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Quatre espèces d’êtres douées de raison

Les Romains ont repris aux Grecs la hiérarchie établie entre les quatre espèces d’êtres « doués de raison ».

Hésiode, très clairement et distinctement, le premier, a défini quatre espèces d’êtres douées de raison, dieux, puis
« démons », puis héros, et celle, après toutes, des hommes, à partir desquelles il admet des changements : appartenant
à l’espèce de l’âge d’or, des êtres nombreux et bons devinrent « démons », des demi-dieux quant à eux étant choisis
pour devenir héros. Et d’autres admettent des changements affectant les corps tout comme les âmes : de même en effet
que l’on voit l’eau naître de la terre, l’air de l’eau, le feu de l’air – l’essence des êtres étant portée vers le haut-, de même,
les meilleurs âmes obtiennent leur changement d’hommes en héros et de héros en « démons » et de « démons »,
quelques-unes, sur une longue période, entièrement purifiées par leur vertu, eurent part à la condition divine. En
revanche, à certaines il arrive de ne pas se maîtriser elles-mêmes, mais, descendant et retournant dans des corps de
mortels, d’avoir une vie obscure et trouble comme pestilence.

Plutarque, De la disparition des oracles

Quatre espèces d’êtres douées de raison

Les Romains ont repris aux Grecs la hiérarchie établie entre les quatre espèces d’êtres « doués de raison ».

Hésiode, très clairement et distinctement, le premier, a défini quatre espèces d’êtres douées de raison, dieux, puis
« démons », puis héros, et celle, après toutes, des hommes, à partir desquelles il admet des changements : appartenant
à l’espèce de l’âge d’or, des êtres nombreux et bons devinrent « démons », des demi-dieux quant à eux étant choisis
pour devenir héros. Et d’autres admettent des changements affectant les corps tout comme les âmes : de même en effet
que l’on voit l’eau naître de la terre, l’air de l’eau, le feu de l’air – l’essence des êtres étant portée vers le haut-, de même,
les meilleurs âmes obtiennent leur changement d’hommes en héros et de héros en « démons » et de « démons »,
quelques-unes, sur une longue période, entièrement purifiées par leur vertu, eurent part à la condition divine. En
revanche, à certaines il arrive de ne pas se maîtriser elles-mêmes, mais, descendant et retournant dans des corps de
mortels, d’avoir une vie obscure et trouble comme pestilence.

Plutarque, De la disparition des oracles

Quatre espèces d’êtres douées de raison

Les Romains ont repris aux Grecs la hiérarchie établie entre les quatre espèces d’êtres « doués de raison ».

Hésiode, très clairement et distinctement, le premier, a défini quatre espèces d’êtres douées de raison, dieux, puis
« démons », puis héros, et celle, après toutes, des hommes, à partir desquelles il admet des changements : appartenant
à l’espèce de l’âge d’or, des êtres nombreux et bons devinrent « démons », des demi-dieux quant à eux étant choisis
pour devenir héros. Et d’autres admettent des changements affectant les corps tout comme les âmes : de même en effet
que l’on voit l’eau naître de la terre, l’air de l’eau, le feu de l’air – l’essence des êtres étant portée vers le haut-, de même,
les meilleurs âmes obtiennent leur changement d’hommes en héros et de héros en « démons » et de « démons »,
quelques-unes, sur une longue période, entièrement purifiées par leur vertu, eurent part à la condition divine. En
revanche, à certaines il arrive de ne pas se maîtriser elles-mêmes, mais, descendant et retournant dans des corps de
mortels, d’avoir une vie obscure et trouble comme pestilence.

Plutarque, De la disparition des oracles

Quatre espèces d’êtres douées de raison

Les Romains ont repris aux Grecs la hiérarchie établie entre les quatre espèces d’êtres « doués de raison ».

Hésiode, très clairement et distinctement, le premier, a défini quatre espèces d’êtres douées de raison, dieux, puis
« démons », puis héros, et celle, après toutes, des hommes, à partir desquelles il admet des changements : appartenant
à l’espèce de l’âge d’or, des êtres nombreux et bons devinrent « démons », des demi-dieux quant à eux étant choisis
pour devenir héros. Et d’autres admettent des changements affectant les corps tout comme les âmes : de même en effet
que l’on voit l’eau naître de la terre, l’air de l’eau, le feu de l’air – l’essence des êtres étant portée vers le haut-, de même,
les meilleurs âmes obtiennent leur changement d’hommes en héros et de héros en « démons » et de « démons »,
quelques-unes, sur une longue période, entièrement purifiées par leur vertu, eurent part à la condition divine. En
revanche, à certaines il arrive de ne pas se maîtriser elles-mêmes, mais, descendant et retournant dans des corps de
mortels, d’avoir une vie obscure et trouble comme pestilence.

Plutarque, De la disparition des oracles

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