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LECTURE LINEAIRE N°12 : ABBE PREVOST, MANON LESCAUT, 1731-LA MORT DE

MANON.- CHAÎNE DE MOTS-CLES.

INTRODUCTION :

-genre mineur , mais vu comme immoral

-roman à scandale

-Manon Lescaut = roman à part

-4 années de passion amoureuse ; récit rétrospectif par DG

-en Amérique, duel= fuite dans le désert, où mort de Manon.

PROBLEMATIQUE En quoi le récit de cette mort de Manon relève-t-il du


pathétique ?
PLAN 1°) §1 : un récit difficile pour DG.
4 parties 2°) § 2 et 3 : évocation de la mort de Manon.
3°) §4 : un récit et une vie désormais insoutenables pour DG.
4°) §5 et 6 : une impossible union éternelle entre les amants.

DEVELOPPEMENT/ EXPLICATION

PARTIE 1 : UN RECIT DIFFICILE/ DOULOUREUX POUR DG.

-moment de pause avant reprise ; parole difficile ; DG affligé ; appréhension ;


tourment perpétuel ; poids ; difficulté.

TRANSITION = DONC, DG bouleversé : évoquer la mort de Manon, souvenir encore


vivace en lui, remettre des mots dessus , c’est la revivre et l’actualiser.

PARTIE 2 : L’EVOCATION DE LA MORT DE MANON.

Revivre les derniers instants ; faux espoir, aveuglement de DG ; pas mot mort ; signes
de mort à venir de Manon ; délicatesse de DG ; lexique du toucher ; détachement de
Manon ; Manon à bout de souffle ; déni de DG/ mort qui approche.
TRANSITION : =DONC, évocation de l’agonie de Manon toute en retenue et
bouleversante = dans le pathétique. Mots choisis pour l’évoquer semblant essayer
de la rendre moins brutale pour la jeune femme et la repousser pour DG.

PARTIE 3 : UN RECIT ET UNE VIE DESORMAIS INSOUTENABLES POUR DG.

Difficile à raconter ; verbes de parole ; rapidité de la mort ; pathétique pour derniers


gestes ; moment tragique

TRANSITION =DONC, évocation pleine de pudeur de cette mort, réhabilitation de


Manon avec dernière image tendre et courageuse, toute tournée vers son amant
(idéalisation de DG ?).

PARTIE 4 : UNE IMPOSSIBLE UNION ETERNELLE POUR LES AMANTS.

Pas union dans la mort ; mort souhaitée par DG ; au contraire lourdeur, fardeau de
son existence ; mort comme punition ; difficulté de se détacher de son corps ;
rattrapé par la réalité ; décision difficile d’enterrer Manon.

DONC, plutôt que fin sublime, fin pathétique ici car séparation définitive entre DG
et sa maîtresse . Pas d’union éternelle des amants.

CONCLUSION

Bilan/problématique

OUVERTURE : CAMUS

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