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CM DROIT DES AFFAIRES SEMESTRE

4 :
13/01/23 :
POUR EXAMEN FINAL : 2 PARTIES :
THERORIQUE = QUESTIONS DE COURS
(1 pour ceux qui ont pas le TD)ET
PATRIQUE = CAS PRATIQUE. Autorise
code civil et code commerce.

Le droit des affaires :

La notion de droit des affaires est nouvelle, vient concurrencer et remplacer la


dénomination classique de droit commercial. Le DA dégorge de champs
d’expression traditionnelle du droit commercial (DC).

Le DC :
- Se limite généralement au droit des commerçants dans l’exercice de leur
activité professionnel.
Le DA :
- Désigne l’ensemble des règles qui régissent la vie des entreprises qui ont une
portée large et englobe le commerçant en tant qu’acteur.

Entreprise = mise ensemble de moyens matériel, humain, et financier dans le but de


réaliser une activité économique. L’entreprise peut ne pas être commercial : ex :
entrp civil, agricole, artisanal…

Pr mieux appréhender le DA il faut la définir, mettre en index sont évolution


historique et présenter c sources.

I- La définition du droit des affaires (DA) :


La doctrine propose de nbrs dénomination qui varie au regard du contenu et de la
fonction qui sont assignés à la matière.

On distingue DA & DC.

A- Le droit des affaires (DA) et le droit commercial (DC) :


Longtemps le DC a été défini par la seul activité du commerçant. Or ce n’est pas le
cas et cela va bien au-dessus.
Il faut une certaine distinction entre droit des entreprises et droit des affaires, et pour
d’autre ce sont des synonymes.
La notion mm de DA  ft pas l’objet de définition législative & on la retrouve
rarement dans le code du commerce.

DA  employés en pratique  avocat d’affaire, notaire d’affaire …


La doctrine utilise abondamment la notion de DA sans lui donner un contenu
uniforme.

En réalité la def du DA et DC pose un problème de délimitation.

DA = notion large ou on retrouve une certaine tendance doctrinale française : droit


de la concurrence, droit de la consommation, droit fiscal des entreprises, droit de la
propriété intellectuel, droit comptable, droit des marcher financier, droit du travail et le
droit des transports.

Mais, cette discipline ne se retrouve pas toute dans un mm code. De sorte que le DA
donne lieu à des sous ensemble législative.

DC = a la diff du DA prend sa source dans le code du commerce. On y retrouve les


notions tel que les tribunaux de commerce, acte de commerce, société commerciale
ou le registre du commerce.

Certains auteurs retiennent la dénomination de droit commercial au détriment de


celle de DA jugé vaste. La notion de DA sera privilégiée a celle de DC pr aller au-
delà des seules règles applicables aux commerçants et aux activités commerciales.

Il faut distinguer la notion de DA au droit des entreprises.

B- Le droit des affaires et le droit des entreprises :

Droit des affaires : définition initiale est entendu comme l’ensemble des règles
applicables à l’entreprises & imposent de définir le droit des entreprises qui est
considéré comme étant un synonyme du droit des affaires.

Entreprises est une unité économique caractériser par le regroupement de ressource


humaine, matériel, incorporel et financière.

Le droit des entreprises désigne alors le droit applicable à l’entreprise dans sa


dimension économique.
La dimension économique des entreprises fait apparaitre dans le droit des
entreprises des règles comptables, règle du droit social, règle commerciale, règle
bancaire.

La dénomination du droit des entreprises peut être remplacer par celle de droit des
affaires. D’ailleurs certaines écoles privilégient la notion du droit des entreprises à
celle du droit des affaires.

Le DA est le fruit d’une longue évolution.

II- Évolution historique du droit des affaires :


Le DA est la suite de la déconstruction du droit commercial. Il n’y aurait pas de droit
des affaires s’ils n’y avaient pas à l’origine un droit commercial qui a émergé depuis
le moyen Age.

L’émergence du droit commercial est une source historique du droit des affaires.
Au moyen Age, le DC s’analysait comme le droit des affaires du commerce, il est
issu de coutume et fait par la suite objet de plusieurs modifications.
Du pdv les auteurs remontent unanimement l’origine du droit commercial à l’envie.

Dans l’antiquité on peut retracer les échanges commerciaux qui ont donné lieu à des
usages a valeurs de règle juridique. Ces usages n’avaient pas la valeur de règle
écrite mais étaient considérer comme source d’obligation.

L’apparition du DC : à cette époque n’est pas une preuve du hasard. Les règles en
matière commercial ont vu le jour dans un contexte renouveau d’échanges
commerciaux.

L’émergence des échanges commerciaux a donné lieu à la constitution du code des


marchands. On relevait à cette époque, une forte envie de conquête a la mise en
jeux des échanges commerciaux. Tout le développement de certains pays
européens est le flux de c conquêtes commercial.

Plusieurs villes ont l’époque comme la F ou l’Italie étaient des conquêtes


commerciales ou se réunissait de grand marchand pr le devlpment des échanges
commerciaux.
De nombreuses institutions commercial, encore appliqué de nos jours en droit des
affaires, ont pris leur source dans la pratique commerciale.
En effet, comme les tribunaux de commerce par exemple qui ont vu le jour au moyen
Age.

Les effets du commerce on fait leur apparition également au cours de cet époque.
L’apparition de ces règles coutumière dominés par l’individualisme à pousser à une
réforme du droit féodale.

Dans le contexte français (outre les tribunaux de commerce), les sociétés


commerciales ont vu le jour.
Au MA sous le règne de l’absolutisme royal, le prêt a intérêt était prohiber. Face à
cette interdiction les marchants étaient obligés de dvlper des solutions pr financier
leur activité commerciale. Les stratégies mep donnaient lieu à des pratiques de prise
de risque en commun qui n’étaient pas contraire aux exigences de l’Église.

C’est ainsi que l’on peut retrouver des origines de la société en commandite ou de la
compagnie. Dans cet époque, l’activité bancaire était interdite. En marge des
sociétés commercial, des tribunaux de commerce, on retrouve aussi dans la pratique
française au MA la lettre de change.
Lettre de change = premier effet du commerce qui a vu le jour au MA.
But de sa création  permettre à une personne d’acquérir un bien et dans joindre à
une autre personne de payer le prix au vendeur.

Pndt plusieurs décennies le DC donne ses heures de gloires avec un fort dvlpment
de l’activité marchande.
Ce dvlpment atteint sont apogée d’où la crise du droit commercial. La première
source de la crise du droit commercial réside dans le dépassement de la notion de
commerçant à celle d’entreprise.
Depuis les années 1950, ont a assisté à une colonisation du droit commercial par
l’entreprise.
L’acteur majeur des affaires se présente sous la forme d’entreprise plutôt que sous la
forme du commerçant (personne physique).

Ordonnance 22/02/1945 institue le comité d’entreprise.


1968 : création de représentant du personnel dans le cadre de l’entreprise qui va
devenir un sujet de droit.

En tant que sujet de droit, elle a une raison d’être économique et est présente de
façon abondante dans la vie des affaires.

Loi 1961 : transmission successorale de l’entreprise intégrer au code civil.


Objectif : privatiser l’entreprise et la transmettre de génération en génération.

Plus tard, à partir des années 1980 : la notion d’entreprise apparait abondamment
dans le droit. On a une matière consacrer aux difficultés de l’entreprises.
Ces éléments de référence à l’entreprise qui ce qui intéresse désormais le droit pv ce
n’est plus le commerçant (pers physique).

A partir de là, la notion de commerçant avait une partie limitée pr englober ce nvl
acteur des affaires. La notion de DC s’abandonne progressivement au profit de celle
du droit des entreprises.

En marge de cet abandon du commerçant, on assiste à partir des années 2000 a


une divisons du droit commercial.

Code commerce 1807 : ft l’objet d’une révision avec un détachement des branches
entière du droit commercial qui prennent leur autonomie.

Ainsi, vient la naissance du droit des transports, espion de crédit, droit bancaire, droit
des soc. Cette division du DC à fragiliser l’unité des règles commercial.
Il est important de trouver une technique qui permet de régir les activités relevant des
affaires et des acteurs qui l’animent.

Au-delà du champ strict des matières commercial, on a de new règle applicable au


soc civil, aux artisans, aux agriculteurs et aux professions libérales. Ces règles, n’ont
pas de place dans le code du commerce & pourtant il s’agit d’acteur qui participe
considérablement à l’animation de la vie des affaires.
III- Les sources du droit des affaires :
Les sources du DA sont représentées dans l’esprit de la hiérarchie des normes et
seront structurer autour des sources internationales, européenne et française.

A- Les sources internationales du DA :


2 sources :
- Celles qui regroupent traités internationaux
- Celles définit par les usages internationaux
En ce qui concerne les traités internationaux, ils sont au sommet de la hiérarchie des
normes.

Le premier traité qui intéresse le DA :


- Sont ceux qui définissent les règles de conflit de juridiction de loi.
Leur objet = déterminer la loi applicable aux contrats internationaux d’affaire. Permet
d’identifier le juge compétant pr les litiges internationaux d’affaires.

A titre administrative :
- Convention de Rome 1980 : loi applicable aux obligation contractuelle.

La seconde catégorie de traité qui intéresse le DA =


- Celles qui consacrent règle matériel ou substantiel.
Ils sont appelés des conventions uniformes.

Les conventions uniformes prévoient des textes harmoniser et parfois uniformiser en


droit des affaires. Elles peuvent être bilatéral ou multilatéral (conclus entre plusieurs
états)
- Convention du Luxembourg de 1915 : jamais rentrer en vigueur pr défaut de
ratification.
- Convention Berne 1986 : sur le droit d’auteurs : elles international et ratifiés
par tt les états du monde.
- Convention de vienne 1980 : vente internationale de marchandise. Elle est
ratifiée par env 60 états.

En ce qui concerne les usages internationaux : il faut souligner qu’ils désignent la


loi des marchands.

Le DA prend ses origines dans la pratique. Il s’agit de l’ensemble d’usage qui


régissent les relations d’affaire international. On peut considérer que le droit issu des
usages internationaux est un droit extra étatique.

Les usages internationaux : L’ex mercatoria  ont donner lieu à l’élaboration des
incoterms depuis 1936. L’objet de ces incoterms = fixé règles international
nécessaire a l’interprétation des termes fréquemment utiliser dans les contrats
internationaux d’affaire. On considère aussi que les incoterms intègrent tous les
principes relatifs aux contrats du commerce internationaux.

Les usages internationaux ne sont pas dépourvus de valeur juridique, la cour de


cass  Depuis l’arrêt Valencia rendu le 22 octobre 1991 par la première chambre
civile a jugé que l’exe mercatoria était une source de droit.
L’arrêt précise qu’en se référant à l’ensemble des règles internationales dégager par
la pratique et ayant reçu l’ascension des jurisprudences internationale l’arbitre a
statué en se fondant sur les usages a statué en droit.

A partir de la le caractère juridique des usages internationaux ne peut plus être


contester sur la portée juridique des usages.

B- Les sources européennes du droit des affaires :


Ici ont exclu le conseil de l’Europe comme source, on parle du droit de l’UE.
Les sources n’englobent pas le droit secréter par le conseil de l’Europe.
Ces règles peuvent être reparties en 2 catégories : sources écrites et jurisprudentiel.

1- Source écrite :
Les sources écrites issues du droit de l’union applicable au droit des affaires,
concernent le droit primaire et le droit dérivés.

Le droit primaire de l’union : constituer de 2 traités.


 Le premier de 1957 est relatif aux traités de Rome et institue le la
communauté européenne. Ce traité a été remplacé par le traité sur le
fondement de l’UE en 2000.
Ce traité intéresse le droit des affaires car il élabore des règles de non-discrimination
de la liberté de circulation des marchandises et capitaux, de la liberté
d’établissement et de prestation de service

Ce que le droit des affaires emprunte au droit de l’union est la liberté de commerce et
de l’industrie & l’exercice des professions libéral au sein de l’UE.

 2e traité Maastricht 1992 : définit le droit primaire applicable aux affaires, et les
institutions de l’union européenne et créer l’euro.

L’articulation entre c 2 traités permet de disposer des règles applicables à l’entrée


dans les affaires, a la vie dans les affaires et au retrait des affaires.

Quant au droit dérivé de l’UE : concerne les sources issues de règlement et directive
européenne. Les règlements sont en général de portée général et s’impose
directement aux États membres et à leur ressortissant.

° Les règlements européen s’applique au sein de tous les états parties : ce sont des
règlements uniformes car sont applicable à tous. Ils prévoient des règles de conflits
de loi ou de juridiction.

D’autres règlement européen prévoit des règles substantielles : c’est le cas de la soc
européenne. Pr la constituer il n’y a pas de règle dans le code civil ou autre, il faut
simplement se référer aux règlements lui mm.

Autre les règlements, il y a °les directives européenne : lie les états membres quant
au résultat à atteindre. Elle laisse le soin aux autorité national compétente de chq
état à adopter des règles de transposition, des directives en droit interne.

En matière d’affaire, les directives applicables sont nombreuses.


Exemple : Les directives sur la resp du ft des produits défectueux ou directives
européennes icommerce en date du 10 juillet 2000.

2- Les sources jurisprudentielles :


Le tribunal de l’UE statu en premier ressort et la cour de justice de l’union en dernier.
Tous deux contribuent à l’élaboration des règles applicable dans le cadre des
affaires au seins de l’UE.
Ex : le rôle jouer par la cour de justice de l’UE dans l’élaboration de la liberté
d’établissement des soc commercial est important. Il n’est donc pas possible de
négliger le rôle de la justice européenne dans la régulation juridique des activités eco
déployés par les acteurs du commerce et les professionnelles dans la vie des affaire

C- Les sources nationales du droit des affaires :


Ce sont des sources ayant une nature écrite et non écrite.

1- Source écrite
Il y a les codes et les lois. L’article 34 de la C définit le domaine de compétence des
lois énonçant ce qui détermine les principes fondamentaux des obligations civiles et
commerciales. Et de ce pdv, la plupart des matières intéressant le DA prennent leur
source dans les lois

Concernant les codes autre que celui du code civil, commerce et du travail il y a le


code monétaire et financier (ordonnance de 2000).

Tte les lois qui intéressent les affaires n’ont pas trouver leur place dans les codes.

Loi numéro 90-1258 du 31 decm 1990 : relative a l’exercice sous forme de soc de
profession libéral.

En ce qui concerne le règlement, le pvr règlementaire est exercé par le pouvoir


exécutif. Le règlement ne joue pas un rôle prépondérant dans la définition des
obligations civils et commercial. Pour la plupart du temps, ils viennent préciser les
disposition légales pr en faciliter l’application.

2- Les sources non écrites :


Sont constituer de la jurisprudence, des usages et coutumes. D’un coter la jurisp issu
ds juridictions commercial et civil jouent un rôle très important dans la déclinaison
des sources du droit des affr en droit interne. Ce rôle, résulte du pouvoir interprétatif
d’un juge.

Ex : le régime juridique de la concurrence déloyale ou les règles applicables au


compte courant ont été pendant longtemps de disposition jurisprudentielle.
Autrement dit, la concurrence déloyale et le compte courant ont ft l’objet d’une
appropriation législative après la création jurisprudentielle.

En ce qui concerne les usages des coutumes : le droit fr des affr est dominé par les
sources écrites. Mais la prépondérance des sources écrites n’affecte pas l’existence
des règles non écrite issus des usages et des coutumes.

En droit civil, les usages sont presque dépourvus de force contraignante mais en
droit commercial les usages commerciaux sont des sources de conduites pr les
acteurs des affaires. En clair les usages et coutumes désignent des usages des
pratiques qui en fonction de certaine condition constitue des règles de loi.

Si on considère que les usages et les coutumes sont des véritables règles de loi cela
sous-entend qu’en cas de violation le juge peut être saisi.
Les pratiques professionnels peuvent résulter d’un acte accompli de façon non
répétitive mais parfois fonder sur des textes. Pr que la pratique soit qualifiée de
source de loi, elle doit respecter certaines conditions.

L’usage professionnel en cause doit être répondu dans le milieu social d’une
profession et règlement suivi comme étant une règle de loi.

A partir de l’objet du droit des affaires, on va distinguer les acteurs du droit des
affaires qui mettent en œuvre les activités du droit des affaires au sein de
l’entreprise.

1e parties : les acteurs du droit des affaires :


Cette partie est structurée autour de l’identification des acteurs du droit affaires.

Titre I – L’identification objective du commercant :


l’acte de commerce :
Quelques soit les critiques formulés à l’encontre du droit commercial, le commerçant
reste l’acteur majeur de la vie des affaires.

Sa def sur le législateur s’effectue sur la base des actes de commerce accomplis.
Celui-ci précise que le commerçant est la personne qui accompli les actes du
commerce. Le commerçant est donc défini a partir de l’objet de son activité qu’est
l’acte de commerce

Chapitre 1 : la notion d’acte de commerce :


Cette notion s’approprie à partir de l’énumération légal effectué par le législateur et
des critères doctrinaux rencontrés en théorie.

SECTION 1 – L’ENUMERATION LEGAL DES ACTES DE


COMMERCES :
Entre dans cette énumération : des actes de commerces par nature, forme,
accessoires et mixtes.

Paragraphe 1 : les actes de commerce par nature :


Ils sont en règle générale les actes qui correspondent aux acitvité naturel du
commerce. Sont énumérés aux articles L110-1 et l110-2 du code du commerce.

A partir de cette énumération du législateur on relève les opérations d’achats de bien


pour la revente & certaines prestations de service.

A- Les achats de bien pour les revendre :


Depuis le MA, les activités d’achats pr revendre schématise le modèle typique et le
plus courant des actes du commerce. A l’origine les actes de commerce, ce sont
dvlper dans le cadre des échanges et des opérations de vente.
Les échanges = forme de troc mais ont disparu avec le temps & ont laisser la place
aux opérations de vente.

Pr entrée dans le cadre des actes de commerce, l’opération visées sous-entend :


l’exigence d’un achat, qui doit porter sur un bien et l’intention doit être la revente.

1- L’exigence d’un achat :


Pr que l’opération de revente de bien soit considérer comme acte de commerce par
nature, il faut en amont un achat. Le commerçant doit avoir réaliser un achat, ce qui
exclut tte acte de donation.

Cette exigence exclue en règle général du champs commercial des activités


d’extraction des ressources naturelle de sol qui ne constitue pas d’acte de commerce
mm si ça donne lieu à des contrats de ventre.

L’exclusion est justifiée par le fait que les ressources extraites du sol, ne résulte pas
d’une opération d’achats. Toutefois, l’article l131-3 du code minier élève une
perception a cette exclusion.

L’exploitation des mines constituent un acte de commerce de sorte que les


productions de pétrole, d’or ou de diamant peuvent être qualifiés d’acte de
commerce.

L’opération d’achat qui permet de caractériser l’acte de commerce doit porter sur un
bien.

2- L’exigence d’un bien :


Les biens visés sont les biens meubles mais le législateur vise aussi les immeubles.
L’achat et la revente d’un bien meuble renvoie à ce que l’on qualifie de distribution de
produit. Le bien acheter peut-être un bien corporel marchandises, matière
première…) ou incorporel (actions…).

Le législateur prévoit que son acte de commerce pr les achats vente et revente de
bâtiment, pr la navigation intérieure et extérieur.

Pr les immeubles : leur achat en vue d’une opération de revente constitue un acte
de commerce. Néanmoins l’achat d’immeuble, d’acte civil lorsqu’il est intervenu en
vue de l’identification de la construction d’un ou pls bat pr une vente en bloc ou en
locaux.

L’activité visé ici est la promotion immobilière qui n’est pas considère comme une
activité commerciale. La finalité de l’achat doit être la revente de bien acht.
Si l’opération d’achat est déduite de l’intention de revente il n‘y a pas lieu à acte de
commerce. La revente est considérée comme le prolongement naturel de l’opération
d’achat.

Attention : cette revente doit être destinées à bénéfice. Le défaut de bénéfice


n’empêche pas la qualification de l’acte de commerce.
20/01/2023 :
3- L’exigence d’une revente :

La finalité d’achat doit être la revente d’un bien acht. Si l’opération d’achat est
dénouée de l’intention de revente il n’y a pas lieu d’acte de commerce.
Revente = prolongement naturel de l’opération de commerce. Revente = bénéfice

B- Les prestations de service


Le législateur confère la qualité commerciale a certaine opération tel que la
médiation et commission. La location de bien meuble, de manufacture, transport,
ventre aux enchère et spectacle public.

1- Les opérations déterminée et entreprises de commission :


Tte les opérations d’intermédiaire ne constitue pas des actes de commerce par
nature

Art L.110-1 paragraphe 3 du code du commerce : vise les opérations


d’intermédiation pr l’achat, souscription ou vente d’immeuble, de fonds de commerce
ou de part de soc immobilière.

On observe que les mandataires pr la vente de bien immobilier, ne font pas d’acte de
commerce. En revanche, le commissionnaire & le courtier accomplissent des actes
de commerce. Tte les entreprisses de commission accomplissent des actes de
commerce par nature.

Art L110-1 paragraphe 5 du Cd commerce  défini la commission comme


opération qui consiste pr une personne appeler le commettant a représenter une
autre appeler le commissionnaire en effectuant un acte pr que le compte de celle-ci
en son nom personnel.

Pr l’activité de courtage : le paragraphe 7 du mm article prévoit que le courtier se


contente de rapprocher les parties sans pr autant participer à la conclusion du
contrat.

Activité de courtier est présente dans pls domaines. Ainsi, on retrouve dans la vie
des affaires le courtage financier, courtage d’assurance ou le courtage dans la
distribution d’un produit textile.

2- Les entreprises de location de meuble


L’activité de location de bien immeuble est une activité commerciale par excellence.
Des lors, lorsqu’une entr procède à la location des machines, équipement
professionnel (ordi, voiture…), elle accomplit des actes de commerce.

Cependant lorsque sa porte sur un bien immobilier, on est en présence d’un acte
civil. Ainsi, une entr qui loue des maisons, appartement, chambre d’hôte n’accomplis
pas des actes de commerce.

- Arrêt cour d’appel de Paris 16/01/1988  « hôtellerie est une activité


commercial »
- Arrêt chambr social CCASS 13/11/1980  « l’exploitation d’un terrain de
camping consistant a la location de l’immeuble tel qu’elle est une activité
commercial »

3- Les entreprises de manufactures :

Celles-ci désignent les entr industriel. Elle recouvre les activités de transformation de
matières première, de fabrication ou prod de produit fini.

Arrêt CCASS chamb civil 3/02/1869  « les entr de construction ou réparation


d’immeuble sont commercial, de sorte que les activités qu’elle dvlp peuvent être
ranger dans la catégorie des actes de commerce par nature »

Mais les actes de commerce issu des entrp de manufactures, posent qlqs difficultés.
Il est difficile de distinguer parfois, l’activité industriel de l’activité artisanal.
L’industrie tt comme l’artisanat se base sur le travail manuel

- Acte qui résulte de l’artisanat = caractère civil


- Acte industriel = caract commercial

Cependant le critère de distinction est mis à jour dans un arret :

Arrêt CA de Paris  « le travail effectué par une pluralité d’employer et non pas
d’un seul entrepreneur constitue une activité commercial »
4- Les entreprises de transport :
Les actes de transport sont réputés acte de commerce = qd ils sont accomplis par
une entrp de transport.

Différence = transport marchandise, transport de personnes.


Quel que soit le lieu de transport (terre ou mer, ou aerien) et qlq soit le moyen utiliser
(camion, avions) on est en présence d’un acte de commerce.

Les actes sont réputés actes de commerce lorsque dans une indifférence totale a la
forme juridique de transport.
Que l’ent soit anonyme, collectif tant quel est effectué par une entr c’est un acte de
commerce.

L’arrêt chmbr commercial CCASS 04/12/1968  « les chauffeurs de taxis


indépendants qui exploite une seule voiture ne sont pas des commerçants et
n’accomplissent pas des actes de commerce par nature »

5- L’établissement de ventes aux enchères :

La vente aux enchères public est employés par le législateur ou désigné d’une vente.

Obj : exploitation des salles de ventes aux enchères public. L’exploitant n’est pas
forcément un commerçant mais l’activité reste une activité commerciale. En
revanche, lorsque la vente aux enchères est assurée par un commissaire, l’activité
reste civile (En raison de la qualité d’officier ministériel).
6- Les entreprises de spectacles pubics :
Les organisateurs de spectacles publics sont des entrepreneurs & ont en application
de l’art L110-1 prgh 6 du cod commerce ont l’activité de commerçant.

Le spectacle public est ranger dans la catégorie des actes de commerces. Quel que
soit la forme du spectacle (vivant ou enregistré), l’activité reste commerciale.

La notion de spectacle public, doit être entendu au sens large.

La chmbr commercial de la CCASS 12/12/1972  « l’organisation de spectacle


forain, constitue une activité commercial »
Cependant le spectacle peut être organiser par une assoc donc dans un arrêt du 13
mai 1970 : juge que « le spectacle organiser par une assoc est une activité civil ».

Cependant, le spectacle doit être organiser dans un but non lucratif.

7- Les opérations bancaires, de finance et d’assurance

Concernant les opérations bancaires : leur classification dans la catégorie des actes
de commerce est prévue par l’article L.110-1 prg 7 du code du commerce.
« tte opération de changes, banque courtage, activité d’émission ou gestion de
monnaie constitue des actes de commerces ».
Le législateur vise essentiellement les opérations de dépôt, crédit, de change de
monnaie et de mise à disposition de moyen de paiement.

Quant aux opérations financières, il s’agit des activités que les entrp financières
réalisent sur le marché financier.
En l’absence d’une énumération légal express on peut considérer que les opérations
financières visée concernent les activités boursières.

Enfin, les opérations d’assurance : ne font pas l’objet d’une énumération légal.
Cependant, la CCASS attribue aux activités dvlper, exercer par la soc commercial
d’assurance, un caractère commercial.
Il faut écarter les soc mutuel d’assurance dans lesquels les assurées ont la qualités
d’associer.

Arrêt CCASS chmbr civil 1 : 22 octobre 1996  confirme « que les soc
d’assurances mutuels ont un objet non commercial »

Paragraphe 2 : les actes de commerce par la forme


= actes présumé commerciaux car ils sont accomplis par un commerçant (personne
physique) ou non commerçant (historiquement acte seulement réserver aux
commerçants).

2 types d’actes de commerces par la forme :


- Lettre de change
- Acte relatif aux soc commercial
A) La lettre de change :
Définition : c un titre par lequel une personne (le tireur) donne à une autre
personne (le tiré) l’ordre de payé à une date déterminé une somme d’argent à une
3e personne (= bénéficiaire ou porteur). C’est donc une opération triangulaire.

Art L.110-1 du code du commerce, réfute « les actes de commerce entre tte


personne les lettres de changes ».
Cad : que les lettres de changes ont tjrs un caractère commercial, qlq soit la qualité
des parties.

Ex : un médecin qui tire une lettre de change : accomplis un acte de commerce.
Idem pr l’expert-comptable.

C’est sur ce point que les lettres de changes se distingues d’un billet un autre dans la
nature civil ou commercial qui varie selon la nature de l’obligation principal.
Pour illustrer le propos, un fournisseur à livrer des marchandises d’une valeur de 500
000 € à son client. Il c donc engager à payer ce montant par virement bancaire.

Mais le fournisseur souhaite obtenir immédiatement le prix de la vente.


A cet effet, il peut transférer à son banquier, contre un paiement, la créance de tenir
compte son client. Il va donc tirer une lettre de change auprès du banquier. Il perçoit
auprès de celui-ci, la somme de 103 000 € sans attendre le terme de 30 jours.

Le banquier bénéficiaire de la lettre de change, devient titulaire de la créance contre


l’acheteur. Dès que le terme survient, il présente la lettre de change a l’acheteur qui
a l’obligation de lui payer la somme de 505 000 €.

B) Les actes relatifs aux sociétés commerciales par la forme.


Selon la thèse de l’art L.110-1 du code du commerce « le caractère commercial
d’une soc est déterminer par la forme ou par son objet »
Sont alors commercial par la forme (qlq soit leur objet), les soc collectif, simple, a
responsabilité limitée, et les soc par action.
Tous les actes qui concernent la création, le fonctionnement ou la dissolution de sa
soc, sont des actes de commerces.

Paragraphe 3 : les actes de commerce par l’accessoire :


Ces actes ne font pas l’objet d’une énumération légal, ils ont plutôt été instituées par
la doctrine et confirmer par la partie jurisprudentielle.
Selon la théorie de l’accessoire, l’acte civil devient un acte commercial s’il est
l’accessoire d’un acte commercial ou s’il est accompli par un commerçant.

Selon cet théorie l’accessoire peut résulter de l’objet ou de la qualité de la personne


qui accompli l’acte. On distingue de ce fait l’accessoire objectif e subjectif.

A-L’accessoire objectif :
Dans cet approche, l’acte devient commercial par emprunt a la commercialité de
l’opération contractuel dont il est l’accessoire.

Cette règle a été appliquer dans diff hypothèses  arrêt chmb commercial CCASS
19/01/1972  « les actes juridiques portant sur le fonds de commerce tel que la
cession ont un caractère commercial » Est acte de commerce : l’opération d’achat de
fonds de commerce.

De mm la cession de fond de commerce par un héritier qui n’a pas la qualité de


commerçant, reste un acte de commerce.

La 2e catg d’Operations assimilés aux actes de commerce par accessoire, concerne


les cessions de droits sociaux

Les opérations de cession de part social ou d’action ont un caractère civil. Mais, la
cour de cass a jugé dans un arrêt 26 mars 1996  que les sections de part social
ou d’action exigeant le contrôle d’une soc commercial, sont considérer comme des
opérations commerciales.
La soc étant commercial, la cession d’un nombre important de part social entraine
une cession d’entrp commercial. L’acte de cession devient donc un acte de
commerce.

En outre, le cautionnement qui en principe est une opération civile devient un acte
commercial s’il garantit une dette commerciale.

Cautionnement = opération contractuelle ou une pers se porte garant de l’exécution


d’un engrangement financier (banquier).

Arrêt CCASS 7 février 2006 : pose la règle de l’assimilation de cautionnement s’il


garantit un acte de commerce.

B- L’accessoire subjectif :
Ce sont des actes de commerce & désignent la catg d’acte civil accomplis par un
commerçant, pour les besoins ou à l’occasion de son commerce. Ici, c la qualité
commerciale du commençant qui entraine la requalification de l’acte.

Exemple : un épicier qui acht un véhicule pr réaliser d livraisons, accomplis un acte


de commerce par accessoire.

Les actes civils par accessoire = actes qui en principe sont commerciaux par
Nature mais demeurent civil car accomplis par un nn commerçant.

Ex : une assoc qui organisent de façon rare et exceptionnel un spectacle public
n’accomplis pas un acte de commerce.
Arrêt de la chambre commercial de la CCASS, le 13 mai 1970  « l’organisation
du spectacle par l’assoc pr conserver sa nature civile, doit s’inscrire dans un but non
lucratif ». L’acte doit dnc rester occasionnel & doit avoir une importance faible par
rapport à l’activité civil.

Dès que l’agriculteur, l’artisan ou encore l’assoc organise des activités d’achats et de
revente avec l’intention de réaliser des spectacles de façon récurant, il passe dans la
catg commerciale. Les actes accomplis deviennent des actes de commerce.

Paragraphe 4 : les actes mixtes :


Ne sont pas prévu dans le code du commerce. Ils ont la particularité de représenter
un caractère commercial pr une partie et civil pour l’autre.
Actes de consommation défini le délai de prédilections mixtes. L’achat est civil pr le
consommateur et pr le vendeur elle est commercial.

Ex : achat d’article à Auchan : acte d’achat = est civil mais pr Auchan l’opération de
vente = est commercial. C’est donc un acte mixte (partie commercial et civil).

SECTION 2 : L’APPROPRIATION DOCTRINAL DES


ACTES DE COMMERCES :
La doctrine a identifié 3 critères permettant de définir la notion d’acte de commerce.
- Critère de la spéculation
- Critère de l’entremise ou de circulation
- Critère de l’entreprise

Paragraphe 1 : le critère de spéculation :


Il n’y a pas d’acte de commerce sans la recherche de bénéfice. C’est un critère qui a
un lien historique avec l’activité commercial.

La gratuité était étrangère à l’objet du droit commercial. Les marchands


s’engageaient dans les affaires dans le seul but de spéculer. Il n’est donc pas
possible, de dire d’un acte qu’il n’est commercial alors que celui-ci est accomplis à
des faits Fina tropiques.

Les citriques de ce critère :


- A cause de son caractères trop large.

La recherche de profit, n’est pas exclusive à l’activité commercial. Les associés des
soc civil professionnel ou immobilières recherche aussi le bénéfice a l’instar des
associés des soc commercial.

Aussi, l’artisan ou l’agriculteur, dvlp sont activité dans la perspective de réaliser un


profit.

Paragraphe 2 : le critère de l’entremise ou le critère de


circulation :
Selon ce critère, l’acte de commerce, est un acte d’intermédiaire entre le producteur
et le consommateur. Il s’insère à ce titre entre les opérations de production et les
actes de consommations.

En suivant ce critère, tous les commerçants sont des intermédiaires. Tte fois,
sont appréciation permet de relever que sa portée est trop limitée.
Plusieurs activités industrielles sont aussi commerciales sans que le commerçant ou
l’industriel ne réalise un acte d’intermédiation.
Le critère de l’entremise ou de circulation de richesse, ne rend pas compte de tte les
activités commerciales. Son application devrait exclure l’exploitation des mines qui
pourtant est commercial.

Le critère de circulation de bien doit permettre l’accomplissement de l’acte dans me


cadre d’une entreprise.

Paragraphe 3 : le critère de l’entreprise


Adopter par le professeur Escalla & elle a été promise par l’école de Rennes.
Dans la conception de ce critère, il n’y a pas d’acte de commerce en l’absence de
moyen matériel et humain permettant la répétition d’opération économique identique.

L’acte de commerce est tjrs réaliser dans le cadre de l’entreprise.


L’insuffisance de ce critère se trouve dans le fait que l’activité commercial peut être
exercée en dehors de tout cadre organisationnel entendu au sens d’entreprise.

Au total, aucun critère ne permet une définition satisfaisante de l’acte de commerce.


Ils peuvent cependant, établir un rapport de complément ou de combinaison.

A ce titre, l’acte de commerce, pourra être défini comme un acte juridique accomplis
par une entreprise avec une autre entreprise ou un consommateur dans l’intention de
réaliser des bénéfices.

Si on nous demande la définition de L’acte de commerce il faut dire que :


 Le législateur c contenter d’énumérer les actes de commerce sans le définir
 En jurisprudence donne une def d’acte de commerce simple. Les juges
interviennent pr donner des exceptions ou affirmer ce qui est dit dans le code
du commerce.
 Il y a des essaies de définitions élaborer par l’école de droit de Rennes (les 3
critères vu précédemment.

La notion d’acte de commerce est dépassée. Il est vrai qu’une def peut être établit a
partir des critères doctrinaux. La tendance actuelle, est d’assimiler la notion d’acte de
commerce à celle d’activité commerciale.

Les actes de commerces au-delà de l’énumération ou de la def, intéresse, en raison


des règles juridiques spécial qu’ils appellent dans la réalité.

CHAPITRE 2 : LE REGIME JURIDIQUE DES ACTES DE


COMMERCES :
Ce régime varie en fonction de la qualité des acteurs présent, ainsi on distingue le
régime juridique des actes de commerces accomplis par les commerçants des actes
de commerces impliquant un non-commerçant
SECTION 1 : LE REIGIME JURDIIQUE DES ACTES DE
COMMERCE PAR NATURE:
Les règles qui sont spécifique a c actes concernent la solidarité passive entre
commerçant et la prescription des actes de commerce.
Paragraphe 1 : la preuve des obligations commercial :
Est dominé par le principe de la liberté des preuves. Cependant, la pratique conserve
l’écrit comme une exigence en raison de l’importance des transactions commercial.

A) La liberté de preuve
EX : la liberté de preuve  Principe : énoncer à l’art L.110-3 du code du
commerce. A l’égard du commerçant, les actes de commerce peuvent se prouver
par tout moyen à moins qu’il n’en soit disposé autrement par la loi.

Conséquence : liberté de preuve entre commerçant.

Les obligations commerciales à ce titre, peuvent être prouver par le témoignage, des
documents comptables, les échanges …

L’exigence de la liberté de preuve est portée par une justification. La dispense décrit
permet de conclure rapidement un contrat. Le monde des affaires étant dominés par
la règle de la sérénité.

Malgré la liberté de preuve, on observe dans la pratique, la persistance de l’écrit


comme un moyen de preuve.

B) L’importance persistance d’écrit comme moyen de preuve :

La liberté de preuve reste la règle, et les exceptions peuvent être que légal.
Aussi, en cas de conflit, l’écrit reste en pratique la règle de preuve.
Les contrats commerciaux ou d’affaires, n’exclue pas la preuve par l’écrit. Or l’écrit
peut être électronique ou sur papier.

Paragraphe 2 : la solidarité passive :


A-La présomption de solidarité entre commerçants :
En droit commercial, la solidarité est présumée entre le débiteur d’une obligation
commercial. La solidarité entre commençant suppose que le créancier au rapport de
droit peut agir en paiement pr la totalité du montant due contre n’importe quel
codébiteur.

Le créancier agis contre le débiteur commerçant le + solvable. Il s’agit d’une


solidarité passive puisque l’obligation a la dette est mise à la charge de pls
débiteur. Cette solidarité est présumée entre commerçant, il n’y a donc pas lieu de la
stipuler dans le contrat.

En revanche, en matière civil l’obligation est conjointe et bon solidaire. Elle se divise
entre les co débiteurs. La solidarité peut être stipuler dans un contrat civil mais n’est
jamais présumé comme en matière commercial.
Arrêt chambre de requête cour de cassation 22 octobre 1920, « il n’est pas
nécessaire que le contrat d’affaire mentionne expressément la solidarité passive »

Cependant la solidarité passive peut être écarter expressément par les parties aux
contrats de l’affaire.

Il y a des hypothèses de solidarité légal entre commerce.

B- La solidarité légale entre commerçant


C la loi elle mm qui prévoit les hypothèses dans lesquels les codébiteurs
commerçants sont tenu individuellement de la totalité de la dette.

Dans l’hyp d’une solidarité légale entre commerçant, il n’est pas possible pr les
parties de prévoir une cause d’obligation conjointe.

On a des obligations qui naissent de l’émission d’une lettre de changes.


Art L511-44 du code du commerce - la partie a une lettre de changes sont tenu
solidairement de l’obligation de paiement du montant inscrit sur l’acte »

L221-1  « institue une obligation solidaire entre associées d’une soc en nombre
collectif ».

Paragraphe 3 : La prescription extinctive :


Les règles ne se limitent pas simplement à la solidarité passive & concerne aussi la
prescription instinctive.
La prescription permet au débiteur d’une obligation d’être totalement libre de son
obligation à l‘issu d’un certain délai

Historiquement, la prescription commerciale était de 10 ans. Depuis une récente


reforme, elle est ramenée à 5 ans.

Cependant il y a des délais spécifiques + court dans certaines matières de droit des
affaires tel que le délai de 3 ans en matière de droit des soc ou encore délais d’un 1
an en contrant de transport.

27/01/2023
SECTION 2 : LE REGIME JURIDIQUE DES ACTES
MIXTES :
Paragraphe 1 : les règles matérielles :
Les actes mixtes présentent un caractère civil pour le non commerçant. Cette dualité
de nature appelle une application distributive des règles matériels, processuels et de
preuve.
 En ce qui concerne les règles matérielles : sont régis par les dispositions qui
sont plus favorable au consommateur.

Paragraphe 2 : les règles processuelles


 Règles processuelles : désigne les règles de procédure applicable aux actes
mixtes. En principe, les actes de commerce relèvent de la compétence du
tribunal de commerce.

En ce qui concerne les actes mixtes la compétence du tribunal dépend de la qualité


des parties au procès.

Dans cette logique, le commerçant a l’obligation d’assigner le non commerçant


devant le juge civil. Il n’a donc pas la possibilité d’altère le non commerçant devant
le juge commercial. En ce qui concerne le non commerçant, la règle découle d’une
jurisprudence constante qui prévoit une option en faveur de celui-ci. Il peut assigner
le commerçant a son choix soit devant le tribunal de commerce (TC) ou devant les
juridictions civiles.

La règle protège la partie non commerçante, en ce sens que les juridictions civiles
sont considérées comme étant les juges naturels des non commerçant qui protège
au mieux les intérêts des non professionnels.

SI DANS LE PARTIEL CAS PRATIQUE :


S’il y a un acte ou sont partie commerçant et non commerçant = acte mixte qui a
double caractère. Lorsqu’il y a un litige qu’il nait entre commerçant contre non
commerçant : on se demande devant quel juge ? c’est l’application distributive. Le
non commerçant doit entrainer sa démarche devant le juge civil et pas juge
commercial.

Si c’est le civil qui agit devant le commerçant : il a une option : soit on assigne
commerçant devant TC ou devant juridiction civil.

Les clauses compromissoires et le compromis d’arbitrage.


Il est possible que les parties recherchent une justice alternative qui est portée par
l’arbitrage = mode de règlement de diffèrent par des tiers (personne pv) désigné par
des parties au litige.

L’arbitrage est un grand attrait car est considérer comme une justice rapide contrôler
par les parties & rendu par les experts.

L’arbitrage ne prend pas les mm modes de recours que la justice étatique. La


procédure arbitrale est mise en œuvre par 2 procédés :

La clause compromissoire et le compromis d’arbitrage.

La clause compromissoire  est insérer dans le contrat avant la naissance du litige.


Elle désigne la convention par laquelle les parties s’engagent à saisir un tribunal
arbitral en cas de naissance d’un litige. A l’origine, la clause compromissoire est
valable que d’un contrat commerciaux conclus qu’entre commerçant. Ce qui suppose
que celle-ci était exclu des actes mixtes.

Cette prohibition a connu des assouplissements au fil des années  :


- Loi de mai 2001 : possibilité d’insérer une close compromissoire dans les
contrats conclus en raison d’une activité professionnel.
- Loi novembre 2016 : clause compromissoire doit être accepter par la partie à
laquelle on l’oppose. Lorsque l’une des parties n’a pas contracter dans le
cadre de son activité professionnel : la close ne peut lui être opposer.

Clause compromissoire = est conclu avant la naissance de litige : diffèrent avec le


compromis d’arbitrage = conclu après la naissance de litige.
Clause compromissoire = conclu qu’entre commerçant.

Conséquence : commerçant partie à l’acte mixte prévoyant une clause


compromissoire ne peut pas la faire jouer de plein droit. Il y a une option réserver au
consommateur.

Conclusion : clause compromissoire = convention par laquelle les parties à un ou


plusieurs contrats s'engagent à soumettre à l'arbitrage les litiges qui pourraient naître
relativement à ce ou ces contrats.

Compromis d’arbitrage  convention par laquelle les parties s’engagent a soumettre


le litige déjà né a un tribunal arbitral.
Article 2060 du code civil  l’arbitrage peut porter sur tte les matières qui se
retrouvent dans le champ du droit disponible. Les questions administratives (RPEP),
ou fiscales (divorce séparation de corps), ne peut pas faire l’objet d’un recours pour
arbitrage car cela concerne le droit indisponible.

La clause attributive de juridiction = clause par laquelle les parties déroge aux règles
de compétence territoriale. Cette clause est interdite dans les actes mixtes dans
lesquelles elle est réputés non écrite.

C’est une dérogation aux règles de compétence territoriales. Si on est en présence


d’un acte mixte la clause ne joue pas (elle est réputée non écrite), mais elle joue
qu’entre commerçant.

Paragraphe 3 : La preuve des actes mixtes :


En matière d’acte mixte, le non commerçant peut utiliser tout moyens de preuve
contre un débiteur commerçant. A l’opposé, le commerçant ne peut prouver
l’existence d’une obligation contre un non commerçant qu’en suivant les règles de
droit civil. Art 1369 du CC  si montant de l’obligation > 1500€ obligation de montrer
l’exigence du litige (acte écrit ou pas).

CCASS Arrêt du 8 février 2000  rappel que les actes de commerce a l’égard d’un
garage peuvent être prouver par tous moyens en raison de sa qualité de
commerçant lorsque la partie qui agis n’a pas cette qualité.
Quel est l’intérêt de ces règles distributives ? En amont d’une protection de non
commerçant réputé être la partie la plus fidèle de l’acte mixte.

TITRE 2 : L’IDENTIFICATION SUBJECTIVE DES ACTEURS


DU DROIT DES AFFAIRES :
Les commerçants sont considérés comme acteur majeur du droit des affaires. A
coter de cette catg d’acteurs, il existe d’autre personnes impliquées dans la vie des
affaires sans avoir forcément la capacité commerciale.

Chapitre 1 – Les personnes commerçantes :


Section 1 : la classification des commerçants :
Les commerçants sont classés en 2 catg : commerçants pers physique & pers moral.

Paragraphe 1 : Le commerçant personne physique :


A- L’exercice du commerce à titre individuel :
Il exerce son activité sous une forme individuel. Il procède à l’exercice de son activité
dans un cadre individuel = exerce du commerce à titre individuel. Cet exercice n’est
pas sans intérêt & permet au commerçant (pers physique) de centraliser tous les
pouvoirs.

Définition du commerçant : sont les commerçants tous ceux qui exercent des actes
de commerce et en font leur profession habituelle (art L121-1 du code du
commerce).

L’intérêt de l’exercice a titre individuel = l’entrepreneur doit conserver tous les pvrs en
matière d’admn, de gestion & d’organisation.

En marge de l’intérêt que représente l’acte du commerce exercer dans le cadre


individuel par le commerçant, emporte quelques risques :
- Risque patrimonial : commerçant exerçant à titre individuel n’a qu’un
patrimoine unique sur lesquels les créancier, professionnel et personnel
exerce un droit de poursuite.
- Risque de l’absence de personne moral : l’exercice de cette activité est
rattaché à la pers du commerçant. Tt les évènements de la vie qui affecte le
commerçant celui-ci produit des conséquences sur son activité
professionnelle (ex : maladie).

Il y a un régime de protection institué en faveur du commerçant (pers physique qui


exerce à titre individuel) :
- Protection qui résulte des lois de 2003 & 2008 : ont institué une déclaration
d’insensibilité de sa résidence principal & de l’ensemble de ses biens
immobiliers bâtis ou non.

Lorsqu’elle est faite : les créanciers ne peuvent plus poursuivre l’exécution forcée
portant sur l’application principale ou des biens fonciers.
- Loi de 2015 : améliore la protection du patrimoine exerçant à titre individuel.

L’entrepreneur individuel peut déclarer devant notaire l’insensibilité de ses biens


foncier.

A la diff de l’entreprise indiv a resp limité = affectation de patrimoine dépourvu de la


personne moral (ce n’est pas une pers moral, c pas une société).

L’entreprise unipersonnel a la resp limité = cette soc n’est qu’une soc a resp limité a
associé unique. Ce qui suppose que cette entrp a la personnalité juridique, c une soc
commercial et détaché de la personne de l’entrepreneur individuel. C une personne
moral doté de la personnalité juridique complètement autonome.

POUR LE PARTIEL : CAS PRATIQUE :


La protection du patrimoine de l’entrepreneur : on doit évoquer toutes les mesures de
protections, mesure de protection d’insensibilité, insensibilité de plein droit, et
possibilité de passer devant un notaire, entrp individuel a resp limité et unipersonnel
a resp limité…

B-Le conjoint du commerçant :


La personne physique peut exercer son activité commerciale à titre individuel (pas de
personnel, salariées …). Mais il peut se retrouver dans un environnement familial.

On parle du conjoint du commerçant. A l’origine l’épouse était exclue du droit


d’exercer une activité commerciale.
- Loi septembre 1942 : avant cette loi : inégalité entre homme et femme
persistait puisqu’il était considéré que la femme n’avait pas la capacité
commercial (il fallait être un homme et avoir autorisation du mari).

Depuis article L121-3  permet à la femme d’exercer librement le commerce en


prenant la qualité de commerçante. Le commerce qui confère au conjoint la qualité
de commerçant est celui exercer de façon autonome & indépendante de celle de
l’époux.

Le conjoint du commerçant est réputé commerçant que s’il exerce une activité
commerciale totalement séparé de celle de son époux.

Si soc commercial est créer que par un seul époux mais que l’autre s’est imiter
totalement dans cette activité, est-il commerçant ? (Litige lorsqu’il il y a partage de la
soc).

Donc l121 : qualité du commerçant est autonome de celui- de l’époux donc le


mariage n’emporte rien et on n’a pas la qualité de commerçant.

Existence de 3 hypothèses : L121-4 du code du commerce :


- L’époux qui aide son conjoint peut prendre la qualité de conjoint collaborateur,
salarié et conjoint associée.
 Conjoint collaborateur (attribué au moment de l’inscription du registre de
commerce et des soc = ne confère pas la qualité de commerçant).
 Conjoints salariés : loi impose l’existence d’un contrat de travail effectif. Le contrat
de travail ne doit pas être purement fictif et doit remplir tte les conditions de
travail, de rémunération et de subordination.
Cependant la qualité de salarié emporte quelque limite en raison des exigences
lorsque l’époux commerçant est en début d’activité.

 Conjoint associée : c une option conseiller a l’entrepreneur. Il engage son conjoint


dans l’activité commercial pour limiter l’investissement qu’elles exigent.

En début d’exercice, L’activité commerciale supporte difficilement des charges trop


importantes. Conclure un contrat de travail avec son conjoint, peut représenter une
charge énorme susceptible de créer des difficultés à l’entreprise.

La loi offre cette possibilité & le conjoint intervenant peut prendre la qualité d’associé
et cette qualité emporte quelques exigences :

 L’association a la création de l’entreprise ne doit pas être fictive.


 Les apports au capitales sociales doivent être réelle et caractériser une
participation effective.
 La fictivité de la soc constituer entre epoux est sanctionner par la nullité.

Le régime matrimonial du conjoint peut avoir des incidences sur l’obligation de


l’époux non commerçant. En effet, la communauté de bien réduite aux acquêts en
tant que régime légal, expose le patrimoine commun des époux puisque les biens
acquis après le mariage se retrouvent dans la communauté.

Ils sont appelés à répondre aux dettes personnels et professionnelles de chacun


d’eux. Il est donc intéressant pr l’entrepreneur individuel de privilégier le régime
conventionnel de la séparation des biens.

Paragraphe 2 : le commerçant, personne moral :


A- Les sociétés :
Il existe plusieurs critères de classification de la société commercial.
La classification peut etre fondé sur le risque, sur la finalité qui permet de distinguer
les sociétés de capitaux au soc de personne & peut être fondé sur la nature de son
objet.

Lorsque les soc commerciales est fondé sur les risques : distinction des soc a
risques limité à risques illimité. Toutes les autres formes sociales relèvent des soc a
risque illimité.

SOC = contrat par lequel une ou plusieurs personne met en commun des biens dans
le but d’exercer une activité eco pr partager le bénéfice, profiter de l’économique &
contribuer aux dettes.
Le commerçant peut choisir d’exercer son activité dans le cadre d’une société.
Lorsqu’il fait le choix d’exercer le commerce dans ce cadre, il y a des
conséquences qu’il importe de rappeler.

La soc est une personne moral & se distingue de la personne du commerçant & est
doté de la pers juridique & constitue donc un sujet de droit doté d’un patrimoine.

Elle peut agir en justice (en demande ou défense). Dans la pratique, elle se fait
représenter par c dirigeant légaux.
La société commerciale, en ce qui concerne son examen, va se fonder sur la
distinction opérée entre les pers morales rencontrer dans la vie des affaires.

On distingue les sociétés d’un groupement d’intérêt économique. La classification


suivie ici repose sur la nature de l’activité exercer par la société.

On distingue : sociétés commerciales par la forme & société civil :

 Société commerciale par la forme = soc qui sont réputés commercial qlq soit
la nature de l’activité qu’elles exercent. Sont ainsi réputé commerciales par la
forme, la soc anonyme, soc par la science simplifié, soc en amont collectif,
soc simple, soc en commandite par la science.

Dans les sociétés commerciales par la forme : certaines exigent la capacité


commercial & confère à leurs associés la qualité de commerçant (c le cas pr la soc
collectif).

 Société civile : sont considérer comme tel en raison de la nature civil de leur
activité. Il y a deux types : Soc civile immobilière et soc civil professionnelle.

Les socs civils peuvent faire l’objet de requalification par le juge en société de fait.
Elles sont requalifiées lorsqu’elles exercent une activité commerciale dans la
perspective de bénéficier de certains avantages fiscaux.

B- Les groupements d’intérêt économique :

Sont des personnes morales qu’on retrouve dans la vie des affaires. Article L121-1
du CD commerce « grpment d’intérêt eco sont constitués par 2 ou pls personnes
physiques morales pour une durée déterminée ».

Ce groupement est créer par les parties prenantes dans le but de promouvoir
l’activité de chacun d’elles.

Dans la pratique, les commerçants (pers physique et moral) créer le grpment


d’intérêt eco dans le but d’améliorer ou d’accroitre le résultat comptable de leur
activité.

Ce grpment peut avoir un objet civil ou commercial & a un caractère auxiliaire. Cela
suppose, que le groupement d’intérêt eco, ne doit pas dvlper une activité eco diff de
celle de ses membres. Le grpment d’intérêt eco d’un pdvu juridique est une personne
moral doté de la personnalité juridique.
Il fait donc l’objet d’une manipulation au registre du commerce et des socs qui lui
confère la personnalité juridique.

Les personnes rencontrées dans les affaires peuvent avoir des qualités autres que
celles commerciales. Les commerçants exerçant dans le cadre individuel ou en soc
sont astreint à diverses obligation.

SECTION 2 : Les obligations des commerçants :


Ces obligations de commerçants de repartissent en obligation administrative
comptable ou fiscale.

Paragraphe 1 : les obligations administratives comptable :


Les obligations administratives du commerçant ne sont pas générales. Ces
obligations imposent généralement aux commerçant des formalités à accomplir soit
avant la constitution de la société ou avant l’exercice de l’activité statuaire.

A- L’exigence d’une autorisation administrative :


En principe le commerce est gouverné par l’exercice de la règle de la liberté de
commerce et d’industrie. Cela sous-entend, que les opérateurs eco sont totalement
libre de choisir l’activité qu’ils entendent exercer, la forme sous laquelle l’activité sera
exercée et le lieu.

La liberté de commerce et d’industrie bénéficie d’une grande protection & est élever
au rang de principe constitutionnelle. Cependant, son caractère fondamental,
n’exclut pas les hypothèses d’encadrement légal. La loi prévoit dans certains cas
l’obtention d’une autorisation préalable à l’exercice de l’activité commercial.

Ainsi, doivent être autoriser préalablement l’activité d’entrepreneur du spectacle, les


agences de voyages, le transport routier, l’exploitation de pharmacie, l’activité
d’agent immobilier & les installations dangereuses pr l’environnement.

Le défaut d’obtention d’autorisation administrative, exposent l’entrepreneur a des


sanctions civiles, et pénales.

Lorsque la loi prescrit l’obtention préalable d’une autorisation administrative qui ft


défaut, le juge saisit peut prononcer l’interdiction d’exercice professionnel temporaire
ou définitive. Il peut condamner l’entrepreneur a une amende qui varie en fonction du
délit & l’État peut se constituer partie civile.

B-L’exigence d’une déclaration administrative :


La déclaration administrative est une formalité plus souple & n’est ps une condition
d’exercice de l’activité commercial. Certains commerçants, doivent procéder à la
déclaration de leur activité auprès d’une autorité administrative indiqués.
Généralement c’est l’autorité préfectoral. Il recoit les déclarations et attribue un
numéro ou une carte d’exercice de l’activité considérée tel est le cas du commerce
ambulant ou du commerce de voie publique.

Le commerçant ambulant doit déclarer sont activité sous risque une interdiction
d’exercice. Cependant, le régime de la déclaration permet la régularisation.

PARAGRAPHE 2 : LES OBLIGATIONS COMPTABLES :


Le commerçant en soc ou à titre individuel est soumis à un régime réel d’imposition.
Il faut à ce titre, tenir une comptabilité normale = comptabilité qui présente le bilan et
le compte de résultat.

Lorsque l’activité du commerçant n’est pas importante il peut se limiter à la tenue


d’une comptabilité simplifié qui s’entend de la tenue du livre des recettes & du livre
des achats.

La tenue d’une comptabilité impose une obligation de sincérité et de fidélité dans les
déclarations comptables. Lorsque l’entreprise ne tient pas la comptabilité qu’elle soit
normale ou simplifiés elle s’expose à une taxation d’office.

La tenue de comptabilité appel des connaissances techniques. Selon la taille de


l’entrp, la loi permet au commerçant exerçant a titre invendue ou en société de confié
l’accomplissement de cette obligation a un professionnel externe. Dans ce cas c’est
un expert-comptable.
Le commerçant ne doit pas simplement procéder à des déclarations comptables. La
loi exige une déclaration qui reflète à la réalité patrimoniale de l’entreprise.

Lorsque les déclarations effectuées violent les obligations de fidélité et de sincérité :


sanctions :
- Cessation temporaire d’activité qui peut aller jusqu’à 2 ans.
- Si violation grave peut entrainer la radiation.

En ce qui concerne les micro entrepreneurs qui cessent temporairement leur activité,
peuvent se soustraire a l’obligation de declaratiin dans un delais maximal de 2 ans
etre radié pour autant.

Faude fiscale = violation des regles de comptabilité.


Optimisation fiscale = manipulation des regles fiscales pour limiter le montant de
l’impot a payer.

CHAPITRE 2 : LES PERSONNES NON COMMERCANTES :

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