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École pratique des hautes études,

Section des sciences religieuses

Conférence de M. Jean-Pierre Brach


Jean-Pierre Brach

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Brach Jean-Pierre. Conférence de M. Jean-Pierre Brach. In: École pratique des hautes études, Section des sciences
religieuses. Annuaire. Tome 109, 2000-2001. 2000. pp. 417-422 ;

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Conférences de M. Jean-Pierre Brach
Chargé de conférences

Nous avons poursuivi, en première heure, l'étude du De numerorum mys-


teriis de F. Patrizi (ms. autographe, 1594 ; cf. Annuaire, t. 108, p. 387-91).
Au chapitre sur l'arithmétique succède celui consacré aux proportions
[chap. 4, De analogia] ou, plus justement, aux médiétés, quoique l'auteur
- ce qui n'est à l'époque aucunement surprenant - ne les distingue pas
nettement les unes des autres (nous revenons succintement sur ce point dans
la seconde partie du présent compte rendu). Après avoir signalé la
différence entre proportion continue et discontinue (c'est-à-dire à trois ou
quatre termes), et en avoir fourni quelques illustrations numériques
appropriées, Patrizi évoque au passage l'existence de dix (il en existe onze, en
réalité) formes de médiétés, pour n'en retenir que trois, les seules qu'il
considère susceptibles, selon les pythagoriciens eux-mêmes, de recevoir
une (des) signification(s) mystique(s). Il traite ensuite plus en détail ces
trois moyennes proportionnelles, arithmétique, géométrique et
harmonique, en insistant quelque peu sur la dernière et son rapport particulier
avec l'expression mathématique des principaux intervalles musicaux
connus de l'Antiquité grecque (quarte, octave et quinte).
C'est dès lors avec le chapitre suivant [c. 5, De numeris mysticis] que
l'auteur, de son propre aveu, en vient au thème central du texte. Le
fondement de l'existence et de l'emploi des nombres symboliques réside dans
l'harmonie cosmique, l'ordre et les proportions inséparables de Peffectua-
tion du monde. Revenant sur la tripartition ontologique banale selon
laquelle se répartissent les êtres, Patrizi rappelle le statut intermédiaire des
entités mathématiques, entre le monde divin et celui de la nature. Il fait en
outre état d'une autre classification, plus élaborée, qu'il rapporte à
Jamblique (La référence exacte est difficile à identifier ; peut-être s'agit-il
- très résumé et arrangé - de De communi mathematica scientia 55-56 [éd.
et trad ital. F. Romano, Rusconi, Milan, 19995, p. 125-127]) et qui prend
cette fois en considération cinq catégories : hormis l'ineffable simplicité
divine, qui ne peut ni ne doit être nommée, le plan des intelligibles, celui
des réalités mathématiques (divisées comme on l'a vu plus haut en quatre
disciplines), les êtres naturels doués de corporéité, parmi lesquels l'homme
et l'ensemble de ses actions (artisanales, morales, domestiques,
communautaires) forment une classe à part. Le garant suprême de ces hiérarchies
et de leur imbrication harmonieuse, autrement dit le sommet de l'édifice
ontologique, c'est bien sûr l'Un (ou Monade). De lui dépendent toutes
choses car celles-ci n'existent, sur quelque plan que ce soit, qu'autant
qu'elles participent de sa surabondance. Les êtres tiennent de l'Un non
seulement leur vie propre mais en outre leur singularité, autrement dit ce qui
les constitue comme individuels en leur conférant leur unité particulière et

Annuaire EPHE. Section des sciences religieuses, T. 109 (2000-2001)


418 Histoire des courants ésotériques et mystiques . . .

leur cohésion spécifique. Mutatis mutandis, les nombres illustrent un


processus identique à partir de la Monade, dont ils dérivent nécessairement eux
aussi, en définitive, et qui se reflète dans ses contreparties mathématiques,
à savoir l'unité arithmétique et le point géométrique. Chaque nombre peut
de la sorte être considéré comme un agrégat spécifique de monades (ou
d'unités, cf. la définition classique - déjà rencontrée - de Nicomaque de
Gérase), tenant son existence de l'Un dont il image et explicite, à son rang,
le déploiement, rôle auquel sa nature intelligible le prédispose au mieux.
Mais il y a plus : en tant qu'origine de tous les nombres, l'un mathématique
se situe sur le même plan que la multiplicité ; comme tel, il n'existe à son
tour que par participation à cet Un qui est - logiquement et ontologique-
ment - antérieur à toute différenciation et dépourvu de parties proprement
dites. Là, dans cette Monade principielle, réside la mesure fondamentale
qui préside à la constitution du nombre et, a fortiori, à celle de la quantité
dans son ensemble (nous avons tenté d'explorer ce point plus avant dans
« Quelques réflexions sur les fondements spéculatifs de la symbolique des
nombres », Esotérisme, gnoses et imaginaire symbolique : Mélanges offerts
à Antoine Faivre [R. Caron, J. Godwin, W. J. Hanegraaf et J.-L. Vieillard-
Baron éds.], Louvain, 2001, p. 741-7).
Patrizi y voit pour sa part (et ajuste titre, semble-t-il) la doctrine
centrale qui étaye les analogies numérales et qu'ont selon lui partagée tous les
grand philosophes intéressés à cette question (Platon, Plotin, Jamblique,
etc) ; à son habitude, il présente en renfort deux longues citations
extraites, l'une, du Pseudo-Denys [Noms divins 977c-980d dans Œuvres
complètes, trad. M. de Gandillac, P., 1942, p. 173-4], l'autre des Éléments
théologiques de Proclus [trad. J. Trouillard, P., 1964, p. 61-4], toutes deux
consacrées aux rapports de l'Un et du multiple. Ces « mystères de la
Monade », préexistant à toutes choses et conditionnant leur
développement au travers des plans divin, mathématique, physique et humain,
introduisent ainsi opportunément au chapitre 6, intitulé De Uno.
Ce chapitre, qui ouvre ceux consacrés à la Décade et dont nous n'avons
eu le temps d'étudier que le début, commence par s'étendre sur les multiples
et classiques analogies existant entre l'Un et la Divinité : simplicité suprême,
unicité absolue, infinité, plénitude ontologique (etc.) et absence conséquente
de forme, de parties, de lieu, de dimensions, de mouvement et ainsi de suite.
Ineffable et dominant tout, y compris bien sûr le temps et le changement,
non mêlée en quelque manière à ce qui peut concerner la multiplicité, ne
possédant ni semblable ni dissemblable, la Monade est au fondement de
toute doctrine depuis ceux que Patrizi nomme, sans autrement préciser, « les
pythagoriciens » et en qui il voit (après tant d'autres) les inspirateurs de
Platon, de PAréopagite, etc. Nous avons interrompu notre examen au
passage où l'auteur fait allusion à la théorie des « nombres divins », entendus
en l'espèce comme « entités » intelligibles relevant intrinsèquement de
l'ordre en question et non comme simples transpositions anagogiques de la
notion de nombre. Cette idée remarquable provient de fragments de
Jamblique (identifiés comme tels et publiés par D. J. O'Meara en 1981,
repris dans son Pythagoras Revived, Oxford, 1989, pp. 218-29) cités par
Psellos et dont Patrizi donne précisément la traduction intégrale (la première
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en latin ?) au terme du présent manuscrit, où ils occupent - suite à l'analyse


de la Décade pythagoricienne - les trois derniers chapitres [16, 17 et 18]
selon la répartition (due à Jamblique/Psellos) en nombres « physique »,
« éthique » et « divin ».

Durant la seconde heure de notre séminaire, nous avons examiné en


alternance quelques sections d'un recueil alchimique composite, sections
consacrées à différents types de « mesures » censément mises en œuvre par
l'art d'Hermès. Ce manuscrit anonyme (appartenant à une collection
particulière), de plusieurs mains, rédigé en latin et en français, date pour
l'essentiel (y compris la partie qui nous intéresse) de la première moitié du xvne s.
Il présente, comme on va le voir, l'intérêt d'associer de manière très
particulière symbolisme « opératoire » et spéculations arithmologiques.
Posant, sur la base de l'analogie classique entre microcosme et macro-
cosme, que le « petit ouvrage » se conforme aux mêmes règles qui
régissent la création du « grand monde », laquelle s'est opérée in mensura,
numéro et pondère, notre texte continue en affirmant aussitôt le caractère
indispensable de la connaissance des médiétés pour s'orienter dans la
littérature alchimique, et plus précisément pour mesurer les temps, les poids,
le feu et la matière. En l'occurrence, il s'agit également ici des trois
médiétés dites « platoniciennes », ou encore médiétés harmonique (ou musicale),
arithmétique et géométrique, qui apparaissent pour la première fois
comme telles dans un fragment attribué à Archytas de Tarente et conservé
par Porphyre. On sait qu'une médiété (de comparaison ou de partition)
constitue un cas particulier de proportion continue, où l'accent est mis sur
le moyen terme et les relations qu'entretiennent entre eux les termes eux-
mêmes de la proportion et/ou les rapports auxquels ils donnent lieu en son
sein (P.-H. Michel, De Pythagore à Euclide, P., 1950, p. 365-401). Aux
trois médiétés ci-dessus mentionnées correspondent respectivement pour
notre auteur les poids (de la/des matière[s]), la « règle des temps » et la
« mesure géométrique du feu », cette dernière assimilée à la forme et à
« l'Esprit qui échauffe et rend fécondes les eaux » (allusion transparente à
Gen. I, 2). Ces éléments reçoivent en outre les dénominations suivantes :
Identitas, Alteritas, Alteritatum unio, dont l'association aux moyennes
proportionnelles en question remonte en définitive au Commentaire sur le
Timée de Proclus (trad. A.-J. Festugière, P., 1966.-68 [5 vol.] ; t. 3, 1967,
[198-29 - 200-21], p. 246-8). Quoiqu'il n'y ait rien d'intrinsèquement
invraisemblable à ce qu'un alchimiste du xvne s. se révèle lecteur de
Proclus (que l'on songe seulement, à cet égard, au cas de W. Davidson
[fl669] dont nous avons étudié ailleurs l'utilisation relativement détaillée
qu'il fit du Lycien dans sa Philosophia pyrotechnica [1635]), il s'agit
cependant d'une source quelque peu inhabituelle en l'espèce, même
compte tenu de l'emploi assez répandu des médiétés en contexte influencé
par le paracelsisme (voir les références dans notre article « Deux exemples
de symbolisme géométrique dans des textes alchimiques du xvne siècle »,
Alchimie - art, histoire et mythes [D. Kahn et S. Matton éds.], Milan-Paris,
1995, p. 717-35 ; ici, p. 734 et n. 61), ce qui s'applique aussi bien à
Davidson qu'au présent document. Suit alors, à titre d'illustration, une
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longue citation du Frère mineur et kabbaliste chrétien F. Georges (Zorzi) de


Venise (f 1540), extraite de son De harmonia mundi [1525] et précisément
consacrée aux trois médiétés (cant. I, t. 5, chap. 11). Lors même que
l'intérêt du franciscain pour l'alchimie est bien établi (F. Secret, Hermétisme et
Kabbale, Naples, 1992, p. 15-63), F. Georges n'en constitue pas moins, lui
aussi, une référence très peu banale en pareil contexte. La lecture du présent
passage nous apprend d'ailleurs aussitôt que c'est en réalité par
l'intermédiaire du Vénitien que notre alchimiste a pris connaissance des données
d'origine proclusienne (F. Secret, "Franciscus Georgius Verretus et ses
références à Proclus", B.M.R. 36 (1974), p. 78-81). Même chez Zorzi,
cependant, la provenance de tels éléments, indiquée de manière vague, est
probablement médiatisée par des auteurs plus voisins : ainsi le
rapprochement symbolique établi entre nos médiétés et les trois filles de Thémis, pour
être effectivement présent chez Proclus (Ibid., [198-25 - 198-27], p. 245-
6), provient sans doute plus directement de la sixième Conclusio secundum
mathematicam Pythagorœ de J. Pic (éd. B. Kieszkowski, Genève, 1973,
p. 48 ; trad. B. Schefer, P., 1999, p. 91), qui reprend précisément ce thème.
On sait par ailleurs que le Vénitien avait glosé les deux séries de
Conclusions kabbalistiques du même auteur, commentaires publiés après sa
mort sous un autre nom !
Brièvement résumé, F. Georges présente les choses de la façon
suivante : Platon, selon lui, a constitué l'âme (universelle) et le monde au
moyen de trois « liens » ou unions continu(e)s qui assurent l'ordre et
l'harmonie cosmiques. Cet écho du Timée (31a-32a) se complète
naturellement d'indications relatives au rôle cosmologique respectif de chaque
médiété. Ainsi, la proportion géométrique rassemble la multitude des
substances et unifie les processus qui les animent ; le rapport harmonique a
trait à l'ipséité des choses et lie entre elles leurs essences, tandis que
l'arithmétique conjugue leurs différences. Allusion est faite au passage à
l'application politique de ces relations, classique depuis Platon et Aristote (Gorgias
508a ; Lois 757b ; Nicom. V, 67, par exemple). Puisque P« altérité » domine
nécessairement parmi les choses particulières, c'est-à-dire somme toute
envisagées individuellement, c'est la médiété arithmétique qui en règle la
distribution, de même que sa contrepartie musicale en assure l'harmonie
mais, cette fois, au plan de leurs essences principielles (« identité »), la
liaison entre les deux se trouvant effectuée par la moyenne géométrique, ou
lien « substantiel » (« union des altérités »). Outre un rappel assez net du
Même, de l'Autre et de l'Être {arbitrairement assimilé ici à la « substance »)
qui sont au principe des mélanges donnant naissance à l'âme et au monde
selon le Timée, les analogies qu'assigne F. Georges aux trois médiétés
s'étendent encore à la Trinité. Au Père, en tant qu'origine primordiale de
tout, correspond la moyenne harmonique, au Fils - « lieu des possibles » -
la médiété arithmétique, à l'Esprit - autrement dit au « feu » sous l'effet
duquel les choses viennent à l'existence et prennent leur place dans la
hiérarchie ontologique - la proportion géométrique.
Notre alchimiste passe alors sans transition à un autre chapitre du De
harmonia mundi (cant. I, t. 5, chap. 16), lié au précédent en ce qu'il
examine les trois termes « mesure, nombre et poids » (extraits bien sûr de
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Sagesse XI, 21) en les rapprochant en particulier de nos médiétés,


dissimulées selon Zorzi derrière les vocables platoniciens de « nombres,
figures et solides ». Le « nombre » commande alors les « formes
spécifiques des choses » et la médiété arithmétique, les « dimensions et
mesures » la médiété géométrique, les « solides » correspondent aux
« poids » qui gouvernent la vélocité des mouvements, la hauteur des sons
et, plus généralement, les « inclinations » d'ensemble des choses (ceci
étant tout à fait d'esprit augustinien), sous l'égide de la médiété musicale.
À noter que le vocabulaire prêté ici à Platon par le Vénitien se ressent en
réalité fortement de celui qu'emploie M. Ficin dans son Compendium in
Timœum (et que souligne, tout à fait indépendamment de Zorzi,
M. J. B. Allen, Nuptial Arithmetic : Marsilio Ficino 's Commentary on the
Fatal Number in Book VIII o/Plato's Republic, Berkeley, 1994 [Appendix
3 : « In Number, Weight, and Measure »], pp. 260-2). Quant à la
correspondance entre les termes empruntés au Livre de la Sagesse et ceux
d'arithmétique, géométrie et musique (indépendamment toutefois de la
considération des médiétés proprement dites), elle constitue chez
F. Georges un souvenir probable de N. de Cues {Doct. Ign. II, 13).
Le texte insiste ensuite sur l'importance de la connaissance de ces
moyennes dans l'œuvre alchimique. Pour lui, en effet, tout est réglé par
elles et il est impossible d'ajouter ou retrancher quoi que ce soit aux
mesures déterminées par leur action conjuguée sans se condamner du
même coup à l'échec. Bien plus, notre anonyme appuie ces vues au moyen
d'un rapprochement symbolique entre le « microcosme » hermétique et la
Jérusalem céleste, à l'occasion duquel il est insisté sur l'égalité parfaite
des trois dimensions de la Cité (Apoc. XXI, 16), modèle harmonieux du
travail propre à l'Art. En ce sens, il faut encore rappeler (mais sans pour
autant supposer ici une contamination directe) qu'à date ancienne,
Nicomaque de Gérase achève son Introduction arithmétique (trad.
J. Bertier, P., 1978 [II, XXIX], p. 139-40 et n. p. 224-5) en évoquant la
« médiété parfaite », qui consiste précisément dans la synthèse
coordonnée en trois dimensions des trois proportions en question. Or, Nicomaque
s'est trouvé, on le sait bien, adapté en latin par Boèce, auteur mentionné
(toutefois sans aucune référence précise) par notre manuscrit.
Notre passage s'achève alors sur une récapitulation qui met en
correspondance explicite les termes de « feu », « temps » et « musique » (ce
dernier équivalant ici à poids de la matière, on l'a vu) avec - respectivement
- ceux de mesure, nombre et poids, forma (ou alteritatum unio), alteritas
et identitas, ainsi qu'avec les médiétés géométrique, arithmétique et
harmonique. Cette synthèse originale entre arithmologie et alchimie, au
carrefour des traditions biblique et grecque, relues de surcroît au travers
d'intermédiaires relativement inattendus en pareil contexte, recoupe ainsi, au
moins par certaines caractéristiques générales (comme l'emploi
analogique des proportions), les considérations développées par le traité de
F. Patrizi étudié en alternance.
422 Histoire des courants ésotériques et mystiques ...

Élèves, étudiants et auditeurs assidus : C. Besset-Lemoine,


A. Deghaye, R. Dragan, F. Foucaud, M. Jeulin, L. Khalifa, E. Latour,
R. Mahut, R. Simon.
Ont assisté à quelques séances : M. Carie, C. Casino, C. Duhuy,
S. Gregov, G. Guiffault, R. Losatte, J. P. Mpondo, M. Pasi, P. Pillot.

Publications du chargé de conférences :

Ouvrage :
• Guillaume Postel. - De admirandis numerorum platonicorum secre-
tis (1549), transcription, traduction, introduction et notes, Vrin, Paris, 2001
(coll. « De Pétrarque à Descartes »).

Articles :
• « Le féminin de Dieu » [avec C. Jambet], dans Le féminin spirituel
(sous la direction de M. Cazenave), Desclée de Brouwer - France Culture,
Paris, 2001, p. 61-74.
• « Quelques réflexions sur les fondements spéculatifs de la
symbolique des nombres », Mélanges Antoine Faivre (R. Caron, J. Godwin, W. J.
Hanegraaf et J.-L. Vieillard-Baron éds.), Peeters, Louvain, 2001, p. 691-7.
• « LE PETIT TRAITÉ DE LA SIGNIFICATION ULTIME DES CINQ
CORPS RÉGULIERS OU ÉLÉMENTS DE L'ÉTERNELLE VÉRITÉ de
Guillaume Postel », Documents oubliés sur l'alchimie, la kabbale et
Guillaume Postel offerts à François Secret (S. Matton éd.), Genève 2001,
p. 223-44.

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