinence de l'étude/ Importance

Le langage dispose de ressources à utiliser dans les textes visant à garantir l'identification, par le
lecteur, d'un axe thématique, qui doit être maintenu tout au long de la production, ainsi que le
développement et la progression du sujet dont il est discuté. Ces ressources confèrent au texte
des propriétés cohésives qui contribuent à la cohérence de ce qui est lu.

Le sens d'un texte et sa cohérence reposent non seulement sur sa valeur sémantique, mais sur sa
dimension discursive, il est donc intéressant que l'analyse textuelle contemple les aspects
linguistiques et discursifs dans leur interrelation, dans un mouvement qui part du sens du texte
dans son ensemble vers les ressources mobilisées à sa surface.
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1.4. Délimitation du thème

Le thème portera sur les connecteurs logiques et la manière dont ils sont utilisés dans les textes
argumentatifs par les étudiants de deuxième année de l'Université de Licungo. La vérification de
la manière dont ils utilisent les connecteurs logiques dans les textes argumentatifs en
communication écrite est la préoccupation centrale du présent travail de recherche.

Le travail comprend les connecteurs logiques utilisés dans les textes argumentatifs, du point de
vue de la cohésion textuelle, de la cohérence discursive, de l'organisation logique-sémantique et
rhétorique qui établissent les relations de justification, d'explication, d'addition, d'opposition et
de conclusion, entre autres pouvant intervenir dans la construction de textes écrits argumentatifs
dans le genre de l'opinion.

1.5. Hypothèses

Les éventuelles réponses antérieures inhérentes au problème proposé peuvent être présentées de
manière testable. Ainsi, les hypothèses suivantes ont été formulées:

a) Il se peut que les élèves méconnaissent les règles d’emploi de connecteurs logiques.
b) Il est fort probable que les étudiants méconnaissent le sens de grammatical de certains
connecteurs.
c) Il se peut que la raison d’interférence linguistique soit arrière à ces difficultés

Ce mémoire est structuré en 3 chapitres. L’introduction vient avant le première chapitre et


concerne la description du problème, la question de recherche, les objectifs, la délimitation du
sujet et la justification, ensuite nous avons le première chapitre qui concerne le cadre théorique
où nous allons présenter les principales théories qui aborde notre sujet d’étude, puis, nous avons
le deuxième chapitre qui concerne le cadre méthodologique où nous présenterons les chemins
suivis pour aboutir ce travail, puis après, nous présentons le troisième chapitre qui concerne au
cadre pratique où nous allons présenter l’analyse de donnés. Enfin, nous présentons la
conclusion générale du travail, les références bibliographiques et les annexes ou appendices.
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Chapitre II

Cadre théorique

Texte

Un texte « Est un écrit ou oral, il se forme avec l’enchaînement de phrases, des paragraphes. Cet
enchaînement se réalise au hasard ou suivant le seul gré de son auteur (du scripteur), mais
suivant des règles précises et à l’aide de procédés spécifiques. Ces règles et procédés peuvent
être généraux ou peuvent varier d’un genre ou d’un type de texte à l’autre » (Ecekotkut, 2009, p.
58).

le texte selon Shirby (2000, p. 18) est : « Tout écrit qui réussit à déclencher un processus
d’interprétation dans une situation de communication donnée ».

Texte argumentatif

Pour Werlich, (cité par Ahlem, 2017, p.15), ce type de texte est centré sur une prise de position.
Dans la même perspective Adam (1997, p. 104), le définit comme étant un discours qui ‘‘vise à
intervenir sur les opinions, attitudes ou comportements d’un interlocuteur ou d’un auditoire en
rendant crédible et acceptable un énoncé (conclusion) appuyé, selon des modalités diverses, sur
un autre (argument/donné/raisons)’’.

Nous avons choisis le texte argumentatif pour ce travail vu que les connecteurs logiques
s’utilisent trop dans ce type de texte. Non seulement, car nous avons identifié le problème auprès
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des textes argumentatifs. En autre, nous pensons que la prise de position doit être suivie par une
série d’éléments de relation, en vue de prendre le discours écrit logique et claire.

3.1. Les connecteurs logiques

Riegel, Pellat et Rioul. (1994,pp.616-617).

Dans l’enchaînement linéaire du texte, les connecteurs sont des éléments de


liaison entre des propositions ou des ensembles de propositions ; ils contribuent à
la structuration du texte en marquant des relations sémantico-logique entre les
propositions ou entre les séquences qui le composent. Pour rapprocher ou séparer
les unités successives d’un texte, les connecteurs jouent un rôle complémentaire
par rapport aux signes de ponctuation.

Vergas définit les connecteurs selon deux niveaux : le niveau formel :

[….] ils concernent (les connecteurs) la relation entre deux phrases, ils
fonctionnent au niveau de la micro-organisation textuelle » et le niveau
sémantique : « les connecteurs servent à indiquer explicitement des rapports entre
les contenus des deux phrases, rapports qui peuvent être de type temporel (puis,
alors,…), spatial (plus loin, dehors,…), argumentatif (toutefois, par contre…), etc.
(1999 : 54)

D’autres auteurs comme Tremblay, R., Lacroix, J-G., Lacerte, L., définissent les connecteurs non
seulement au niveau minimal mais aussi global. En plus d’indiquer les relations entre les phrases,
ils peuvent signaler des relations entre les parties d’un texte (niveau de la macro-organisation
textuelle) :

« Pour qu’un texte soit intelligible, il est nécessaire de pouvoir établir des relations sémantiques
entre les phrases et les paragraphes. Les connecteurs contribuent à cette cohérence. » (1994 : 25 )
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« Les connecteurs sont des termes de liaison et de structuration : ils contribuent à la


structuration du texte et du discours en marquant des relations entre les propositions ou entre
les séquences qui composent le texte et en indiquant les articulations du discours». (Pellat, cité
par Mahmudova, 2017, p. 3).

Nous pouvons comprendre à partir des définitions ci-dessus que les connecteurs logiques sont
des mots et / ou des expressions qui servent à relier différentes idées dans une phrase, un
paragraphe ou un texte, d'où la pertinence d'utiliser des connecteurs logiques pour la construction
du sens prévu pour le texte argumentatif, conduit à l'importance du sujet à être étudié.

3.2 Cohérence textuelle et connecteurs logiques

Les critères textuels sont, selon Beaugrande et Dressler (1983, cité par Costes, 1991, p. 3):
cohérence, cohésion, intentionnalité, informativité, acceptabilité, situationnalité et intertextualité.
En ce sens, Marcuschi (2008) soutient que les critères textuels proposés doivent être considérés
avec prudence, car: une telle division ne peut pas être faite de manière aussi stricte et
catégorique, certains critères sont redondants et le point de vue du texte ne doit pas être centré ni
sur la primauté du code, ni de la forme.

Le critère de cohésion, particulièrement pertinent pour cette enquête, est, selon Antunes (2005, p.
47), celui à travers lequel «toutes sortes de connexions sont créées et liées, ce qui donne au texte
une unité de sens thématique ou unité. " La fonction de cohésion, poursuit l'auteur (Antunes,
2005, p. 48), «est exactement celle de favoriser la continuité du texte».

Koch (1988) propose de diviser la cohésion textuelle en deux types: la cohésion référentielle ou
référencement et la cohésion séquentielle ou séquençage. Le processus de référencement
concerne, grosso modo, la récupération des référents, c'est-à-dire le maintien de l'axe thématique,
tandis que le processus de séquençage favorise l'articulation syntaxique entre segments de texte
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et la progression textuelle, par interdépendance sémantique et / ou pragmatique entre ces


éléments.

Marcuschi (2008, p. 118) observe que les connecteurs, ressources de cohésion séquentielle, «ne
sont pas simplement des principes syntaxiques, ce sont les standards formels de transmission des
connaissances et des significations». La chaîne cohésive proposée par l'utilisation de connecteurs
logiques extrapole donc des aspects purement formels de la production écrite, se déroulant dans
la réception du texte à travers la construction partagée des significations, ce qui en dit long sur
l'écrivain sujet.

Une organisation systématique des connecteurs logiques, qui servira de référence pour l'analyse
proposée ici, peut être observée dans Marcuschi (2008), qui propose un schéma de ce qu'il
appelle la cohésion connective. Selon ce schéma, les connecteurs logiques sont divisés en
fonction du rôle qu'ils jouent dans le texte: ils fonctionnent soit comme des opérateurs
argumentatifs, soit comme des opérateurs organisationnels. Les opérateurs argumentatifs
signalent des relations d'opposition, de cause, de fin, de condition, de conclusion, d'addition, de
disjonction, d'exclusion et de comparaison; Les opérateurs organisationnels, quant à eux, donnent
une idée de l'espace et du temps textuels ou remplissent une méta fonction linguistique: c'est-à-
dire, par exemple, etc.

En référence aux classes grammaticales, Antunes (2005, p. 140) classe comme connecteurs
logiques «les conjonctions et conjonctions prépositionnelles, prépositions et locutions, ainsi que
certains adverbes et locutions adverbiales». Par conséquent, les prépositions, les adverbes, leurs
adjoints et les phrases respectives donneront une idée du temps et de l'espace textuels,
fonctionnant comme des opérateurs organisationnels, tandis que les conjonctions et les phrases
conjonctives signaleront des relations logiques - sémantiques ou discursives - argumentatives,
fonctionnant comme des opérateurs argumentatifs.

1.6. Les critères de cohérence et d'articulation textuelle

Costa, dans sa proposition d'évaluation des textes scolaires (2009), reconnaît l'articulation
textuelle comme l'un des critères de cohérence à évaluer, avec deux autres: la continuité et la
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progression. Ces trois critères sont étroitement liés à la texture du texte et, au moment de la
construction du sens par le lecteur, ils sont traités cognitivement de manière inséparable.

Les connecteurs logiques sont utilisés pour donner de la fluidité et de la clarté à un texte, en
donnant aux idées un ordre logique. Sans eux, les textes ne seraient qu'un ensemble de phrases
indépendantes et isolées.

1.7. Types de connecteurs

Ajout: Et puis, en plus, et encore, mais aussi, d'une part ... d'autre part.

Cause: Il est clair que, bien sûr, parce que.

Réaffirmation: en ce sens, dans cette perspective, en d'autres termes, c'est-à-dire, encore une
fois, en bref, en résumé, de cette manière aussi.

Similarité: De la même manière, ainsi que, pour la même raison.

Opposition / Restriction: mais, malgré, cependant, néanmoins, ni, d'autre part.

Connexion Temporelle: actuellement, en même temps, après la décennie, avant, puis, Jusqu'a,
Quand.

Avis: à mon avis, je crois que, dans ma / notre compréhension, il me semble que (mal)
heureusement, incroyable comme, j'avoue que, (non) je pense comme ça / alors, évidemment.

Hypothèse: A moins que, en supposant que, même si, à moins que.

Objectif: Pour, afin que, afin de, afin de, afin de.

Exemple: Par exemple, c'est, comme vous pouvez le voir, l'exemple de.

Clarifier: (Non) signifie que, c'est-a-dire, ne pensez pas qu'avec cela, (nous) n'avons pas
l'intention.

Souligner: En effet, comme nous l'avons vu, comme nous avons pu le refléter, une fois de plus.
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Doute: Peut-être, c'est probable, c'est possible, probablement, peut-être.

Appeler à l'attention; Notez que, en faisant attention au fait que, il semble que, nous avons
vérifié, une fois de plus.

Conclusion: donc, bientôt, enfin, en guise de conclusion, bref, de conclusion, de sorte que

sure: bien sur, certainement, bien sur, naturellement.

Proportion: Comme, de la meme maniere.

Conformite: Selon, selon, selon, conformement .


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L’importance des connecteurs

Compte tenu du point précédent, les connecteurs peuvent opérer soit au niveau local, c’est-à-dire
au niveau des relations sémantiques entre deux propositions juxtaposées et reliées, soit au niveau
global dans la structuration du texte. Ils contribuent ainsi à homogénéiser les éléments qu’ils
relient. Les liens exprimés au moyen de connecteurs contribuent à la cohérence et à la cohésion
du texte. Ils constituent donc un puissant moyen d’intégration d’informations disparates.

La cohésion dans le texte argumentatif

Le terme cohésion est défini selon Berthoud et Loranza (2000, p. 198) comme « le fait qu’un
discours apparaisse comme un produit langagier construit. Apprécier la cohésion d’un discours
ne nécessite pas la prise en compte du contexte. L’utilisation d’isotopies sémantiques et
temporelles. La gestion de la progression

Les facteurs de cohésion argumentative


Parallèlement à ce qui nous venons de dire dans les points précédents, les étudiants sont
susceptibles aux compétences langagières afin que celle-ci soit un bon texte, ce qui nous en
verrons ensuite :
Une conception large de l’isotopie permet de discriminer deux principaux types de facteurs de
cohésion :
5.2.1. Les facteurs grammaticaux
Reposent principalement sur pronoms personnels démonstratifs, relatifs, articles définis,
déterminants possessifs et démonstratifs, auxquels il faut bien sur ajouter les temps verbaux,
conditions essentielles de la production de l’isotopie temporelle (D. Maingueneau, 1999).
5.2.2. Les facteurs lexicaux
Consistent principalement en l’usage de périphrases (ou descriptions définies), termes
Remplaçant une proposition, termes de synthèses et termes synonymes. L’exploitation textuelle
du lexique, et notamment des champs lexicaux, assure, avec les éléments précédents. L’isotopie
lexicale (ou isosemie) du tout. Une troisième catégorie de moyens, sur lesquels reposent la
régulation et la cohésion logico-sémantique du texte, garantissant en outre 30
15

l’isotopie argumentative de l’ensemble : mots, discours, connecteurs d’intégration». (Sarfati,


1997, p. 31)
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Chapitre II

Cadre méthodologique

2.1. Méthode

Gil (2002, p.144) définit «la méthode comme les procédures d'enseignement par lesquelles le
choix approprié des méthodes les plus efficaces est fait en les classant et en les décrivant sans
porter de jugement de valeur». Ainsi, pour la matérialisation de ce travail, la méthode
comparative a été utilisée, qui consistait à apporter quelques similitudes et dissemblances des
réalisations phonologiques des locuteurs de portugais mozambicain chez les locuteurs de la
langue tsigane par rapport au PE.

1.8. Type d'approche

Les types d'approche dans la recherche sont des questions abordées non seulement par Fortin
(1999), mais aussi par d'autres auteurs tels que Selinger & Shohamy (1989), Dorney (2007)
parmi plusieurs. Selon la littérature, il existe quatre niveaux d'approche scientifique. Le niveau I
comprend des études d'exploration et de description de phénomènes, quand on n'en sait pas à leur
sujet; au niveau II, les études descriptives des relations entre les phénomènes; au niveau III sont
des études exploratoires / explicatives des relations et au niveau IV, des études des relations dans
la construction de l'opinion. Au fur et à mesure que vous montez, le niveau des demandes
augmente. Notre étude est limitée à nineis I et II et utilise une approche hypothétique - déductive,
comparant les données expérimentalement. Waterloo (1998), Batalha (2010), Guimarães (2010);
et Sangreman, Cunha & Damásio (2010) présentent des modèles modernes d'assemblage de la
base de données, appelés IBM / SPSS / PASW Statistics, version 20.

Pour vérifier la manière dont les étudiants de deuxième année de l'Université du Licungo ont
utilisé les connecteurs logiques dans la communication écrite, nous choisirons, parmi les
différentes voies possibles, l'approche exploratoire / descriptive et explicative des niveaux de
connaissances I et II. De cette façon, nous utiliserons la méthode descriptive qui nous permettra
de commencer par percevoir le type de difficultés des élèves cibles et afin d'assister à
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l'occurrence des phénomènes couverts par les hypothèses à partir d'une coupe évaluative
(Marconi &Lakatos, 2001 ; 2008).

Être en possession de peu ou pas de connaissances sur les phénomènes entourant la compétence
discursive des étudiants de deuxième année à l'Université de Lincungo et les implications
sémantiques-discursives de l'utilisation grammaticalement incorrecte des connecteurs logiques. Il
vise à empiler autant d'informations que possible pour couvrir les différents aspects du problème
défini dans la recherche.

Une approche descriptive simple identifie, décrit et discute les raisons qui peuvent être à
l'origine des problèmes, le cas échéant.

L'exploration et la description des phénomènes se feront à l'aide du modèle descriptif, en


observant dans des écritures déposées dans des extraits de l'échantillon de la population choisie.
Les matériels seront capables d'identifier et de décrire, en plus des contextes sociaux, culturels et
linguistiques de la sélection et de l'utilisation de connecteurs logiques par l'échantillon de la
population impliquée dans les situations de recherche.

Une autre stratégie indispensable sera la consultation bibliographique qui consistera à lire divers
documents traitant du processus d'utilisation des connecteurs dans les textes argumentatifs.

Enfin, une enquête sera réalisée sur les connecteurs les plus utilisés dans les textes argumentatifs
lus ou produits par les étudiants de l'Université de Licungo.

1.9. Description

Afin de favoriser une description et de donner une idée de la généralisation possible des résultats,
les groupes à soumettre au test font partie des étudiants de deuxième année de l'Université
Licungo. C'est une condition nécessaire et suffisante qui peut apporter des avantages dans la
sélection des étudiants en tant que groupes représentatifs et valider le titre du présent projet de
recherche.

La vérification des compétences communicatives de lecture et d'écriture des élèves et les


difficultés éventuelles dans la sélection et l'utilisation de connecteurs logiques dans
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l'argumentation mettront l'accent sur la maîtrise de la communication et de l'interaction avec les


textes écrits.

Nous partirons de l'hypothèse que les étudiants de deuxième année qui composeront le groupe
cible sont cohésifs et ont les mêmes perspectives de vie, en tenant compte des caractéristiques de
leur statut social et de leur niveau d'éducation (Mey, 2001).
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Chapitre III

Cadre pratique
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Références bibliographiques

Antunes, I. (2005). Combattre avec les mots: cohésion et cohérence. São Paulo: Parabole
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Marcuschi, L. A. (2008).Production textuelle, analyse et compréhension des genres. São Paulo:


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