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V. 4. PT ET EMPLOI
A- Effet du pt sur l’emploi
1. Cas des innovations de produit
2. Les innovations de procède
Effets directs sur l’emploi
Effets indirects sur l’emploi
B- Effet sur la nature des emplois
V. 5. LA NOUVELLE ECONOMIE
COMMERCE INTERNATIONAL-CROISSANCE ET
THEME VI :
DEVELOPPEMENT
VI. 1. AVANTAGES ET TRANSFORMATIONS DE LA DIT
A. Mesure des échanges internationaux
B. Les transformations des échanges internationaux
B. 1- L’évolution des échanges de marchandises
B. 2- Importance croissante des échanges de services et de capitaux
Les services
Les capitaux
THEME VII :
MECANISMES MONETAIRES ET FINANCIERS
INTERNATIONAUX-CROISSANCE ET DEVELOPPEMENT
THEME VIII :
CRISES ET REGULATION DANS LES PAYS
INDUSTRIALISES
THEME IX : SPECIFICITE DE LA CRISE DANS LES PAYS EN DVPT
THEME I : CROISSANCE-DEVELOPPEMENT ET SOUS DEVELOPPEMENT
I. 1. DE LA CROISSANCE AU DEVELOPPEMENT
A- La croissance
1- Définition de la croissance et sa mesure
La croissance économique est une augmentation durable et soutenue de bien et service dans un
pays. Elle se mesure à partir d’agrégat comme le PIB ; le PIB est la somme des valeurs ajoutées
réalisées par les unités résidentes d’une économie.
Taux de croissance :
La croissance est un processus engagé depuis plus de 2 siècles et elle conditionne le niveau de
vie des populations à partir de l’agrégat PIB/HAB
Depuis les années 1789, des profondes transformations concernant les structures de la
production, la structure de la population active selon les secteurs ou selon les catégories socio-
professionnelles, ainsi que le mode de vie accompagnent la croissance économique. En effet,
la contribution des différents secteurs d’activités à la formation du PIB s’est considérablement
modifier.
Dans l’agriculture par exemple, sa contribution au PIB baisse de 93,8% entre 1789 et 1988,
passant de 49% à 3%.
Explication : Dans l’agriculture, la productivité est relativement élevée (moyenne) grâce à
l’utilisation du progrès technique. En d’autres termes, la production par actif est élevée pendant
que la demande adressée à ce secteur est en baisse au profit de l’industrie ; Cela entraine une
économie du facteur travail, donc une maitrise des coûts de production. Ainsi, les prix des
produits ne cessent de diminuer (ils sont de plus en plus compétitifs). C’est pourquoi, malgré la
production qui ne cesse d’augmenter la valeur de celle-ci est en baisse.
Aussi, les autres secteurs produisant de plus en plus, la part de l’agriculture dans le PIB ne cesse
de diminuer.
Raisonnement dans l’industrie et l’agriculture à chercher par l’élève…
Evolution des actifs selon les catégories socioprofessionnelles
Constat : En 1962
Dès la révolution industrielle dans certains pays européens au 19e siècle, 19e siècle, au décollage
des pays d’Asie du Sud-Est depuis quelques décennies, les mêmes ingrédients semblent à
l’origine de la croissance, mais combinés de manière originale dans chaque régions. Les
économistes insistent d’abord sur la quantité et la qualité des facteurs de production ; Aussi
sont-ils parvenus à montrer que d’autres facteurs favorisent la croissance.
OBJECTIF GENERAL : Etre capable d’expliquer au-delà de la quantité et de la quantité des
facteurs de production, il existe d’autres facteurs qui conditionnent la croissance.
OBJETIFS SPECIFIQUES : Etre capable de d’expliquer…
La contribution des facteurs de production (travail et capital à la croissance économique)
La contribution de la productivité globale à la croissance économique
Les économistes qui ont étudié la croissance ont trouvé que le moteur du progrès économique
repose sur les quatre même roues, quelques soit la richesse ou la pauvreté du pays. Ces quatre
roues ou facteurs de croissance sont :
Les ressources humaines (offre de travail, éducation, discipline, motivation)
Les ressources naturelles (terre, ressources minière, pétrole, qualité de l’environnement)
La formation du capital (machines, usines, routes)
La technologie (science, technique de l’ingénieur, gestion, esprit d’entreprise)
Ces sources de la croissance, identifiées portent sur la quantité des facteurs de production
(facteur travail et facteur capital par exemple) dont dispose une économie.
Ainsi, un plus grand nombre d’heure de travail dans une économie peut être facteur de
croissance ; Il en est de même pour l’amélioration de l’efficacité du travail.
A. 2- Une méthode pour mesurer l’impact du pt sur la croissance
B. Le PT au cœur de la croissance
Les gains de productivité ont des sources multiples. C’est pourquoi la productivité du travail
est qualifiée d’apparente : son augmentation peut résulter d’une meilleure organisation du
travail et d’une meilleure qualification des travailleurs ; mais également de l’innovation et des
facteurs non directement liés au travail (la quantité des produits pouvant faire augmenter les
prix, le développement des producteurs).
B. 2- Le PT peut repousser les limites de la croissance
Lorsqu’on augmente le capital par tête, certes la productivité augmente mais pas dans la même
proportion. On dit que les rendements sont décroissants.
Ainsi, à force d’augmenter le capital par tête vient un moment où la production par tête finie
par ne plus guère progressée.
Mais pour contourner cette loi des rendements décroissants, Solow propose un 3e facteur un
peu particulier qui est le PT et qui vient s’ajouter aux deux autres qui sont le travail et le capital.
Ce dernier accroit l’efficacité productive des deux autres, un peu comme la levure accroit le
volume du gâteau.
Quelle voie pour l’avenir ? Doit-on renoncer à la croissance ? Où trouver des voies d’un
développement qui concilie développement durable et croissance ?
Certains auteurs comme Nicolas Georgesen ROEGEN souhaitent une rupture et prônent pour
une décroissance. Il s’agit de renoncer à associer systématiquement l’augmentation de la
production et de la consommation au bien-être ; Il faut alors limiter nos besoins et chercher à
produire en utilisant les ressources de manière plus rationnelle.
Mais pour les tenants du développement durable, il est possible de concilier croissance et le
respect de l’environnement et la lutte contre la pauvreté.
Enfin, certains pensent que le progrès technique peut aider à trouver des solutions car selon eux,
ce dernier permet d’économiser les facteurs de production.
C- Quelles décisions à prendre ?
Le développement nécessite une intervention de l’état à travers la mise en place des dispositifs
variés comme les subventions aux innovations environnementales, la taxe « pollueur-payeur »,
l’interdiction de certains produits…
Aussi, face à des risques concernant l’ensemble de la planète des accords internationaux comme
les accords de Kyoto sont nécessaires. Mais leur réussite dépend de la prise de conscience des
états, et surtout des citoyens à travers les actions collectives d’organisations non
gouvernementales et dans celles des consommateurs à travers le développement du commerce
équitable.
QUELQUES IDEES A RETENIR DU PROTOCOLES DE KYOTO
Le protocole de Kyoto marque un revirement important en matière environnementale. Selon ce
protocole la quarantaine des pays industrialisés signataires doit réduire de 5% leur émission de
gaz à effets de serre, au plus tard en 2012.
Le moyen d’action pour obtenir cette réduction est la création d’u marché des droits à polluer.
En effet, des quotas de pollution sont délivrés par chacun des états signataires aux entreprises.
Jusqu’à une certaine époque, l’écart entre le niveau de développement des pays était très peu
significatif. A la fin du 18e siècle, des transformations structurelles se sont déclenchées avec la
révolution industrielle. Mais elles n’ont pas touché tous les pays au même moment et avec la
même intensité. Dès lors le monde contemporain se caractérise par une distinction entre pays
industrialisés et développés, et pays qui se trouvent actuellement dans une situation économique
et sociale qualifiée par les économistes de sous-développement.
L’ensemble de ces pays est désigné par plusieurs expressions et plusieurs causes sont avancées
par les économistes pour expliquer ce phénomène. Aussi pour sortir de leur situation
économique et sociale, ses pays se forcent de mettre au point des politiques ou stratégies de
développement ; Celles-ci ont permis à certains d’accroitre remarquablement leur niveau de
développement : C’est le cas des nouveaux pays industrialisés (NPI).
Les pays en développement se trouvent dans la même situation que les pays développés avant
la révolution industrielle ils doivent donc franchirent les même étapes pour parvenir au
développement. Cette théorie s’appuie sur les travaux de l’économiste américain Walt Whitman
Rostow .selon ce dernier le développement économique de toute société doit passer par 5 étapes
successives :
Théorie de la TD
La TD fait passer un pays d’un régime traditionnel (caractériser par un taux de natalité et un
taux de mortalité élevé et constants) a un régime moderne (caractérise par un taux de natalité
et un taux de mortalité presque faible et constante) et semble constitue un processus générale.
L’idée que prévôt dans cette théorie est que les sociétés dispose d’un mécanisme automatique
de retour à l’équilibre. La croissance démographique rapide qui résulte de 7 transitions n’est
que la manifestation d’un déséquilibre transitoire entre taux de natalité et taux de mortalité.
La situation de référence est celle d’un taux de natalité et un taux de mortalité élevé et constant :
la population augmente mais très lentement et c’est l’êta quasi stationner. Mais pour diverse
raison la mort baisse de façon significative ; la natalité aussi baisse mais avec beaucoup de
retard sur la mortalité .il en résulte une explosion de la population. Puis progressivement la
natalité s’ajuste à la baisse avec la mortalité et une nouvelle équipe s’établit.
III. 2. LA TD EN EUROPE
OS : être capable de décrire la TD –
être capable d’expliquer la TD –
être capable de mettre en évidence les élément ayant favorises cette TD
A- l’impact de la révolution industrielle. Le
régime démographique moderne est exclusivement le fait des PD, constatation qui met en
évidence l’étroite relation entre mutation démographique et évolution économique. Dans la plus
Pour produire l’entreprise combine les facteurs de production que sont le travail et le capital. A
partir du début du 20e siècle, des réflexions d’ingénieurs et d’entrepreneurs conduisent à la
définition de principe d’organisation du travail qui va s’étendre progressivement à un grand
nombre de secteurs.
Mais à l’aube des années 70, le ralentissement des gains de productivité ainsi qu’une demande
beaucoup plus variable, en quantité et diversifiée qualitativement conduisent à aménager
l’organisation du travail pour prendre en compte ce nouveau contexte.
OBJECTIF GENERAL : Etre capable de montrer l’impact de l’organisation du travail sur la
production, les conditions de travail et de l’emploi.
CHAPITRE II : LE CHOMAGE
Depuis plus d’un quart de siècle, chômage sévit de façon endémique dans l’économie
capitalistes surtout européenne. Certains économistes se demande même si de nos jour ces
économies retrouveront même le plein emploi qui les caractérisait dans les années 60.
C’est la raison pour laquelle l’emploi a été et reste encore au cœur des débats politiques et
économiques à la fin du 20e siècle et début du 21e siècle.
OBJETIF GENERAL: Etre capable de maitriser les différentes analyses théoriques du chômage.
A- définition
Selon les recommandations du bureau international du travail (BIT), l’INSEE définit le
chômeur comme étant :
Toute personne dépourvue d’emploi rémunéré
Qui est à la recherche d’un emploi
Qui fait des démarches et qui est disponible.
Selon l’ANPE, le chômeur est toute personne qui est : inscrite à l’agence, qui est sans emploi
rémunère, qui est à la recherche d’un emploi à temps plein et à durée indéterminée. Qui est
disponible à travailler.
Les critères n’étant pas tout à fait les mêmes dans la définition proposée par l’INSEE et l’ANPE,
les statistiques sont souvent différentes sur le chômage.
Tout comme on peut calculer le taux de chômage pour l’ensemble de l’économie d’un pays, on
peut aussi calculer selon les différentes catégories de la population (les jeunes, les femmes, les
hommes), selon l’âge, et selon les professions et catégories socio-professionnelles (PCS).
Lorsqu’une personne reste plus d’un an chômeur, on dit qu’il est au chômage de longue durée.
A- Le marché du travail
Pour les néoclassiques, le marché du travail fonctionne comme les autres marchés. Les
entreprises demandent le travail et les ménages offrent du travail. La demande du travail est une
fonction décroissante du salaire réel tandis que l’offre du travail est une fonction croissante du
salaire réel.
La demande de travail émane des employeurs. Cette demande de travail est une fonction
décroissante car un employeur embauche un nouveau salarié seulement lorsque la valeur de ce
qu’il produit est supérieur à ce qu’il coute par conséquent l’économiste dira qu’un employeur
est demandeur de travail lorsque la recette apporter par l’utilisation d’un employé
supplémentaire (la productivité marginale) est supérieur à la dépense correspondant au salaire
réel d’un employé supplémentaire (cout marginal). Ainsi lorsque le cout marginal du travail
diminue la demande de travail augmente.
L’offre du travail est fonction croissante du salaire réel. En effet, elle émane des salariés ceci
arbitre entre la désutilité du travail (la pénibilité qu’occasionne le travail, le renoncement aux
loisirs) et le salaire réel perçu en échange du travail. Lorsque le salaire réel augmente le salarié
cherche à travailler d’avantage car cela lui rapporte plus qu’avant. Il substitut du travail du
A- Définition
D’une façon général la flexibilité est la capacité pour une entreprise de pouvoir s’adapter plus
ou moins rapidement à l’évolution de la demande.
La flexibilité de l’emploi permet aux entreprises d’ajuster la quantité du travail à ses besoins.
L’effort de l’investissement d’une entreprise est mesuré par son taux d’investissement.
3- Evolution et explication
Le recul de la part des investissements matériels reste préoccupant (confer doc 3 page 59
sciences économie Edition hachette) surtout qu’il s’accompagne d’un changement de nature ;
le changement de nature se fait souvent au détriment de l’emploi. En effet dans une période où
la demande des nombreux biens augmente mais lentement. De même, les entreprises
l’entreprise de haute technologie se développe de plus en plus et la recherche de la compétitivité
sur l’extérieur devient très forte. Voilà autant de raison qui explique la croissance des
investissements de rationalisation au détriment des investissements de cté et en même temps
l’augmentation des investissements immatériels. Dans ce dernier cas, on constate que les
dépenses de pub et de marketing s’accroissent dans les secteurs traditionnels dans le but de
conquérir des parts de marchés, dans le même temps les dépenses de formation et surtouts de
recherche et développement prédominent dans les secteurs de haute technologie pour le
maintien de leur niveau.
4. La destruction créatrice
Les innovations suivent le cycle de produit : démarrages, accélération, maturité et déclin.
Lorsque le point haut est attient, des excès ont déjà été commis, des investissements
improductifs réaliser, les taux d’intérêt augmentent… commence alors la récession avec son
cortège de difficulté : arrêt d’usines, mise au redut d’équipements rutilants, désendettement,
faillite…
Puis tout rentre progressivement dans l’ordre jusqu’à la prochaine vague d’innovation. Le PT
est alors au cœur d’un processus de rupture par rapport a une routine antérieur, de destruction
créatrice : destruction et remplacement des ancien produits, anciennes méthode de production,
anciens métier par des nouveaux.
V. 4. PT ET EMPLOI
OS : Etre capable :
- d’expliquer les mécanismes par lesquels le PT crée des emplois.
- d’expliquer les mécanismes par lesquels le PT supprime les emplois.
- d’expliquer comment le PT agit sur la nature des emplois.
A. Du GATT à l’OMC
L’OMC
NE en 1995, l’OMC a succédé au GATT le même objectif : le développement des échanges
internationaux (sans un cadre multicéréale) grâce à la suppression de ce qui les entraves et avec
les même principes (les principes du GATT) mais les champs de compétence de l’OMC s’est
élargie et dans le même temps il est doté d’une structure permanente et d’un organe de
règlement de diffèrent qui peut prendre des mesures de rétorsion.
Des négociations difficiles avec une persistance des protections.
Désormais c’est 150 pays qui doivent décider à l’unanimité des règles du commerce
international en abordant de nouvelles question : les échanges de services, l’agriculture, la
propriété intellectuelle. Les pays développé dont les économies sont fortement terciarisées
souhaiteraient vivement favoriser les &change de services par nature des activités qui
impliquent une proximité entre les consommateurs et le producteur beaucoup d’états sont
retissant.