:
- Alternatives éco
- Courrier international
- Pour l’éco
- Les échos
Partie 1 :
Il faut toujours donner les définitions
- Les sociétés non financières : ce sont des unités de production dans le but de réaliser
des biens et des services enfin de les rendre et de faire du profit. Leur fonction est de
produire du biens et services.
- Les sociétés financières : Ce sont les banques et les assurances. Leur fonction est de
proposer des services financiers = financer l’économie (prêt) et proposer des
services assurantiels = couverture de risques.
- Les institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLM) : des associations
caritatives ou des organismes sportifs, des syndicats ou des partis politiques. Leur
fonction est de proposer un service.
- Les services institutionnel non résident : Reste du monde (touriste, …) Tous les
agents économiques qui sont hors de la France. Leur fonction est de faire des
échanges des biens et services.
Le circuit économique :
Les agents économiques entrent en relation grâce aux marchés qui permettent la rencontre
d’une offre et d’une demande. Cela va créer des échanges de produits divers (biens, services
mais aussi travail, titres ou monnaie) représentés par des flux réels ou monétaires.
Schéma ?
Selon les lois d’Engel lorsque le revenu d’un ménage augmente, sa consommation change
L’épargne est la partie du revenu qui n’est pas consommée, c’est donc un reliquat.
Les investissements :
L’investissement est une dépense réalisée aujourd’hui en vue d’en percevoir des recettes
dans le futur ou de réaliser des économies de coûts.
Une entreprise investie pour leur bien de production et le ménage investie pour un achat de
logement.
L’entreprise peut aussi remplacer des salariées par des machines pour une charge de
travail élevé.
En vous appuyant sur vos connaissances et sur la méthodologie proposée, vous proposée,
vous rédigerez un paragraphe structuré permettant de répondre à la problématique ci-après.
Travail à faire
Est-ce que l’entreprise de la Demande est suffisante pour que les entreprises investissent ?
En vous appuyant sur vos connaissances et sur la méthodologie proposée, vous rédigerez un
paragraphe structuré permettant de répondre à la problématique ci-après.
Travail à faire
« La reprise économie incite-elle les entrepreneurs à davantage investir »
Depuis la fin du confinement l’économie des affaires reprend. Les français se sont plus que
d’habitude intéressés aux produits locaux, ce qui a bénéficié aux entreprises nationales.
La reprise est une phase du cycle économique pendant laquelle l'économie redémarre. Cette
progression se caractérise par une hausse du PIB pour sortir de la crise. Cette période est
marquée par un retour de la confiance des agents économiques, ménages et entreprises.
Ces dernières (entités économiques qui combinent les facteurs de productions pour
proposer des biens et services) sont attentives au moindre frémissement de l’activité pour
investir c’est-à-dire acheter des biens de productions dans le but de réaliser un gain futur ou
une économie.
Ainsi la reprise économique est-elle le seul élément pris en considération prise par
l’entreprise pour investir ?
Dans une première partie, nous verrons que l’activité économique est un indicateur phare
pour inciter les entreprises à investir puis dans une seconde partie nous verrons que d’autre
point sont pris en référence par les entreprises pour investir.
En effet, la reprise économie incite les entrepreneurs à davantage investir par exemple dans
certains secteurs d’activité, il y a une augmentation de vente (airbus, médicaments…)
Cependant ce n’est pas le seul déterminant de l’investissement. Une entreprise peut très
bien investir lorsqu’elle veut augmenter sa capacité de production.
La reprise économie n’est pas le seul indicateur pour l’investissement l’entreprise puisque
l’entreprise cherche à faire du bénéfice pour cela elle investit pour augmenter sa capacité de
production. Les entreprises ont tendance à investir afin de maintenir leurs gains de
productivité
2) La biodiversité, c’est la richesse des espèces, des écosystèmes, leur diversité ́ génétique et
leurs interactions. Au-delà̀ de leur valeur intrinsèque, ces espèces et ces écosystèmes
fournissent un nombre incommensurable de services à nos sociétés. Par exemple, les
insectes politisent nos champs, les milieux humides nous fournissent l’eau potable et
limitent les dégâts lies aux inondations, les arbres nous préservent de la chaleur en ville et
de l’érosion en montagne, les océans régulent le climat mondial, les mangroves et les dunes
nous préservent des tempêtes. Ils sont le fruit de 4,7 milliards d’années d’innovation.
Elle correspond à l’empreintes écologiques disponible et l’offre ressource renouvelable de
la…. C’est 1,7 d’hectare par tête d’un point de vue mondial.
3) Le PIB est un indicateur quantitatif qui mesure la richesse produit, il ne prend pas en
considération ou très mal les effets négatifs de la croissance telle que la pollution.
L’externalité est générée par notre créance de richesse et très peu pris en considération par
notre PIB. Ainsi une croissance économique importante va souvent de perte avec une
détoriésation d’environnement. En conséquence l’empreinte écologique permet de
compléter le PIB pour dresser un diagnostic des effets pervers de l’activité économique de
l’environnement de ce fait les côtés économique et écologique se rejoignent tous comme
dans logique de développement durable.
Développement durable
4) Sur l’empreinte écologique de la chine, a enregistré une nette augmentation entre 1961 et
2014. En effet elle est passé à un 0,8 hectare par tête en 1961 à 3,71 en 2014 ; En revanche
sa « biocapacité » à quelque peu régressé pour s’établir à 0,9 hectare par tête en 2008 c’est
le développement économique de la chine qui peut expliquer cette évolution conséquente
de l’empreinte écologique par tête une évolution très importante même a constaté depuis
2002 puis l’empreintes était de 1,6 hectare par têtes et qu’elle est de 3,71 en 2014.
4) La situation de la Chine
(IDH de la France 0,891 26ème pays, la Norvège 0,954 premier pays, deuxième pays la suisse
0,946, la troisième Irlande 0,942)
1) Le Produit Intérieur Brut (PIB) est un indicateur économique qui permet de mesurer les
richesses créées dans un pays au cours d’une période donnée.
Taux de croissance est le taux de variation du PIB entre deux dates différentes.
2) L’IDH de la chine est de 0,738 est élevé se rapproche d’un et qui a progressé
régulièrement en 26 ans, il était notamment de 0,502 en 1990 cependant l’IDH de la Chine
reste inférieur à celui des pays développés. La France est de 0,891 et celui de la Norvège est
de 0,954 est le premier pays.
3) La Chine est considéré depuis quelque années comme un pays émergent car elle a connu
un certain niveau développement économie en effet des modifications structurelles d’un
point de vue économique, sociale et démographique sont observables.
Ainsi en espace de 26 ans le revenu national brut par habitant a progressé de plus de 14 500
dollars, l’espérance de vie quant à elle a gagné de 6,50, et le taux l’alphatisatation est de
96,3 en 2016 soit de 18,3 de point en 1990.
En effet la Chine est depuis longtemps maintenant l’atelier de monde elle fabrique donc
énormément de produit aux différentes entreprises à travers le monde. Elle a donc puit
augmenté sa demande de richesse et investir dans de nombreuses infrastructures tel que de
la santé lui permit en gain de l’espérance de vie est dans la scolarisation permet ainsi une
meilleure éducation.
2)
Tota GE ETI PME hors MIC MIC
l
Effectif 14 3645/14122 * 100= 3595/14122*100= 4241/14122*100= 2742/14122*100=
122 26,09 25,5 29,3 19,02
Nombre 3 261/3808976*100= 5596/3808976*100 139454/3808976*100= 3663665/3808976*100=
d’entreprise 808 0,006 = 3,67 96,19
976 0,15
VA 1 342/1090*100= 279/1090*100 = 251/1090*100 = 218/1090*100=
090 31,38 25,60 23,03 20
Part du CA à 6 82 345/682*100= 232 /682*100= 87/682*100= 19/682*100=
l’exportation 50,59 34,02 12,76 2,79
3) Globalement, ce sont les grandes entreprises qui sont le plus présentent à l’étranger
puisqu’elles réalisent plus de 50% de leur CA en 2015 et pourtant elle ne représente que
0,006% de tissu industriel, cela est tout à fait logique puisque l’exportation nécessite des
moyens financier et logistique et une taille suffisamment importante pour faire face au
concurrent. Les grandes entreprises sont majoritiques multinationales sous contrôles
français en revanche sur ETI ce sont les multinationales sous contrôle étranger qui domine.
Enfin les PME et les microentreprises ne sont pas des multinationales est même si elle
exporte, elle reste en France.
2) Les trois secteurs d’activité sont secteur agricole, industrie et services. (D’activité Clark et
Fouzastie)
Grâce à l’augmentation de la productivité les activités basculent d’un secteur de l’économie
à un autre. A travers les transformations des emplois ; avec le développement économique,
la grande masse d’emplois est transférée du monde agricole au monde industriel, puis du
secteur industriel au secteur tertiaire. Il conclut que c’est ainsi l’on passe d’une société
agraire à une société industrielle, puis à une société de services.
Daniel Bell adresse deux critique à la classification de Clarke, la première conserve le secteur
tertiaire qui apparait comme un … l’ensemble des services est classé dans ce troisième
secteur sans distinction de l’un ou autre or certains sont plus important qu’autre car
essentielle à nos économies moderne et porteur de valeur contrairement à la vision
classique d’Adam Smith et Karl Marx. Il est en ainsi pour l’éducation et la santé et la
recherche
3) Aujourd’hui avoir une meilleure santé et une meilleure éducation augmentent la quantité
de la force de travail.
Les services de santé et d’éducation et recherche sont à l’origine de conséquence positive
sur les autres agents économiques, sur l’économique toute entière. En effet les individus en
bonne santé ou qui bénéfice de soin sont plus productives, une main d’œuvre formé
apparait comme étant de meilleure qualité. Enfin l’innovation peut se développer, le progrès
technique à la société par que le service de recherche sont alimenté formé par une main-
d’œuvre formée.
4) Selon Daniel Bell, le savoir est une source d’innovations. Grâce à leur connaissance, il y a
du changement dans l’innovation technologiques et qui ont permis au chercheur
D’aujourd’hui d’innover. L’innovation technologique et la maitrise des connaissances est la
source principale du développement et de la richesse des nations.
Le développement des savoirs est essentiel à l’innovation car la seconde ne va pas sans le
premier, donc c’est la base de notre société moderne ainsi les savoirs acquis grâce à
l’éducation peuvent être utilisé dans le cadre de recherche (haute technologique,
informatique, biotechnologies) se qui permettent à notre société de se développer et
s’enrichir.
Le PIB est-il
encore le
meilleur
indicateur
pour mesurer
le bien-être
économique ?
Le PIB est-il
encore le
meilleur
indicateur
pour mesurer
le bien-être
économique ?
Le PIB est-il le meilleur indicateur pour mesurer le bien-être économique d’un pays ?
Pour répondre au problème posé, dans une première partie nous allons voir si le PIB est un
indicateur quantitatif, puis dans une seconde partie nous verrons les différents autres
indicateurs.
En effet, ils cherchent à améliorera le bien-être global, actuel et futur, des citoyens en tenant
compte d’autres facteurs ayant trait notamment à la redistribution et à la qualité́ de
l’environnement.
Cependant ce n’est pas le seul indicateur pour mesurer le bien-être économique d’un pays.
L’OCDE est un organisme international consultatif regroupant une trentaine de pays et
faisant des études économiques, notamment sur les échanges commerciaux. Il s’attache aux
aspects les plus déterminants de la vie et du bien-être des individus. Il dresse un tableau
complet du bien-être dans les pays de l’OCDE et d’autres grandes économies, en évaluant les
conditions matérielles et la qualité́ de vie de la population à l’aune de onze critères (revenu
et patrimoine, emploi et salaires, conditions de logement, état de santé, équilibre vie
professionnelle-vie privée, éducations et compétences, liens sociaux, engagement civique et
gouvernance, qualité́ de l’environnement, sécurité́ des personnes et bien-être subjectif).
La mesure du bien-être vise à mettre en lumière « l’angle mort » du PIB. Il est tout à fait
exact que le PIB ne reflète ni le bien être, ni même l'utilité, comme le montrent très bien ces
exemples, il ne mesure que l'activité économique même si celle-ci est inefficace.
Corrigée :
Ni :
Entre 1995 et 2007, le PIB par habitant a crû d’environ un tiers dans les pays européens.
Après la crise quelle crise ? , une majorité de pays affiche un PIB par habitant proche de celui
de 2007. Toutefois, les pays du Sud ont connu des baisses importantes tandis que
l’Allemagne est un des rares pays à avoir dépassé le niveau de 2007.
Le PIB est un indicateur quantitatif qui mesure la richesse produite créée dans un pays au
cours d’une période donnée. Mot de liaison Bien-être : mesure la satisfaction d'un individu
ou d'une collectivité. En économie, il est souvent utilisé en référence à la théorie du bien-
être qui étudie les conditions dans lesquelles l'Etat devrait intervenir pour corriger les
défaillances du marché.
Le PIB est-il encore le meilleur indicateur pour mesurer le bien-être économique ?
Pour répondre au problème posé, dans une première partie nous allons voir si le PIB est un
indicateur seulement quantitatif, puis dans une seconde partie nous verrons les différents
autres indicateurs plus à même de mesurer le bien-être
I- Le PIB, indicateur historique qui mesure la richesse d'un pays
L’externalité est générée par notre créance de richesse et très peu pri s en considération par
notre PIB. En effet, ilcherche à améliorer le bien-être global, actuel et futur, des citoyens en
tenant encompte d’autres facteurs ayant trait notamment à la redistribution et à la qualité ́
de l’environnement.
Dire ce qu'est le PIB .... faire des sous-parties
II- Cependant ce n’est pas le seul indicateur pour mesurer le bien-être économique d’un
pays. L’OCDE est un organisme international consultatif regroupant une trentaine de pays et
faisant des études économiques, notamment sur les échanges commerciaux. Il s’attache aux
aspects les plus déterminants de la vie et du bien-être des individus. Il dresse un tableau
complet du bien-être dans les pays de l’OCDE et d’autres grandes économies, en évaluant les
conditions matérielles et la qualité́ de vie de la population à l’aune de onze critères (revenu
et patrimoine, emploi et salaires, conditions de logement, état de santé, équilibre vie
professionnelle-vie privée, éducations et compétences, liens sociaux, engagement civique et
gouvernance, qualité́ de l’environnement, sécurité́ des personnes et bien-être subjectif).
Voir les autres indicateurs qui permettent de pallier les insuffisances du PIB, que vous
voyez dans le I
faire des sous parties
La mesure du bien-être vise à mettre en lumière « l’angle mort » du PIB. Il est tout à fait
exact que le PIB ne reflète ni le bien être, ni même l'utilité, comme le montrent ces
exemples, il ne mesure que l'activité économique même si celle-ci est inefficace. Ouverture
à ne pas publier
1) On voit les impôts ont diminué de 2,90 points en 2017 alors le salaire quant à lui il
augmenté de 1,70 point.
Les salaires et les traitements bruts ont un peu augmenté mais sinon ça reste stable.
2) On remarque le salaire de la France n’a pas changé depuis 1990.
La variation n’a pas bougé et un peu réduit mais par rapport à d’autre pays qui sont dans le
négatif et qui sont moins rémunéré.
Corrigée :
EXO 03.02
L’offre est la quantité de biens et le service que les entreprises sont prêtes à
les vendre à un prix donné.
Elle est fonction croissante du prix. Car plus le prix est important plus les
entreprises souhaitent offrir des produits dans le marché car cela lui
rapporte plus de profit.
La concurrence est positive pour les consommateurs car elle permet une
baisse des prix. Ex : transport aérien, téléphonie (free), énergie …
Toutefois, la concurrence acharnée a poussé les acteurs de certains marchés
à se concentrer pour pouvoir résister. Ce sont alors des marchés
oligopolistiques (peu vendeur et beaucoup d’acheter= Airbus et Boeing) qui
se sont constitués. C’est un paradoxe de l’économie de marché, les offreurs
ont intérêt à acquérir un pouvoir de marché pour fixer leurs prix, leurs
conditions pour rendre leur clientèle captive. Pour Schumpeter, c’est cette
perspective qui pousse l’entrepreneur à innover et prendre des risques.
La concurrence :
Ils ne sont pas fournis par les entreprises privées car s’avèrent non rentables
et pourtant les besoins en la matière existent.
2) Les externalités
2) Étant isolé complètement, la Corée du Nord doit trouver tout seul des moyens de
maintenir son régime sans compter sur les relations internationales. Donc l'idée de Juche
formalisée dans les années 1960. Le Juche signifie l'indépendance politique, l'indépendance
culturelle, l'autosuffisance économique et l'autosuffisance militaire. La doctrine de Juche,
appuyée par le processus de déification, est devenue plus qu'une doctrine politique et
économique.
Corrigée :
La Corée du nord semble emprunter la voie de la Chine dans son processus de transition éco
en optant pour une forme de socialisme de marché : l'organisation de la vie éco repose
encore essentiellement sur un État planificateur et propriétaire des moyens de production,
mais une certaine liberté d'entreprendre, et des commerces privés commencent à
apparaître. Par ailleurs, une certaine libéralisation des prix est observée depuis 2002, depuis
l'arrivée de Kim Jong Un en 2011, les réformes éco ont été maintenues.
Il s'agit des pays ayant appartenu à l'ex URSS : Russie + pays satellites.
Cuba, La Chine, le Vietnam, Brésil, la Corée du Nord, le Maroc. Le Venezuela sous la
présidence de Chavez.
Exercice 4 :
1) La concurrence pure et parfaite est définie en théorie par une structure de marché
parfaite :
Les marchés financiers sont souvent cités comme étant les marchés sur lesquels la
concurrence se rapproche le plus de cette concurrence pure et parfaite.
Corrigée :
5) A un prix de 3 euros, la demande baisse car les consommateurs trouvent cela trop cher.
Cependant, les offreurs veulent proposer plus de beignets car cela leur rapporte plus. Cette
évolution inverse de l'offre et de la demande à la suite d'une variation du prix illustre la loi
de l'offre et de la demande.
6) 6) La campagne du gouvernement a pour but de pousser les ménages à manger plus sain.
La demande de beignets va donc baisser dans l'immédiat sans que l'offre bouge, ce dernier
reste constant. L'offre est donc supérieure à la demande, le marché est en surproduction.
A la suite de cette situation de déséquilibre, le prix des beignets doit se réduire et permettre
une légère hausse de la demande pour enfin parvenir à l'équilibre.
1) La libéralisation d’un marché consiste à rendre libre l'accès à une activité économique
pour différents agents économiques, privés ou publics. Cela permet à d’autres acteurs
d’intervenir sur un marché et ainsi stimuler la concurrence dans l’intérêt des
consommateurs. Cela intervient le plus souvent par la volonté de l’État d’instaurer une
concurrence dans un marché comme c’est le cas pour le marché du transport en offrant la
possibilité, par le biais de la loi n° 2015-990 du 6 aout 2015.
Corrigée :
1) La libéralisation d’un marché consiste à rendre libre l'accès à une activité économique
pour différents agents économiques, privés ou publics. Cela permet à d’autres acteurs
d’intervenir sur un marché et ainsi stimuler la concurrence dans l’intérêt des
consommateurs. Cela intervient le plus souvent par la volonté de l’État d’instaurer une
concurrence dans un marché comme c’est le cas pour le marché du transport en offrant la
possibilité, par le biais de la loi n° 2015-990 du 6 aout 2015.
La libre concurrence s'exerce, tout comme la libre fixation des prix, et les mécanismes du
marché permettent d'aboutir à la meilleure allocation des ressources.
Les limites : De nombreux concurrents sont présents sur ce marché covoiturage, TER, TGV, ils
n'ont donc aucune certitude de trouver une place suffisante entre ces concurrents. Des
recettes insuffisantes qui ne couvrent pas les couts d’exploitation.
1) Le libéralisme économique repose sur la liberté d’action des marchés. Cette doctrine
repose sur ses concepts fondamentaux : les hommes sont égaux, libres-rationnels, et dotés
de raison. Ceux-ci établissent leurs actions selon leurs principes rationnels et leurs intérêts
particuliers. Mais ces comportements, même individualistes participent indirectement à
l’intérêt général. La société serait un marché, qui, fonctionnant seule, se régirait seule grâce
aux échanges entre individus. Ces échanges économiques maintiennent un équilibre
favorable à la société, grâce aux flux entre l’offre et la demande. La doctrine d’économie
politique classique cherche à créer des liens d’échanges entre les individus, en limitant le
pouvoir de l’état.
Adam Smith est un économiste et philosophe écossais du XVIII siècle (1723/1790). Il est le
fondateur du libéralisme et porte une théorie sur trois éléments : l'Etat Gendarme, la main
invisible et la division du travail. Son œuvre principale est, La Richesse des Nations.
Le libéralisme peut aussi désigner la tolérance face aux actions et aux opinions d‘autrui, dont
on respecte l‘indépendance et la liberté individuelle. On peut le qualifier alors de libéralisme
individuel ou moral. C‘est pour Keynes une facette primordiale du libéralisme (Dostaler,
2005).
2) La doctrine de Nordhaus et Romer ont une vision contraire des économistes du siècle. Ils
veulent atteindre une croissance soutenable et soutenue à long terme.
Corrigée :
1) Le libéralisme est un courant de pensée qui érige la liberté comme principe de la vie en
société. Il repose sur la garante des droits économiques tels que la liberté d'entreprendre, le
libre-échange, le droit de propriété. Dans l'histoire de la pensée éco, l'école classique est
représentée par Smith, Ricardo, Say, Stuart Mill, Malthus, ils sont défendus le libéralisme éco
dans le contexte de la première RI. Selon eux, le marché s'auto-régule loi des débouchés de
JB Say), le mécanisme de la main invisible de Smith. Il fait "laisser faire" le marché, l'État n'a
pas à intervenir.
Introduction
Face à la crise économique mondiale de 1974 qui a révélé les faiblesses de l'économie
française, les gouvernements successifs se sont efforcés de lutter simultanément contre le
chômage et l'inflation, et de mettre en œuvre des politiques d'adaptation aux contraintes de
la construction européenne et de la mondialisation. La France souffre d’une croissance plus
lente et plus incertaine depuis 1974.
La croissance économique qui est l’augmentation de la richesse produite par un pays entre
deux périodes de temps, tire son origine dans plusieurs facteurs dont les principaux sont la
consommation et l’investissement.
L'investissement est l'action d'investir, c'est-à-dire d'acquérir de nouveaux moyens de
production, d'améliorer leur rendement ou de placer des capitaux dans une activité
économique, dans une entreprise. En effet, investir consiste à engager une importante
dépense aujourd'hui afin d'obtenir un bénéfice dans le futur.
L’investissement est -il un facteur important de la croissance économique française ?
Pour répondre au problème posé, dans une première partie nous allons voir le rôle de
l’investissement dans la croissance économique, puis dans une seconde partie nous verrons
l’investissements améliore les conditions de l’offre et la demande.
Les économistes keynésiens insistent sur l'effet de demande : l'investissement crée une
demande pour laquelle, sous certaines conditions, les entreprises vont augmenter la
production. Les économistes libéraux, eux, insistent sur l'effet d'offre : l'investissement
permet de produire plus et mieux, la production peut donc être augmentée.
L’investissement comme facteur de croissance agit à la fois sur l’offre et sur la demande.
La hausse de profits incite les entreprises à investir. En effet, l’augmentation des profits
pousse les entreprises à investir pour 2 raisons : la première est que l'autofinancement est le
mode de financement le moins coûteux ; les entreprises n’ont pas besoin d’emprunter pour
acquérir leurs biens d’équipement et elles n’ont donc pas besoin de rembourser. Le second
est la motivation de l'investissement en produisant les entreprises font plus de profit donc
elles ont intérêt à produire davantage.
Elles sont d'autant plus incitées à investir que la croissance se traduit aussi par une
augmentation de la demande.
Conclusion
L’investissement fait partie de la demande globale au même titre que la demande des
ménages et celle venant de l’étranger c’est-à-dire les exportations. En effet, il correspond à
la demande des entreprises adressée à leurs pairs. La production des sociétés augmente
donc pour répondre à cette demande supplémentaire. C’est aussi une composante de la
demande anticipée par les entreprises selon Keynes. Celles-ci embaucheront si elles sont
raisonnablement sûres de vendre la production réalisée en sus, permise par ces emplois quel
que soit le niveau de salaire. De fait, cette production génère la distribution de revenus du
travail (salaires) et du capital (dividendes pour les actionnaires) en plus permettant
consommation et épargne. La première, va à nouveau, se répercuter sur la production, la
seconde va offrir des possibilités de financement si elle est entre dans le circuit bancaire ou
sert à acheter des valeurs mobilières émises par les entreprises. Le cercle vertueux de la
croissance peut s’installer.
II- Les effets de l’investissement sur la croissance ne sont pas systématiques car des
conditions sont à réunir et des risques sont à éviter
B- L’engagement des pouvoirs publics limité par les contraintes européennes mais la
fiscalité peut être un facilitateur
En matière d’investissement public, l’Etat français connaît parfaitement le rôle qu’il peut
jouer même si les finances publiques ne lui laissent pas beaucoup de marges de manœuvre.
En effet, la France est en déficit budgétaire chronique depuis le milieu des années 70. En
2017, il s’est établi à 2.6 % du PIB ; notre dette publique, elle, s’approche des 100 % du PIB.
Or, le Pacte de Stabilité et de Croissance de 1997 imposent un déficit public de 3 % du PIB
maximum (objectif rempli en 2017) et une dette équivalente, au plus, à 60 % du PIB. Notre
pays a donc encore des efforts à faire en se montrant vertueux en matière d’endettement,
même si c’est pour financer des investissements publics car la charge de la dette (somme
des intérêts à rembourser) risque d’anéantir les efforts budgétaires réalisés.
Cependant, le levier qui lui reste est la fiscalité encourageante. Dès 1983, le CIR (crédit impôt
recherche) a été mis en place pour soutenir les activités de recherche et développement des
entreprises sans restriction de secteur ou de taille. Il a évolué au cours des décennies mais
n’a pas perdu sa vocation première.
La confiance dans l’économie, et ses perspectives, doit être forte. Keynes avait mis en
évidence le rôle de la confiance en conditionnant l’investissement des entreprises à la
supériorité de l’efficacité marginale du capital c’est-à-dire le taux de rendement des
investissements « espéré », donc en lien avec la confiance en l’avenir, face au taux d’intérêt.
Une confiance faible peut générer un blocage de l’investissement, même si les taux d’intérêt
sont très intéressants. De même, le principe de la demande effective keynésienne -
demande future anticipée - met en avant le fait que les décisions d’investissement sont
conditionnées par la confiance en l’avenir et les débouchés anticipés.
Enfin, la possibilité de l’équivalence ricardienne ne doit pas être négligée : le financement
des investissements publics par davantage de dette publique est interprété par les agents
économiques comme une hausse future des impôts. Ces derniers épargnent donc davantage
en vue de faire face à l’augmentation anticipée des impôts et annulent alors les effets de
l’investissement public de départ. En outre, si l’investissement public est financé par l’impôt,
il vient grever le pouvoir d’achat des ménages, leur consommation et donc, in fine, la
croissance économique.
L’investissement est un moteur qui peut faire redémarrer la croissance française, quelle que
soit sa nature. Cependant, cela n’est pas automatique ; des conditions précises sont à réunir.
Quoi qu’il en soit un autre levier existe pour relancer la croissance économique nationale ; il
s’agit de la consommation. L’Etat peut l’actionner en augmentant le pouvoir d’achat des
ménages via la redistribution mais cela se fera encore selon deux problématiques : les
comptes publics et les anticipations des ménages.
Exemple introduction :
1) Le marché de la marque Tesla est le marché de l’automobile électrique.
3) Mais en 2016, l’entreprise fait face à des concurrents chinois et d’autre marque luxe
(Audi, Jaguar, Porche). En effet cette annonce a un impact au niveau de la demande.
Corrigée :
Tesla
1) Le marché de référence de Tesla est celui des voitures électriques haut de gamme.
2) Dans une premier temps, Tesla était seule sur ce segment de marché haut de gamme;
c'était donc un monopole de fait.
Ensuite, de grands constructeurs, renommés, ces sont lancés dans la commercialisation de
modèles électriques haut de gamme. Audi a ainsi, proposé son E-tron; BMW iX; jaguar i-pace
...
Le marché est devenu oligopolistque.
3) Tesla mène une stratégie de spécialisation avec une extension de gamme avec le Model 3
familial. Pour présenter des prix compétitifs, Tesla doit produire à plus grande échelle afin de
réduire ses coûts de production. Elle va réaliser des économies d'échelle. Si cela fonctionne,
Tesla peut se créer une place dans le segment de la voiture électrique moyenne gamme et
éviter l'arrivée de concurrents sérieux, découragés par les investissements à réaliser pour se
positionner correctement sur ce marché.
Corrigée :
Alfred Marshall a démontré que le marché peut être le théatre de décisions prises par les
offreurs qui souhaitent prendre une place plus conséquente sur le marché au point de,
parfois, éliminer les concurrents. L'autorité de la concurrence a donc toute sa place dés lors
que l'on comprend les limites et les envies que le marché suscitent chez certains.