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A.U.

: 2022-2023/ENSA Marrakech
CP1/ Semestre 2
Module: Techniques d'Expression et de Communication
Prof.: My Abdellah AIT M’BARK

Approches psychologiques des obstacles à la communication

Approche 4: l’Analyse Transactionnelle (Eric BERNE)

Plan:

Introduction

I- Les états du moi


II- Les transactions
III- Les signes de reconnaissance
IV- Les positions de vie

Conclusion

………………………………………………………………

Introduction:

C'est une approche que nous devons à Eric BERNE (1910-1970), un médecin et
psychiatre américain. Elle est utilisée en thérapie, en développement personnel et
dans la vie professionnelle.

Parmi ses concepts-clés, l’on peut citer notamment :

-les Etats du Moi (le PAE),

-les Transactions,

-les signes de reconnaissance,

-la structuration du temps (retrait, rituel, passe-temps, activité, jeux, intimité),

-la symbiose, la passivité, les rackets, les timbres,

-les positions de vie,


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-le scénario.

Dans les lignes qui suivent, nous traiterons uniquement les Etats du Moi (I), les
Transactions (II), les signes de reconnaissance (III) et les positions de vie (IV).

I- Les états du Moi:

Selon Eric Berne, la personnalité humaine est structurée autour de trois grandes
composantes ou facettes (Parent-Adulte-Enfant) correspondant à trois grandes
attitudes différentes.

Autrement dit, chaque individu a son P.A.E. dont il utilise les composantes
différemment, selon les personnes et les situations auxquelles il fait face. La
connaissance de ces différents états du Moi permet à l’individu de se connaître, de
se situer et de mieux connaître les autres ainsi que de saisir le genre de relation
réellement instauré ou qu'il souhaiterait instaurer avec eux.

1) Le Parent :

Il représente ces modèles de comportement que l'individu a reçus de son


environnement social. Autrement dit, c'est la vie telle qu’on la lui a enseignée. Un
individu qui branche un état Parent, c'est un individu qui adopte, dans son échange
avec autrui, soit des comportements critiques, des jugements moraux, soit des
attitudes protectrices. D'où ses deux sous-états Parent: le Parent normatif et le
Parent Nourricier (=Protecteur).

a- Le Parent Normatif (PN) :

Il parle et construit ses discours en termes de normes de comportement, de droit,


de morale, de principes, de valeurs, de ce qu'il faudrait faire ou ne pas faire. Il
critique, dirige, moralise, évalue, sanctionne, autorise, interdit.

1- Avantages : un Parent normatif (un animateur de groupe, par exemple, ayant un


tel état) structure le groupe, l'oriente et lui donne un objectif clair en lui évitant le
désordre et l'anarchie.

2- Inconvénients : dévalorise, infériorise, persécute par son aspect autoritaire


et étouffe la créativité de l’autre.

b- Le Parent Nourricier (ou Protecteur) :

Il aide, réconforte, se montre sensible et attentif à l’autre.

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1- Avantages : protège, soigne, soulage, encourage et motive.

2- Inconvénients : surprotège, parfois, et empêche l’autonomie de l’autre. On dit


aussi, pour caricaturer un peu, qu'il empêche l'autre de grandir.

Un parent nourricier négatif vous fournit toujours la solution croyant par-là vous
rendre service. Un parent nourricier positif ne vous fournit pas la solution, mais il
vous aide à la trouver vous-même. Dans le premier cas, vous êtes totalement
dépendant et vous n'avez aucun mérite. Dans le second cas, vous conservez une
certaine autonomie et vous avez le mérite de la solution, sinon en totalité, du
moins en partie.

2) L’Adulte :

Il représente le siège de la pensée verbale, du raisonnement, de la connaissance, il


recueille, tel un ordinateur, des informations, les analyse ou les traite avant de
décider. L'individu expérimente lui-même la vie au lieu que les autres la lui
apprennent seulement. Par son approche objective de la réalité, il adopte un
comportement généralement rationnel et opératoire.

1- Avantages : méthodique, apte à résoudre les problèmes, il régule les aspects


relationnel et passionnel pour éviter les dérapages. C’est l’agent de changement de
la personnalité.

2- Inconvénients : parfois trop froid et similaire à une machine, ou absurde en


voulant être rationnel tout le temps.

3) L’Enfant :

C'est l'état du Moi le plus riche, il représente la réserve d’énergie de


l’individu et enregistre les décisions de survie à la suite d’expériences
agréables ou désagréables, voire traumatisantes, vécues par lui. Pour un
individu privilégiant cet état, la vie tourne autour du ressenti, des émotions
et des sentiments. L'état Enfant se subdivise en 4 sous-états:

a- Enfant Libre (ou Spontané) :

Il manifeste, sans retenue, ses émotions, ses pulsions, ses sentiments : joie,
peur, colère, tristesse, amour, jalousie…

Il s'exprime spontanément, ne cache rien de ce qu'il ressent.

1-Avantages : enthousiaste, inventif, créatif.

2-Inconvénients : égocentrique, changeant, désordonné.

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b- Enfant Adapté Soumis :

Il agit au gré de l’autre, surtout si cet autre est une figure d’autorité. Sa relation
est marquée par le respect, la crainte et une position d’infériorité et de soumission
par rapport à l'autre.

1-Avantages : capacité d’adaptation, résistance au stress, socialisation.

2-Inconvénients : dépendance, suradaptation, sentiment d’infériorité.

c- Enfant Adapté Rebelle :

Il refuse toute influence, tout pouvoir et contrôle sur lui au point de prendre
souvent le contre-pied des normes et de s'opposer.

1- Avantages : préserve son autonomie, réclame et défend sa différence.

2- Inconvénients : tend à râler, à être agressif, à oublier, à montrer beaucoup de


mauvaise volonté et, parfois, à s’opposer pour s’opposer, à se marginaliser.

d- Enfant Adapté manipulateur :

Il cherche moins à défier l’autorité qu’à obtenir satisfaction de ses désirs en


touchant l’autre, en le manipulant.

1-Avantages: charme, séduit, amuse, captive.

2-Inconvénients : flatte, ment, triche, trompe.

II- Les Transactions:

La Transaction est l’unité de base des relations humaines. Une relation est une
chaîne de transactions.

La transaction est un échange au sens aller-retour des messages. C'est un terme


emprunté au domaine économique où la balance détermine la nature du contrat
relationnel, conscient ou inconscient, entre les partenaires. L'idéal est de s'inscrire
dans un rapport gagnant/gagnant. Tel n'est pas toujours le cas dans la réalité.

Les transactions supposent plusieurs types d’échanges et de rapports entre les


partenaires. En effet, il existe différents types de transactions:

1- Les Transactions complémentaires :

Quand l’état du Moi sollicité chez l'autre répond à l'état du Moi de la


personne qui le sollicite.

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Exemple:

Personne 1 : Où avez-vous mis le dossier x ? (Etat du moi Adulte)

Personne 2 : Dans le tiroir. (Etat du moi Adulte)

Si la personne 1, en posant sa question, sollicite, chez la Personne 2, son état du


Moi Adulte et que cette personne 2 réponde à la Personne 1 en branchant son Etat
du Moi Adulte (exactement comme l’a souhaité P.1), il s’agit alors d’une transaction
complémentaire.

Les Transactions complémentaires n’entrainent, généralement, aucun conflit entre


les partenaires, mais le contenu de l’échange demeure, généralement, pauvre et
limité.

2- Les Transactions Croisées :

Quand une personne 2 branche un état du moi auquel une personne 1 ne


s'attend pas ou qu'elle n'a pas sollicité.
Exemple :

Personne 1 : Où avez-vous mis le dossier x ? (Etat du Moi Adulte).

Personne 2 : Si tu étais plus attentif à moi, tu l’aurais su. (Etat du Moi : Parent
Normatif). La personne 2 a l'air de faire des reproches ou des critiques à la
personne 1.

La personne 1, en posant la question, aurait, par exemple, sollicité, chez la


personne 2, son état du Moi Adulte, mais la personne 2 va la surprendre en
branchant plutôt un état du Moi Parent Normatif auquel ne s'attendait pas la
personne 1 en posant sa question.

Les Transactions Croisées peuvent perturber la communication et créer un conflit


entre les interlocuteurs, comme elles peuvent permettre de revoir la relation pour
mieux la gérer et la replacer sur de bons rails.

3- Les Transactions cachées :

Ce sont des transactions à double niveau : un niveau social apparent et un niveau


psychologique caché.

Autrement dit, ces transactions ont un sens apparent pour les autres (niveau
social) qui assistent à la relation entre deux personnes, mais, pour les personnes
elles-mêmes, il y a un autre sens, caché (niveau psychologique).

Exemple:

Personne 1 : Tu n’as pas assisté au cours x hier, j’ai une copie pour toi, tu peux
passer chez moi quand tu veux.

Personne 2 : C’est gentil de ta part, je passerai chez toi, ce soir.

Dans ce cas, par exemple, des enjeux d’ordre émotionnel pourraient être présents
dans la proposition de la personne 1 (supposons que ce soit un garçon) et la
réponse de la personne 2 (supposons que ce soit une fille). Le côté social, apparent
aux autres, porte sur la remise de documents, mais le niveau psychologique, propre
aux partenaires de cette relation, peut porter sur une sorte d'invitation ou de
rendez-vous amoureux.

Ces Transactions peuvent, parfois aussi, contenir des jugements de valeurs qui
portent un conflit en germe.

Exemple :

La femme à son mari : Regarde, le voisin a déjà arrosé tout son jardin !

Le mari à sa femme : Oui, je vois…et la voisine a fait toute la lessive!

4- Les Transactions angulaires :


Elles visent sciemment deux niveaux avec une tendance subtile à l’influence, voire
à la manipulation.

Prenons l'exemple d'un vendeur s'adressant à un acheteur à propos de certains


produits : "En voulez-vous ? Ce sont les derniers."

Si on découpe le propos du vendeur, on aura les séquences suivantes :

"En voulez-vous ?" (Etat Adulte chez le vendeur s’adressant à l'état Adulte chez
l’acheteur).

"Ce sont les derniers." (Apparemment état Adulte chez le vendeur, mais visant,
subtilement et malicieusement, l’état Enfant chez l’acheteur et non son état du moi
adulte comme il apparaît. "Ce sont les derniers", si vous ne les prenez pas, un
autre pourrait bien les prendre et vous auriez raté votre chance).

5- Les Transactions Tangentes :

En branchant la tangente, l’interlocuteur cherche à se tirer de l’embarras, à


échapper au piège tendu par l'autre et à reprendre le pouvoir.

Exemple :

Personne 1 : Monsieur, pensez-vous avoir les qualités requises pour être chef de ce
Parti ?

Personne 2 : Bonne question. Je vous remercie de l’avoir posée et je me demande,


en effet, si le chef actuel a les qualités requises pour le rester…

La personne 2, gênée par la question, au lieu d'y répondre directement, va la


renvoyer à son interlocuteur.

C'est souvent le cas avec les politiciens et les diplomates.

III- Les signes de reconnaissance:

Ce sont des signes verbaux ou non verbaux qu'exigent les individus les uns des
autres pour se rassurer qu'ils ont une existence à leurs yeux.

Autrement dit, ce sont des manifestations verbales ou non verbales par lesquelles
les hommes montrent les uns aux autres qu'ils reconnaissent leur existence et
qu'ils s'accordent mutuellement une certaine valeur positive ou négative.

Ces signes ou manifestations de reconnaissance mutuelle peuvent être de différents


ordres: physiques, psychologiques, sociaux. A ce propos, on peut citer comme
exemples de signes de reconnaissance: les paroles, les remerciements, les
salutations, les sourires, les cadeaux, les compliments…

Eric Berne les appelle les strokes (en anglais). Leur importance est vitale pour
chaque individu au point qu'être reconnu, même négativement, serait, pour lui,

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encore mieux que d'être ignoré complètement. En d'autres termes, un être humain
peut supporter des signes de reconnaissance négative (critique, insulte, punition…),
mais pas l'indifférence. Un signe de reconnaissance, même négatif, prouve à l'autre
son existence, mais l'indifférence de l'autre est, pour lui, le signe évident qu'il
n'existe nullement à ses yeux.

C'est une dure sanction que de priver quelqu'un des signes de reconnaissance.

On peut donc imaginer tous les dangers et toutes les conséquences néfastes d'une
pénurie (un manque) de signes de reconnaissances, comme d'un abus de ces
signes.

Selon Eric Berne, les strokes ou les signes de reconnaissance sont de quatre sortes:

1- Les signes de reconnaissance positifs inconditionnels:

Cela revient à dire à l'autre, implicitement ou explicitement: je t'apprécie pour ce


que tu es, sans condition, quoi que tu fasses, quoi que tu dises, que tu dises ou que
tu fasses du bien, que tu dises ou que tu fasses du mal, que ce que tu dises ou
fasses ait ou non de la valeur. La reconnaissance de l'autre est absolue et
inconditionnelle.

Cette reconnaissance positive inconditionnelle peut paraître idéale, mais sa valeur


peut être contestable d'un double point de vue: d'abord, si ce type de
reconnaissance (un compliment, par exemple) nous vient d'une personne qui nous
importe très peu, il serait moins intéressant, à nos yeux, et, ensuite, si ce signe de
reconnaissance n'obéit à aucun étalon précis, il serait moins stimulant pour nous
aussi.

Si une mère dit à son enfant: tu es le plus charmant ou le plus intelligent, on peut
se demander sur quelle unité de mesure ou quelle référence ou quel étalon elle
s'est fondée pour dire cela.

2- Les signes de reconnaissance positifs conditionnels:

C'est apprécier, estimer, admirer, aimer, reconnaître positivement l'autre pour ce


qu'il dit et ce qu'il fait et non pour ce qu'il est dans l'absolu.

C'est une reconnaissance conditionnée ou conditionnelle. Pour recevoir des signes


de reconnaissance positive, l'autre doit répondre à certaines conditions.

Cela est surtout remarquable dans le domaine de l'éducation (parents/enfants), en


général, et en pédagogie (professeurs/apprenants), particulièrement.

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Créer volontairement une pénurie, à ce propos, peut amener le destinataire à
modifier son comportement.

3- Les signes de reconnaissance négatifs conditionnels:

C'est dire à l'autre consciemment ou non: je ne t'apprécie pas, ne t'estime pas, ne


te respecte pas, ne te reconnais pas si tu fais ou dis cela. La méconnaissance de
l'autre ne s'adresse pas à son être fondamental, mais, uniquement, à ce qu'i dit ou
fait. En cela, cette méconnaissance (ou reconnaissance négative) est aussi
conditionnée ou conditionnelle. Elle est donc relative et non absolue et dépend du
comportement de l'autre.

Ce type de reconnaissance négatif, à condition qu'il ne soit systématique et


exclusif, peut stimuler l'individu, le pousser à corriger son comportement pour qu'il
s'adapte à la situation. Mais si ce type de reconnaissance négatif devient la règle et
se répète indéfiniment, il aboutira à une collection douloureuse d'insatisfactions
chez l'autre, ce qui lui ferait perdre son moral, son tonus et sa motivation
d'atteindre ses objectifs.

4- Les signes de reconnaissance négatifs inconditionnels:

C'est une reconnaissance négative absolue qui s'adresse à l'individu dans ce qu'il
est, ce qu'il dit et ce qu'il fait. La personne n'est pas estimée, acceptée, aimée,
appréciée ni pour ce qu'elle est ou peut être foncièrement, ni pour tout ce qu'elle
fait ou dit et ceci même si la personne agit ou croit agir dans le bon sens.

C'est une rude et douloureuse épreuve pour la personne qui la subit et qui risque
de l'abattre complètement ou de la révolter, mais elle reste encore plus acceptable
par rapport à l'indifférence ou à l'ignorance totales.

De ce qui précède, on peut déduire l'importance de ces stimulations pour l'équilibre


et l'épanouissement psychiques des êtres humains. D'où l'utilité de les gérer au
mieux dans les échanges interpersonnels.

IV- Les positions de vie:

Par position de vie, Eric Berne entend la façon dont l'individu se situe face à lui-
même et face aux autres. Comment l'individu perçoit sa valeur et celle des autres?
Cette double perception influence largement sa communication avec eux et leur
communication avec lui.

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Il y a quatre positions de vie, selon Berne. La valeur positive est symbolisée par un
+, la valeur négative par un -:

1) +-: le plus est pour moi, le moins est pour les autres.

Je m'accepte moi-même tel que je suis, je me respecte et je me valorise, voire me


survalorise, mais je n'accepte pas les autres tels qu'ils sont, je ne les respecte pas
et je les dévalorise. Devant un problème, c'est l'autre qui est le coupable, la faute
est à lui, uniquement. Je l'attaque, le dénigre et le chasse impitoyablement. Mon
attitude à l'égard de cet autre est empreinte d'agressivité, de supériorité, de
mépris, de haine…

Je me vois le gagnant et l'autre le perdant.

2) ++: le plus est pour moi et pour les autres.

Je m'estime et estime les autres, je me respecte et je les respecte. Je suis porté à


croire que je peux avoir des rapports constructifs avec eux. Quand il y a un
problème, je coopère avec eux pour trouver une solution. Avec l'autre, mon
attitude est celle d'un gagnant avec un gagnant.

3) -+: le moins est pour moi, le plus est pour l'autre.

Je me dévalorise et survalorise l'autre. Moi, je suis nul, l'autre est parfait. S'il y a
un problème, je me vois toujours le coupable et je vois l'autre irréprochable.

J'ai tendance à admirer exagérément l'autre et à avoir honte de moi et à me


culpabiliser. Mes sentiments pour moi s'inscrivent dans la tristesse et la peur. Je
suis le perdant et l'autre le gagnant.

4) --: le moins est pour moi et pour les autres.

Moi, je ne vaux rien, les autres non plus. Je suis terrible, les autres encore plus.
Rien à faire. Devant un problème, nous sommes tous, les autres et moi, coupables.

Je suis enclin au découragement, à l'abandon et à la résignation. Je suis perdant et


l'autre aussi.

Notre éducation nous prédispose dès l'enfance à une position de vie. Mais cela ne
signifie nullement qu'il n'y a pas possibilité de changement.

Il est primordial de prendre conscience de notre position de vie dominante avant


d'apprécier la nécessité ou non d'un changement.

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Conclusion:

Il faudrait rappeler que l'Analyse Transactionnelle traite d'autres notions non moins
importantes que celles que nous avons examinées.

Parmi les notions que nous n'avons pas pu traiter et que je vous invite vivement à
explorer vous-mêmes par des recherches personnelles, je cite les suivantes:

-la structuration du temps: le retrait, le rituel, le passe-temps, l'activité, les jeux,


l'intimité,

-les émotions, les rackets et les timbres,

-la symbiose, la passivité et les méconnaissances,

-le scénario de vie: le programme, les prescriptions, les injonctions…

Comprendre l'Analyse Transactionnelle, c'est disposer d'outils particuliers pour


réussir ses relations avec les autres dans le cadre d'une approche spécifique, simple
et pratique, parmi les différentes approches des obstacles.

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