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32.Quels sont les besoins humains ? Définissez-les.
33.Quelles sont les formes de la communication ?
34.Quels sont les réseaux de communication ?
1)- La question ouverte : La réponse exprime une idée, une opinion ; elle crée le dialogue ;
permet d’accéder à la logique de l’autre ; elle est un bon indice d’empathie.
2)- La question alternative : Elle facilite la réponse ; et aide à faire bouger l’interlocuteur
indécis. Elle peut être manipulatrice et suppose l’acceptation de la proposition.
3)- La question fermée : Sa réponse sera « oui » ou « non » ; elle appelle une réponse
claire, des informations précises ; elle mer l’interlocuteur dans une position de
subordination.
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- Cours 2 : Le feedback
C’est un moyen d’en apprendre plus sur nous-mêmes et sur l’effet que notre
comportement peut avoir sur notre entourage.
C’est parler de nous, de nos actions, de nos perceptions de nous-mêmes, des autres,
de l’entourage, la famille, la classe, en parler librement mais pas n’importe comment.
Le feedback devient destructif quand il est administré sans réfléchir, quand il laisse
le récepteur avec un sentiment négatif de lui-même
*Donner un feedback :
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- Cours 3 : Les enjeux de la communication :
- Communication et identité :
+L’identité désigne la façon dont la personne elle-même se définit et se reconnaît.
+L’individu construit son identité sociale dans et par ses interactions avec les autres.
+L’identité entretient des relations riches et complexes avec la communication :
=Perdre ou garder la face : l’un des partenaires de la communication perd la face lorsque la
réciprocité est absente : transgression d’un rituel ;
- 5 besoins fondamentaux :
2/-Enjeux relationnels :
=La communication détermine en grande partie la qualité des relations avec autrui.
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=Elle obéit à des normes et se déroule suivant des rituels variables en fonction des groupes
sociaux et des cultures.
- Normes et rituels :
Les norme de communication : règles sociales souvent inconsciente acceptées par un groupe,
prescrivent les comportements acceptables//inacceptables (ex : couper la parole.)
- Objectifs : Faciliter la communication. Se protéger des autres : respecter ces normes permet de
donner une image positive de soi.
=Ces normes se concrétisent et s’expriment à travers différents rituels. Ces derniers ont
plusieurs fonctions : Etablir le contact je vous vois, je vous entends (fonction phatique : vise à
maintenir le contact entre l’émetteur et le récepteur pour vérifier si le message passe bien.)
.Marquer la déférence et montrer que l’on n’a pas d’intentions agressives. Faciliter et adoucir la
prise de contact et la séparation : adresser la parole à q.q.n c’est lui imposer une interaction.
L’existence d’un rituel reconnu est rassurante pour les partenaires.
3/-Enjeux territoriaux :
=Parmi les risques inhérents à la communication, l’intrusion d’autrui dans notre territoire
intime (physique et psychique) et les mécanismes de défense que l’individu met en œuvre nous
ramènent à nos origines.
=Communiquer, c’est ouvrir une partie d son territoire aux autres, au risque d’être envahi.
+Les circonstances peuvent imposer la présence d’autrui en deçà de ce territoire (bus, ascenseur,
….) : Des stratégies d’évitement (regard) sont mises on place pour rétablir une distance
acceptable.
3/-Enjeux conatifs :
=Selon le linguiste JACKOBSON, la fonction conative (met l’accent sur le récepteur, en cherchant
à le contraindre à dire ou à faire quelque chose) du langage correspond à l’action ou à l’influence
exercée par l’émetteur sur le récepteur du message.
- Communiquer avec autrui, c’est souvent vouloir l’influencer : De faire changer d’avis,
d’attitude, de comportement, etc. …
- Pour cela, il existe 2 stratégies opposées :
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Cours 4 : 10 REGLES POUR BIEN COMMUNIQUER
La communication est un processus verbal ou non verbal, par lequel nous partageons une
information avec quelqu'un. La manière dont elle est formulée doit être claire.
Parler, tout comme écouter sont deux aspects de la communication. Il y a plusieurs types de
messages qui au lieu de rendre la communication plus souple, la rendent plus pénible ou voire
la bloquent. Parmi ces messages, on distingue:
- ce que je veux dire
- ce que je dit en réalité (les mots que j'ai employés)
- ce que toi, tu comprends
- ce que je crois que tu as compris
- ce que tu crois que je crois que tu as compris
Pour ne pas rester sur les "j'ai compris que", je croyais que", "mais pourtant tu as dit que", et
autres malentendus, nous vous proposons quelques règles de base utilisables en toutes
circonstances.
Être concentré :
Porter mon attention sur mon interlocuteur d'une manière active :pour cela, je fais
intervenir ma volonté d'écouter et de comprendre, et ne me contente pas seulement
d'entendre.
Etre bienveillant :
Si vous pensez qu'une parole peut blesser, trouvez des mots neutres, employez le "je", ne
culpabilisez pas, n'accusez pas. "Avant de réprimander quelqu'un, lime-toi les ongles" dit
un proverbe juif ; ne parle que si tu es certain de ne pas blesser.
Techniquement, la bienveillance et la pensée positive ouvrent l'esprit. Elles mettent les
autres dans un climat favorable où ils vont se détendre, s'ouvrir, et ainsi mieux exprimer
leurs émotions et mieux raisonner.
Ne pas interrompre
Ne prenez la parole que lorsque l'autre a fini de parler.
Veiller au débit de nos paroles - Sommes nous en train de harceler?
N'inondez pas l'autre, laissez-lui un espace de pensée. Respectez sa bulle d'intimité.
Pour que la communication soit réussie, il faut qu'il y ait concordance entre
le message verbal et le non verbal
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- Caractéristiques de la communication non verbale :
Il est impossible de ne pas avoir de communication non verbale. C’est notre premier mode de communication
des sentiments et des émotions.
L'information non verbale complète le message verbal, elle aide à comprendre ce qui est dit.
La communication non verbale : silences, gestes, postures, expressions faciales, ton de la voix, rythme
de
l’élocution, vêtements… complètent le message auditif. Elle exprime les émotions, les sentiments, les
valeurs.
Cette communication renforce et crédibilise le message verbal lorsqu’elle est adaptée, mais peut
décrédibiliser ce
même message si elle est inadaptée.
Ces messages sont souvent plus fiables que les messages verbaux. Pour ces raisons, il est capital de savoir les
lire et les interpréter.
On envoie et on reçoit en permanence des signes non verbaux qui transitent par des expressions du visage, des
gestes et postures, le ton de notre voix, l'habillement, la coiffure, le maquillage, l’odeur, les silences, le toucher.
Le langage non verbal permet la communication entre personnes de langues différentes : le rire et
l’expression de
la douleur sont les expressions non verbales les plus universelles.
Mais ces signaux ne sont pas universels et ils doivent être interprétés en fonction du contexte. La signification
d’un geste dépend de la situation, de l'émetteur, du récepteur, de la culture, de la religion. Exemple : les
vêtements blancs ou noirs pour le deuil, selon la pratique religieuse dans différents pays.
Lors d’un entretien d'embauche, d’un entretien commercial ou d’une discussion entre ami(e)s ce n'est pas
seulement ce que vous racontez qui est important. C’est également la manière de le dire qui déterminera la
suite des événements. Pour bien contrôler sa communication interpersonnelle, il est donc essentiel de
comprendre notre communication non verbale.
1 - Le silence
Les silences font intégralement parti de la communication, car ils expriment quelque chose et qu'ils sont
indispensables à l'écoute de l'autre.
Celui de la personne furieuse, offensée ou irritée qui se contient, qui n’est pas en paix avec elle-même
et avec les autres et cherche à s’isoler,
Celui de la personne attentive qui écoute l’autre jusqu’au bout, pour comprendre ce qu’il veut dire et
recevoir son message. Il peut être un « intervalle » de réflexion entre stimulant et réponse afin que la
parole ne laisse pas place à l’impulsivité ou à des automatismes de l’inconscient,
Chaque silence doit être interprété et analysé en fonction du contexte. Il faut faire très attention de ne pas
produire d'inférences dans cette interprétation, car cela revient à donner un sens à ce qui semble vide.
Un silence peut être approprié ou inapproprié (comme des paroles). De nombreux aphorismes l’illustrent.
« Savoir tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler » ; « Le silence est d’or » ; « Savoir
tenir sa langue » etc.
2- Le paralangage
Le Paralangage va au-delà des mots prononcés. Il inclut le timbre et le volume de la voix, le rythme des mots,
les coupures d'une phrase.
Le Paralangage entoure les mots et exprime les sentiments à travers la façon dont ils sont dits.
Exemple : « OUI, je vais le faire » peut être pris dans de multiples sens. Amusez-vous à prononcer cette phrase
de multiples façons pour lui donner des sens différents.
Ils ont certainement été les premiers moyens de communication entre les humains et constituent un
véritable paralangage qui accompagne et complète le message verbal.
La gestuelle se manifeste par des postures qui peuvent concerner : la tête, le buste, le bassin, les jambes et les
bras. Par les gestes, nous nous exprimons et nous pouvons avoir un comportement de défense ou d’agression.
Si, nous sommes mis en cause, interpellés, nous avons alors des gestes barrières. Parmi les plus courants :
les mains sur les oreilles, sur les yeux ou sur la bouche,
les bras croisés,
se frotter les mains,
les formes de réajustement : la mèche des cheveux, le pli d'un pantalon, d'une jupe, la poussière
imaginaire, le raclement de la gorge...
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4 - Expressions faciales, mimiques et mouvements corporels
Ce sont les expressions de visage qui expriment des émotions : la joie, la surprise, le dégoût, la tristesse, la
colère, la peur…
Ces mimiques peuvent renforcer le message, mais elles peuvent le modifier et changer sa signification.
le clin d'oeil indique que ce qui est dit ne doit pas être pris au sérieux,
le regard soutenu signifie une intention hostile,
le regard panoramique est destiné à impliquer tous les interlocuteurs afin que tous se sentent
concernés par le message.
Ils peuvent être voulus tel que le sourire à une personne, mais souvent ils sont incontrôlés et involontaires (Le
pied qui tape sous la table et qui exprime l’agacement, l’irritation ou l’ennui, les yeux écarquillés, les sourcils
froncés, etc.). Ils font partie intégrante de notre comportement global.
Le regard, est certainement la partie du corps qui exprime le plus de nous-mêmes « les yeux sont le miroir
de l'âme »
Il est capital de tenir compte des expressions faciales et des mouvements corporels afin d’éviter les
malentendus.
L’apparence correspond à l'allure générale d’une personne. C’est ce que l’on voit en premier lieu : le vêtement,
la coiffure, le maquillage, les accessoires. C’est un élément majeur des premières impressions que l'on a
d'une personne.
Les vêtements :
Le choix des vêtements et des accessoires est fait généralement en fonction de l'âge, du physique, de la
situation professionnelle, des goûts personnels, du milieu social, etc.
On constate depuis le début des années 70, une évolution dans la tenue vestimentaire, une plus grande
décontraction, une plus grande variété des tenues, de choix des tissus et des couleurs. Cette évolution est liée
à l’évolution des normes et codes sociaux, au développement de la société de consommation, à l’exacerbation
des désirs narcissiques et au besoin conscient ou inconscient de distanciation ou de distinction des
formalismes sociaux.
Par le choix de notre tenue, nous voulons donner une certaine image de nous-mêmes. Il y a lieu de distinguer
La façon dont une personne s’habille renvoie consciemment ou inconsciemment désir d’appartenance à un
groupe ou de distinction d’un groupe. L’habillement est aujourd’hui indissociable d’un style : traditionnel,
skateur, gothique, punks, baba cools, biker, rastas, artistes, banquier – cadre supérieur, religieux, militaires,
hip hop etc.
Les accessoires
Les objets que nous portons (bijoux, sac, parfums et eaux de toilette, chaussures, chapeau, casquettes)
parlent
de nous, de nos valeurs, de nos priorités, de notre histoire (bijoux de famille), de notre culture, etc. Ils
renvoient
aux significations que nous leur attribuons.
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« Ces objets qu’ils soient vestimentaires ou accessoires ou autres parlent de nous, qu'on le veuille ou
non, ce sont des choix que nous avons faits, dont on doit assumer la responsabilité. »
6- Les rituels
Il s’agit de pratiques habituelles, que l’on relève dans des situations courantes. On distingue le plus souvent les
rituels de salutation, de séparation, de remerciements et de présentation.
Ces rituels sont différents selon les cultures. Il existe, par exemple, différentes façons de se dire bonjour : en se
serrant la main, en s’embrassant, en s’inclinant… Ces rituels de salutation varient selon les pays, et aussi selon
les milieux (famille, entreprise…)
Communiquer efficacement nécessite de connaître ces rituels afin de comprendre le comportement de nos
interlocuteurs et aussi de les prendre en compte afin de ne pas les heurter.
Dans nos sociétés, il est jugé précieux et la personne qui est en retard est considérée comme irrespectueuse ou
légère.
-L'espace : L'espace dans lequel se déroule une communication nous affecte également.
La gestuelle est réalisée dans un espace. Cet espace est codifié. On connaît l'expression « garder ses
distances ». Chacun d'entre nous marque ses distances en parlant à l'autre. On distingue quatre zones de
communication :
Toute personne qui pénètre dans une zone qui ne lui est pas réservée commet une faute et la personne qui
en
est victime se sent mal à l'aise, déstabilisée, agressée.
Nous possédons tous un territoire personnel que nous protégeons des atteintes extérieures. Cet espace et les
objets qui s'y trouvent peuvent devenir le prolongement de notre corps physique. (Voiture, chaise, bureau etc.)
Les vérités
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1)- La communication peut être volontaire ou non :
Les Mots dépassent parfois la pensée, par exemple sous le coup de l’émotion. Il serait plus juste de
dire que vu son intensité, le message émotif a été communiqué involontairement à un point tel que
l’idée qu’on voulait émettre a été modifiée.
Par ailleurs, nous ne savons pas toujours qui est éventuellement en mesure de capter ou de recevoir
notre message ; il semble qu’il existe des « personnes avec des antennes » et des « murs avec des
oreilles ». Enfin, il nous arrive d’émettre une quantité de messages non verbaux d’une façon
involontaire ; votre mauvaise humeur vous échappe peut être, mais elle pourra être perçue par un
observateur attentif : Le message est donc loin d’être uniquement dans les mots.
On peut décider de ne pas parler, mais cette décision communique quelque chose (Colère, peur, culpabilité,
manque de confiance etc). De plus, les expressions de notre visage, notre attitude, nos gestes, notre posture, nos
comportements et même notre façon de nous habiller parlent à notre place.
Ce qui est dit est dit ; on ne peut l’effacer. Tout au plus, on pourra le nuancer ou l’expliquer pour le rendre plus
compréhensible. On ne peut pas non plus recréer de façon identique une situation de communication, ne serait-
ce que parce que les interlocuteurs ne sont plus exactement ce qu’ils étaient il y a une semaine. « Le beau
sourire qui a fait un miracle avec telle personne, dans tel contexte, pourrait vous attirer des ennuis avec une
autre personne, dans un autre contexte. » Dommage
LES LIMITES
Emettre un message, le « dire », n’assure pas que le message sera bien reçu. Le message risque toujours
d’être perdu ou déformé en cours de route.
S’il est vrai que le manque de communication peut générer des problèmes, il existe des situations où trop parler
peut aussi s’avérer néfaste. Il arrive parfois qu’une grande colère nous amène à dire des choses que nous
pourrions regretter par la suite ; il est donc préférable de « laisser retomber la poussière » et de penser à ce
que l’on veut dire et de quelle façon on veut le dire.
Quand une personne apprend qu’elle est atteinte d’une maladie mortelle, aucune communication ne viendra à
bout du virus. Certaines informations pourraient lui être utiles, mais la réalité de la maladie devra
éventuellement être comprise et acceptée.
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4)- La communication est un don naturel :
Certaines personnes pensent qu’on naît plus ou moins habile en communication et que tout est joué pour le reste
de notre vie. Bien sûr certains affichent des prédispositions reliées à des traits de personnalité ou à des facteurs
de milieu. Mais, au même titre qu’on peut développer ses aptitudes sportives, l’acquisition de connaissances et
l’entraînement peuvent permettre à chacun d’exploiter bien davantage son potentiel de communication. Donc la
communication est plutôt un talent qui se développe.
En résumé :
Communiquer, c’est faire en sorte d’être compris par l’interlocuteur ou un groupe de personne.
S’il n’y a pas de REPONSE (absence de dialogue, comme dans l’information pure), il faut tenir compte
de l’auditoire à qui on s’adresse.
Comment ce que j’EXPRIME est-il INTERPRETE ?
Le dialogue permet de mieux vérifier comment je suis compris.
Communiquer peut avoir plusieurs objectifs : discuter des opinions, vouloir convaincre, informer,
obtenir des informations. Etc …
Expliquer votre situation actuelle et les motifs de votre candidature (en poste, démissionnaire, besoin de
nouveaux projets, licenciement économique)
Exposer clairement vos motivations (celles-ci peuvent être mentionnées directement lorsque vous expliquer votre
situation actuelle lors de l’entretien)
MAIS SURTOUT de :
Préciser votre disponibilité, le salaire souhaité, votre mobilité
Cette lettre de motivation est faite pour convaincre votre interlocuteur déjà accroché par votre CV de vous rencontrer.
b.Que doit-on écrire ?
- Objet :
Si vous répondez à une annonce, indiquez le titre du poste ou sa référence.
Si c’est une candidature spontanée, précisez-le.
- Présentation et longueur :
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Plutôt aérée, paragraphes espacés (un paragraphe = une argumentation, par exemple, un paragraphe pour l’introduction,
un autre pour la formation, etc.)
Et enfin, ni trop long (on s’endort, on abandonne), ni trop court (ressemble plus à la note dans le mail).
Contenu
L’état civil
Le destinataire quand vous le connaissez sinon un « Madame, Monsieur » reste approprié. Il y a de grande
chance que votre CV circule entre différents interlocuteurs
L’objet
Une petite phrase d’introduction (voir exemples ci-dessous)
Un mot sur la formation si nécessaire
Vos atouts mis en valeur par votre expérience professionnelle : ce que vous y avez appris : travail en équipe,
organisation, rigueur
Votre projet professionnel
Des informations complémentaires : disponibilité, mobilité, salaire souhaité (une fourchette par exemple ou
votre rémunération actuelle)
Une phrase de conclusion
Pour conclure
- « Si vos besoins s’accordent avec mes compétences, contactez-moi pour discuter de nos attentes et ambitions
communes.
Je vous remercie par avance de l’attention que vous voudrez bien porter à ma candidature et vous prie de
recevoir, Madame, mes sincères salutations. »
- « Je serai disponible à partir du …
Vous trouverez ci-joint mon CV détaillant davantage mon parcours.
Mais je serais heureux de vous rencontrer très prochainement pour vous exposer en détails mes motivations et
mes capacités.
Je vous prie d’agréer, Madame, l’expression de mes salutations distinguées. »
- « Disponible sous 1 mois, je me tiens à votre disposition pour tout entretien à votre convenance. »
- « Souhaitant vous rencontrer pour vous exposer plus amplement mon expérience et mes motivations, je me tiens
à votre entière disposition et vous prie de recevoir, Madame, l’expression de mes…. »
- Cours 8 :
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Ville , le : ……/………/………….
Monsieur ;
Actuellement à la recherche d’un emploi et vivement intéressé ( e) par votre secteur d’activités, je souhaite
proposer mes services éventuels en tant que (…….. intitulé du poste …..).
Titulaire d’un diplôme en (……………………) , et ayant une expérience probante dans mon domaine, durant
laquelle j’ai pu développer mon sens du relationnel et mes capacités de gestion. Je suis capable de m’intégrer
facilement au sein d’une équipe professionnelle.
Désireux (se) de relever de nouveaux défis et d’enrichir mon parcours, j’ai choisi votre organisme qui s’avère
être un exemple de professionnalisme et de promotion des compétences. Alors je souhaiterais envisager avec
vous l’opportunité d’une future collaboration.
Pour ce faire, je me porte à votre disposition pour une entrevue à la date de votre convenance, dans le but de
vous détailler mes projets professionnels.
Dans cette attente, je vous prie d’agréer, Monsieur, l’assurance de mes salutations distinguées.
Signature
P.J :
- C.V
Monsieur ;
Votre annonce au Journal « Le Matin de l’emploi » du : 02/06/2014, page : 05 sous réf : 2100 a
particulièrement retenu mon attention, ainsi j’ai le plaisir de vous déposer ma candidature pour le poste de
Responsable commercial au sein de votre entreprise.
Grâce à ma formation professionnelle, j’ai pu développer des talents me permettant d’intégrer une équipe
dynamique et la mener à atteindre ses objectifs. Mes atouts sont mon sens du relationnel et mon esprit de
concurrence qui fait de mon travail une permanent recherche du perfectionnement. Ainsi, mon choix réfléchi
d’intégrer votre organisme prend sa source de votre excellente réputation dans le marché en tant qu’entité solide
et performante.
Collaborer avec vous sera pour moi une opportunité de mettre mes acquis et mes compétences au profit de
votre société et aussi me permettra de consolider mon savoir-faire grâce à vos ressources exceptionnelles.
Souhaitant vivement vous rencontrer pour vous exposer plus amplement mon expérience et mes motivations,
je me tiens à votre disposition et vous prie de recevoir, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.
Signature
P.J :
- C.V
- Ecouter est indispensable pour apprendre et apprendre nécessaire pour retransmettre et enseigner aux
autres. Pour cela, commencez par vous taire en vous installant dans des silences un peu inconfortables,
vous pousserez les autres à en dire plus.
- Rester silencieux ne suffit pas pour bien écouter. Il faut rendre votre silence constructif et faire en sorte
qu’il aide votre entourage à mieux s’exprimer. Pour cela, faites-lui voir que même silencieux vous prenez
une part active à la conversation et que vous pratiquez ce qu’on appelle l’écoute active, c'est-à-dire que
regardant bien votre interlocuteur, vous vous efforcez de reproduire sur votre visage les sentiments que
vous pouvez lire sur le sien, que par ailleurs vous écoutez non seulement ce qu’il dit mais comment il le
dit, en étant prêt à reformuler à tout instant. Ne l’interrompez pas pour le contredire. Puis, avant de
parler, résumez et reformulez-le avec ses propres mots. Et posez-vous la question avant de parler « quel
effet ma réponse peut-elle avoir sur mon interlocuteur ? ». D’une façon générale, pour qu’on vous
écoute, commencez par écouter puis aller droit au but.
L’écoute active est une technique destinée à améliorer la qualité de l’écoute. Elle consiste à écouter son
interlocuteur avec attention et à lui retourner ce qu’il dit (pensées) et ressent (sentiments) sans jugement.
Il s’agit de faire un reflet neutre de son propos plutôt que de donner son propre avis.
- Donc, pour écouter l'autre, il convient de se brancher sur la fréquence de son interlocuteur en se
dépouillant de ses présupposés ou de ses a priori... :)
Ainsi, l'écoute active permet :
1. de mieux vous comprendre
2. de comprendre le fonctionnement de l'autre
3. de développer empathie, bienveillance et solidarité
4. de prendre du recul
5. de mieux travailler ensemble
6. de collaborer
7. de créer des relations productives, efficaces, énergisantes
L'écoute active permet à l'individu, lors de l'entretien d'aide, de le décloisonner de ses difficultés et de le
prendre dans son ensemble. En effet, l'écoute active est bien plus qu'une reformulation. Grâce à la
bienveillance du récepteur, elle donne à l'émetteur des outils afin qu'il puisse s'exprimer et se dire en tant
que Sujet de sa situation.
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Cours 10 : La communication non verbale
1)- Le regard : Il est le premier véhicule important de notre comportement non verbal. Il établit le
contact et met en place les premières secondes de la communication. Il transmet nos émotions et nos
pensées. Par le regard, nous pouvons faire passer :
Quand on s’adresse à un groupe, l’adhésion doit être assurée par le regard qui doit balayer l’assistance,
s’arrêter parfois sur un auditeur pour monopoliser son attention et repartir ensuite sur l’ensemble du
groupe. Il s’agit du « regard panoramique ».
2)- Le sourire : Il est expressif car il transmet mon état d’esprit, ma personnalité et ma marque
d’intérêt pour l’autre, il est communicatif car il met en confiance mon interlocuteur et l’incite à faire de
même. Un sourire non naturel est signe d’hypocrisie ou de manque de personnalité. Il faut penser à
sourire quand on a le trac, cela détend et met la personne en situation de communication.
3)- Le visage et les mimiques : Le visage est un élément mobile du corps, il exprime nos émotions
et nos tensions intérieures. Les mimiques vont venir soutenir et renforcer le discours en le rendant plus
vivant et plus compréhensible.
4)- La voix :
Le timbre : Selon les individus, le timbre de voix sera très différent. Le timbre, tout comme les
empreintes digitales, est propre à chacun et ne varie pas. Il est très utile à un orateur de bien placer sa
voix, c'est-à-dire, entre autres, de bien la timbrer.
Au-delà du timbre, la voix se caractérise aussi par :
1/ L'intensité : C'est le niveau sonore de la voix. Il faut adapter ce niveau à la taille de l'espace, à la
disposition du public, et au nombre de personnes présentes.
2/ L'intonation : C'est le mouvement mélodique de la voix, caractérisé par des variations de hauteur.
Comme en musique, il faut trouver sa partition et jouer sur des notes différentes.
Il est nécessaire de varier ses intonations afin de capter l'attention de l'auditoire. Personne n'imagine un
morceau musical sur une seule et même note.
3/ Le débit : C'est le nombre de mots à la minute. Attention, la plupart des orateurs parlent trop vite.
Entraînez-vous à étirer le temps de votre intervention : 20 % en plus et vous allez gagner en impact.
Pour cela :
Il faut respirer entre les phrases, dans les phrases et faire des pauses pour reprendre votre
souffle
... Et laisser le public respirer lui aussi.
Comme en musique, le silence s'inscrit dans la partition.
Attention, le trac provoque souvent une accélération du débit, il faut être vigilant sur ce point.
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Comment trouver son poste adéquat ?
- Identifiez ce que vous aimez, pouvez et voulez faire.
La première étape de toute recherche d'emploi consiste à faire une étude de soi et à se
définir par rapport au marché du travail pour assurer son insertion. Il faut se considérer
comme une personne unique ayant des capacités reliées à l'emploi.
Ces démarches permettront de mieux vous connaître et d'identifier vos compétences
pour bâtir un bon curriculum vitae et franchir avec succès l'étape de l'entrevue.
Identifiez les différents emplois/secteurs de travail selon vos critères de recherche
d’emploi.
Examinez les contraintes à l’emploi et les solutions possibles.
Prenez conscience de vos forces et de vos limites. (Etablir un bilan personnel)
Formations complémentaires :
Formations qui peuvent s'avérer un atout. Préciser l'institution et les périodes de formation
(ex : anglais avancé, R.C.R., cours d'informatique, sécurité au travail, etc.)
Activités parascolaires :
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Exemple: implication à la radio étudiante, dans une équipe sportive, au journal de votre école,
à l’organisation de spectacles, au bal des finissants, etc. Indiquez votre rôle, l’école et la
période.
Réalisations :
Accomplissement d’un mandat spécial ou d’une tâche particulière effectuée en emploi ou à
l’école.
Intérêts particuliers :
Sports, activités culturelles ou passe-temps que vous pratiquez à une certaine fréquence.
Publications :
Sujet de mémoire, essai, article ou livre que vous avez publiés.
Référence :
Précisez qu’elles seront fournies sur demande et préparez une feuille à part avec une liste de
vos références. N’oubliez jamais d’avertir les personnes que vous y avez inscrites.
CV par compétences
Peut être utile pour : peu ou pas d’expérience, compétences acquises, instabilité, changement
de carrière, absence du marché du travail, domaine différent, compétences transférables. De
plus en plus utilisé.
CV mixte
Pertinent pour : combinaison, fait ressortir des réalisations et compétences. De plus en plus
utilisé.
Le Bilan Personnel
Le bilan personnel se compose de 3 parties :
Premier paragraphe :
- Expliquez le but de votre lettre. Nommez l’emploi pour lequel vous postulez et
comment vous avez appris qu’il était vacant. Justifiez votre demande.
Deuxième paragraphe
- Témoignez de votre intérêt pour le poste et l’entreprise. Informez-vous sur l’entreprise.
- Présentez vos qualifications pour le poste : formations, expériences, connaissances
techniques, aptitudes, compétences et qualités.
- Lorsque vous affirmez quelque chose, vous devez être en mesure de l’appuyer par un
fait concret.
Troisième paragraphe :
- Démontrez votre intérêt à rencontrer l’employeur et votre disponibilité pour une
entrevue ou une rencontre.
- N’oubliez pas les remerciements et les formules de politesse à la fin.
- Terminez par votre signature et vos coordonnées.
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Les Réseaux
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peu près ordonné et prévisible, avoir des valeurs et des principes moraux qui
permettent de donner un sens aux événements.
3. Les besoins sociaux d'appartenance et d'amour englobent de
pouvoir donner et recevoir de l'affection, avoir des relations intimes avec un
conjoint et des amis, faire partie intégrante de groupes cohésifs (au travail ou
ailleurs), ne pas se sentir seul et rejeté.
4. Les besoins de reconnaissance ou d'estime sont de deux types.
Estime de soi-même : s'aimer soi-même, être fier de ce que l'on est et de ce que
l'on frit, se sentir compétent, capable de réussir ce que l'on entreprend.
Estime de soi par les autres : être respecté et admiré par les autres, avoir un
certain statut social et un certain prestige, être apprécié et reconnu pour ce que
l'on est.
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LES REGISTRES DE LANGUE
La communication Professionnelle :
On voit que si on maîtrise bien la communication sous toutes ses formes : orale,
écrite, téléphonée, médiatisée ; l’intégration se fera et la rudesse de nos
potentialités sera au maximum.
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b)- Leur statut : La position sociale dans l’entreprise détermine en grande
partie les comportements. Pour une bonne communication, le supérieur doit
toujours valoriser le statut des collaborateurs.
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