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- Le facteur de travail chez michelin est le travail réalisé par l’ensemble de employés de l'entreprise,
c'est-à-dire les 127 000 employés qui lui permettent de rapporter 357 millions d’euros.
- Tandis que le facteur de capital chez Michelin est la vente de ces pneus etc… lui rapportant 24
milliards d’euros.
Ce facteur travail est fourni par les ménages qui vendent leur force de travail en échange d’un
salaire.
Moins les salariées sont qualifiées et plus les chances d’être remplacée par les machines est grande,
l’automatisation.
2) Le facteur Capital
→ technique
Le facteur capital sont les machines, chaîne production, outillage, véhicule, locaux, bureautique. Ce facteur
est prédominant dans les entreprises industrielles.
3) Le facteur Naturel
→ Ce sont les matières premières [ ressources minérale et biologique ].
4) Le facteur connaissance
→ Ce sont les recherches, l’innovation
- La recherche et le développement qui nécessite de ressources humaines, il faut payer les personnels
tels que les ingénieurs et nécessite des dépenses en matérielle comme les laboratoires.
→ Trois types d’activité dans cette catégorie :
- recherche fondamentale
- recherche appliquée : les découvertes et invention
- le développement : mise au point de produit, de procédé, pratique
Les sommes dépensées dans les recherches et développement représentent 2.35% du PIB.
Les coûts fixes sont les dépenses que l’entreprise subit quelle que soit la quantité produite comme les coûts
d’infrastructure, les salaires.
Les coûts variables dépendent de la quantité produite comme les matières premières, les composantes.
L’objectif de l’entreprise est de transformer les coûts fixes en variable. [ voir fin du chapitre ]
a) L’intensité capitalistique
Les entreprises doivent combiner leur facteur en particulier “travail” et “Capital” de manière à être
productif le plus possible. Si l’entreprise utilise beaucoup de facteur capital et peu de facteur travail, on dit
qu’elle a une forte intensité capitalistique et inversement on parle de faible intensité capitalistique.
Dans ce choix substitution travail et capital, il faut intégrer les limites de l’être humain [grève, congé,
maladie, retraite etc…].
c) La notion de productivité
L’objectif de l'entreprise, c’est de l'améliorer sans cesse pour rester compétitif par rapport à la concurrence.
→ Comment l’améliorer ?
- produire la même quantité avec le moins de facteur
- produire plus pour un nombre de facteurs utilisés
- Salarié qualifié
- Délocalisée
- Externalisation
Le taux d’intérêt est le prix du loyer de l’argent, il est proportionnel à l’argent emprunté d'où la notion de
taux. Cette intérêt représente une rémunération pour le prêteur la banque et un coût pour l’entreprise qui
l’emprunte. La valeur du taux d'intérêt lui dépend du taux directeur de la BCE et des marges commerciales
que les banques commerciales ajoutent. Plus le taux d’intérêt est faible et plus il encourage les
investissements, la recherche et développement.
III) Le choix de l’entrée faire ou faire-faire ?
La chaîne de valeur de Porter met en évidence deux catégories d'activité dans l'entreprise, les activités
principales et les activités de soutien qui aident à réaliser les activités principales. L’entreprise va analyser
chaque activité pour déterminer lesquelles créer le plus de valeur au yeux du client . Elle peut donc par la
suite décider d’externaliser ou sous-traiter (production) celles pour lesquelles elles apportent un petit peu
moins de valeurs.
L’externalisation concerne les services, entretien, gestion de comptables etc…. tandis que la sous-traitance
concerne la fabrication d'objets.
→ Les avantages :
- bénéficier de l’expertise d’une autre entreprise
- réduction des coûts et transformation des coûts fixe
- concentration des ressources sur le coeur du métier
- gagner en flexibilité
→ Les inconvénients :
- la dépendance d’un partenaire
- risque de confidentialité
- Perte de maîtrise
- le coût social (mécontentement des salariés)
- Backsourcing → réversibilité
Le développement durable répond au besoin actuel sans compromettre les générations futures : 3 piliers
→ économique :
→ social :
→ écologique :
L’entreprise avec sa production contribue à réduire les ressources naturelles (non renouvelable) et en
produisant pollue (réchauffement de la terre, pollution de l’air, pollution de l’eau). Partant de ce constat,
l’entreprise peut :
- ecogeste
- l’éco-conception
-
→ IT for Green : les solutions des acteurs du numérique pour améliorer le bilan carbone