Vous êtes sur la page 1sur 11

Chapitre 01 les notions de base de la topographie

Chapitre 01 : les notions de base de la topographie


Apres les évolutions dans le secteur de la construction d’une façon générale, le besoin de
développer les moyens utilisés sont de plus en plus primordiale pour suivre le progrès de cette
dernière. Le faite que la topographie est une discipline major dans ce domaine elle aussi a
connue des mutations dans le temps.

1. Historique et évolution de la topographie1


À partir de la Renaissance, le foisonnement d’inventions trouve des débouchées dans la
commande publique. Puis, au XIXe siècle, la cartographie progresse à pas de géant, avant
qu’une nouvelle vague d’innovations ne révolutionne l’appareillage au XXe siècle…
Galilée n’a pas réellement inventé la lunette astronomique… Mais il l’a si bien
perfectionnée qu’on lui en attribue souvent la paternité. Après l’apparition des premières
lunettes hollandaises en 1608, grossissant trois fois, le savant italien réussit à mettre au point
une lentille grossissant six puis dix fois. Tournant alors celle-ci vers le ciel (1609-1610), il
ouvre la voie à l’astronomie moderne, découvrant les cratères de la lune, les étoiles de la voie
lactée, les taches solaires et les satellites de Jupiter.
Plus symboliquement, l’apparition de la lunette astronomique marque une étape, celle où
l’homme prend la mesure du monde, parallèlement aux découvertes de la Renaissance. Son
regard se transforme, la longue série de transformations qui va aboutir à la topographie
moderne débute.
Toutefois, les inventions ne sont rien sans l’appui de la puissance publique, qui leur donne
l’occasion d’applications concrètes. C’est ainsi que les grands travaux initiés par un Louis
XIV par exemple sont l’occasion de mettre en œuvre de nouvelles pratiques. Parallèlement,
l’introduction des armes à feu oblige à revoir les stratégies militaires, nécessitant
l’établissement de cartes d’état-major détaillées. Autant d’attentes qui favorisent les progrès
de la topographie.
Les innovations ne tardent pas avec, en 1666, l’invention du niveau à bulle puis celle du
niveau à lunette par l’abbé Jean Picard. Vingt ans plus tard, le Hollandais Christian Huygens
améliore le procédé, en élevant la portée à plus de cent mètres. C’est aussi l’abbé Picard que
Colbert, nommé Contrôleur général des finances en 1665 par Louis XIV, charge de réaliser
des cartes de France « plus exactes que celles qui ont été faites jusqu’ici ».
Les innovations s’accélèrent, le XVIIIe siècle s’ouvre avec la publication du premier traité
complet de topographie, en 1702, sous le titre « La Géométrie pratique ». À la même époque
sont posées les bases de la géodésie moderne, Pascal et Huygens utilisant la triangulation pour
démontrer l’aplatissement de la Terre aux pôles. Mais la théorie ne sera définitivement
validée qu’après les expéditions de La Condamné et Maupertuis au pôle et à l’équateur en
1735-1737.
Ces missions ouvrent de nouveaux horizons à la cartographie comme à la topographie.
Deux générations de Cassini furent nécessaires pour achever la première carte générale du
royaume de France. Entamée par le père César-François en 1754, elle ne fut terminée par son
fils Jean-Dominique qu’en… 1815 ! Dans l’intervalle, une nouvelle cartographie fut
1 eme
R. DUQUETTE et E.P. LAUZON ; « topographie générales » 3 edition ; MONTREAL ; 1996.
3
Chapitre 01 les notions de base de la topographie

commandée par Napoléon. Cette célèbre carte de l’état-major au 1/80 000e ne sera complète
qu’en 1880. L’empereur fait aussi établir un cadastre entré en service en 1807.
En 1799, le mètre nouvellement adopté par l’académie des sciences est défini comme le
quart du dix millionième du méridien terrestre. Il faudra attendre encore près d’un siècle pour
que les systèmes géodésiques du monde entier ne tentent de se coordonner au premier congrès
de l’Association internationale de géodésie (1886). Pendant ce temps, le niveau zéro pour la
France a été fixé en 1897 au marégraphe de Marseille.
Parallèlement, les appareils poursuivent leur mue. Le théodolite, inventé au XVIIIe siècle,
se répand dans les cent ans qui suivent. À partir des années 1950, c’est au tour du théodolite,
puis du tachéomètre, de prendre le relais. Avant que la puissance de calcul de l’informatique
et les données transmises en temps réels par satellite ne fassent basculer la topographie – et
les autres sciences de la Terre – dans l’ère de la géomatique…
Toute notre gratitude envers l’Association pour la Mémoire du Patrimoine de
l’Equipement, dont les fascicules « Les Outils de la route de l’antiquité à nos jours » ont
fourni les illustrations présentées ci-après, ainsi que de nombreuses informations sur l’histoire
de la topographie.

2. Définition de la topographie2
La Topographie, dans son sens le plus général,est une science très vaste qui a pour objet tout
ce qui concerne l’établissement des plans et cartes ainsi que leur utilisation.
But du la topographie :
La Topographie est la science qui a pour but de représenter sur une feuille plane une
portion de la surface terrestre à une échelle donnée.
Une carte représente une surface très étendue généralement à une échelle très petite.
Un plan représente une surface plus restreinte et a une échelle très grande.
L’échelle : c’est le rapport de similitude de la figure du plan à la figure de terrain,
autrement dit rapport entre la distance qui sépare deux points sur la carte et la distance
horizontal correspondent sur le terrain.
Gisement : c’est l’angle horizontal que fait une direction avec le Nord Lambert (sens des Y
croissant), il se compte à partir de la partie positive de l’axe des Y, dans le sens des aiguilles
d’une montre de 0 à 400 grades ou de 0 à 360°. Il est constant le long d’une direction.

VAB arctanGG ) VAB B

DAB
A

2 eme
R. DUQUETTE et E.P. LAUZON ; « topographie générales » 3 edition ; MONTREAL ; 1996.
4
Chapitre 01 les notions de base de la topographie

Gisement inverse ou arrière : le gisement arrière d’une droite AB est le gisement de BA .si
le gisement de AB, soit GstABG est de 50gr, son gisement inverse soit GstBA est égal a 250gr (
si GstAB 100gr GstBA = GstAB + 200gr et GstAB 200gr GstBA = GstAB 200gr ).
L’azimut: en général, l’azimut d’une ligne est l’angle compris entre 0 et 360 , mesuré
dans le sens des aiguilles d’une montre, à partir de la direction nord du méridien local jusqu’à
la ligne. L’azimut de AE est de 290 . Il est important de noter ce qui concerne l’azimut, le
méridien de référence est celui qui passe par l’origine de la ligne.
N

A
E

AE = 290

S
L’azimut d’une droite.

Azimut inverse ou arrière : pour obtenir l’azimut inverse ou arrière d’une ligne, il faut lui
ajouter ou lui retrancher 180 sans oublier de tenir compte de la convergence des méridiens,
de façon générale, il ne devrait être question qu’en géodésie.

La géodésie : est la science qui a pour but de déterminer la forme et les dimensions de la terre
d’étudier le champ de la pesanteur, ainsi que leur variation : c’est aussi l’ensemble des
techniques qui permettent de déterminer les positions planimétriques et altimétriques des
points géodésiques et des repères de nivellement.

Les opérations topographiques se divisent en deux grandes catégories :

a) La planimétrie
b) L’altimétrie
La planimétrie: consiste à déterminer la position de tout détail d’une portion de la
surface terrestre, supposée plane, au moyen des mesures d’angles horizontaux et des
distances horizontales.
L’altimétrie: consiste principalement à déterminer la hauteur (ou l’altitude) des points
au-dessus d’une surface de référence, à mesurer la différence d’altitude entre les points et
à représenter le relief au moyen de conventions appropriées.
La polygonation : c’est l’ensemble des opérations qui consistent à mesurer et à calculer une
polygonal. Le calcul des polygonal se fait par coordonnées et s’inspire donc fortement de la
topographie et le calcul se fais à l’aide du gisement et la distance de chaque côté.

5
Chapitre 01 les notions de base de la topographie

But d’une polygonale : pour faire un levé topographique, qui consiste à relever pour un
territoire donné l’ensemble des détails naturels et artificiels tant en altimétrie qu’en
planimétrie, et pour faire la représentation graphique , il faut établir sur le terrain des lignes de
contrôles qui suivront de référence afin de lire les détails. L’établissement de ces lignes de
contrôle constitue en fait la structure polygonale.
3. Les éléments clé de la topographie3 :
3.1- l’implantation de la topographie : En topographie l'implantation est l'art de passer du
plan, qu'il soit informatisé ou papier, au terrain. Il s'agit de matérialiser sur le terrain le tracé,
l'axe ou les limites d'un projet informatique ou papier (route, maison…). Les coordonnées des
points à implanter peuvent être calculées au préalable et transférées dans un tachéomètre ou
un GPS différentiel pour faciliter le travail sur le terrain 4.
Les phases de l’implantation en topographie :

Exploitation des documents de terrain ou des plans dont on dispose pour en extraire
par lecture directe ou par calculs éléments d’implantation.
Application sur le terrain des moyens et des procédés nécessaires à l’implantation.
L’opération et les différents types de l’implantation :

Les opérations d’implantation: existant comme suit :

Nécessité d’utiliser un canevas de base. Dans bien de cas, celui qui a servi au levé de
terrain est utilisé pour l’implantation.
Etablir avec précision la chronologie des opérations.
Nécessité de meures surabondantes pour assurer les contrôles et la compensation des
erreurs accidentelles
Les types de l’implantation :

Implantation d’un point :

L’implantation d’un point se fait par :

- Alignement entre deux points connus ;

- Perpendiculaire à une droite donnée ;

- Procédé de la médiatrice ;

- Trace d’un angle donné ;

- Implantation de point par abscisses et ordonnées ;

- L’implantation de point par les cordonnées polaires (rayonnement).

3
M.BRABANT, « topographie operationnelle : Mesure, calcule, dessinis », edition eyrolles, Paris, 2011.
4
https://fr.wikipedia.org/wiki/Implantation_(topographie)
6
Chapitre 01 les notions de base de la topographie

3.2- levé en topographie : En topographie, levé un lever (ou levé) a pour objectif de récolter
des données existantes sur le terrain en vue de leur transcription, à l’échelle, sur plan ou sur
carte. L’ensemble des informations obtenues, un semis de points, peut aussi avoir cette
dénomination de levé.

Les fasses de levé en topographie : utilise les valeurs de tous les éléments planimétriques et
altimétrique, appeler topométrie, et généralement la topométrie est la technique de levé mise
en œuvre aux grands échelles.

L’opération et les différents types du levé :

L’opération du levé : les opérations du levé étudie comme Suits:


Établissement d’un réseau du levé.
le levé des détails existant sur le terrain.
Le calcul nécessaire pour l’exécution des plans et des cartes.
Les types de levé topographie :
Levé ou cercle et à la chaîne.
Lever à l’équerre optique et à la chaîne.
Levé tachéométrie.
Lever à la planchette.
Lever à la boussole.
Lever à la chaîne.
3.3- Les courbes de niveau5 : Une courbe de niveau est une ligne qui relie les points
consécutifs de même altitude du terrain, elle est donc contenue tout entière dans un même
plan horizontal et par conséquent projetée sans déformation sur le plan topographique.

5
M.BRABANT, « topographie operationnelle : Mesure, calcule, dessinis », edition eyrolles, Paris, 2011.
7
Chapitre 01 les notions de base de la topographie

Ou bien c’est la représentation unanimement adopter, on l’appelle aussi plan hypsométrique,


le relief est représenter par la projection à l’horizontalité des sections des plans horizontaux.
L’équidistance est la différence altitude des plans horizontaux de deux courbes consécutives
constante pour une feuille, elle est fonction de l’échelle et de relief, égal a 5m le plus souvent
pour la carte de base, L’équidistance est une dénivelée calculable, qui une peut pas être
mesurée sur la carte et qui n’a aucun rapport avec la distance horizontale.
Les courbe maîtresses en trait continu épis, situées toutes les cinq courbes à partir de l’altitude
zéro. Les courbes ordinaires, en trait continu moyen.
Les courbes intercalaires, en trait interrompu fin, qui ne sont en fait que des portions des
courbes destinées à préciser un mouvement localisé de terrain que les courbes ordinaires ne
font pas apparaître.
Si les courbes de niveau traduise assez bien un relief d‘ érosion elles sont par contre beaucoup
plus difficile à interpréter.

3.4- Le nivellement direct et indirect :6


Le nivellement est l’ensemble des opérations qui permettent de déterminer des altitudes et des
dénivelées (différences d’altitudes) ; altitude d’un point est la distance en métre entre ce point,
et une surface niveau zéro.
Le nivellement peut s’effectuer selon trois procédés qui sont par ordre de précision
décroissante :
Le nivellement direct ou géométrique.
Le nivellement indirect ou trigonométrique.
Le nivellement barométrique (méthode de nivellement basée sur des mesures de
pressions atmosphériques) peu précis.
Le nivellement direct : Le nivellement direct s’appuie exclusivement sur des visées
horizontales, En général est exécuté avec un niveau.
Les niveaux sont classés en trois catégories, chaque catégorie correspond à des besoins
différents, et à des méthodes appropriées.

6 eme
R. DUQUETTE et E.P. LAUZON ; « topographie générales » 3 edition ; MONTREAL ; 1996.
8
Chapitre 01 les notions de base de la topographie

1. Niveau de précision ( Nivellement direct de haute précision) ;


2. Niveau d’ingénieur ( Nivellement direct de précision) ;
3. Niveau de chantier ( Nivellement direct ordinaire).
Principe du nivellement direct :

Soit à déterminer l’altitude HB d’un point B connaissant l’altitude HA d’un point A


On dispose :

D’une mire verticale graduée en centimètres en A ;


D’une mire verticale graduée en centimètres en B ;
D’un niveau en station ou milieu de AB ;
On effectue une lecture sur la mire en A (lecture arrière) AR, une lecture sur la mire
en B (lecture avant) AV ;
La lecture se fait avec le trait horizontal médian du réticule (trait niveleur), la
dénivelée H ( H = L AR – L AV) est égale en grandeur et en signe à la différence
des lectures AR et AV

N-B : un niveau peut être déréglé et dans ce cas son axe optique n’est pas horizontal, les
observations faites sont donc inexactes, il est utile de mesurer l’importance de l’angle de
dérèglement du niveau (collimation)

Les niveaux :

a) Mise en station des niveaux : peut être effectué à l’aide de trois vis calantes
b) Les nivelles : l’horizontalité de la visée est obtenue soit par l’intermédiaire d’une
nivelle ou bien automatique.
Le nivellement indirect :

Principe : ayant calculé ou mesuré la distance entre deux point A et B, on mesure l’angle de
l’inclinaison (i) de AB,

Si AB a été mesuré selon la pente : dénivelée (dn) = Dp sin( )

Avec bien sûr :

Dp : c’est la distance en pente

9
Chapitre 01 les notions de base de la topographie

I : Angle verticale entre A et B


Si AB a été mesuré à l’horizontale : dénivelée (dn) = Dp tan( )

Avec bien sûr :

Dh : c’est la distance horizontale.


I : Angle verticale entre A et B

Le nivellement trigonométrique : le nivellement trigonométrique set généralement


effectué à court distance, la formule générale reste valable, soit à déterminer l’altitude
de point B connaissant celle de A
En appelant : - ht : la hauteur de l’instrument en A.

- hv : la hauteur du point visé sur la mire en B.

-Dn : la dénivelée entre A et B.

Donc : Altitude de B = Altitude de A + dn ou dn = ht + dh*tan( ) – hv

Dans la pratique, on a observé en B une mire à la même hauteur que l’appareil en A (hv = ht)

Donc : Dn = dh*tan( )

Cheminement en nivellement indirect : comme le cheminement en nivellement


direct, il relie deux A et B d’altitude connues :

10
Chapitre 01 les notions de base de la topographie

1. Chaque somment sera stationné.


2. Les visées seront réciproques.
On obtient une dénivelée directe de A sur SI
A chaque station l’opération effectuera deux lectures de cercle vertical (cercle gauche
et droite)
Les dénivelées, directes et inverses ne devront pas différer de plus de 1 ou 2 par
rapport à l’unité de la mesure.
Le signe de la dénivelée sera toujours celui de la visée direct(d).

En prenant la moyenne des visées, directes en inverses et les additionnant algébriquement, on


obtient en B une altitude dont la différence avec l’altitude connue est l’écart de fermeture.
3.5- Contrôle des ouvrages : il Ya deux types de contrôle
1. Contrôle verticale7 : ce type de contrôle il est spécifique pour l’élément verticale
comme des poteaux, cette opération sa se fait avec un appareille de niveau qui
mesure les angles et sella après la réalisation de l’ouvrage.

Les étapes pratiques : _ placer l’appareille topographie dans S1, et sella sur les frontière
d’une 2 façade verticale de l’élément.

_ on vise au-dessous de l’élément ( A) puis la lecture de l’angle HZ sur cercle


horizontal

_ On vise au haut de l’élément (B) puis on commence à lire l’angle HZ(B) sur le
cercle horizontal

_ Si HZ (B) = HZ (A) l’élément est on position verticale sur cette direction.

_ Si HZ (B) # HZ (A) l’élément n’est pas on position vertical sur cette dernière
direction, donc on doit calculer la valeur déviation
tan( )= d = h ab tan( ).

7
Réaliser par nous même
11
Chapitre 01 les notions de base de la topographie

h ab : hauteur de l’élément ; d : déviation ; hz: la déffirence entre les deux


lecture.

Nb : on reproduit la même opération sur la station S2 qu’est en position verticale sur la


1erestation.

2. Contrôle horizontale : ce type de contrôle il est spécifique pour l’élément


horizontale comme des poutres, cette opération sa se fait avec un appareille de niveau
qui mesure les angles et sella après la réalisation de l’ouvrage.

Les étapes pratiques :

_ Placement de l’appareille topographique sur la station (S) a une même distance des
limites de l’élément de la sorte quand construire un triangle.

_ visé le point sur les limites de l’élément (A) puis on lire la valeur de (VA) sur le
cercle verticale.

_ visé le point sur les limites de l’élément (B) puis on lire la valeur de (VB) sur le
cercle verticale

_ Si VA = VB l’élément est dans une bonne position horizontale.

_ Si VA # VB la situation horizontal de l’élément n’est pas de bonne position


horizontale, donc on va calculer l’inclinaison (C).

tan( ab ) = C = Dab *tan( )

Dab : c’est la distance entre a et b ; DVab : déférence lecture Vb – Va ; C : l’inclinaison


de l’ouvrage.

4. Une bonne mise en station : Mettre un appareille en station consiste a réalisé


simultanément le calage verticale de pivote et le centrage verticale physique du point de
station, l’appareille et fixé sur la tête d’un trépied coulissantes dans la tête évidée autorise une
petite translation de l’appareille, la lunette étant à la hauteur des yeux de l‘opérateur, ce
dernier avoir placé l’instrument sensiblement au centre de la tête et réglé la vis calantes à mi-
course. dispose l‘ensemble trépide appareil au-dessus du point du col en estiment au mieux
l‘horizontalité de la tête du trépied et le centrage du point, tout en enfonçant les jambes à refus
si le sol et meuble, il peut aussi mettre seulement le trépied en station à l’estime et fixé
l’appareille après coup, dans fort pente, placer deux jambes du trépied sur une même courbe
de niveau en aval du point, la troisième en amont. La qualité de cette mise en station à
l’estime conditionne la réussite des manipulations suivantes réalisées dans l’ordre
chronologique :
1 pointer le plomb optique sur le point au sol avec les vis calantes
2) caler la nivelle sphérique de l’embase en jouant sur les longueurs des jambes du trépied.

12
Chapitre 01 les notions de base de la topographie

3) caler le pivot vertical à l’aide des vis calantes et de nivelle torique ou électronique.
4) Centrer la plombe optique sur le point de station en translatant l’instrument sur le trépied.
5) Terminer par un calage de pivote.
6) Affiner une seconde fois le centrage puis le calage

5. les avantages topographique 8: la topographie est classé parmi les sciences les plus utile à
l’humanité en général avec ces apports, on peut citer :
1) Évaluer les pressions exercées sur les constructions et faire le nécessaire pour assurer
sa solidité ainsi que ma sécurité des usagers. Exemple : dans une station de ski, grâce
au travail de topographe, on a amélioré la sécurité des pistes et obtenu un domaine
skiable de niveau international.
2) Avec les données obtenues par satellite, on pourra surveiller le chargement de la
croute terrestre et peut-être réduire les effets des séismes sur la population. Et puis,
qu’il s’agisse de la maison que vous bureau dans lequel vous travaillez ou de l’école
que vous fréquentez, tous ont probablement nécessite l’intervention d’un topographe
lors construction.
3) La topographie nous a donc concrètement utiles. que ce soit avec des cordes ou des
satellites, elles cherchent à donner un sens et une organisation à notre mode complexe.
Et tant que nous bâtirons et que nous apprendrons du mode qui se trouve au-dessus de
nos têtes et sous nos pieds, nous aurons besoin de géomètres.
4) La topographie est la première intervenante sur le terrain lorsqu’un projet de bâtiment
ou d’aménagement est décidé. C’est elle quand on utilisé pour déterminé les limites du
terrain et son aptitude physique et juridique à l’aménagement.

6. les inconvénients de la topographie 9: les inconvénients de métier topographe que ça peut


avoir :

1) Le géomètre topographe c’est un homme de terrain, un peu sportif quand même et


donc en principe en bonne santé. Si tu es allergique au printemps, et que tu ne peux
pas rester en pleine nature sans éternuer et le nez qui coule.
2) Avec l’introduction de technique de pointe, le métier s’est énormément modernisé.
Les logiciels de métrés, le dessin assisté par ordinateur, les systèmes d’informations
géographiques, les images satellites permettent d’obtenir des relevés plus puissants et
de gérer des données plus nombreuses. donc faut être copain avec les ordinateurs
et les nouvelles technologies.
3) Pour mener à bien toutes ses missions, le topographe rencontre de nombreux
interlocuteurs; représentants de l’État, particulières, professionnels de l’immobilier,
élus locaux, chefs de projet des collectivités territoriales, architectes, urbanistes,
paysagistes, notaires, avocat…….etc.

8
Réalisé par nous même
9
S.MILLES, J. LAGOFUN, « topographie et topométrie moderne », éditons eyrolles, Paris, 1999.
13

Vous aimerez peut-être aussi