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2-Etude de la variation de la puissance mécanique en fonction de la position du pointeau

Les courbes obtenues tel que sur le graphique 4 ou 5 sont approximativement les mêmes que celle
présentée dans la partie « théorie simplifiée », comme nous pouvons le remarquer ci-dessous.

Courbe caractéristique théorique :

Graphique 4 : Evolution de la puissance mé-


canique en fonction de la vitesse de rotation,
et pour une position de pointeau de 3 tours
Puissance meca (W)

200

150
Puissance
100
Méca =
f(rotation)
50

0
400 600 800 1000 1200 1400 1600 1800 2000 2200

Vitesse de rotation (rad/s)

Graphique 5 : Evolution de la puissance mé-


canique en fonction de la vitesse de rotation,
Puissance mécanique (W)

et pour une position de pointeau de 4 tours


300.00
250.00
200.00
Puissance
150.00 Méca =
100.00 f(rotation)
50.00
0.00
1000 1200 1400 1600 1800 2000 2200 2400

Vitesse de rotation (rad/s)


La grande différence entre nos valeurs et celle de la théorie s’explique par le fait que nous ne
pouvions pas obtenir plus de valeurs de ω, cela est lié à un problème de commande sur l’unité de
freinage. Mis à part cela les graphiques 4 et 5 sont assez similaire à la courbe caractéristique
théorique.

Durant cette étude nous avons donc pu déterminer les conditions permettant d’accéder à la
pointeau
puissance maximale Pmax  :

-Plus le nombre de tours pour régler la position du pointeau est élevée (donc plus le débit du jet
d’eau est élevé), plus les valeurs de puissances mécaniques le sont aussi.

siq v ↗ alors P m ↗

ωmax
-Plus la valeur de ω s’approche de , plus la valeur de la puissance mécanique atteint son
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maximum.
A NE PAS PRENDRE EN COMPTE

On récupère alors toute la puissance du jet ... `à condition : Nous effectuons l`a aussi une hypothèse
qui sera d’autant plus vérifiée que le rayon de la roue Pelton sera ´élevée (ce qui n’est pas le cas de
notre manip’) 5

– d’avoir une infinité d’augets,

– de faire tourner la roue à la vitesse de rotation convenable Ω = ve R = v1 2R ,

– de négliger les pertes singulières dans le fluide entre les sections S1 et S2,

– de négliger les effets de la pesanteur,

– de négliger les pertes par frottements dans les paliers assurant la liaison pivot de l’arbre par
rapport au bâti,

– pour un retour `à 180◦ .

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