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Thème
HAOUES.N……………………………………………………………. Examinateur
MOUHOUBI.S………………………………………………………… Encadreur
Mes professeurs
Merci, à tous
BENGHARBI ADEL
BOUNEFFA ABDELGHANI
Remercîment
BOUNEFFA ABDELGHANI
Nomenclature:
AC Courant alternatif.
API American Petroleum Industry.
ASME American Society of Mechanical Engineering.
ASTM American society for Testing and Materials.
AWS American welding society.
BPVC Boiler and Pressure Vessel Code
C Carbone
CA Coupon acier
CD Control Destructive
Céq Carbone équivalent
CFC Cube à Faces Centrées
CI Coupon inoxydable
CND Contrôle Non Destructifs
Cr Chrome
Cu Cuivre
DC Courant Continue
DT (Destructive testing) contrôle destructifs
E épaisseur des plaques métallique
GMAW soudage à l'arc sous protection gazeuse
Gr Grade
ZAT zone affecté thermiquement
HP Haute Pression
MIG Soudage à l'arc métallique sous protection gazeuse
MMA procédé d'arc enrobé
Mn manganèse
Mo molybdène
Nb Niobium
NDT (CND) contrôle non destructifs
Ni Nickel
PQR Procedure Qualification Records
PT Contrôle par ressuage (penetrant testing)
PWHT Traitement thermique après soudure (Post weld heat treatment)
QW code par la norme ASME qui signifie "Welding" ou Soudage en français
RMS Résultat de la Méthode de Soudage
RT "Radiographic testing" contrôle par radiographie
S Sulfur
SAW Soudage à l'arc submerger
Si Silicium
SMAW Soudage à l'arc enrobée
Ti Titan
TIG Soudage au Tungstène sous protection gazeuse
UT "Ultrasonic testing" contrôle par ultrason
V Vanadium
VT "Visual testing" contrôle visuel
W Tungsten
WPS welding procedure specification
Zr Zirconium
Table des matières
Chapitre 1: Généralités et recherche bibliographique
Introduction générale
I.1 Introduction……………………………………………………………………………………….3
I.2 Présentation de l'entreprise ALIECO……………………………………………………………..3
I.3 Historique été généralité de soudage……………………………………………………………...5
I.4 Le soudage………………………..……………………………………………………….………6
I.4.1 Les bases et principes de soudage………………………...………………………………….….6
I.4.2 Le comportement des métaux lors du soudage……………………………..…………………...6
I.4.3 Différentes type protecteurs du cordon de soudure……………………………………………...7
I.4.4 Avantages du soudage…………………………………………………………………………...7
I.4.5 Types de soudures…………………………………………………………...……………….….7
I.4.6 Les procédés de soudage à prendre en considération lors de notre étude…………………….….8
I.4.6.1 Le soudage à l'arc enrobée (SMAW)………………………………………….…………….…8
I.4.6.1.1 La source d'énergie………………………………………………………………………….9
I.4.6.1.1.1 Le courant électrique…………………………………………….………………………...9
I.4.6.1.1.2 La polarité………………………………………………………………………………....9
I.4.6.1.2 Electrode……………………………………………………………………………….……9
I.4.6.1.2.1 Âme métallique……………………………………………………….………...….……...9
I.4.6.1.3 Enrobage…………………………………………………………………..………….……10
I.4.6.1.3.1 Différents rôles de l’enrobage……………………………………………………….…...10
I.4.6.1.4 Type d'électrode………………………………………………………………….………...10
I.4.6.1.5 Les composent nécessaire pour un travail de soudage d'arc…………………….…………11
I.4.6.2 Soudage à l'arc submerger (SAW)………………………………………………….………..12
I.4.6.2.1 Le flux utilisé lors d'un soudage SAW………….……………….……………..………….12
I.4.6.2.2 Disposition générale du processus d'arc submergé………………………………….……..13
I.5 Défauts de soudage………………………………………………………………………………13
Annexe
Liste des figures
Tableau II.1: les éléments chimiques de l'acier inoxydable ASME SA240 304N
Tableau II.2: Les éléments chimique de l'acier ASTM A283Gr. C.
Tableau II.3 : Compositions chimique de l'électrode rutile E308L.
Tableau II.4: Consigne de soudage de l'électrode E308L
Tableau II.5: Composition chimique de l'électrode E7018.
Tableau II.6: Consigne de soudage de l'électrode E7018.
Tableau II.7: Composition chimique du fil d'électrode EM12K.
Tableau II.8: Caractéristique du poste de soudage Lincoln Electric.
Tableau II.9: Etape et procédé de soudage de CI – 1.
Tableau II.10: Etape du procédé de soudage de CI – 2.
Tableau II.11 : Etapes du procédé de soudage de CI – 3.
Tableau II.12 : Procédé de soudage de l'éprouvette cylindrique en acier inoxydable.
Tableau II.13 : Procédé de soudage d'angle d'une éprouvette cylindrique en acier inoxydable.
Tableau II.14 : Etape de procédé de soudage de la plaque CA- 1.
Tableau II.15: Etapes de procédé de soudage CA – 2.
Tableau III.1 : Résultats du VT pour CI – 1:
Tableau III.2: Résultat du VT pour CI - 2
Tableau III.3: Résultats du VT pour CI – 3.
Tableau III.4: Résultats du VT pour CA – 1.
Tableau III.5 : Résultats du VT pour CA – 2.
Tableau III.6: Résultats du VT de soudure d'angle acier 304N
Tableau III.7: Résultats du VT pour soudure d'angle.
Tableau III.8: Résultats du VT pour soudure bout à bout d'un tube en acier inoxydable 304N
Tableau III.9: Résultats finale du VT.
Tableau III.10 : Les résultats du control de ressuage.
Tableau III.11 : Résultats du control ultrasons pour CA – 2
Tableau III.12 : Résultats du control de radiographie CI – 1.
Tableau III.13 : Résultats de control de radiographie CI – 2.
Tableau III.14 : Résultats de la radiographie pour CI – 3
Tableau III.15 : Résultats de la radiographie de tube soudé bout à bout
Tableau III.16 : Résultats radiographique de 2eme essais du soudage de tube bout à bout.
Tableau III. 17: Pliage endroit.
Tableau III.18: Pliage envers
خالصة
.ASME وفقًا لرمزWPS وPQR هدفنا الشخصي من هذا المشروع هو تعلم كيفية كتابة
كل إجراء تم اتخاذه في هذه الدراسة تم بحثه وتطويره من قبل الطالب والمعلمين واألشخاص المنتسبين إلى
الغرض من هذه الدراسة هو تحديد العمليات المثلى لتصنيع األوعية تخزين. أقسام اإلنتاج واالختبار الصناعي
. بما في ذلك مرافق الرعاية الصحية، وتسويقها لمختلف الصناعات،السوائل المبردة تحت الضغط
Résumé
Notre objectif personnel de ce projet est d'apprendre la rédaction des PQR et des WPS
selon le code ASME.
Chaque action prise dans cette étude a été recherchée et développée par des étudiants,
des enseignants et des personnes affiliées à la production industrielle et aux
départements de contrôle.
L'intérêt de cette étude est d'aider à trouver des moyens optimaux de fabriquer des
récipients cryogéniques sous pression et de les commercialiser auprès d'autres
industries et hôpitaux.
Abstract
Our personal objective of this project is to learn how to write PQR and WPS according
to the ASME code.
Each action taken in this study was researched and developed by students, teachers and
people affiliated with industrial production and testing departments.
The purpose of this study is to identify optimal processes for the manufacture of
cryogenic vessels under pressure, and marketize them to various industries, including
healthcare facilities.
Introduction générale :
La manipulation de l'acier inoxydable est un processus un peu délicat pour les
entreprises de fabrication, non seulement le prix de la matière brute est plus élever
comparer aux autres aciers mais aussi la manipulation de l'inox est beaucoup plus
délicate et demande une certaine expertise chez les fabricants.
La fabrication des cuves sous pression consiste à une étude approfondie dans le
domaine de la métallurgie afin de choisir les matériaux convenant par rapport à
chaque cuve et son milieu d'application.
Cette acier a était choisis pour notre cuve à haute pression est à cause de ses
propriétés cryogéniques et sa possibilité de ne pas ce fragilisé a des conditions de
température hyper faible.
On fait appel au code ASME afin de basé notre travail sur la norme comme guide
dans le but de rédiger des PQR (Procédure Qualification Records) afin de qualifié des
procédés de soudage conforme.
-Le premier chapitre sera consacré pour la recherche bibliographique sur le contenu
de la norme ASME, l'historique du domaine de soudage et à la présentation de
l'entreprise ALIECO.
-Le seconde entame la partie expérimentale d’où on propose des procédés de soudage
sur des coupons métalliques, avec des paramètres de soudage convenable et enfin la
manière d'extraire et d'usiné nos éprouvettes pour les tests destructifs.
-Le troisième et le dernier chapitre on analyse nos cordons de soudage réaliser par les
méthodes de contrôle non destructifs et le résultat des essais mécanique de traction et
de pliage. La dernière partie de ce chapitre sera consacré pour la réalisation des
documents de PQR.
Chapitre 1 :
Généralités
Chapitre 1 : Généralités
I.1 Introduction
L’oxygène est essentiel pour les processus du secteur industriel comme du secteur médical dans
le monde d’aujourd’hui. Tout au long de la chaine allant de la production à la consommation,
l’oxygène liquide subit un certain nombre de traitement, de liquéfaction de stockage et de
transfert. En effet, on trouve l’importance de stockage de l’oxygène dans une variété
d’industries, raffinement pétrolier ; industrie chimique ; pharmaceutique ; même dans le milieu
aquatique, aussi dans les hôpitaux.
Avant d’’entamer ce chapitre qui résume les procédés de soudage et leurs contrôle destructive
et non destructive pour réaliser le PQR, nous commençons par une brève présentation de
l’entreprise dont le présent travail sera effectué.
Direction de
production
ALIECO
Direction
Commerciale
Direction
Technique
3
Chapitre 1 : Généralités
ALIECO
PRODUCTION
Département Département
Production engineering
4
Chapitre 1 : Généralités
I.4 Le soudage
I.4.1 Les bases et principes de soudage
Une soudure peut être définie comme une coalescence de deux ou plusieurs métaux produite
par chauffage à une température appropriée avec ou sans application de pression, et avec ou
sans l'utilisation d'un matériau de remplissage/d'apport.
L'arc électrique utilisé dans le soudage est une décharge à courant élevé et basse tension
généralement comprise entre 10 et 2 000 ampères à 10 et 50 volts. Une colonne d'arc est
complexe mais, d'une manière générale, se compose d'une cathode qui émet des électrons, d'un
plasma gazeux pour la conduction du courant et d'une région d'anode qui devient
comparativement plus chaude que la cathode en raison du bombardement d'électrons. Un arc à
courant continu (DC) est généralement utilisé, mais des arcs à courant alternatif (AC) peuvent
être utilisés.
L'apport énergétique total dans tous les processus de soudage dépasse celui qui est nécessaire
pour produire un joint, car toute la chaleur générée ne peut pas être utilisée efficacement. Les
rendements varient de 60 à 90 %, selon le processus. [2]
6
Chapitre 1 : Généralités
que le métal déposé n'a pas la même composition qu'il avait initialement. Ces problèmes ont
conduit à l'utilisation de fondants et d'atmosphères inertes. [2]
7
Chapitre 1 : Généralités
8
Chapitre 1 : Généralités
I.4.6.1.3 Enrobage
9
Chapitre 1 : Généralités
C’est un mélange complexe dont les composants sont choisis en fonction du métal à souder. Il
forme le laitier qui remonte à la surface. Sa viscosité permet de varier les positions.
Pour éviter l'absorption d'humidité, les électrodes sont préchauffés au four (étuvage) avant de
les utiliser. Certains enrobages sont résistants à l'absorption d'humidité mais leur efficacité ne
dure que quelques heures. [6]
10
Chapitre 1 : Généralités
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Chapitre 1 : Généralités
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Chapitre 1 : Généralités
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Chapitre 1 : Généralités
b) Soufflures : Les soufflures sont des défauts creux, généralement sphériques, formés par
la présence de gaz (Figure I.12). Quant aux piqûres, ce sont plus précisément des
soufflures débouchantes (en surface).
14
Chapitre 1 : Généralités
15
Chapitre 1 : Généralités
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Chapitre 1 : Généralités
L’angle du raccordement du cordon, pour les cordons convexes, ne doit jamais excéder 30º
(Figure I.18). Un manque de mouillage du cordon peut entraîner un angle de raccordement
trop élevé. Le tableau de la Tableau I.2 résume les causes associées aux défauts d’un cordon
de soudure ainsi que les moyens de les prévenir.
17
Chapitre 1 : Généralités
h.1 Débordements du cordon : Il s’agit d’un excès de métal déposé à la surface du métal
de base, mais qui ne se lie pas avec ce dernier.
18
Chapitre 1 : Généralités
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Chapitre 1 : Généralités
h.4 Projections: Une projection est une éclaboussure de métal en fusion projeté pendant le
soudage
et qui adhère au métal de base (Figure I.20) ou au cordon déjà solidifié. Les projections
peuvent être causées par un courant trop fort, un arc trop long ou le soufflage de l’arc. Un
mauvais débit et certains gaz de protection peuvent aussi favoriser l’apparition de
projections.[2]
20
Chapitre 1 : Généralités
également montrer les résultats de l'inspection visuelle et des tests de soudure d'angle. Un autre
élément important du PQR est la divulgation d'informations pertinentes, telles que le nom du
soudeur et le nom de la personne qui a effectué l'inspection, et même les dates avec la
reconnaissance du fabricant ou de l'entrepreneur.
Le PQR est préparé par une personne qualifiée ou licenciée et soumis aux personnes concernées.
L'inspecteur approuvera ensuite l'entreprise et son produit auprès de l'industrie et du marché.
21
Chapitre 1 : Généralités
inoxydable duplex, et aciers inoxydables trempés par précipitation. Les métaux non ferreux
comprennent les alliages d'aluminium, cuivre, nickel, titane et beaucoup plus. Certains des
métaux non ferreux sont en outre classés comme réfractaires ou métaux réactifs.
Procédé de soudage : un procédé de soudage doit être sélectionné une fois que le métal de
base est connu. Pas tous les métaux basiques peuvent être facilement soudés avec chaque
procédé de soudage en cours d'utilisation. Les normes de soudage énumèrent le processus
de soudage comme une variable essentielle si on change le processus de soudage mais rien
d'autre, les chances d'obtenir une soudure saine avec les propriétés mécaniques requises
seront en question.
Considérons ce qui se passe si nous changent du soudage à l'arc sous gaz (GMAW) au soudage
à l'arc sous protection (SMAW). Ce changement nécessite une modification au type de métal
d'apport, une alimentation différente, et un interrupteur d'un pistolet de soudage à un porte-
électrode, de plus, le gaz de protection n'est plus obligatoire.
La conception d'un joint de soudage : La conception d'un joint de soudage généralement
fais partie de la catégorie des variables non essentielles. Les propriétés mécaniques de la
finition de soudure ne dépendent pas de la conception du joint. Passer d'un joint en V à un
joint biseauté ne changera pas les propriétés mécaniques de la soudure. Cependant, il y a
des moments où un changement dans le détail du joint affectera les propriétés du joint soudé.
Envisageons un joint entre métaux de base dissemblables. Les deux métaux de base ont de
différentes compositions chimiques et différentes Propriétés mécanique. La soudure
terminée est une composition des métaux de base et du métal d'apport utilisé. La
composition exacte de la soudure (et ses propriétés mécaniques) est en fonction du volume
de métal de base mélangé avec le volume de métal d'apport dans le bain de soudure en
fusion.
D'après une examinassions de Mr. Albert J. Moore Jr (vice-président de Marion Testing &
inspection company) d'une soudure joignant une feuille d'acier au carbone (ASTM A36) à une
feuille d'acier inoxydable (ASTM A240 Type 304 alliage). Le joint de soudure est un joint
carrée soudé par un seul cordon de soudure. Un métal d'apport 309 est généralement utilisé
pour cette combinaison de métaux de base. La soudure réaliser et constituée de 40 % d'acier au
carbone, 40 % acier inoxydable et 20 % de métal d'apport. Après un changement de la
conception du joint en la remplaçons par un joint en V. La soudure se composera donc
désormais de 15% d'acier au carbone, 15 % d'acier inoxydable et 70 % de métal d'apport. La
composition de l'alliage du produit fini de la soudure a été changée et un changement
correspondant de la propriété mécanique du cordon de soudure peuvent être attendues. Les
codes ASME Section IX et AWS utilisent les Numéro A pour définir la chimie de dépôts de
soudure ferreux.
22
Chapitre 1 : Généralités
23
Chapitre 1 : Généralités
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Chapitre 1 : Généralités
Un changement d'épaisseur ne doit pas dépasser l'intervalle qualifié par Q-451 (sauf pour le
cas pour la qualification QW-202.4(b)). L'intervalle qualifier par le PQR qui peut être supporter
dans un WPS et de T= [19mm ; 38mm], dans ce cas-là l'épaisseur du métal de base doit être à
2T.
Métal de base (QW-403) : Une passe de métal fondu ou plusieurs ne doivent pas dépasser
13mm de d'épaisseur (T) (Qualification QW-403.9) car un excès de métal fondu peut
engendrer une croissance de l'épaisseur de la pièce soudé/métal de base. Afin d'éviter ce
changement géométrique on doit pas dépasser 1.1 l'épaisseur du métal de base.
Exemple : Un métal de base d'épaisseur e=20mm, après plusieurs passes de soudage l'épaisseur
du métal de base doit être entre l'intervalle de [e ; 1.1e] donc limite 1.1*20=22mm.
Métal d'apport (QW-404) : Pendant la création d'un PQR on peut changer "F-numéro"
(signifie le métal d'apport) listé dans ou en dehors de QW-432. "A-numéro" signifie les
analyses chimiques ferreuses d'une soudure fondue et solidifier par un métal d'apport.
Un changement de "A-numéro" signifie un changement chimique et possiblement un
changement de propriété mécanique du cordon de soudure. Donc pour changer le "A-numéro"
afin de qualifier un PQR on doit faire de nouveaux tests ou bien faire appel à d'autres PQR
25
Chapitre 1 : Généralités
existants.
Le préchauffage (QW-406):
Si un préchauffage est nécessaire pour assurer la qualité de la soudure, il sera défini dans cette
section. De plus, les limites de température entre les passes (température maximale autorisée
du métal de base entre les passes de soudure) et (si nécessaire) la maintenance du préchauffage
sont spécifiées ici.
Les cuves sous pression sont souvent des réservoirs sphériques ou cylindriques.
Chaque cuve doit être utilisé dans sa température et sa pression désigné, qui sont les limites de
sécurité de la cuve sous pression. La conception, la construction et les essais des cuves sont
largement effectués par du personnel compétent et sont régis par des réglementations car la
libération et la fuite accidentelles de son contenu constituent un danger pour son environnement.
Certaines des normes bien connues sont l'American Society of Mechanical Engineers Boiler
and Pressure Vessel Code (ASME BPVC) Section VIII et l'American Petroleum Industry (API)
510 Pressure Vessel Inspection Code. [14]
I.7.1 Utilisations
Les cuves sous pression peuvent être utilisées dans le secteur privé et dans les secteurs
industriels. En termes d’usage domestique, on les retrouve communément utilisées en tant que
réservoirs pour stocker de l’eau ou en tant que récepteurs d’air comprimé. Elles sont également
26
Chapitre 1 : Généralités
utilisées par de nombreuses industries en tant que bouteilles de plongée, tours de distillation,
chambres de recompression et réacteurs sous pression. [14]
27
Chapitre 1 : Généralités
Les cuves sous pression par rapport leurs fonctionnement sont classées :
Cuve sphériques : Les cuve sous pression sphériques sont idéaux pour contenir des fluides
à haute pression en raison de leur structure solide, mais ils sont difficiles et coûteux à
fabriquer. Les contraintes internes et externes sont uniformément réparties sur la surface de
la sphère, ce qui signifie qu'il n'y a pas de concentration de contrainte. Ils ont une plus petite
surface par unité de volume. La mise en œuvre des cuves sphériques consommeront moins
de matériau que les cuves cylindriques s'ils sont fabriqué de même volume. La plus petite
surface de la cuve sphérique aura également moins de transfert de chaleur du coup plus
chaude par rapport aux autres formes.
Cuve cylindriques : Les plus communs aussi les plus utilisés par les industries pour leur
polyvalence et leur production est moins chère que les cuves sphériques. Cependant, ils
n'ont pas la même résistance que les cuves sphériques car elle est réduite par les raccords
utilisés pour relier les têtes. Les cuves cylindriques sont composés d'un cylindre appelé
coquille et de fermetures d'extrémité appelées têtes. La connexion de la tête à la coque
s'appelle la ligne de soudure. La courbure de la tête commence à la ligne tangente. Les
géométries des têtes de la cuve les plus communs sont souvent Tor sphérique, ellipsoïdal et
hémisphérique. [14]
28
Chapitre 1 : Généralités
pression
Pour des cuves à haute pression la sécurité de l'environnement et du personnel est prioritaire
dans un lieu de travail dans l'industrie. Pour cela, un des critères important est les propriétés
mécaniques du matériau.
Afin que la cuve résiste à ses fortes sollicitations de la pression interne du fluides le matériau
doit répondre aux exigences de constructeur pour les propriétés mécaniques requise comme la
dureté et la résistance au corrosions, aussi bien que les coûts des matériaux pour la fabrication
et la maintenance doivent être pris en compte pendant le cycle de vie de l'appareil sous pression.
Des analyses économiques sont faites pour déterminer le meilleur matériau qui rapporte le
moins cher et aussi une facilité de fabrication et de maintenance. Donc un matériau qui doit
avoir un bonne usinabilité et soudabilité.
Le retour sur investissement doit être évalué et apprécié si la production répond à la
disponibilité. Les tailles standard pour les matériaux des cuves sous pression doivent être
facilement disponibles dans la région du fabricant.
Les matériaux de fabrication des cuves à haute pression couramment utilisés pour les récipients
sous pression sont les suivants :
Acier au carbone : L'acier au carbone est un type d'acier qui a une teneur en carbone
plus élevée allant jusqu'à 2,5 %. Les cuves en acier au carbone sont connues pour leur
haute résistance à la traction pour une épaisseur de paroi minimale, ce qui convient à
une large gamme d'applications. Cependant, l'acier au carbone est difficile à plier et à
façonner en raison de sa haute résistance ainsi que sa difficulté de soudabilité. Il est
également plus sensible à la corrosion et à la rouille que l'acier inoxydable car il ne
contient pas de chrome.
Acier inoxydable : L'acier inoxydable est un type d'acier qui a une teneur en chrome
plus élevée allant jusqu'à 10,5 à 30 % et une teneur en carbone inférieure et des traces
29
Chapitre 1 : Généralités
de nickel. Ils sont connus pour leur excellente résistance aux produits chimiques, à la
corrosion et aux intempéries, qui est attribuée à leur teneur en chrome. Un mince film
d'oxyde de chrome inerte est formé à la surface pour empêcher la diffusion de l'oxygène
vers la masse du métal. Comme l'acier au carbone, il présente également une résistance
élevée pour une épaisseur de paroi inférieure. Il est plus facile à former que l'acier au
carbone en raison de sa ductilité et de son élasticité accrue.
Aluminium : L'aluminium est connu pour son rapport résistance/densité élevé, ce qui
signifie qu'il est à la fois très résistant et léger. Il est moins cher et fabrique que l'acier
inoxydable. Il a également une bonne résistance à la corrosion. Les cuves en aluminium
sont couramment utilisées dans les applications à l'échelle du laboratoire. Cependant, il
n'est pas adapté aux applications à haute pression car il a une densité inférieure, qui est
d'un tiers de l'acier inoxydable.
Titane : Le titane offre également une résistance et une rigidité élevées pour une
épaisseur de paroi minimale. Il a une bonne résistance à la corrosion et une bonne
biocompatibilité, et il est également non toxique. Il a un point de fusion plus élevé que
l'acier et l'aluminium, il est donc idéal pour les applications à haute température. Il a
également une conductivité thermique élevée et facilite un transfert de chaleur efficace,
ce qui en fait un matériau idéal pour les échangeurs de chaleur. [14]
Pour notre étude l'acier inoxydable est le matériau qui convient à notre application, par sa
facilité de mise en forme mais aussi sa meilleure soudabilité par rapport à d'autre candidat.
30
Chapitre 1 : Généralités
d'une pièce peut donner des informations essentielles sur l'état de celle-ci : des défauts évidents
(comme des pliures, des cassures, de l'usure, de la corrosion ou fissures ouvertes).
Un examen visuel doit être effectué dans de bonnes conditions assurant avant tout un éclairage
suffisant.
L’examen est réalisé par un contrôleur dans des conditions permettant la détection du défaut
recherché sur la pièce inspectée. Les principaux paramètres qui influent sur la sensibilité de
l’inspection sont décrits ci- dessous.
L’éclairage : La géométrie de l’éclairage doit être adaptée au défaut recherché, afin de
créer le contraste nécessaire à la détection.
La résolution : La résolution (capacité du système à voir de petits défauts) doit être
adaptée à la configuration de contrôle.
La couleur (contrôle indirect) : Le contrôle en couleur permet d’accéder à des
informations supplémentaires, importantes en particulier dans des cas tels que la
recherche de corrosion ou de dépôts, mais dans le cadre d’un contrôle indirect
l’obtention d’images couleur implique une diminution importante de la sensibilité et de
la résolution latérale du capteur. [15]
Le tableau ci-dessous résume les avantages et les limites du VT.
Avantages Limites
• Facilité de mise en œuvre • La surface nettoyée doit être exempt de
dépôts ou de produits résiduels
• Applicable à tous types de matériaux
• L’éclairage doit être suffisant pour détecter
• Peut être conservée par photographie
les défauts recherchés
• Permet une vision d'ensemble des parties
• L’accès doit permettre de placer l’œil à moins
accessibles
de 600mm de la surface à examiner et à un
angle non inférieur à 30°.
31
Chapitre 1 : Généralités
d) Appliquer le révélateur:
Une fine couche légère de révélateur doit être pulvérisée sur la pièce à examiner. Un temps
32
Chapitre 1 : Généralités
de séjour doit être observé pour laisser le temps au colorant de sortir des défauts et de créer
une indication (défaut) dans le révélateur. Le temps de séjour du révélateur est
généralement de 10 à 60 minutes. Les recommandations et la procédure écrite du fabricant
du révélateur doivent être suivies de près.
Avantages Limites
33
Chapitre 1 : Généralités
Avantages Limites
• Permet de « voir » à l’intérieur d’un objet. • Nécessite d’avoir accès aux 2 faces de
l’objet.
34
Chapitre 1 : Généralités
Principe du contrôle par ultrasons consiste à émettre et faire se propager une onde ultrasonore
dans la pièce à inspecter puis à recueillir et analyser l’onde à l’issue de son interaction avec le
matériau. Sur la base de ce principe très général, il existe de nombreuses techniques spécifiques,
suivant que le contrôle est effectué en transmission ou bien en réflexion, suivant que les
dispositifs en émission et en réception sont confondus ou non, suivant le type et l’inclinaison
des ondes ultrasonores utilisées (Figure I.25), etc. [15]
35
Chapitre 1 : Généralités
Avantages Limites
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Chapitre 1 : Généralités
Avantages Limites
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Chapitre 1 : Généralités
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Chapitre 1 : Généralités
L'énergie absorbée par l'éprouvette (W) est égale à la différence des énergies potentielles du
pendule. La résilience est égale au rapport de W sur l'aire de la section au droit de l'entaille
(voir la Figure I.29). [17]
40
Chapitre 1 : Généralités
41
Chapitre 1 : Généralités
I.10 Conclusion
Après avoir présentés les différents types de soudures et leurs contrôles, codes et normes de
calcul utilisés, le PQR et WPS , et la constitution de notre réservoir sous pression de stockage
de l’oxygène, nous avons constaté l’importance de réaliser des éprouvettes et établir leurs
PQR selon des règles bien spécifiques.
La prochaine étape sera la réalisation des éprouvettes, qui se basera sur l’utilisation de code
de calcul bien spécifique qui est l’ASME.
42
Chapitre 2 :
Partie
expérimental
Chapitre 2 : Partie expérimental
II.1 Introduction
Les matériaux d'une façon général se sollicite pendant tout le temps de leurs services, les
contraintes exercées sur les matériaux provoquent des changements de structure, des
fragilisations, des phénomènes de fatigue et pour le cas le plus défavorable lors d'un service
d'une pièce mécanique, la rupture.
Notre devoir dans cette étude consiste à chercher des solutions technologiques pour le but de
réalisé des cordons de soudure convenant à la fabrication de ces cuves sous pression tout en
respectons les code d'ASME.
On propose donc des méthodes de soudages et leurs paramètres pour ces types de matériau,
réaliser des cordons de soudure sur nos coupons, analyser les résultats et proposer d'autre
alternative au cas d'échec ou de difficulté pendant la mise en œuvre de ces coupons.
43
Chapitre 2 : Partie expérimental
44
Chapitre 2 : Partie expérimental
Figure II.4: Les principaux composant d'un acier inoxydable austénites. [22]
45
Chapitre 2 : Partie expérimental
46
Chapitre 2 : Partie expérimental
Pour les aciers faiblement alliés, on utilisera la plupart du temps la formule complète du Céq
de l’IIS (institut international du soudage) (ou International institut of welding en anglais). A
noter qu’il en existe d’autres qui changent la pondération des éléments, tout en donnant des
résultats du même ordre.
Céq = C + Mn/6 + (Cr + Mo + V) /5 + (Cu + Ni) /15
Et la formule du carbone équivalent compensé qui tient compte de l'épaisseur du métal de base.
Céq C = Céq + 0.0254 X E
Remarque: ces formules son utilisable pour les aciers faiblement alliés tout comme notre acier
ASTM A283 Gr.C et non pas pour des aciers inoxydables.
Le matériau est parfaitement soudable si C= 0 à 0.25%, S est compris entre 9
à 10.
Le matériau est moyennement soudable si C= 0.25% à 0.45%, S compris
entre 7 à 9.
Le matériau est soudable avec préchauffage si C=0.45% à 0.65%, S compris
entre 5 et 7.
Soudage difficile S < 5. [21]
47
Chapitre 2 : Partie expérimental
fabrications soudées est le type 304 qui contient environ 18 % de Cr et 10 % de Ni. Ces alliages
peuvent être facilement soudés en utilisant n'importe lequel des procédés de soudage à l'arc
(TIG, MIG, MMA et SA). Comme ils ne se durcisse pas au refroidissement, ils présentent une
bonne ténacité et aucun traitement thermique avant ou après soudage n'est nécessaire. Éviter
les imperfections de soudure bien que l'acier inoxydable austénitique soit facilement soudé, des
fissures du métal fondu et des ZAT (zone affecté thermiquement) peuvent se produire. La
fissuration de solidification du métal fondu est plus probable dans les structures entièrement
austénitiques qui sont plus sensibles aux fissures que celles contenant une petite quantité de
ferrite. L'effet bénéfique de la ferrite a été attribué en grande partie à sa capacité à dissoudre
les impuretés nocives qui, autrement, formeraient des ségrégations à bas point de fusion et des
fissures internes. Comme la présence de 5 à 10 % de ferrite dans la microstructure est
extrêmement bénéfique, le choix de la composition du matériau d'apport est crucial pour
supprimer le risque de fissuration. Une indication de l'équilibre ferrite-austénite pour
différentes compositions est fournie par le diagramme de Schaeffler (figure II.6).
Par exemple, lors du soudage d'acier inoxydable de type 304, un matériau d'apport de type 308
qui a une teneur en alliage légèrement différente est utilisé. [26]
Le diagramme de Schaeffler permet de prédire la structure métallurgique d'un dépôt à l'état brut
de soudage à partir de l'analyse chimique, de sélectionner un métal d'apport et enfin les risques
métallurgiques.
L'équivalent chrome (axe des abscisses du diagramme), qui est la somme de la teneur en
chrome et des teneurs d'autres éléments alphagènes (Cr, Mo, Si, Ti, Nb, Al, W, Zr) affectées de
48
Chapitre 2 : Partie expérimental
D'après le diagramme on conclut que notre acier inoxydable est belle et bien un acier
austénitique avec un pourcentage très faible (inferieure a 5%) de structure ferritique.
La nature des risques métallurgiques sur le diagramme de schaeffler sont les suivantes:
La structure martensitique: risque de fissuration à froid.
La structure austénitique: risque de fissuration à chaud.
49
Chapitre 2 : Partie expérimental
50
Chapitre 2 : Partie expérimental
51
Chapitre 2 : Partie expérimental
Pour assurer une protection et une sécurité totale de l'environnement d'application, la soudure
de la cuve doit être sans défauts. L'A282 fait preuve d'une soudabilité extrêmement facile et
rapide, il ne nécessite pas d'un préchauffage ni d'une préparation complexe ce qui nous apporte
un bon rapport de temps/fabrication. Les défauts de soudage comme les fissures et les porosités
sont extrêmement rare à se produire, cependant une bonne finition et un bon cordon de qualité
dépend fortement de la qualification du soudeur.
52
Chapitre 2 : Partie expérimental
Comme mentionné dans le paragraphe II.2.2.1, le métal d'apport doit avoir des nuances en
voisinage avec le métal de base. On peut confirmer cela on observe la teneur de chrome et de
nickel dans le tableau II.3.
Composition chimique
Les éléments C Cr Mn Ni Si
% 0.03 19 0.7 10 0.7
Chaque électrode à ces condition d'utilisation à respecter comme le tableau ci-dessous nous
l'indique.
Composition chimique
Les éléments C Mn Si
% 0.10 0.50 0.90
Tableau II.5: Composition chimique de l'électrode E7018. [29]
53
Chapitre 2 : Partie expérimental
II.3.1.3 Fil d'électrode pour soudage à l'arc submergé AWS A5.17 EM12K (OK
Autrod 12.22)
Fil cuivré non allié pour le soudage à l'arc submergé. Convient en combinaison avec la plupart
des flux. Teneur élevée en Si (Tableau II.7) et donc particulièrement adapté aux flux neutres
(ex : OK Flux 10.62sq) ou pour augmenter la fluidité du bain de fusion. Pour les aciers de
construction, les aciers de construction navale, les aciers pour appareils à pression, aciers
grainés, etc.
Composition chimique
Les éléments C Mn Si
% 0.09 1.01 0.19
Tableau II.7: Composition chimique du fil d'électrode EM12K. [30]
54
Chapitre 2 : Partie expérimental
Procédé de soudage
Métal de base ASME SA240 304N Epaisseur 6mm
Métal d'apport AWS A 5.4 E308L – 16 Diamètre 2.5mm
Préchauffage des pièces à Non Température 25°C
souder
Préchauffage d'électrode Non Température 25°C
55
Chapitre 2 : Partie expérimental
Etape de soudage
Première passe Bossage Contre soudure
Procédé SMAW SMAW SMAW
Manuel/automatique Manuel Manuel Manuel
Métal d'apport E308L - 16 E308L - 16 E308L - 16
Poudre - - -
Gaz de protection - - -
Préparation de joint: bout à
bout
Forme: V
Angle: 60°
Talon: 3mm
Remarques:
Déformation plastique des plaques résultante des contrainte interne et
d'induction d'une quantité de chaleur importante.
Défauts détecter pendant le control non destructive.
Solutions:
Fixation des plaques avec des cavaliers pour éliminer les efforts interne créer
par le cordon de soudure.
56
Chapitre 2 : Partie expérimental
II.4.1.2. Plaque CI – 2:
Préparation:
Réalisation des chanfreins en V (angle 60° - talon 3mm).
Pointage de deux plaques d'amorçage à l'extrémité des deux plaques pour les
fixés et éviter de créer les défauts d'amorçage dans notre coupon.
Fixation des cavaliers sur nos plaques pour éviter toute déformations lors du
soudage.
Procédé de soudage
Métal de base ASME SA240 304N Epaisseur 6mm
Métal d'apport AWS A 5.4 E308L – 16 Diamètre 2.5mm
Préchauffage des pièces à Non Température 25°C
souder
Préchauffage d'électrode Non Température 25°C
Etape de soudage
Première passe Bossage Contre soudure
57
Chapitre 2 : Partie expérimental
Remarques:
Défauts détecter pendant le control non destructive.
Solutions:
Préchauffage léger pour les plaques, fixation des plaques avec des cavaliers
pour éliminer les efforts interne créer par le cordon de soudure.
II.4.1.3 Plaque CI – 3
Préparation:
Réalisation des chanfreins en V (angle 60° - talon 3mm).
Pointage de deux plaques d'amorçage à l'extrémité des deux plaques pour
les fixés et éviter de créer les défauts d'amorçage dans notre coupon.
Bon nettoyage du joint.
Préchauffage du joint avec chalumeau.
Préchauffage des électrodes pour éliminer l'humidité.
58
Chapitre 2 : Partie expérimental
Fixation des cavaliers sur nos plaques comme montrer dans la figure ci-
dessous pour éviter toute déformations lors du soudage.
Procédé de soudage
Métal de base ASME SA240 304N Epaisseur 6mm
Métal d'apport AWS A 5.4 E308L – 16 Diamètre 2.5 – 3.25mm
Préchauffage des pièces à Oui Température 500°C / 2minutes
souder
Préchauffage d'électrode Oui Température 125°C /
30minutes
Etape de soudage
Première passe Bossage Contre soudure
Procédé SMAW SMAW SMAW
Manuel/automatique Manuel Manuel Manuel
Métal d'apport E308L - 16 E308L - 16 E308L - 16
Poudre - - -
Gaz de protection - - -
59
Chapitre 2 : Partie expérimental
Figure II. 14: Eprouvette cylindrique en acier inoxydable avec soudage bout à bout.
60
Chapitre 2 : Partie expérimental
Procédé de soudage
Métal de base ASME SA240 304N Epaisseur 6mm
Métal d'apport AWS A 5.4 E308L – 16 Diamètre 2.5mm
Préchauffage des pièces à Non Température 25°C
souder
Préchauffage d'électrode Non Température 25°C
Etape de soudage
Première passe Bossage Contre soudure
Procédé SMAW SMAW SMAW
Manuel/automatique Manuel Manuel Manuel
Métal d'apport E308L - 16 E308L - 16 E308L - 16
Poudre - - -
Gaz de protection - - -
Préparation de joint: bout à
bout
Forme: | |
Ecart: 1mm
Angle:
Talon:
61
Chapitre 2 : Partie expérimental
Remarque:
Mauvais aspects visuel du cordon de soudure, plein de défauts superficiels.
Solution:
Procèdes SMAW non convenant pour ce type de dimension, on propose le
procédé de TIG pour un maximum de précision lors de soudage.
Figure II. 15: Soudage d'angle d'une éprouvette cylindrique en acier inoxydable 304N.
62
Chapitre 2 : Partie expérimental
Procédé de soudage
Métal de base ASME SA240 304N Epaisseur 6mm
Métal d'apport AWS A 5.4 E308L – 16 Diamètre 2.5mm
Préchauffage des pièces à Non Température 25°C
souder
Préchauffage d'électrode Non Température 25°C
Etape de soudage
Première passe Bossage Contre soudure
Procédé SMAW SMAW SMAW
Manuel/automatique Manuel Manuel Manuel
Métal d'apport E308L - 16 E308L - 16 E308L - 16
Poudre - - -
Gaz de protection - - -
Préparation de joint: d'angle
Forme: ⊥
Angle:
Talon:
Tableau II. 13: Procédé de soudage d'angle d'une éprouvette cylindrique en acier inoxydable.
63
Chapitre 2 : Partie expérimental
Remarque:
Mauvais aspects visuel,
Solution:
Procèdes SMAW non convenant pour ce type de dimension, on propose le procédé de TIG pour
un maximum de précision lors de soudage.
Préparation:
Réalisation des chanfreins en V (angle 60° - talon 3mm).
Pointage de deux plaques d'amorçage à l'extrémité des deux plaques (figure
II.16) pour les fixés et éviter de créer des défauts d'amorçage dans notre coupon.
64
Chapitre 2 : Partie expérimental
Procédé de soudage
Métal de base ASTM A283 Gr.C Epaisseur 6mm
Métal d'apport AWS E7018 Diamètre 3.25mm
Préchauffage des pièces à Non Température 25°C
souder
Préchauffage d'électrode Non Température 25°C
Etape de soudage
Première passe Bossage Contre soudure
Procédé SMAW SMAW SMAW
Manuel/automatique Manuel Manuel Manuel
Métal d'apport E7018 E7018 E7018
Poudre - - -
Gaz de protection - - -
Préparation de joint: bout à
bout
Forme: V
Angle: 60°
Talon: 3mm
Remarque:
Aucune déformation des plaques, soudure sans défauts superficiel avec un
bon aspect visuel.
65
Chapitre 2 : Partie expérimental
II.4.2.2 Plaque CA – 2
Réalisation des chanfreins en V (angle 60° - talon 3mm).
Pointage d'une long plaque d'acier dans la partie envers des deux plaques
comme montrer dans la figure ci-dessous pour assurer la fixation du coupon.
Procédé de soudage
Métal de base ASTM A283 Gr.C Epaisseur 10
Métal d'apport AWS E7018 Diamètre 3.25mm
AWS EM12K 2.5mm
Préchauffage des pièces à Non Température 25°C
souder
Préchauffage d'électrode Non Température 25°C
Etape de soudage
Première passe Bossage Contre soudure
Procédé SMAW SAW -
Manuel/automatique Manuel Automatisé -
Métal d'apport E7018 EM12K -
Poudre - - -
Gaz de protection - - -
66
Chapitre 2 : Partie expérimental
Après soudage et control non destructive, les coupons subits au coupes bien précise afin de
relever des éprouvettes ou autrement nommé des spécimens comme montrer dans la figure
II.19. Après découpage les éprouvettes passent à l'usinage puis aux essaies mécanique.
L'importance de cela est donc de collecter les données (propriétés mécanique) sur nôtres cordon
de soudure par des essais mécaniques. Puis les étudier afin de conclure notre PQR pour ce
procédé.
Le découpage se fais en introduisons nos coupons dans une machine a cisaille (figure II.18),
on découpe des éprouvettes de traction et de pliage.
67
Chapitre 2 : Partie expérimental
On passe à présent à la machine fraiseuse (figure II.20) pour usiné nos éprouvettes a des
dimensions spécifiques comme indiqué dans le code d'ASME (figure II.21).
Figure II. 21: Résultats final d'un usinage d'une éprouvette à traction.
68
Chapitre 2 : Partie expérimental
69
Chapitre 2 : Partie expérimental
L'axe du cordon de soudure est mesuré sur chaque éprouvette avant élimination de la
surépaisseur.
Sauf convention contraire, les surépaisseurs endroit et envers de soudure sont éliminées.
La surépaisseur du cordon de soudure est éliminée par meulage sur la face endroit et envers de
chaque éprouvette.
Le sens des stries de meulage est perpendiculaire à la soudure (figure II.26).
70
Chapitre 2 : Partie expérimental
Les bords de l'éprouvette doivent être arrondis (rayon = 0,2 x épaisseur de l'éprouvette - maxi
3mm) et l'état de surface doit être soigné et exempt de rayures ou entailles.
Les tranches de chaque éprouvette de pliage sont arrondies par polissage.
Les stries de meulage peuvent être adoucies par polissage comme indiqué dans la figure ci-
dessous.
71
Chapitre 2 : Partie expérimental
II.6 Conclusion:
Après qu'on a conclus cette partie de notre stage, nous avons sue l'importance de la
normalisation du soudage et le suivi des contrôleurs après chaque soudure.
Le savoir bien du domaine de soudage viens avec l'expérience, les consigne des soudeurs ainsi
que les contrôleurs et tous les experts d'une manière général dans le domaine du soudage.
Dans un procédé de soudage chaque étape doit être vérifier et exécuter afin de produire des
soudures de qualité avec un minimum de défaut et rendre le travail rentable.
72
Chapitre 3 :
Traitement des
résultats obtenues
lors de control
destructive et non
destructive et la
rédaction des PQR
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
III.1 Introduction
Lors d'une qualification d'un PQR on fais souvent appel aux contrôles CND (contrôle non
destructive) et CD (control destructive). Un control nous permets d'avoir des informations sur
notre soudure au but de vérifier la conformité de notre expérience.
Nous commençons tout d'abords par le contrôle non destructif, qui nous permets de vérifier
notre soudure sans aucune modification au niveau de la soudure et la zone thermiquement
affecté et en suivant le code ASME et les consigne des contrôleurs de l'établissement d'ALIECO
pour détecter des défauts et savoir si notre travail est acceptable.
Les control destructive nous permet de relever des données qu'on peut après traité et comparé
avec le métal de base pour avoir des informations sous forme de propriété mécanique sur nôtres
soudure.
Ces séries de control sont essentiels pour la qualification d'un PQR et tout anomalie ou défaut
annule la qualification d'un PQR.
75
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
Figure III.5: Soudure d'angle d'un tube et une plaque en acier inoxydable 304N.
77
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
Tout les résultats du contrôle visuel sont inclus dans le tableau ci-dessous:
Coupon L’essais Les défauts Limites des Décision du
défauts contrôleur
CI – 1 1 er essais CANIVEAU Profondeur <0,05 Acceptable
x l'épaisseur soudée OK
CI – 2 2éme essais Aucun défaut OK
CI – 3 3éme essais Aucun défaut OK
CA – 1 1 er essais Aucun défaut OK
CA – 2 1 er essais Aucun défaut OK
Tube bout à 1 er essais MANQUE DE Non autorisé Non acceptable
bout inox PÉNÉTRATION
Tube bout à 2éme essais EXCÈS DE Hauteur < 0,6 x Acceptable
bout inox PÉNÉTRATION la largeur du cordon OK
Soudure 1 er essais CONVEXITÉ Hauteur du Non acceptable
d’angle inox EXCESSIVE bombement< 0,15 x
la base du cordon
Soudure 2éme essais CANIVEAU Profondeur <= 0,05 Non acceptable
d’angle inox x l'épaisseur soudée
Tableau III.9: Résultats finale du VT.
78
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
79
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
80
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
81
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
Sur la surface d’essai immédiatement après séchage, un révélateur compatible avec doit être
appliqué en une couche mince et uniforme tel que la figure ci-dessous nous montre.
Les accumulations et les surépaisseurs de poudre doivent être évitées.
82
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
III.2.2.9 Interprétation
Comparer aux critères d’acceptation afin d’émettre l’une des trois décisions suivantes :
Acceptation.
Réparation.
Rebut de la pièce.
III.2.2.10 Les résultats obtenus lors de ressuage
Voici les résultats obtenus après ressuage dans le tableau ci-dessous.
Coupon L’essais Les défauts Décision
du contrôleur
CI – 1 1er essais Une soufflure et deux Caniveau Acceptable
OK
CI – 2 2éme essais Aucun défaut OK
83
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
Pour effectuer un examen ultrasonore d’une pièce mécanique l’opérateur doit fournir un
certain nombre de choix :
- Matériels utilisés (appareil, traducteur, bloc de référence ...) (figure. III.15).
- L’exploration (balayage du traducteur)
- Sensibilité du contrôle
- Critères d’acceptation
84
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
85
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
Avant tout contrôle d’une pièce, il est nécessaire d’étalonner la base de temps du générateur à
ultrasons et les caractéristiques du palpeur. Les blocs d’étalonnage sont utilisés pour
déterminer le point d’émergence du traducteur, l’angle de réfraction. Le réglage est plus précis
lorsque le matériau à contrôler ne diffère pas de celui du bloc (acier ferritique faiblement
allié).
86
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
Il nécessite l’utilisation de deux palpeurs : l’un émetteur et l’autre récepteur qui reçoit la quasi-
totalité de l’énergie acoustique émise.
Si un défaut se trouve dans le parcours du faisceau ultrasonore, l’énergie est partiellement ou
totalement occultée.
Examen par réflexion:
La méthode est très utilisée, un seul palpeur joue le rôle d’émetteur et de récepteur. Les ondes
ultrasonores sont émises de façon discontinue (impulsions brèves) pendant de très courtes
périodes de temps comprises entre un et trois millionièmes de seconde (microsecondes). Entre
deux impulsions le palpeur reçoit les ondes réfléchies qui sont discriminées de l’émission dans
le temps.
La méthode permet de détecter un défaut à condition qu’il présente une surface
réfléchissante normale au faisceau ultrasonore (réflexion spéculaire), sinon l’onde réfléchie
revient au palpeur mais faiblement (l’écho n’est pas observé). L’étalonnage correct de la base
de temps de l’écran de l’oscilloscope de l’appareil à ultrasons permet de déterminer la position
du défaut.
87
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
88
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
89
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
Que certains rayons sont transmis en ayant subi une déviation et une perte
d’énergie ; on dit qu’ils sont diffusés.
Que d’autres rayons ont été totalement absorbés et ont donc cédé toute leur énergie à la
matière.
Le réglage de l'intensité du rayonnement se fait par l'appareille de commande montrer dans la
figure ci-dessous.
91
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
Voici les résultats du contrôle pour la plaque CI – 2 dans le tableau et la figure ci-dessous.
92
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
Les résultats du contrôle RT pour plaque CI – 3 montrer dans la figure et le tableau ci-
dessous.
Coupon L’essais Les défauts Décision du
contrôleur
CI – 3 3éme essais Aucun défaut Ok
Contrôle par radiographie pour le tube soudée bout à bout (figure III.25) (Tableau III.14).
Figure III. 25: Résultats visuel de la radiographie de tube soudé bout à bout
93
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
Résultats du contrôle par radiographie pour le 2éme essaie (figure III.26) (Tableau III.15).
Eprouvette L’essais Les défauts Décision du
contrôleur
Tube bout à 2éme essais MANQUE DE PÉNÉTRATION Non
bout inox acceptable
Tableau III. 16: Résultats radiographique de 2eme essais du soudage de tube bout à bout
Figure III.26: Résultats visuel radiographique de 2eme essai de tube soudage bout à bout.
94
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
Figure III. 28: Résultats d'un essai de traction sur une éprouvette.
95
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
La phase plastique est représentée par la ligne BC. Les déformations de l'éprouvette
sont permanentes et irréversibles. Le point B est la limite de l'élasticité.
La phase de striction est représentée par la courbe entre Fm et D.
La rupture de l'éprouvette est représentée par la lettre D.
Dans le cas des matériaux fragiles comme les aciers bruts de trempe et les fontes dites grises, il
n'y a pas de déformation plastique, Re et Rm sont confondues et l'allongement est nul.
96
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
No Affaire Ep 04
Client INSTRON
Matiere ACIER inoxydable CI – 3
Entrée textuelle d'échantillon 4 CRTI
Temperature 23.0 C
Eprouvette 1 à 1
700
600
500
400
Contrainte [MPa]
300
200
100
0 10 20 30 40 50
Déformation [%]
97
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
No Affaire Ep 01
Client INSTRON
Matiere ACIER A283 CA – 1
Entrée textuelle d'échantillon 4 CRTI
Temperature 23.0 C
Eprouvette 1 à 1
700
600
500
Contrainte [MPa]
400
300
200
100
0
0 10 20 30 40
Déformation [%]
98
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
99
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
100
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
s
Figure III.32: Différent type de défauts acceptable et non acceptable. [34]
101
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
Eprouvette 1 à 1
10
6
Charge [kN]
0 10 20 30 40 50 60
Déplacement [mm]
102
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
Eprouvette 1 à 1
4
Charge [kN]
0 10 20 30 40 50 60
Déplacement [mm]
On remarque depuis les résultats que l'acier inoxydable ne se déforme pas si facilement que
l'acier noire.
103
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
104
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
105
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
III.4.2 PQR de CA – 1 :
N° D’affaire :01
Procédure de soudage Date :24/07/2022
DMOS n°1
SMAW
Manuel
Métal de base 1 Métal de base 2 Support Diamètre de
Nuance : A283 Gr.c Nuance : A283 Gr.c envers : Procédé : métal déposé
2.5-3.25
Norme : ASME Norme : ASME NON
SECTION IX SECTION IX SMAW
Groupe : 1P No. 8 Groupe : 1P No. 8
Epaisseur qualifiée :6mm Epaisseur qualifiée :6mm
Diamètre: / Diamètre: /
Type d’assemblage : bout à bout Soudure repéré:/
Schéma de préparation Répartition des passes
106
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
107
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
III.4.3 PQR CA – 2 :
N° D’affaire :01
Procédure de soudage Date :28/07/2022
DMOS n°1
SMAW Manuel et
SAW automatique
Métal de base 1 Métal de base 2 Support Procédé : Diamètre de
Nuance : A283 Gr.c Nuance : A283 Gr.c envers : SMAW métal déposé
Manuel 2.5-3.25
Norme : ASME Norme : ASME OUI
SECTION IX SECTION IX Et
SAW
Groupe : 1P No. 8 Groupe : 1P No. 8 automatique
Epaisseur qualifiée :10mm Epaisseur qualifiée :10mm
Diamètre: / Diamètre: /
Type d’assemblage : bout à bout Soudure repéré:/
Schéma de préparation Répartition des passes
108
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
Remarque:
Les PQR des plaque CI – 1 et CI – 2 n'ont pas était réaliser vue leurs échecs pendant le contrôle
non destructif.
Ces échecs nous en mis en évidence a l'importance de la préparation avant soudage comme par
exemple le préchauffage des pièces à souder et les électrodes enrobées.
109
Chapitre 3: Traitement des résultats obtenues lors de contrôle destructive et non destructive et la rédaction des
PQR
III.5 Conclusion
Après des multiples essais et plusieurs erreurs, nous avons pu réussir de qualifier non seulement
un PQR pour notre cuve en acier inoxydable, mais aussi la cuve extérieure en acier A283.
Ce chapitre nous a montrer que le code ASME est une source fiable et un guide important
pendant tout le projet, nous avons appris aussi les différents types de défauts de soudages ainsi
que les méthodes a utilisé pour les révéler.
Le code ASME nous a permis d'avoir une connaissance de la rédaction des PQR et des WPS.
110
Conclusion générale
La qualification des PQR est connue par les gens du domaine de soudage d'être
une tâche difficile à réaliser, la procédure de qualification demande du temps, la
flexibilité et la patience. Les experts de soudage donne une importance énorme a
la réalisation de nouvelle procédure de soudage vue à la responsabilité de leurs
résultats qui peuvent affecter le produits soudé et la sécurité du milieu de travail.
Travailler sur ce projet nous a donné un avant-gout de la vie professionnel d'un
ingénieur en soudage, les échecs et obstacles qu'on à rencontrer pendant notre
stage nous ont aidé à maturé et a mieux analysé les problèmes et à apprendre
d'exploité plusieurs méthodes afin de trouver les solutions aux problèmes
rencontrer.
La consultation du code d'ASME nous a non seulement aider dans notre parcours
de réalisation de PQR mais aussi d'apprendre de nouveaux méthode de
qualifications pour plusieurs types de procédé de soudages.
Après ce parcours, nous avant rendu compte que la maitrise de code d'ASME n'est
pas obtenue après une simple lecture du code, mais après d'avoir expérimenter et
essayer de trouver plusieurs alternatives à notre projet, un bon ingénieur en
soudage ne murit pas juste avec l'éducation mais surtout après chaque projet
professionnel et en utilisant chaque code de normalisation en main.
Ce projet fut été une belle et épuisante expérience qui nous sera gravé dans notre
mémoire et qui nous motivera à chercher et à s'améliorer encore plus.
Référence
[1]https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Histoire_du_soudage
[2]https://www.britannica.com/technology/welding
[4]www.weldteam.com
[6]https://fr.wikipedia.org/wiki/Soudage_%C3%A0_l%27arc_%C3%A0_l%27
%C3%A9lectrode_enrob%C3%A9e
[7]https://www.materialwelding.com/smaw-electrode-types-and-welding-rod-
number-meaning-classification/
[8]2004 Lincoln Global Inc. Introduction to SMAW What do the letters SMAW
stand for?What do the letters SMAW stand for? Shielded Metal Arc Welding.
[9]https://www.canambridges.com/fr/connaissez-vous-le-procede-de-soudage-a-
larc-submerge/
[10] https://www.cwbgroup.org/association/how-it-works/what-submerged-arc-
welding-saw
[11]http://www.melody-in-
blues.org/downloads/D%C3%A9fauts%20de%20Soudure%201032_01_06_cha
p6.pdf
[13] https://www.youtube.com/watch?v=WGOvs2ABHnM&t
[14]https://www.iqsdirectory.com/articles/pressure-vessel.html
[15] Cours CND. Principe de base des tests non destructif (CND). Mme
KHAZNADJI
[16] https://www.cofrend.com/jcms/uat_128230/en/ultrasonic-testing-ut
[17]http://joho.p.free.fr/EC/COURS%20PJ/COURS%20MECANIQUE/RESIST
ANCE%20DES%20MATERIAUX/Les%20essais.pdf
[18] https://www.rocdacier.com/essai-de-pliage-selon-910/
[19] https://www.aesteiron.com/astm-a283-grade-c-carbon-steel-plate-sheet.html
[20] https://www.aesteiron.com/sa-240-gr-304-stainless-steel-sheet-plate.html
[22] https://www.axess-industries.com/guide-achat/inox
[23] https://gangsteel.net/product/Stainless/SA240/2012/1224/304N.html
[24]https://gangsteel.net/product/Carbon/ASTM/A283/GRADE%20C/STEEL/P
LATE.html
[25] Https://www.aboutmechanics.com/what-is-weldability.htm
[26]https://www.twi-global.com/technical-knowledge/job-
knowledge/weldability-of-materials-stainless-steel-020
[27] https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Diagramme_inox_Schaeffler.svg
[28]https://www.trefisoud.dz/ressources/fichiers_produits/fichier_produit_526.p
df
[29]https://www.trefisoud.dz/ressources/fichiers_produits/fichier_produit_500.p
df
[30]https://esab.com/lv/eur_en/products-solutions/filler-metals-
pdf/?filename=mdm-productfamily-
13278&siteid=eur_en&countryname=LVA&countrylocale=en-zz
[31] https://www.lincolnelectric.com/nl-NL/products/K14062-2A
[32] https://www.depsae.com/postes-arc-submerge/49-saf-starmatic-1003-dc
[33] https://www.youtube.com/watch?v=StjLjL7gMpU
[34]https://www.soudeurs.com/site/essais-mecaniques-les-essais-de-pliages-265/
Annexes
CSC Laboratoire Essais Mecaniques
No Affaire Ep 01
Client INSTRON
Matiere ACIER A283
Entrée textuelle d'échantillon 4 CRTI
Temperature 23.0 C
Eprouvette 1 à 1
700
600
500
Contrainte [MPa]
400
Eprouvette n°
1
300
200
100
0
0 10 20 30 40
Déformation [%]
No Affaire Ep 02
Client INSTRON
Matiere ACIER A283
Entrée textuelle d'échantillon 4 CRTI
Temperature 23.0 C
Eprouvette 1 à 1
700
600
500
Contrainte [MPa]
400
Eprouvette n°
1
300
200
100
0
0 10 20 30 40
Déformation [%]
No Affaire Ep 03
Client INSTRON
Matiere ACIER inoxydable
Entrée textuelle d'échantillon 4 CRTI
Temperature 23.0 C
Eprouvette 1 à 1
700
600
500
Contrainte [MPa]
400
Eprouvette n°
1
300
200
100
0
0 10 20 30 40
Déformation [%]
No Affaire Ep 04
Client INSTRON
Matiere ACIER inoxydable
Entrée textuelle d'échantillon 4 CRTI
Temperature 23.0 C
Eprouvette 1 à 1
700
600
500
Contrainte [MPa]
400
300 Eprouvette n°
1
200
100
0 10 20 30 40 50
Déformation [%]
No Affaire Ep 05
Client INSTRON
Matiere ACIER A283 soudée par la poutance
Entrée textuelle d'échantillon 4 CRTI
Temperature 23.0 C
Eprouvette 1 à 1
500
400
Contrainte [MPa]
300
Eprouvette n°
1
200
100
0
0 10 20 30 40
Déformation [%]
No Affaire Ep 06
Client INSTRON
Matiere ACIER A283 soudée avec la poutance
Entrée textuelle d'échantillon 4 CRTI
Temperature 23.0 C
Eprouvette 1 à 1
500
400
Contrainte [MPa]
300
Eprouvette n°
6
200
100
0
0 10 20 30 40
Déformation [%]
Eprouvette 1 à 1
5
Charge [kN]
4
Eprouvette n°
3 1
0 10 20 30 40 50 60
Déplacement [mm]
Eprouvette 1 à 1
4
Charge [kN]
3 Eprouvette n°
1
0 10 20 30 40 50 60
Déplacement [mm]
Eprouvette 1 à 1
6
Charge [kN]
4 Eprouvette n°
1
3
0 10 20 30 40 50 60
Déplacement [mm]
Eprouvette 1 à 1
6
Charge [kN]
4 Eprouvette n°
1
3
0 10 20 30 40 50 60
Déplacement [mm]
Eprouvette 1 à 1
30
20
Charge [kN]
10 Eprouvette n°
1
10 20 30 40 50 60 70
Déplacement [mm]
Eprouvette 1 à 1
22
20
18
16
14
Charge [kN]
12
Eprouvette n°
10 1
0
0 10 20 30 40 50
Déplacement [mm]
Eprouvette 1 à 1
22
20
18
16
14
Charge [kN]
12
Eprouvette n°
10 1
0
0 10 20 30 40 50 60
Déplacement [mm]
Eprouvette 1 à 1
30
20
Charge [kN]
10 Eprouvette n°
1
0 10 20 30 40 50 60
Déplacement [mm]
Eprouvette 1 à 1
10
6
Charge [kN]
5
Eprouvette n°
4 1
0 10 20 30 40 50 60
Déplacement [mm]
Eprouvette 1 à 1
6
Charge [kN]
4 Eprouvette n°
1
3
0 10 20 30 40 50 60
Déplacement [mm]
Eprouvette 1 à 1
5
Charge [kN]
4
Eprouvette n°
1
3
0
0 10 20 30 40 50
Déplacement [mm]
Eprouvette 1 à 1
10
7
Charge [kN]
6
Eprouvette n°
5 1
1
0 10 20 30 40 50 60
Déplacement [mm]