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3 questions :
1) Comment pourriez-vous expliquer la perte de la
cadhérine E à la surface des cellules en cours d’EMT ?
• Endocytose : la E-cad peut être endocytosé et dégrader
• Mutation du gène qui fait que l’exportation de l’E-cad à
la surface n’est pas bonne
2) Comment pouvez-vous mettre en évidence la perte de la
cadhérine E dans des cellules ou dans un tissu ?
QUESTIONS :
1. Comment pourriez-vous expliquer la perte de la
cadhérine E à la surface des cellules en cours d’EMT ?
2. Comment pouvez-vous mettre en évidence la perte de la
cadhérine E dans des cellules ou dans un tissu ?
3. Peut-on observer l’EMT/MET in vitro, en culture ? la
culture sur plastique est-elle sufissament fiable
4. Sur base des données présentées ici, puvez-vous conclure
que Nanos est une cible thérapeutique potentielle ?
5. Comment peut-on mesurer le potentiel migratoire d’une
lignée cellules ?
COURS 23 FÉVRIER
1) Comment pourriez-vous expliquer la perte de E cadhérines à la surface des cellules en cours
d’EMT ? Comment pourriez-vous vérifier vos hypothèses ?
La première hypothèse est la suivante : c’est une modulation
au niveau transcriptionnelle. Pour mettre en lumière le
pourvoir transcriptionnelle, on peut faire une RT-PCR, pour
aller voir des cellules qu’on suspecte d’avoir subi la EMT. On
peut faire une q-RT-PCR pour être quantitatif. Pour les
contrôles, on utilise des gènes domestiques (GAPDH), il faut
être sûr que dans le processus étudié, l’expression du gène
domestique n’est pas modifiée.
2) Comment pourriez-vous mettre en évidence la perte des E cadhérines dans des cellules ou dans un
tissu ?
- IHC
- WB où on peut voir une diminution sachant que la
sensibilité de la technique pose problème. Dans un tissu,
il y a des fibroblastes, de la MEC, …. Et nous on veut
voir si il y a une diminution minime. On peut donc avoir
un faux positif car le phénomène est faible par rapport à
tout ce qui se trouve dans la cellule.
3) Sur base des données présentées ici, pouvez-vous conclure de Nanos3 est une cible thérapeutique
potentielle ?
Le fait que soit présent dans la tumeur secondaire mais pas
primaire montre que les cellules extrement agressive, cela
pourrait ainsi constituer une cible.
Pour savoir si c’est une cible potentielle, on doit réaliser des
études fonctionnelles.
4) Quelles informations donne le « scratch assay » ou « wound healing assay » par rapport à la
chambre de Boyden ?
Dans la chambre de Boyden, il n’est pas possible de suivre
les cellules par rapport au temps. on peut voir la façon dont
elle migre.
Dans le scratch les cellules doivent être en 2D. Or une
tumeur est plutôt une boule. On va donc faire des
sphéroïdes pour étudier ces boules.
On peut bloquer la prolifération cellulaire en utilisant la
mitomycine C qui va inhiber la prolifération.
La cellule tumorale doit répondre à des chémoattraquants.
Elle ne va pas migrer n’importe comment.
Pour qu’elles puissent migrer, les cellules doit avoir des
microtubules et des filaments intermédiaires.
6) Dans ce même article, les auteurs présentent des résultats indiquant une corrélation entre la
migration des cellules et l’expression de Nanos3 dans différentes lignées. Comment pouvez-vous
montrer l’implication de Nanos3 dans la migration des cellules ?
On prend un siARN qui vont bloquer l’expression du gène
nanos3. Pour les contrôles, on doit vérifier que. Le siRNA
n’inhibe que NANOS-3 et pas d’autres gènes impliqués
dans la migration cellulaire. Il faut vérifier que les
conditions de transfection n’effectent pas les propriétés des
cellules. Les siARN réduisent l’expression du gène de façon
transitoire.
Pour diminuer la production d’une protéine de façon
permanente, on peut utiliser des souris knock out pour
NANOS3 ou on prend des cellules de souris knock out et
les rendre tumorigène.