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UNIVERSITE D’ANTANANARIVO
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ECOLE SUPERIEURE POLYTECHNIQUE
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MENTION : GENIE MECANIQUE ET INDUSTRIEL
PARCOURS : GENIE INDUSTRIEL
Intitulé :
Promotion 2016
Génie Industriel Promotion 2016
UNIVERSITE D’ANTANANARIVO
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ECOLE SUPERIEURE POLYTECHNIQUE
****************
MENTION : GENIE MECANIQUE ET INDUSTRIEL
PARCOURS : GENIE INDUSTRIEL
Intitulé :
Promotion 2016
Génie Industriel Promotion 2016
REMERCIEMENT
Nous rendons grâce à Dieu Tout Puissant qui nous a donné de la force et de la santé durant la
réalisation de ce mémoire.
Nous tenons ainsi, nos vifs remerciements aux personnes suivantes, sans lesquelles ce
mémoire n’aurait abouti sa fin :
Nous remercions également nos familles pour leurs sacrifices et leurs soutiens bienveillants
durant nos études.
Enfin, un grand merci à tous ceux qui ont contribué de loin ou de près la réalisation de ce
travail.
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INTRODUCTION
Dans le domaine de l’aéronautique, la construction des avions RC tient
une grande place en visant chacune des utilisations différentes. Par exemple, les
modèles réduits sont utilisés pour représenter le comportement des avions,
étudier sa trajectoire et même voir ces performances. Ils sont aussi employés en
multimédia et télécommunication mais le plus important est son emploi dans le
domaine militaire pour lutter contre l’insécurité dans les régions enclavées.
Cela nous amène à penser à une conception d’un avion RC pour répondre
au besoin militaire. Il existe plusieurs modèles mais pour cette mission, il faut
que l’avion soit performant et facile à piloter, d’où le but de ce mémoire
« conception et réalisation d’un avion radiocommandé automatiquement
stable ».
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I-1-Définition :
Les avions radiocommandés (RC) sont des modèles réduits pilotés par une
télécommande qui tient le rôle d’émetteur et un récepteur placé dans l’avion. En utilisant de
communication radio, cet émetteur envoie des ordres au récepteur afin que ce dernier puisse
commander les actionnaires tels que le moteur, ainsi que les servomoteurs actionnant les
gouvernes.
I-2-Historique :
I-2-1-Les premiers vols planés :
Le premier planeur connu a été réalisé par Georges Caley en 1804. Ce planeur
présentant une surface de 9 dm² pour une masse de 90 grammes avait été conçu pour étudier
l’influence donnée par la position du centre de gravité et les calages du stabilisateur. Caley le
fit voler sur une pente et obtenu d’excellents vols planés. Il poursuivra ses essais jusqu’en
1849 et mettra en évidence des lois remarquables telles que :
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En 1870, les frères Otto et Gustav Lilienthal construisent également des planeurs pour étudier
les problèmes de centrage et de stabilité. Plus tard, en 1899 et 1900, Octave Chanute
développe avec les frères Wright des planeurs dont les envergures varient entre 1,5 et 6,7 m.
Figure 2: Planosphore
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De 1900 à 1939, les modèles réduits continueront d’évoluer autour de deux principales
disciplines : le planeur pur et l’avion propulsé par moteur en caoutchouc.
I-2-3-L’apparition de la radiocommande :
Ce sont les américains qui réussirent les premiers à transmettre des ordres vers un
avion en utilisant les ondes : Chester Lanzo fut d’ailleurs le premier vainqueur en catégorie
«radio » lors du concours national qui s’est tenu aux états unis en 1937. A l’époque, les
appareils de transmission étaient lourds et volumineux. On ne parlait pas encore de
proportionnalité dans les ordres envoyés mais plutôt d’un fonctionnement en tout ou rien sur
une voie. On pouvait alors parler de vol libre assisté. En France, il faudra attendre l’après-
guerre pour voir apparaître les premiers ensembles de radiocommande, souvent de réalisation
personnelle. Charles Pépin, André Wastable et Francis Plessier seront les premiers à
démocratiser l’usage de cette nouvelle technologie. Les premières radiocommandes sont
disponibles dans le commerce dès le début des années 1950. Quatre ans plus tard en 1954,
Georges Honest Redlich et Sidney Allen font traverser la Manche à un modèle réduit baptisé
«Radio-queen ». D’une envergure de 2,1m, il pesait 3400 grammes.
Figure 3 : Radio-queen
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I-3-1-Le planeur :
Cette catégorie de modèle réduit est dépourvue de moteur. Le type du planeur peut évoluer
entre le modèle basique piloté en deux axes et présentant une envergure de 1m50 jusqu’à la
maquette de 7m d’envergure équipée de train rentrant, aérofreins et water ballast fonctionnel.
La mise en altitude ne peut se faire qu’à l’aide d’un dispositif extérieur. Les figures suivantes
montres des exemples des planeurs.
Figure 4 : Planeurs
I-3-2-Le motoplaneur :
Ici, le planeur est équipé d’un groupe de propulsion d’appoint qui lui garantit une
autonomie dans la prise d’altitude. La motorisation, qui faisait appel autrefois à un moteur
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I-3-3-L’avion de début :
Contrairement aux pilotages d’une voiture ou d’un bateau radiocommandé qui peut
s’apprendre seul, l’apprentissage du pilotage d’un avion nécessite la présence d’un moniteur
et d’un modèle dit « de début » dont la configuration géométrique le rend stable en vol. Ce
modèle se présente donc généralement sous la forme d’un avion dont l’aile est en position
haute et présente une surface alaire importante. Le train d’atterrissage est souvent du type
tricycle pour faciliter les décollages. L’avion de début peut prendre la configuration deux axes
ou trois axes, sa motorisation peut être électrique ou thermique. L’envergure « type » varie
entre 1m40 et 1m60 et le profil aérodynamique est souvent plan convexe.
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I-3-4-L’avion de transition :
Si l’avion de début permet l’apprentissage des bases du pilotage : décollage, circuit,
atterrissage, il permet également de découvrir les premières figures de voltige : looping,
renversement et, tonneau si l’avion est du type trois axes. Attention toutefois, cette voltige
n’est pas comparable à celle réalisée par un véritable avion de voltige, elle reste élémentaire et
peu académique. Il existe donc une catégorie de modèle « de transition » dont la géométrie et
la puissance permettent d’apprendre la voltige avec une meilleure précision. Ces avions sont
dotés d’une aile basse présentant toujours une surface alaire généreuse associée à un faible
dièdre, ils sont du type trois axes. Les profils sont majoritairement biconvexes dissymétriques.
L’avion de transition offre donc une meilleure maniabilité tout en garantissant un
comportement sain à basse vitesse.
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I-3-5-L’avion de voltige :
Développement ultime dans la progression du pilote, la voltige ou encore acrobatie
aérienne demande une bonne connaissance du pilotage pour réaliser toutes les figures suivant
des critères bien précis et dans un espace figé. La géométrie d’un avion de voltige dépend
directement des performances attendues en vol : profil d’aile symétrique, absence de dièdre.
Les dimensions et la masse de l’appareil doivent respecter certaines valeurs pour que le pilote
puisse participer à des concours de voltige (voir catégories concours). La motorisation est
généralement du type thermique mais le moteur électrique est en forte progression dans cette
catégorie. En 2005, le champion du monde de voltige est français et s’appelle Christophe
Paysant-le-roux.
I-3-6-La maquette :
Si l’aéromodélisme permet d’essayer toutes les formules aérodynamiques en toute
tranquillité et sans risque pour le pilote. Le pratiquant peut également s’orienter vers la
reproduction parfaite et à échelle réduite d’un avion existant ou ayant existé, il s’agit de la
catégorie maquette. La finesse des détails reproduits dépend bien souvent du temps passé sur
la construction de la maquette. Là encore, des concours regroupent les maquettistes afin de
juger du travail réalisé (épreuves au sol et en vol).
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Figure 9: Maquette
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Fuselage : C’est un caisson à ossature constituant le corps de l’avion et portant l’aile ainsi
que les appareils constitutifs de l’avion tels que la batterie le récepteur de commande, les
variateurs de vitesse et le réservoir (pour l’avion à moteur thermique).
Aile : C’est l’élément de base de l’avion, elle a une forme et un profil permettant à l’appareil
de se voler. Elle munie des éléments importants qui permet de contrôler le vol d’un avion, ces
éléments sont les ailerons qui gouvernent la profondeur et la direction.
Les ailerons : Elles permettent de contrôler le vol (virage, hauteur, profondeur). Elles
provoquent la rotation de l’avion autour des axes transversal, longitudinale et vertical.
I-4-3-La coque :
Il existe de nombreux matériaux de construction qui diffèrent d’un avion à l’autre.
- Le BALSA : c’est le matériau le plus utilisé pour la construction d’avions RC grâce à sa très
faible densité (0,14 soit 140 kg/m³). Ce bois est utilisé pour toutes les pièces du coffrage.
- Le CONTRE-PLAQUE et le HETRE : ce sont les matériaux utilisés pour la construction
de la structure de l’avion grâce à sa solidité et son poids faible.
-Le DEPRON : dérivé du polystyrène, on ne peut pas l’utiliser pour la construction d’avions
d’extérieures à cause de son faible poids (sensibilité au vent élevée) on l’utilise donc pour la
construction des « parkflyers » (avion d’intérieurs).
-Le carton plume : Ce carton est le plus utilisé pour la construction d’un aéronef. C’est un
matériau solide, très légers et facile à couper. Ce carton se compose de 3 couches, une couche
interne de mousse de polystyrène ou de polyuréthane, revêtue à l’extérieur soit de papier
couché blanc soit de papier kraft. Ce carton est maintenant très utilisé pour la construction de
coque des avions radiocommandés modernes à moteur électrique.
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I-4-4-1 La motorisation :
Les avions radiocommandés peuvent être à moteur électrique ou thermique. Les moteurs
électriques sont concernés pour l’avion plus léger alimenté par des batteries, en général on
utilise les moteurs sans balais ou moteur brushless. Les moteurs thermiques sont employés
pour les appareils lourds, ils utilisent des carburants pour pouvoir s’alimenter. Dans notre cas,
on s’intéresse au moteur électrique, effectivement, on utilise le moteur brushless, C’est un
moteur synchrone dont le rotor est constitué d’un ou de plusieurs aimants permanents et
pourvue d’origine d’un capteur de position rotorique. Vue de l’extérieur, il fonctionne en
courant continu, ce type de moteur électrique élimine tous les inconvénients du moteur à
courant continu classique : problème de commutation au niveau du collecteur, défrettage,
inertie, refroidissement (les pertes joules étant situés au stator, elles sont plus facile à
évacuer), puissance massive plus grande, géométrique, durée de vie ; en particulier, l’indice
de protection peut être augmenter par rapport aux moteurs à courant continu du fait de
l’absence de balai, à performance égale, son rendement est toujours meilleurs dû à l’absence
de perte mécanique et électriques liés au balai (surtout lors des faibles charges), mais aussi la
plupart du temps, dû à son inertie notablement réduite par rapport à celle une machine à
courant continu. Ce paramètre étant important dans de nombreuses applications en particulier
dans les phases d’accélération.
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Le constant KV est la vitesse de rotation du moteur pour 1[volt], il indique le nombre de tour
par minute par volt du moteur à vide. Si le moteur est alimenté par une tension U, sa vitesse
de rotation est donnée par la relation suivante :
N = U * KV
Pour pouvoir commander le moteur brushless, on utilise les ESC (Electronic Speed
Controller) ou variateurs. Cette composante permet de varier la vitesse de rotation des
moteurs, le principe est assez simple : les ESC reçoivent une valeur PWM par le récepteur de
la télécommande ou à partir d’un contrôleur quelconque pour faire tourner les moteurs. Un
ESC est composé de deux fils plus (+) et moins (-) pour l’arrivé d’énergie depuis la batterie, 3
fils pour réguler la vitesse et éventuellement alimenter un récepteur ou contrôleur (plus,
moins, PWM) et 3 fils de sorties pour faire tourner le moteur. Les ESC sont caractérisés par le
courant maximal qu’ils peuvent supporter (Exemple : ESC-20A).
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I-4-4-3 Batterie :
C’est la source d’énergie de l’avion, il existe plusieurs modèles mais le plus souvent utilisé ce
sont les batteries LiPo. Ces batteries sont caractérisées par sa capacité, sa tension nominale, sa
décharge maximale ainsi que le courant maximal qu’elles peuvent fournir. Il existe plusieurs
types de batterie LiPo, en général elles se diffèrent par leur constitution interne qui est
exprimé sous forme de « n.S.m.P » tel que n désigne le nombre d’éléments LiPo branché en
série dans le pack et m le nombre d’éléments LiPo branché en parallèle. Un élément LiPo a
toujours une tension nominale de 3,7[V].
I-4-4-4 Servomoteur :
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- Un potentiomètre (faisant fonction de diviseur résistif) qui génère une tension variable
proportionnelle à l’angle de l’axe de sortie.
Les servos servent à actionner les parties mobiles du modèle : ailerons, les gouvernes des
avions radiocommandés.
Figure 14 : Servomoteur
I-4-4-5 Hélice :
Une hélice est utilisée pour crée plus de force de propulsion. Elle est caractérisée par
son nombre de pale, son diamètre et son pas. Les hélices à petit pas sont utilisées pour voler
lentement, on obtient un maximum de traction à basse vitesse. C’est le type d’hélice utilisé sur
les maquettes. En général, on utilise les hélices à deux pales pour la construction des avions
RC.
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Conclusion partielle :
Ce chapitre nous donne beaucoup de connaissances sur l’évolution des avions RC ainsi que la
présentation du modèle que nous allons construire et ses composantes nécessaires.
Maintenant, on va faire des études mécanique et dynamique de l’avion pour pouvoir avancer
jusqu’à la construction d’un modèle.
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CHAPITRE II :
AERODYNAMIQUE
ET
MECANIQUE DU VOL
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La surface alaire (ou surface d’aile) : est la surface de la projection horizontale du contour
de l’aile. Cela correspond à la totalité de la voilure, y compris celle qui traverse le fuselage.
La charge alaire : est le rapport entre la portance et la surface alaire. Elle est aussi égale au
rapport du poids de l'avion et celui de la surface alaire si la portance est égale au poids de
l'avion comme dans le cas du vol horizontal.
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𝐿2 𝐿
λ= =
𝑆 𝑙
Le dièdre : c'est l'angle formé par le plan des ailes et le plan horizontal ; il peut être positif,
nul (chasseurs et avions d'acrobatie) ou négatif (certains chasseurs ou gros porteurs).
Angle de calage : c'est l'angle entre la corde du profil d'emplanture et l'axe longitudinal de
référence du fuselage, généralement horizontal à la vitesse de croisière.
Corde de référence : segment, parallèle à l’axe de roulis (ou à l’axe longitudinal de l’avion)
qui joint le bord d’attaque au bord de fuite. Sa longueur varie le long de l’aile.
Ligne moyenne : c’est le lieu de points équidistants de l’extrados et intrados. Cette ligne est
généralement courbée.
Epaisseur : le maximum d’un profil d’aile se situe vers le tiers avant. Mais l'indication
intéressante est l'épaisseur relative.
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Afin de pouvoir déterminer aisément les caractéristiques d'un profil et choisir sans
surprise le plus adapté entre plusieurs modèles, ou afin de déterminer les dimensions que l'on
donnera à une aile une fois le profil choisi, on utilise une courbe appelée polaire du profil. La
polaire type EIFFEL : elle représente le Cz en fonction de Cx (en pratique, on trace plutôt
100*Cz en fonction de 100*Cx en raison des faibles valeurs des coefficients
aérodynamiques). L'allure de ce type de polaire est celle donnée ci-dessous. Elle évolue selon
la forme du profil mais
conserve toujours une allure globale similaire. Grâce à elle, on détermine quelques
caractéristiques essentielles du profil. On en déduit alors Cz et Cx. En général on indique sur
les points de la polaire l'incidence à laquelle ils correspondent.
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Par définition, C’est l’angle entre la corde de profil et la direction du vent relatif. (Cet angle
varie au cours du vol, il ne faut pas le confondre avec l'angle de calage figé par construction).
La finesse
La finesse d'un avion est définie comme le rapport entre la portance et la traînée. C'est
𝑉
aussi le rapport de la vitesse horizontale sur la vitesse de chute (𝑉 ). C'est aussi le rapport
𝑧
𝑅 𝐶 𝑉
f =𝑅𝑧 = 𝐶𝑧 = 𝑉𝑥
𝑥 𝑥 𝑧
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Le calcul est basé selon le profil d’aile. Dans notre cas on a un profil dissymetrique.la position
du centre de poussé est déterminé à partir du bord d’attaque de l’aile par la formule suivante :
∫ 𝑥.𝑝(𝑥 ).𝑑𝑥
𝐶̅ =
∫ 𝑝(𝑥 )𝑑𝑥
p(x) est la pression régnant sur une surface dS = dx située à une distance x du bord
d’attaque et égale à la différence entre les pressions intrados et extrados : p(x) = pi(x) – pe(x).
Pour un profil NACA 2412, le tableau suivant montre certaines positions du centre de
poussé en fonction de l’angle d’incidence pour une corde moyenne égale à l’unité.
Α -1 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
𝐶̅ 0,628 0,465 0,403 0,370 0,350 0,337 0,0327 0,319 0,314 0,307 0,303 0,299
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Le repère terrestre (𝑂𝑥0 𝑦0 𝑧0 ) : L'origine O est fixe par rapport à la terre, 𝑂𝑧0 est
orienté suivant la verticale descendante, 𝑂𝑥0 et 𝑂𝑦0 sont deux directions rectangulaires
arbitrairement choisies dans le plan horizontal.
Le repère avion(𝑂𝑥𝑦𝑧) : Ce trièdre est rigidement lié à l'appareil (considéré lui-même
comme rigide). O est l'origine conventionnelle des axes, située dans le plan de symétrie de
l'avion et qui peut être le centre de gravité, les axes 𝑂𝑥 et 𝑂𝑧 sont deux directions
rectangulaires arbitrairement choisies dans le plan de symétrie de l'avion, 𝑂𝑥 est orienté
positivement de l'arrière vers l'avant de l'avion, l’axe 𝑂𝑧 , normal à 𝑂𝑥 , est orienté
positivement vers le ventre de l'avion, l'axe 𝑂𝑦 complète le trièdre positif.
Figure 20 : Position du trièdre avion par rapport au trièdre normal terrestre porté par l'avion
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-Une première rotation (ψ) autour de l'axe Oz0 amène Ox′ en position Oxh dans le plan
vertical passant par Ox (plan Oxz0). Oy′ vient alors en O𝑦ℎ ,
-Une deuxième rotation (θ) autour d’O𝑦ℎ amène l'axe Ox′ de la position Oxh à la position Ox,
-Enfin une dernière rotation (ϕ) autour d’Ox amène l'axe Oy′ de la position Oyh à la position
Oy.
𝑥 𝑥0
[𝑦] = [𝑅 ] [𝑦0 ]
𝑧 𝑧0
[𝑅]−1 est le symétrique de [R] et représente la matrice de passage du trièdre avion au trièdre
normal terrestre.
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1 −Cx
⃗⃗⃗⃗
Fa |avion = 2
× ρ × S × V × [ 0 ]
2 −C z
1
Posons : 𝐴 = 2 × 𝜌 × 𝑆
−Cx
D’où : ⃗⃗⃗⃗a |
F 2
= A × V × [ 0 ]
avion
−Cz
Avec :
Cx : Coefficient de traînée
Cz : Coefficient de portance
- Le poids 𝑃⃗|𝑎𝑣𝑖𝑜𝑛 :
−sin(θ)
⃗P| =M×g×[ 0 ]
avion
cos(θ)
M: Masse totale de l’avion.
g: L’accélération du pesanteur
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π
Vf = V × sin( )
4
√2 −1
⃗⃗⃗⃗
FR |avion = × ρ × Sf × V 2 × [ 0 ]
8
1
√2
Posons : B = × ρ × Sf
8
−1
⃗⃗⃗⃗
Donc : FR | 2
= B × V × [ 0 ]
avion
1
Avec :
𝑉𝑓 : La vitesse relative du vent face à Sf
Sf : La surface du bord du fuselage
−sin(γ1 )
⃗⃗⃗⃗
A1 |avion = C × sin2 (γ1 ) × V 2 × [ 0 ]
−cos(γ1 )
−sin(γ2 )
⃗⃗⃗⃗ 2 2
A2 |avion = C × sin (γ2 )× V × [ 0 ]
−cos(γ2 )
Avec :
1
𝐶 = 2 × 𝜌 × 𝑆𝐴
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- ⃗|
La traction du moteur T :
𝑎𝑣𝑖𝑜𝑛
1
⃗T| 3 2
= 28,3495 × Pas × d × ω × 10−10
× [0]
avion
0
On sait que :
1[oz] = 28,3495[gf]
1[Kgf] = 9,80665[N]
9.80665×28,3495
D’où : 1[gf]= [N]
1000
Alors :
9.80665 × 28,3495 1
⃗T| = × 28,3495 × pas × d3 × ω2 × 10−10 × [0]
avion 1000
0
9.80665×28,3495
Posons : D = × 28,3495 × pas × d3 × 10−10
1000
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D’où :
1
2
T = D × 𝜔 × [0]
0
Avec :
Moments résultants :
Les différents moments autour du centre de gravité G résultants des forces précédemment
citées sont les suivants.
Le moment associé au poids : il est nul car la force est appliquée au centre de gravité
G
Le moment associé aux forces aérodynamiques exprimé dans le repère avion, qui
s’écrit :
1 Cl
⃗⃗⃗⃗⃗ 2
Ma |avion = ρ × S × l × V × [Cm ]
2 C n
II-2-3-Les vitesses :
On exprime les vitesses de l’avion dans le repère fixe (repère terrestre)
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Φ̇
Ωavion = [ θ̇ ]
ψ̇
V
Vavion = [0]
0
Ma⃗ = ∑ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Fext
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Donc :
Maz0 = AV 2 (Cx sinθ − Cz cosθcosΦ) + Csin2 (γ1 )V 2 (sinγ1 sinθ − cosγ1 cosΦcosθ) +
Csin2 γ2 V 2 (sinγ2 sinθ − cosγ2 cosΦcosθ) − Dω2 sinθ + BV 2 (sinθ + cosΦcosθ) +
Mg(−sin2 θ − cosΦcos 2 θ) (3)
1
ρSV 2 Cl
2
ϕ̈ L 1
[J] [ θ̈ ] = [M] = ρSV 2 Cm
N 2
Ψ̈ 1 2
[ 2 ρSV Cn ]
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1
ρSV 2 Cl
Jx 0 0 ϕ̈ 2
1
[0 Jy 0 ] [ θ̈ ] = ρSV 2 Cm
0 0 Jz Ψ̈ 2
1 2
[ 2 ρSV Cn ]
1
Jx Φ̈ = ρSlV 2 Cl
2
1
Jy θ̈ = ρSlV 2 Cm (𝟒)
2
1
J Ψ̈ = ρSlV 2 Cn
{ z
2
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portance. Si on augmente ces forces,A1 etA2 tirent les ailerons vers le haut et la portance
amène le nez de l’avion vers le ciel puis il monte. Si on diminueA1 etA2 , la queue va
s'enfoncer et le nez de l'avion va basculer vers le sol et amène l’avion à descendre. Il est à
noter qu'initialement pour un vol en palier équilibré, l'empennage horizontal de l'avion est
déporteur.
Conclusion partielle :
Dans ce chapitre, nous avons faire des études théoriques sur l’aile d’un avion en basant sur le
profil NACA2412, puis l’étude des forces qui s’exercent sur l’avion en vol en prenant deux
repères différents pour les déterminations de ces forces ainsi que les équations de vol pour les
mouvements de rotation et de translation. Enfin, le contrôle de vol suivant les 3 axes de
rotation.
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Le régulateur PID, appelé aussi correcteur PID (proportionnel, intégral, dérivé) est un
système de contrôle permettant d’améliorer les performances d'un asservissement, c'est-à-dire
un système ou procédé en boucle fermée. C’est le régulateur le plus utilisé dans l’industrie où
ses qualités de correction s'appliquent à de multiples grandeurs physiques.
Voice le schéma d’un correcteur PID qui commande un processus modélisé suivant un second
ordre :
1 𝑡 𝑑. 𝜀(𝑡)
𝑢(𝑡) = 𝐾𝑝 . [𝜀(𝑡) + ∫ 𝜀(𝑡). 𝑑𝑡 + 𝑇𝑑 ]
𝑇𝑖 0 𝑑𝑡
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𝐾𝑝 2
𝑈(𝑝) 1 𝑇𝑖 + 𝐾𝑝 . 𝑝 + 𝐾𝑝 . 𝑇𝑑 . 𝑝
= 𝐾𝑝 . (1 + + 𝑇𝑑 . 𝑝) = ( )
𝜀(𝑝) 𝑇𝑖 . 𝑝 𝑝
Pour le processus :
𝐵(𝑝) 𝑏0
𝑃(𝑝) = =
𝐴(𝑝) 1 + 𝑎1 . 𝑝 + 𝑎2 . 𝑝2
Pour le correcteur :
𝐾𝑝
𝑈(𝑝) 1 + 𝐾𝑝 . 𝑝 + 𝐾𝑝 . 𝑇𝑑 . 𝑝2
𝑇𝑖
𝐾(𝑝) = = 𝐾𝑝 . (1 + + 𝑇𝑑 . 𝑝) =
𝜀(𝑝) 𝑇𝑖 . 𝑝 𝑝
1−𝑧 −1
En utilisant 𝑝 = , on obtient :
𝑇
𝑇 𝑇𝑑 2. 𝑇𝑑 −1 𝐾𝑝 . 𝑇𝑑 −2
𝑈(𝑧) 𝐾𝑝 . (1 + 𝑇𝑖 + 𝑇 ) − 𝐾𝑝 . (1 + 𝑇 ) . 𝑧 + 𝑇 . 𝑧
=
𝜀(𝑧) 1 − 𝑧 −1
𝑟0 + 𝑟1 . 𝑧 −1 + 𝑟2 . 𝑧 −2
=
1 − 𝑧 −1
Avec :
𝑇 𝑇𝑑 2. 𝑇𝑑 𝐾𝑝 . 𝑇𝑑
𝑟0 = (1 + + ) 𝑟1 = −𝐾𝑝 . (1 + ) 𝑟2 =
𝑇𝑖 𝑇 𝑇 𝑇
𝐾𝑝 = −(𝑟1 + 2. 𝑟2 ) (𝑟1 + 2. 𝑟2 ). 𝑇 𝑟2 . 𝑇
𝑇𝑖 = [ ] 𝑇𝑑 = −
𝑟0 + 𝑟1 + 𝑟2 𝑟1 + 2. 𝑟2
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D’après Ziegler et Nichols, les réglages des régulateurs PID sont résumés sur le tableau ci-
après :
III-1-2- SIMULATION
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−A1 × l
ϕ̈ =
2 × J1
−A1 × l
ϕ̇ = × ∆t + ϕ̇0
2 × Jx
−𝐀𝟏 ×𝐥
𝛟= × ∆𝐭 𝟐 + 𝛟̇𝟎 × ∆𝐭 + 𝛟𝟎 (Q1)
𝐉𝐱
o Rotation en Tangage :
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−A × l′ = Jy × θ̈
Avec A = A1 + A2
−A × l′
θ̈ =
Jy
−A × l′
θ̇ = × ∆t + θ̇0
Jy
−𝐀×𝐥′
𝛉= × ∆𝐭 𝟐 + 𝛉̇𝟎 × ∆𝐭 + 𝛉𝟎 (Q2)
𝟐×𝐉 𝐲
Q2
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Afin d’élaborer un résultat, ce logiciel demande les paramètres suivants : Longueur du bras de
levier, angle d’inclinaison initial, moment d’inertie par rapport à l’axe utilisé (tangage ou
roulis), le pas (le temps d’échantillonnage en milliseconde) et une constante Kp0 pour afficher
la régulation simple sans PID.
Les figures suivantes montrent les résultats à partir de quelques paramètres essayés :
SIMULATION 1 :
Figure 25 : Simulation 1
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SIMULATION 2 :
Figure 26 : Simulation 2
SIMULATION 3 :
Figure 27 : Simulation 3
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Les résultats sont toujours satisfaisant pour l’utilisation d’un correcteur PID parce
qu’on a une stabilité, pas plus de 1,5s en général. Mais pour le régulateur simple, si
le bras de levier est inférieur à 20cm, il n’arrive plus à le stabiliser.
Il est avantageux d’utiliser le correcteur PID pour la programmation du
microprocesseur parce que, à part de la qualité de vol, on trouve à partir de ces
résultats que le temps mis pour la stabilisation est petit que celui du régulateur
simple.
Pour la conception et dimensionnement, plus le bras de lévier des forces de retour
augmente, plus le temps mis pour la stabilité diminue
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Envergure 89
Longueur 20
Largeur 4
Fuselage
Hauteur 2
Longueur 34.5
Ailerons Largeur 4.5
épaisseur 0.5
Gouverne de Longueur 6
l’aile
Le tableau ci-après représente les composants que nous avons choisis pour la réalisation ainsi
que leurs masses. Il nous reste le dimensionnement du moteur et du variateur.
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Après avoir choisi ces composantes, on peut dire que la masse totale de l’avion soit inférieur à
450[g].
Hypothèses :
- Tandis que notre conception n’a aucune roue pour le décollage sur piste, il est évident
de la lancer manuellement avec une vitesse Vd et à un angle d’incidence initial α0. On
choisit alors Vd= 2[m/s] et un angle d’incidence initial α0=45° pour les calculs.
- La masse totale de l’avion est de 450[g]
- Les angles d’Euler ϕ et ψ sont tous nuls.
- Les angles de fonctionnement instantané des deux ailerons 𝛾1 et 𝛾2 sont aussi nuls.
- L’atmosphère est calme.
√2 √2
cos(θ) 0 sin(θ) 0
2 2
R−1 =[ 0 1 0 ]= 0 1 0
−sin(θ) 0 cos(θ) √2 √2
[− 2 0 2 ]
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Pour que l’avion peut se décoller, il faut que l’accélération suivant x 0 soit positive et que
l’accélération suivant l’orientation de z0 soit négative, on a :
𝑎 𝑥0 > 0
{
𝑎𝑧0 < 0
ω2 > 684299,431
{
ω2 > 259472607,9
tr
ω > 827,22[ ]
{ min
tr
ω > 16108,15[ ]
min
En prenant compte les pertes qui peuvent se produire dans le cas pratique, il faut prendre une
valeur assez élevée que celle qui est trouvée théoriquement, donc la vitesse de rotation
minimale 𝜔𝑑 du moteur, nécessaire pour le décollage est :
𝑡𝑟
𝜔𝑑 = 16200[ ]
𝑚𝑖𝑛
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P0 = 117,47[Watt]
Après ces valeurs trouvées, les critères pour choisir le moteur sont :
Pour l’ESC :
Pd × K V
I0 = + i0
ωd
Avec : 𝑖0 = 0,5[𝐴]
I0 = 16,4[A]
On utilise la carte programmable CC3D, cette carte électronique est inventée pour la
commande et la stabilisation de vol des aéronefs parce qu’elle comprend déjà :
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Le CC3D est à programmer sous le logiciel OpenPilot Ground Control Station qui est un
logiciel codé en C++ en utilisant la plateforme indépendante QT5. Les dimensions sont
représentées par la figure suivante :
III-2-2-4 La radiocommande :
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On a déjà choisi une radiocommande pour pouvoir commander ce modèle mais il faut savoir
comment l’utiliser pour commander l’avion.
Power :Pour allumer la radio et une fois que la batterie du receteur est branché,ils se sont
connectés.
Commande servo :reglage de l’angle maximal ateinte par le servo,tourner dans le sens
trigonometrique pour augmenter l’angle de rotation u servo et dans le sens contraire pour
diminuer.
Armement : pour que nous avons un accès au commande du moteur il faut tout d’abord armé
le moteru pour qu’il soit préparé à commandé.
Manche moteur : c’est pour commander le moteur acceleré-deceleré.On pousse vers l’avant
pour augmenter la vitesse et dans le sens contraire pour le ralentir.
Manche aileron : pour commander les servo à mobiliser les ailerons.On pousse vers l’avion
pour augmenter les ailerons et l’avion monte en altitude ;vers l’arière pour abisser les ailerons
et l’avion se descente ;à gauche pour virer à gauche et dans le sens contraire pour virer à
droite.
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III-3- DETERMINATION DE LA
CHARGE SUPPLEMENTAIRE
SUPPORTEE PAR CET AVION :
3 𝑃𝑚𝑎𝑥
𝜔𝑚𝑎𝑥 = √
5,33 × 𝑝𝑎𝑠 × ∅4 × 10−15
3 342
𝜔𝑚𝑎𝑥 = √
5,33 × 4 × 64 × 10−15
𝑡𝑟
𝜔𝑚𝑎𝑥 = 23 130[ ]
𝑚𝑖𝑛
Pour la vitesse de rotation maximale, on peut tirer la charge maximale que l’avion peut
supporter :
𝐌𝐦𝐚𝐱 = 𝟎, 𝟗𝟐𝟓[𝐤𝐠]
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Mc = Mmax − M
Mc = 0,925 − 0,45
𝐌𝐜 = 𝟎, 𝟒𝟕𝟓[𝐤𝐠]
III-4-ESSAIS ET INTERPRETATION
DES RESULTATS :
III-4-1-RESULTAT DES ESSAIS
Après avoir fini la réalisation de notre avion, nous avons passé aux essais et on a
réussi à envoler notre avion. On a constaté aussi la stabilité automatique du vol, mais en
général, l’autonomie du vol est environ 15 minutes.
Caractéristiques Valeurs
Classe Maquette
Masse 440[g]
Portée 800m
Autonomie 15min environ
Stabilité Autostable
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Comme tout projet, il a ses avantages et ses inconvénients par rapport aux autres avions RC.
Avantages :
Inconvénients :
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Conclusion générale :
En guise de conclusion, la conception des avions RC nécessite beaucoup de recherche
sur la science de l’aérodynamique.
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x y X y
1,000084 0,001257 0 0
I
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0,05
0
-0,2 0 0,2 0,4 0,6 0,8 1 1,2
-0,05
II
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α 𝐶𝑧 𝐶𝑥 𝐶𝑙
-7 -0,5854 0,05412 -0,0361
-6 -0,5571 0,03904 -0,0321
-5 -0,4827 0,0314 -0,0277
-4 -0.3983 0.02669 -0.0237
-3 -0.3108 0.02326 -0.0195
-2 -0.2485 0.02133 -0.0057
1 -0.1244 0.02191 -0.0148
-0,5 -0.0922 0.02284 -0.0142
0 -0.0589 0.02406 -0.0139
0,5 0.0450 0.02630 -0.0263
1 0.1375 0.02810 -0.0359
1,5 0.2231 0.02966 -0.0434
2 0.3025 0.03099 -0.0491
2,5 0.3785 0.03212 -0.0534
3 0.4528 0.03304 -0.0568
3,5 0.5281 0.03358 -0.0593
4 0.5990 0.03375 -0.0600
4,5 0.6700 0.03344 -0.0596
5 0.7429 0.03256 -0.0583
5,5 0.7935 0.03277 -0.0549
6 0.8567 0.03159 -0.0512
6,5 0.9139 0.03048 -0.0468
7 0.9598 0.03027 -0.0418
8 1.0252 0.03245 -0.0304
9 1.0969 0.03979 -0.0239
10 1.1591 0.04997 -0.0183
11 1.1391 0.06510 -0.0084
12 1.0001 0.09021 -0.0064
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BIBLIOGRAPHIE :
[1] : Introduction en aéromodélisme
[5] : Automatique régulation Edition 2008 de J.M RETIF Institut National des sciences
appliquées de Lyons.
WEBOGRAPHIE :
http://www.ffam.asso.fr/initiation_aero.html
http://www.profil naca2412_il/xfoil.html
http://www.avionaire.fr/stabilité _un_aeronef.html
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Génie
Auteurs : Industriel ANDRIAMAHENINTSOA Iwan Fridolin Promotion 2016
Logement : Mahazaza Ambohidratrimo
Téléphone : 0346035000
E-mail : ledomagesy@gmail.com
RANDRIAMIARIMBOLA Mananjara Nirina José
CU AnkatsoI P.10bis
Téléphone :0345585459
E-mail : mananjara2020@gmail.com
Thème de mémoire :
Nombre de page : 53
Nombre de figure : 30
Nombre de tableau : 06
Résumé :
Cet ouvrage consiste à la conception et réalisation d’un avion radiocommandé
automatiquement stable à moteur électrique. Le dimensionnement de toutes les composantes est
obtenu par des études aérodynamiques et l’autostabilité est basée sur la programmation d’un
microprocesseur. Un tel projet est une solution pour la lutte contre l’insécurité.
Abstract:
This work consists in the conception and realization of a radio controlled airplane
automatically stable with an electric motor.The measurement of all the compenents is obtained by
aerodynamic studies ,and the autostability is based on the programming of a microprocessor.This
projet is a solution for fighting against unsafety.
Keyword : controlled-airplane,autostable,microprocessor
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