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Pr K. SABRI 2
JOUR 1 DE LA FORMATION :
• Séquence N° 1
1 - Conjoncture et politique économique, quels
impacts et quelle efficacité ?
Retour sur la crise des « subprimes » et ses
conséquences sur l’économie réelle
Quelles politiques conjoncturelles ont été
mises en place : les différences de gouvernance
macroéconomique zone euro / États-Unis
Quelles sont les différentes politiques
structurelles que l’on pourrait mener?
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JOUR 2 DE LA FORMATION :
• Séquence N° 2
2 - Quels sont les instruments d’aide à la décision ?
• La comptabilité nationale : un outil de description
macroéconomique
• Dans quelle mesure les grandeurs de la macroéconomie
permettent-elles de juger l’efficacité économique ?
• Les modèles macroéconométriques
• Les notions de potentiel de croissance ou de chômage structurel
3 - Traitement des problématiques du Policy mix en économie
ouverte
• La politique budgétaire
• La politique monétaire
• La politique de change
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JOUR 3 DE LA FORMATION :
• Séquence N° 3
3 - Analyse des comportements et des marchés
L’investissement
La consommation des ménages
Les marchés financiers
La banque centrale
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Plan de la journée.
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Références bibliographiques.
• www.worldbank.org
• www.cae.gouv.fr
• www.oecd.org
• Rapports sur le développement dans le monde
• Rapports de la CNUCED
• Rapports du FMI
• Rapports de la Banque Mondiale.
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Références bibliographiques.
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Références bibliographiques.
• CAVES Richard E., Jeffrey A FRANKEL & Ronald
W. JONES. 2002, Commerce et paiements
internationaux, De boeck 9ème édition.
• David Ricardo. 1821, Des principes de
l’économie politique et de l’impôt, Paris,
Flammarion.
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Revues.
• Marchés Tropicaux
• Futuribles
• Les Cahiers Français
• Problèmes économiques
• Problèmes politiques
• Revue d’économie régionale
• African Journal of Economics.
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Chapitre I. La nouvelle
architecture de l’économie
internationale.
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Chapitre I. La nouvelle architecture de l’économie internationale.
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Section I. L’environnement économique.
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I.1. Le commerce mondial : quelques
données.
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a) La bonne situation de l’économie mondiale.
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• Les économies émergentes sont devenues de plus en plus
dynamiques.
• Un rapide calcul des contributions à la croissance permet
ainsi de montrer que la croissance mondiale repose en
grande partie sur celle des pays émergents.
• En 2012, sur les 3,2 % de croissance du PIB mondial en
termes réels, 2,5 points provenaient des émergents et
« seulement » 0,7 point des économies avancées
(graphique 1).
• En d'autres termes, en 2012, 80% de l'augmentation de la
richesse mondiale a été le fruit des pays émergents.
• Durant les années 1980 les économies émergentes ne
contribuaient qu'à 36 % de la croissance mondiale. Ce
chiffre monte à 41 % dans les années 1990 et bondit à 70 %
durant la décennie 2000.
• Depuis la crise il a même atteint
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80 %. 17
Analysez ce graphique.
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• Le taux de croissance annuel moyen des
économies émergentes depuis 1980 atteint
presque 5 %, quand celui des économies
avancées plafonne à 2,5 %.
• Ces résultats ne sont guère étonnants au
regard du différentiel de rythme de croissance
enregistré par les deux zones.
• Autrement dit, base 100 en 1980, le PIB des
pays émergents a atteint 450 en 2012, contre
seulement 220 pour les avancés (graphique 2).
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Analysez ce graphique.
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• En dépit des déboires rencontrés aujourd'hui par les
économies avancées et les difficultés qu'elles
éprouvent à renouer avec la croissance, la croissance
mondiale a atteint 3,1 % en 2012.
• Cette progression du PIB mondial repose
essentiellement sur la croissance des économies
émergentes.
• Celles-ci dépasseront en 2013, en termes de richesse,
les économies avancées, après des siècles de
suprématie économique de l'occident.
• Ce rééquilibrage s'effectue pour l'instant au profit de
l'Asie, créant de nouvelles disparités au sein des
économies émergentes.
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Analysez ce graphique.
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• L’Asie contribue ainsi aux deux tiers de la croissance en
2012 (graphique 4).
• Bien sûr la Chine, grâce à l'effet cumulé de son poids et
son rythme de croissance, tire en grande partie la
zone,
• Mais l'Inde (malgré le ralentissement de l'économie en
2012) et l'ASEAN comptent également.
• A l'inverse, les plus petites zones et/ou les moins
dynamiques pèsent significativement moins.
• L'Europe émergente, le Moyen Orient, l'Afrique
subsaharienne et l'Amérique latine ne contribuent
tous ensemble qu'à un tiers de la croissance des
économies émergentes.
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a) La bonne situation de l’économie
mondiale.
Origines :
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b) L’accroissement des importations des pays en développement.
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c) L’expansion de la sous-traitance.
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I.2. La structure des échanges.
1. L’Union Européenne,
2. L’ALENA, (Accord de Libre-Echange Nord-
Américain : North American Free Trade
Agreement abrégé en NAFTA),
3. Les pays du Sud-Est asiatique.
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b) Une avancée spectaculaire des pays asiatiques.
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b) Une avancée spectaculaire des pays asiatiques.
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Pistes de réponses.
• Selon un grand nombre d’auteurs, La réussite
de ses pays repose sur :
1. La qualité de la formation et de l’éducation
« patriotisme »,
2. Le niveau de qualification professionnelle de la
population,
3. L’appropriation de la science et de la
technologie,
4. Une cohésion sociale (cohérence et
adhérence) sans faille.
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c) La marginalisation d’un grand nombre de pays en développement.
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c) La marginalisation d’un grand nombre de pays en développement.
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I.1 Les modifications de l’environnement des échanges.
a) La généralisation de la déréglementation.
b) Le progrès technologique.
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a) La généralisation de la déréglementation.
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b) Le progrès technologique.
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b) Le progrès technologique.
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b) Le progrès technologique.
• Les multinationales sont omniprésentes dans les
relations commerciales mondiales.
• Selon la CNUCED (Conférence des Nations Unies
sur le Commerce et le Développement), deux
tiers du commerce mondiale est l’art des FMN.
• Ainsi le critère de nationalité est devenu
accessoire.
Résultat : L’influence des gouvernements perd
son efficacité.
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I.2. La montée des espaces économiques
régionaux.
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I.2. La montée des espaces économiques régionaux.
Objectifs :
La promotion des échanges mondiaux,
L’accélération du processus de déréglementation,
La suppression des obstacles tarifaires.
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I.2. La montée des espaces économiques régionaux.
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a) L’Union Européenne.
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a) L’Union Européenne.
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a) L’Union Européenne.
• Depuis 1993 l’UE est un espace unique (27 pays).
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La zone Euro.
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Pays de la zone Euro (99,01,07,08,09,11).
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b) L’ALENA (Accord de Libre-échange Nord-Américain.)
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Objectifs de l’ALÉNA.
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c) L’ANSEA.
• L’Association des nations de l'Asie du Sud-Est
(ANASE ou ASEAN).
• Constituée pour contrebalancer la domination
chinoise.
• La Chine et l’ANSEA ont débuté les discussions
pour établir la plus grande zone de libre-échange
du monde.
• Les 2 côtés acceptent d’atteindre un volume
commercial de 500 milliards avant 2015.
• Elle englobe 10 pays asiatiques.(voir carte).
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Construction de L’ASEAN.
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c) L’ANSEA.
• Avant la rencontre des dirigeants de la Chine et de
l’ANSEA le 21-11-12, les 2 côtés ont déjà signé deux
accords.
• L’objectif est de promouvoir davantage la solide
coopération économique et commerciale entre les 2
économies.
• 2012 marque la 10ème année depuis que le Chine
et l’ANSEA ont signé leur cadre de coopération
économique.
• Durant cette décennie, le volume commercial a
grimpé avec un taux de croissance moyen d’environ
20% par an.
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Chapitre II. Les politiques
commerciales
internationales et la crise
des subprimes.
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Chapitre II. Les politiques commerciales internationales et la crise des subprimes.
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Qu’est-ce que les
SubPrimes ?
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Qu’est-ce que les SubPrimes ?
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Qu’est-ce que la crise des SubPrimes ?
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Pr K. SABRI 66
Qu’est-ce que la crise des SubPrimes ?
• Le remboursement des prêts hypothécaires
est garanti par une hypothèque sur un bien
immobilier, ces hypothèques ont toujours
représenté un investissement très sûr.
• Les banques se sont rendues compte qu'il est
très rentable de grouper des prêts
hypothécaires dans des "bons", et de les
vendre ensuite à des investisseurs.
• Elles touchent alors une commission et
transfèrent le risque à l'acquéreur.
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Qu’est-ce que la crise des SubPrimes ?
• Ce système s'est avéré très avantageux et il a
fallu trouver de nouvelles hypothèques.
• Les banques ont alors commencé à accorder
des prêts hypothécaires à des foyers moins
riches, donc plus risqués (les "Subprimes").
• Les agents économiques, et les ménages en
particulier, se sont mis à investir massivement
dans l’immobilier, secteur qu’ils ont jugé le
plus apte à accueillir des capitaux et le plus
sécurisant.
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Qu’est-ce que la crise des SubPrimes ?
• Les conditions de crédits pour les prêts
hypothécaires prés détaillés paraissent
intéressantes du moins pour les deux premières
années, lors du lancement des premiers prêts
subprimes l’économie américaine commencent à
sentir les premiers signes de surchauffe.
• Lorsque l'offre de logements était inférieure à la
demande; leur prix était important, mais vu les
facilités de crédits hypothécaires offertes, la
demande devenait forte et l'offre n'était pas
suffisante, les prix ont donc augmenté.
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Qu’est-ce que la crise des SubPrimes ?
• Aussi, L’indice des prix en hausse suite à la
pression au début de la demande et par la
suite de la flambée des prix du pétrole pousse
la FED à augmenter les taux directeur de 1% à
5,25% entre 2004 et 2006 pour diminuer la
demande.
• Les établissements bancaires ont donc
augmenté les taux d'intérêt.
• Les charges financières des emprunts se sont
considérablement alourdies.
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Qu’est-ce que la crise des SubPrimes ?
• Le double mouvement de baisse des prix de
l'immobilier aux États-Unis depuis 2006 et de
remontée des taux d'intérêt rendant beaucoup plus
cher les remboursements des ménages dont les
emprunts ne se faisaient pas en taux fixe et conduit
au défaut de paiement de nombreux emprunteurs,
et donc à la mise en situation de faillite, ou de
quasi-faillite, des établissements spécialisés aux
États-Unis.
• Sans parler de la faillite des millions de ménages
obligés d’abandonner leur logement.
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Qu’est-ce que la crise des SubPrimes ?
• L’emprunteur du crédit Subprime se déclare en
faillite personnelle, la banque récupère la maison
et la met en vente.
• Elle sera vendue avec une perte importante
pouvant aller à plus de 20%.
• Les organismes de Crédit spécialisés dans les
Subprimes voient les défauts de remboursement
s’accumuler et engendrent des pertes énormes
dues aux moins-values effectuées sur la vente des
maisons saisies.
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Qu’est-ce que la crise des SubPrimes ?
• Cette crise est exceptionnelle par :
Son coût exorbitant qui dépasse les 900 milliards de
dollars correspondant au montant de liquidité injecter
par la FED et la BCE,
Par le fait qu’elle coïncide avec une crise de l’Or noir où
le Baril va atteindre plus de 130 dollars,
Et par le fait qu’elle coïncide avec une flambée des prix
des matières premières aggravant ainsi la situation de
l’économie réelle.
• Les effets de cette crise vont continuer à se sentir car
l’onde de choc est grand et à atteint la dimension
planétaire.
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Pr K. SABRI 74
Là, on est dans une crise
monétaire américaine, mais
comment cette crise est devenue
financière mondiale?
Pr K. SABRI 75
Pr K. SABRI 76
Chapitre II. Les politiques commerciales
internationales et la crise des subprimes.
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Section I. Les raisons de la contraction.
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Section I. Les raisons de la contraction.
• Les signes d’une forte dégradation de
l’économie sont devenu manifestes au second
semestre de 2008 et dans les premiers mois
de 2009.
Pr K. SABRI 79
Section I. Les raisons de la contraction.
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Section I. Les raisons de la contraction.
Pr K. SABRI 81
I.1. La crise financière est à l’origine de la
récession.
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I.1. La crise financière est à l’origine de la
récession.
• Les gouvernements ont essayé plusieurs mesures en
injectant par exemple des fonds dans les banques.
• Aux USA, un texte de 106 pages s'ouvre sur un
exposé du secrétaire au Trésor Henry Paulson,
indiquant que l'Etat va racheter 700 milliards
d'actifs douteux liés au crédit hypothécaire.
• Appelé aussi "Loi de stabilisation économique
d'urgence", le projet vise à "fournir immédiatement
le pouvoir et les moyens dont le secrétaire au Trésor
pourra faire usage pour rétablir la liquidité et la
stabilité du système financier des Etats-Unis".
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Pr K. SABRI 87
I.2. Raisons de la contraction du commerce.
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Section II. Grandes tendances des
échanges économiques en 2008.
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II.1. Le commerce international des marchandises en 2008.
Pr K. SABRI 91
a) L’UE comme des entités individuelles.
Pr K. SABRI 94
Pr K. SABRI 95
c) Remarques communes aux deux tableaux.
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II.2. Le commerce international des services en 2008.
Pr K. SABRI 103
Evaluation / 20.
Quels sont les principaux moteurs de la
croissance? /4
Quels sont les avantages et les inconvénients
de la délocalisation? /4
Quelles sont les raisons du dynamisme
économique des pays asiatiques? /4
Qu’est-ce que les SubPrimes ? /4
Qu’est-ce que la crise des SubPrimes ? /4
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