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Règles qui vont naître des faits de la pratique des états. Il faut une pratique cohérente,
constante. Historiquement les règles de droit international sont des règles coutumière, ces
règles ne sont pas écrites.
Il y a des juges et non un seul, il est donc difficile d’identifier la règle coutumière.
1. Formation de la coutume
Définition par la CIJ (Cour Internationale de Justice) : « preuve d’une pratique générale,
acceptée comme étant le droit ». Le comportement de l’Etat ça donc être essentiel pour la
détermination de la règle coutumière et ce comportement doit être général et cohérent. Il faut
que les états aillent à peu près dans le même sens, il ne faut pas qu’ils aient une pratique
disparate. Les États qui agissent là plus part d’entre eux il faut qu’ils aillent dans le même
sens.
A. La pratique, élément matériel de la coutume
* Généralité et cohérence de la pratique
Mais possibilité d’être « objecteur persistant »
* Répétition dans le temps de la pratique
Ceux qui ne veulent pas des règles coutumières sont appelés des objecteurs persistants. Il faut
une durée suffisamment longue pour qu’une coutume devienne une règle coutumière.
B. L’opinio juris
Elle pourra se créé que lorsque cette pratique sera « opinio jurio » il y aura une sorte de
croyance sur les vraies règles coutumières. Croyance en l’existence d’une règle de droit,
sentiment de caractère obligatoire.
de nouveaux états sont apparus sur la scène internationale alors qu’il y avait déjà des règles
coutumières. Ces anciennes colonies n’était pas toujours en accord avec ces règles
coutumières, les états qui n’ont pas les capacités économique d’aller loin pour pêcher était
désavantagé. Des nouvelles règles coutumière qui se sont créé dans la 2 moitier du 20 siècle
ème e
Les règles de droit internationale sont surtout des règles conventionnelles, les traités. Entre
deux états au moins, en droit international qui va avoir une valeur obligatoire. Il peut y avoir
des traités verbaux inconventionnel. Peut importe la forme ça sera un simple échange de
lettre, peut importe le nom qu’on lui donne (convention, traité, statut, charte) nature
inchangée : accords internationaux soumis au principe de bonne foi et le pacta sunt seivanda.
Seul les états qui se sont engager seront obliger par le traité. Alors que pour la règle
coutumière à partir du moment ou à règle est appliquer elle est obliger pour tous. L’essentiel
est de savoir si cet état est lié à la convention. Il faut qu’il soit obligatoire pour un état donné.
La plus part du temps la signature ne vaut pas engagement, effet relatif des traités, manière
dont les états s’obligent.
C’est par les traités qu’on peut aller plus loin dans les relations internationales et qu’on peut
crée des organisations internationales.
1. La formation des organisations internationales
Lorsque les états veulent aller plus loin dans le relation et essayer de coopérer, ne plus être
dans une démarche de coexistence. Peuvent essayer de gérer en commun des problématiques
communes. Question de transport, à la poste : les états ont un besoin de gestion commune.
Cherche à se rapprocher et défendre des interêt commun d’un petit groupe face au reste du
monde (ex : alliance militaire, domaine économique et monétaire) pour se protéger, s’aider,
s’allier. Supprimer les obstacles au commerce (tarifaire, non tarifaire). Peut s’approfondir à
une union douanière. Libre circulation des personnes… pour aller jusqu’à une union
économique et monétaire, monnaie unique et règle fiscale commune.
Il existe des degrés d’institutionnalisation :
degré minimal : groupement d’état : peu formalisé.
Forme d’accord assez informel, G7 questions communes initialement économique, pas de
véritable traiter mais forme d’accord entre état mais non écrit. Un des Etat membre de ce G7
va accueillir la réunion. G8 réunion des Etat les plus puissant en matière économique : France
Etat Unis, Royaume Uni, Allemagne, Japon. Rejoint par le Canada puis l’Italie. En 2002 la
Russie a pu faire parti de ce groupement. Mais vite exclu à cause de son intervention en
Crimée en 2015. Modèle souple, informel. Très critiquer sur la scène internationale, plus un
groupement d’état qui cherche à se renforcer entre eux. Groupement informel d’un degré
minimal.
B. La création d’une organisation internationale
1. Traits caractéristiques
Fonder sur un traité constitutif qui va constituer la base de cette organisation internationale et
une base permanente. L’institutionnalisation : création d’organe avec une durée de vie
indéterminée. Cette organisation va être dotée d’organe qui vont agir pour l’organisation.
C’est une personne morale, elle va être dotée de la personnalité juridique internationale, une
personnalité juridique dans l’ordre internationale. Ce n’est pas la même personnalité juridique
que celle de l’état. En mesure de son traité constitutif, elle va pouvoir crée du droit. Les états
sont à la fois les créateur de cette organisation et aussi les membres de cette organisation. En
tant que membre ils vont avoir des droits qui peuvent être différenciés. 5 états siège de façon
permanente au conseil de sécurité de l’ONU : France, chine, état unis, royaume unis, russie.
Tout les états ont accepter que ces 5 états soient ceux qui face partie de façon permanente du
conseil de sécurité. Dans le fonctionnement de l’ONU en tant que membre certains vont avoir
des pouvoirs plus important que les autres. Les états en tant que membre quand ils s’engagent
à un traité qui constitue une organisation internationale on dit qu’il devient membre et il doit
accepter par sa volonté de se soumettre aux droits et aux devoirs de ce traité.
Traité constitutif de l’ONU. Pas de particularité dans la procédure : traité négocier, signer,
ratifier. Le conseil de l’Europe est une organisation qui regroupe les états membres de la
grande Europe son traité s’appelle statut. Sur le fond les traités constitutif vont être
particuliers. L’état va venir transférer des pouvoirs. Aspect constitutionnel : répartition des
pouvoirs au sein de l’organisation.
1. Création par traité : l’exemple de la Charte de San Francisco de 1945
Le droit des traités qui s’applique au traité constitutif : négociation qui c’est dérouler à San
Francisco à partir de 1945 et lors de laquelle se déroule un travail de rédaction de ce qui sera
la future charte des nations unis.
Charte qui est le produit d’un compromis pour que le traité voit le jour : désaccord entre les
états. Chaque partie de la charte devait être approuvé par les 2/3 des états prennent avant
d’arriver à une adoption de la charte.
Signature des états, puis ce traité a très vite été ratifier et mis en vigueur. Ratification des 5
états permanent nécessaire pour mise en vigueur plus 23 états. En 1945 il y a la mise en
vigueur du traité.
Cette organisation va pouvoir crée du droit : les actes unilatéraux.
1. Les actes unilatéraux des organisations internationales
Actes adoptés par l’organisation internationale. Principe qui est que la résolution, peut
importe son nom, n’est pas de force obligatoire. C’est l’assemblée générale qui a pris le pas
de prendre une résolution d’interdire le pas de l’intervention de la Russie en Ukraine, mais
pas obligatoire. Grande utilité : politique : condamner l’attitude de la Russie : vote de tout les
états membres qui montre que la Russie est critiquer. Valeur incitative qui va pousser la
création d’une nouvelle règle de droit.
Résiliation 1514 (XV) 1960 par laquelle l’assemblée des nations unis des peuples à disposer
d’eux même en tant que droit à l’indépendance. Adopter à la majorité : elle a simplement la
valeur de l’acte juridique : pas de valeur obligatoire mais incitative.
Résolution 2625 (XXV) 1970 : coopération des États : tout une série de principe qui ont été
considérer comme appartenant au droit coutumier. Résolution adopté par consensus : plus
aucun état ne s’y oppose. Cristallisation de la règle coutumière : côté deux fois, les principes
sont devenus obligatoires.
Exceptionnelle pour le traité constitutif de l’organisation internationale : donner à certain
organe de pouvoir. Les résolutions du conseil de sécurité peuvent être obligatoire si le conseil
de sécurité entend qu’elle le soit.