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POLYCOPIE
DU
IIR 1
MASSE HORAIRE :
E-mail : thierrysomakpo@yahoo.fr
Cel: (229) 97 88 84 08
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Chapitre 1 : Introduction
La production est une activité essentielle dans la vie économique d'un pays. Cette activité est
réalisée par une catégorie particulière d'agent économique appelée entreprise.
Les entreprises vont échanger les produits fabriqués avec d'autres agents économiques.
Elles réalisent cette activité grâce aux facteurs de production tels que les moyens financiers et
matériels (le capital), les moyens humains (travail) et les matières premières.
1- Notion d’entreprise
Au sens large, le terme entreprise s'utilise pour des projets uniques mais d'apparence risquée ou
difficile (par ex : un grand voyage, une recherche scientifique...) car il y a un effort mis en oeuvre.
Dans un sens économique, une entreprise est une structure économique et sociale comprenant une
ou plusieurs personnes et travaillant de manière organisée pour fournir des biens ou des services à
des clients dans un environnement concurrentiel (le marché) ou non concurrentiel (le monopole).
L'entreprise est un agent économique dont l'activité principale est de produire des biens et des
services destinés à la vente sur les marchés en vue de réaliser un profit.
En plus de réaliser un profit, l’entreprise a pour objectif de répondre aux questions fondamentales
importantes de l’économie :
- Que produire ?
Quels sont les besoins du marché afin de les satisfaire ?
- Pour qui produire ?
Quelle est la catégorie des consommateurs ayant exprimé le besoin ?
- Comment produire ?
Quelles matières employer, quelles techniques, quels investissements, quelles personnes.
On peut dire que l’entreprise est une unité de production de biens et de services.
…Mais c’est aussi une unité de répartition des richesses.
- Pour fabriquer des biens et des services, l’entreprise doit combiner différents facteurs de
production.
Le but de l’entreprise est d’atteindre l’efficacité maximale afin de minimiser les coûts et de réaliser
des profits. Pour cela elle recherche la meilleure combinaison possible des facteurs de production.
- L’entreprise en tant qu’unité de répartition des richesses.
Les richesses créées – encore appelées "valeurs ajoutées" – servent par la suite à rémunérer
l’ensemble des agents économiques ayant participé à l’activité de production de l’entreprise.
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Agents rémunérés Type de rémunération
Le personnel Salaires
Richesses
L’Etat et les organismes Impôts et cotisations sociales
sociaux
créées par
Les prêteurs Intérêts
l’entreprise Les apporteurs de Kx Dividendes
L’entreprise Revenus non distribués
La part de chaque agent dans la richesse créée dépend du degré de participation de celui-ci dans
l’activité économique.
Les entreprises doivent par conséquent assumer la gestion de quatre types d'activités
interdépendantes :
2- Exemple d’entreprise
(à commenter en séance)
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Chapitre 2 : La diversité des entreprises
Quels sont les différents types d'entreprises ?
Quels sont les atouts et faiblesses des formes d’entreprises ?
Quelles sont les différentes approches de l'entreprise ?
1- La typologie des entreprises
Pour effectuer un classement des entreprises, on utilise des critères permettant de faire des
regroupements. L’intérêt de la typologie est la possibilité d’une comparaison dans le temps et dans
l’espace des unités de la même catégorie.
a. Classification juridique des entreprises.
On distingue 2 catégories d'entreprises selon la nature des capitaux apportés et des objectifs
recherchés : Les entreprises privées (individuelles et sociétaires) et les entreprises publiques, gérées
par l'Etat.
En fonction de la personne qui détient le capital et des objectifs retenus par l’entreprise, on distingue
deux types d’entreprises :
- les entreprises publiques : leur capital est détenu totalement ou en partie par l’Etat ou les
collectivités publiques.
- les entreprises privées où on distingue les entreprises individuelles dans lesquelles un seul
propriétaire assume tous les risques financiers (c’est le cas des artisans et des commerçants) ensuite
il y a les sociétés (entreprises personnes morales) où plusieurs associés assument tous les risques
(société de personnes) ou une partie seulement (société de capitaux : SA, SARL). Les diverses
formes de sociétés varient selon les pays. Le droit des sociétés français distingue notamment les
statuts de société anonyme (SA), société à responsabilité limitée (SARL), société par actions
simplifiée (SAS) et société en nom collectif (SNC).
Il faut remarquer que dans le cas de l’entreprise individuelle, l'entrepreneur exerce directement et en
son propre nom l'activité économique. Seule la personne physique qu'est l'entrepreneur s'engage
(signature des contrats, naissance des droits et obligations découlant de l'activité directement dans le
patrimoine de l'individu). La distinction entre « entreprise » et « établissement » est importante : un
établissement est une unité de production qui dépend d'une entreprise.
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Entreprises Entreprises Entreprise du
privées secteur public
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Il permet d’apprécier la rentabilité de l’entreprise.
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Chapitre 3 : L’entreprise, centre de décision
1- La notion d’environnement
Environnement de l’entreprise
L’environnement est constitué de l’ensemble des forces extérieures à l’entreprise qui agissent et
réagissent au profit ou à l’encontre de l’entreprise.
Clients
Concurrents Four/s
Droit Politique
L’entreprise agit également sur son environnement d’une façon positive (création d’emplois…) ou
négative (pollution).
micro-environnement et macro-environnement
Dans la définition de l’intensité concurrentielle d’un secteur d’activité, M.E. Porter identifie 5
facteurs qui sont :
- le risque d’apparitions de nouveaux concurrents (entrants potentiels)
- le pouvoir de négociation des fournisseurs
- le pouvoir de négociation des clients
- l’existence de biens de substitution
- la structuration du marché qui détermine l’intensité de la concurrence déjà existante.
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L’analyse de ces éléments permet de se positionner par rapport à l’environnement concurrentiel.
D’où l’importance de la collecte d’information.
2- L’approche systémique
La notion de système
Le système entreprise est composé de trois sous-systèmes : le sous-système physique (transforme les
flux physiques-> la production, la vente, la logistique…) ; le sous-système d’information (Définition
des besoins, la collecte, le traitement, la diffusion aux autres systèmes et le stockage) et le sous-
système de décision (pilotage de tout le système en prenant appui sur le système d’information).
3- La prise de décision
La prise de décision est un processus cognitif complexe visant la sélection d'un type d'action parmi
différentes alternatives. La théorie étudiant la prise de décision est la théorie de la décision.
Types de décisions
Caractéristiques Stratégique Administrative Opérationnelle
Domaine de la Relations avec Gestion des Utilisation des ressources dans
décision l'environnement ressources le processus de transformation
Horizon de temps Moyen et long terme Court terme Très court terme
Effet de la décision Durable Bref Très bref
Réversibilité de la
Nulle Faible Forte
décision
Procédure de
Non programmable Semi programmable Programmable
décision
Niveau de la prise de Directions Chefs de services, chefs
Direction générale
décision fonctionnelles d'atelier
Nature des Incertaines et Presque complètes et
Complètes et endogènes
informations exogènes endogènes
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On peut distinguer différents modes de décision :
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Chapitre 4 : L’organisation interne de l’entreprise
1- La structure de l’entreprise
L’entreprise va définir la structure qui est la mieux adaptée à elle en se fondant sur la prise en
compte d’un certain nombre de critères : la taille de l’entreprise, la stratégie poursuivie, l’âge de
l’entreprise, la technologie utilisée par l’entreprise et l’environnement de l’entreprise.
Comparaison des avantages et inconvénients des différentes structures
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Direction générale
Directeur Directeur
des études d’usine
Atelier Atelier
x y
Structure hiérarchique
Chef d’atelier
Contremaîtres C1 C2 C3 C4 C5
Ouvriers
Structure fonctionnelle
Etat major
Direction générale
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Structure hiérarchico-fonctionnelle
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Président
Structure divisionnelle
Direction générale
Unités fonctionnelles
Pilote
projet A Délai de réalisation Du projet : 11 mois
Pilote Projet mobile
projet B
Pilote
projet C Projet permanent
Structure matricielle
2- L’approche de Mintzberg
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Mintzberg distingue en effet trois composantes essentielles des organisations, étroitement
coordonnées entre elles :
Une des propositions centrales de l'école de la contingence, est que les facteurs environnementaux
rendraient contingents les structures de l'organisation. Ainsi, contrairement au taylorisme qui
s'engage dans la recherche normative de la bonne organisation « en soi », Henri Mintzberg, le
principal représentant de l'école de la contingence, affirme que la structure est liée à la nature de
l'environnement, bien qu'elle ne le soit pas de manière mécanique ou déterministe. La structure
dépend également des buts que se fixent les dirigeants. Dès lors, les mécanismes régulateurs internes
d'une organisation doivent être aussi variés que l'environnement avec lequel elle doit composer.
l'environnement extérieur, c'est-à-dire le système socio-politique au sens large, les clients, les
fournisseurs…,
la cohérence interne du système. Sur ce dernier point, Mintzberg considère que c'est la
cohérence entre les sous-systèmes qui s'organise pour maintenir certaines caractéristiques de
l'organisation et qui permet sa régulation.
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Chapitre 5 : La stratégie
1. La notion de stratégie
« La stratégie consiste à déterminer les objectifs et les buts fondamentaux à long terme d’une
organisation puis à choisir les modes d’action et d’allocation des ressources qui permettront
d’atteindre ces buts et objectifs ». (A.D.Chandler)
Cela suppose : l’ensemble des ressources détenues par l’entreprise est engagé sur une longue
période; la détermination des objectifs de l’entreprise qui se déclinent alors en actions spécifiques ; la
détermination du niveau des moyens à mettre en œuvre.
Définition
La planification est « une procédure de gestion économique fixant les objectifs à atteindre à un
horizon donné et prévoyant les moyens humains, matériels et financiers nécessaires » ce qui au
niveau de l’entreprise se traduit par la définition de la manière dont celle-ci organise ses activités sur
une période donnée.
On parle plus précisément de planification stratégique pour définir « un processus, constitué
d’étapes successives, aboutissant à l’élaboration d’un plan dont l’exécution, étalée dans le temps,
traduit la réalisation progressive d’objectifs permettant de réaliser le projet stratégique de l’entreprise
à moyen terme ».
La planification passe alors par 4 étapes : a) la définition des objectifs futurs à atteindre ; b) la
définition des modalités d’action et leur programmation dans le temps ; c) l’évaluation et la
budgétisation des moyens nécessaires à la réalisation des actions programmées et d) l’analyse future
des résultats des actions menées par rapport aux objectifs fixés initialement.
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Le modèle du BCG
Les recommandations stratégiques issues de l’analyse du BCG peuvent être représentées sous la
forme d’un graphique reprenant les deux axes pris en considération par le modèle.
Part de marché
Forte Faible
Produits Produits
Forte
« Vedettes » « Dilemme »
Croissance du marché
Produits Produits
Faible
« Vaches à lait » « Poids morts »
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Chapitre 6 : La fonction de production
Définition
En microéconomie, une fonction de production exprime la relation entre les entrants d'une
entreprise et sa production. En particulier, elle indique la production maximale possible par unité de
temps à partir de n'importe quelle combinaison de facteurs de production, étant donnés la dotation de
facteurs et l'état de la technologie disponible.
Le système de production décrit l’ensemble du processus grâce auquel l’entreprise produit un bien
ou un service apte à satisfaire une demande à l’aide de facteurs de production acquis sur le marché. Il
répond à des objectifs secondaires : volume, coût, délai et flexibilité.
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2. Les principes fondamentaux de l’Organisation Scientifique du Travail
-> F.W. Taylor, à partir de sa démarche scientifique (observation des ouvriers, décomposition du
mode de production, choix de la meilleure manière de réaliser chaque tâche, sélection du meilleur
processus de production) définit le cadre de l’Organisation Scientifique du Travail qui s’appuie sur
les principes suivants :
Les principes d’organisation du travail définis par J.W.Taylor trouvent une application concrète dans
le cadre d’une forme d’organisation du travail définie par Henri Ford (la standardisation du
produit, le travail à la chaîne + salaire plus élevé)
Ils découlent de la remise en cause du modèle fordiste avec la nécessité de tenir compte d’autres
paramètres tels que les évolutions des modes de consommations.
Ces nouveaux modèles d’organisation du travail s’inspirent des procédés développés principalement
par les entreprises japonaises et sont regroupés sous l’appellation de « Toyotisme » (en opposition au
« fordisme »).
L’entreprise de type « Toyotiste » s’inscrit dans une logique de qualité totale reposant sur les
principes des « 5 zéros » : zéro défaut, zéro panne, zéro délai, zéro stocks et zéro papier.
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Chapitre 7 : La gestion des ressources humaines
« La gestion des ressources humaines désigne l’ensemble des moyens mis en œuvre pour garantir en
permanence à l’entreprise une adéquation entre ses ressources et ses besoins en personnel, sur le plan
quantitatif comme sur le plan qualitatif ».
Cette articulation de ces deux aspects se décline par la suite dans les différents domaines relatifs à la
gestion des ressources humaines :
la gestion de la rémunération des personnels : qui peut être rendue plus complexe par
l’augmentation croissante de la part de la rémunération ne correspondant pas aux salaires
de base du salarié (primes, participation…) ;
la gestion des carrières : qui passe entre autre par la formation des salariés et par la mise
en place d’une procédure de promotion permettant aux salariés de progresser dans
l’entreprise ;
la gestion administrative : qui va des formalités d’entrée du salarié dans l’entreprise à la
gestion des différentes relations qui lient l’entreprise avec les administrations publiques ;
la gestion des effectifs : qui permet de maintenir l’équilibre entre les besoins et les
ressources en personnel de l’entreprise (plan de recrutement et plan de licenciement, entre
autres).
la formation du personnel
Dans le cadre du développement stratégique de l’entreprise, l’effort de formation vise deux types
d’objectifs : un objectif d’ordre économique (gains de productivité indispensables pour la flexibilité)
et un objectif d’ordre personnel (instrument de promotion des hommes au sein de l’entreprise).
L’objectif poursuivi est alors de faire correspondre les attentes des individus avec les besoins en
compétences de l’entreprise. Cet objectif est dans les faits schématisé par la mise en place d’un plan
de formation au sein de l’entreprise.
La participation du personnel apparaît de plus en plus comme un facteur clé de succès pour
l’entreprise qui doit donc intégrer dans sa stratégie une politique de motivation du personnel passant
entre autre par la définition d’une gestion des carrières orientée vers la satisfaction des besoins des
individus membres de ladite entreprise.
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Chapitre 8 : La mercatique
Définition
La mercatique est l’ensemble des actions ayant pour objet de prévoir, constater, stimuler ou
renouveler les besoins des utilisateurs d’une catégorie de produits, et de réaliser l’adaptation continue
de l’appareil productif et commercial d’une entreprise à ces besoins.
A partir de cette analyse, l’entreprise peut alors mettre en place différents types de stratégies
mercatiques : Stratégie mercatique indifférenciée (vise l’ensemble des consommateurs sans
distinction) ; (Stratégie mercatique différenciée : adaptation de l’offre aux différents segments du
marché -> accroissement des coûts de production et de communication) et Stratégie mercatique
concentrée (concentration sur une partie du marché).
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2- Les différents types de Medias
Type de
Type d’utilisation Arguments positifs Arguments négatifs
média
Phase de lancement du
produit Audience large
Affiche Faible possibilité de ciblage
Utilisation ciblée Coût unitaire faible
géographiquement
Phase de lancement du
produit et phase d’entretien Large audience
Coût plus élevé que pour
des ventes Possibilité de ciblage forte
l’affichage
Presse Diffusion ciblée vers les (presse spécialisée)
Périodicité de l’annonce peu
professionnels Grande diversité de supports
adaptable
Possibilité de développer (choix important)
une argumentation écrite
Possibilité de ciblage selon Coût élevé
Sélective (biens de
Radio le type d’auditeur et selon Brièveté du message
consommation et services)
l’horaire de diffusion Pas de complément visuel
Très large audience
Accès très onéreux
Impact important reposant
Programmation difficile
sur un gage de crédibilité
Promotion de produits de (délais)
Possibilité de répéter le
Télévision masse
message Possibilité de
Promotion de l’image Limitations légales
répéter le message
Brièveté du message
Possibilité de répéter le
message
Forte sélectivité
Publicité pour les biens de Faible répétitivité
Cinéma Qualité de diffusion du
consommation courante Public restreint
message
Personnalisation du message
Produits techniques, Faible coût Besoin important
Courrier
abonnements, Possibilité de ciblage élevée d’actualisation du fichier
(mailing)
VenteParCorespondance Possibilité de développer le Taux de réponse faible
message
Forte sélectivité
Actualisation du message Public touché relativement
Possibilité d’actions faible et ciblé
VPC, biens de temporaires (promotion des Nécessité de faire connaître
Internet consommation courante, ventes) le site au préalable
entreprises déjà connu Possibilité de réaliser La consultation repose
immédiatement une vente initialement sur une action
(accès direct) du consommateur
Faible coût
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