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INTRODUCTION :
Largement défavorisée à travers les siècles précédents, longtemps
inexistante, niée civilement, socialement et judiciairement, la femme
vivait de longues années d’esclavage et de soumission. Aujourd’hui,
cette femme revendique ses droits. Ses revendications portent sur des
problèmes auxquels elle était traditionnellement confrontée : mortalité
en couches, absence d’instruction, absence de rôle actif dans les
domaines social et professionnel....(l’amorce : qui porte une généralité
sur le thème de la femme “on peut prendre le thème de la littérature”)
Mais, au cours de sa quête de droits, la littérature l’a-t-elle vraiment
aidée en dénonçant dans les romans, les contes, les fables, les poèmes
ou les essais toute forme d’injustice à son égard ? (Une problématique
reformulée “d’après la consigne”)
De plus, certains écrivains ont dirigé leur plume contre les droits des
femmes et contre leur libération sous prétexte que ces dernières sont
mineures, incapables d’affronter la vie et de pénétrer dans le domaine
du travail (le troisième argument). Mauriac, par exemple, dans Le
romancier et ses personnages, a critiqué l’intervention de la femme
dans le domaine professionnel en disant que ce n’est pas sa place :
“Aussi belle que puisse être la carrière d’une femme, il y aura
toujours à la base une erreur, un manque” (Un exemple détaillé et
expliqué). Donc, au lieu de soutenir la femme et de l’encourager pour
qu’elle soit capable de dessiner son visage et de se retrouver, la
littérature s’avère parfois injuste à son égard en voulant la maintenir
dans un état arriéré qui ne reflète pas sa vraie image (une
synthèse/conclusion partielle). Mais, pouvons-nous accuser toute
forme de littérature d’être partiale ? La littérature moderne n’a-t-elle
pas joué un rôle efficace dans la libération des femmes ? (Une
transition entre les 2 axes pour les séparer).
Conclusion :