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𝒅𝑾 = −𝒅𝑬𝑷
La fonction scalaire Ep est alors l’énergie potentielle du point M. L’énergie potentielle est une
fonction d’état qui ne dépend que de la position du point M.
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𝟏
Si on prend 𝐸𝑃𝑒 = 0 pour x = 0 alors 𝑬𝑷𝒆 = 𝟐 𝒌𝒙𝟐
𝑘 𝑘 𝑘
𝑑𝑊𝐹 = −𝑑𝐸𝑝 ? 𝑑𝑊𝐹 = 𝐹 . 𝑑𝑟 = 𝑟 2 𝑑𝑟 = −𝑑𝐸𝑝 ⟹ 𝑑𝐸𝑝 = − 𝑟 2 𝑑𝑟 ⟹ 𝐸𝑝 = − ∫ 𝑟 2 𝑑𝑟
𝑘 k
⟹ 𝐸𝑝 = 𝑟 + 𝑐𝑠𝑡𝑒 et en choisissant par convention Ep (r = ∞) = 0 alors on trouve Ep = r .
𝒒𝒒′
𝑬𝑷 = ∶ é𝒏𝒆𝒓𝒈𝒊𝒆 𝒑𝒐𝒕𝒆𝒏𝒕𝒊𝒆𝒍𝒍𝒆 é𝒍𝒆𝒄𝒕𝒓𝒊𝒒𝒖𝒆
𝟒𝝅𝜺𝟎 𝒓
La force électrostatique est donc une force conservative.
b) Force de gravitation, loi de Newton – Energie potentielle de gravitation
Loi de newton : attraction ou gravitation universelle
Entre deux points matériels M1 de masse m1 et M2 de masse m2 il s’exerce une force attractive
appelée force de gravitation (les deux points s’attirent mutuellement).
La force exercée par M2 sur M1 est
𝑔𝑚1 𝑚2 𝑟
𝐹21 = − 2
⃗ (𝑙𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝑁𝑒𝑤𝑡𝑜𝑛) 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑢
𝑢 ⃗ = 𝑜ù
𝑟 𝑟
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𝑟 = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀2 𝑀1 et 𝑔 = 6,673. 10−11 𝑁. 𝑚2 . 𝑘𝑔−2 la constante de gravitation universelle (ou constante
𝑔𝑚1 𝑚2
gravitationnelle). 𝐹12 = −𝐹21 et en module 𝐹12 = 𝐹21 = .
𝑟2
Remarques
1) En toute rigueur les masses considérées ici sont les masses de gravitation notées m*1 et m2* qui
traduisent la capacité de deux points de s’attirer. Mais on montre qu’elles sont égales aux masses
d’inertie (masses dans le PFD).
1
2) En comparant g et on remarque que la force électrostatique est 1038 fois plus intense que la
4𝜋𝜀0
force de gravitation.
Energie potentielle de gravitation
k
Pour deux masses m et m’ en attraction, ⃗F = − r2 u
⃗ avec 𝑘 = 𝑔𝑚𝑚′ > 0. Existe-t-il Ep telle que :
𝑘 𝑘 𝑑𝑟
𝑑𝑊𝐹 = −𝑑𝐸𝑝 ? 𝑑𝑊𝐹 = 𝐹 . 𝑑𝑟 = − 𝑟 2 𝑑𝑟 = −𝑑𝐸𝑝 ⟹ 𝑑𝐸𝑝 = 𝑟 2 𝑑𝑟 ⟹ 𝐸𝑝 = 𝑘 ∫ 𝑟 2
𝑘 k
⟹ 𝐸𝑝 = − 𝑟 + 𝑐𝑠𝑡𝑒. Par convention, on choisi Ep (r = ∞) = 0 donc cste = 0 ⟹ Ep = − r .
𝒈𝒎𝒎′
𝑬𝑷 = − ∶ é𝒏𝒆𝒓𝒈𝒊𝒆 𝒑𝒐𝒕𝒆𝒏𝒕𝒊𝒆𝒍𝒍𝒆 𝒅𝒆 𝒈𝒓𝒂𝒗𝒊𝒕𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏
𝒓
La force de gravitation est donc une force conservative.
𝟏 𝒒 𝒒 ⃗𝒓
⃗⃗ (𝑴) =
𝑬 ⃗ =
𝒖 Champ électrostatique produit par la charge q au point M
𝟒𝝅𝜺𝟎 𝒓 𝟐 𝟒𝝅𝜺𝟎 𝒓𝟑
𝐹
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝑟𝑢
où 𝑟 = 𝑂𝑀 ⃗. 𝐸⃗ (𝑀) = 𝑞′ correspond à la force électrostatique par unité de charge.
b) Champ de gravitation
De même un point matériel O de masse m exerce sur un point matériel M de masse m ’, la force
attractive de gravitation :
𝑔𝑚𝑚′ ′
𝑔𝑚
𝐹=− 𝑢
⃗ = 𝑚 (− ⃗ ) = 𝑚′ 𝐺 (𝑀) 𝑎𝑣𝑒𝑐:
𝑢
𝑟2 𝑟2
𝒈𝒎 ⃗𝒓
⃗⃗𝑮(𝑴) = − ⃗ = −𝒈𝒎 𝟑 Champ degravitation créé au point M par la masse m
𝒖
𝒓 𝟐 𝒓
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𝐹
𝐺 (𝑀) = 𝑚′ correspond à la force de gravitation exercée par le point O de masse m sur le point M par
unité de masse.
Remarque
1
Les champs 𝐸⃗ (𝑀) et 𝐺 (𝑀) étant des champs en sont qualifiés de champs newtoniens.
𝑟2
b) Potentiel de gravitation
L’énergie potentielle d’une masse m en un point M de masse m’ à la distance r de m est
𝑔𝑚𝑚′ 𝑔𝑚
𝐸𝑃 = − = 𝑚′ (− ) = 𝑞′𝑉𝐺 (M) avec :
𝑟 𝑟
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑬𝑷
⃗𝑭 = −𝒈𝒓𝒂𝒅
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⃗𝑬 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑽(𝑴)
⃗ (𝑴) = −𝒈𝒓𝒂𝒅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑽𝑮 (𝑴)
⃗⃗ (𝑴) = −𝒈𝒓𝒂𝒅
𝑮
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Stabilité
A partir d’une position d’équilibre x0, on effectue un petit déplacement x-x0.
Le développement limité au premier ordre de F est :
𝑑𝐹
𝐹(𝑥) = 𝐹(𝑥0 ) + (𝑥 − 𝑥0 )(𝑑𝑥 )𝑥=𝑥0 or x0 est une position d’équilibre donc F(x0)= 0 d’où
𝑑𝐹 𝑑2 𝐸𝑝
𝐹(𝑥) = (𝑥 − 𝑥0 )(𝑑𝑥 )𝑥=𝑥0 = −(𝑥 − 𝑥0 )( 𝑑𝑥 2 )𝑥=𝑥0 .
F(x) est de signe opposé à (x-x0) c’est-à-dire que le point matériel est soumis à une force qui le rappelle
dans la position d’équilibre x0. L’équilibre est dit stable et correspond à un minimum de Ep.
F F
x
(x- x0) <0 x0 (x-x0)>0
F(x)>0 F(x)<0
d2 Ep
Deuxième cas : ( dx2 )x=x0 < 0
F(x) est de même signe que (x-x0). Le point matériel tend à s’éloigner de sa position d’équilibre c’est-
à-dire l’équilibre est instable et correspond à un maximum d’énergie potentielle.
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Ep
Ep max
Em
0 F F x
x0
(x- x0) <0 (x-x0)>0
F(x)<0 F(x)>0
Conclusion
Tout système physique légèrement écarté (mouvements de faible amplitude) d’une position
d’équilibre stable effectue des oscillations autour de cette position. Le mouvement oscillatoire le plus
important est le mouvement d’oscillateur harmonique ou mouvement sinusoïdal.
𝑑2 𝑥 𝑘
+ 𝑥 = 0 é𝑞𝑢𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑖𝑓𝑓é𝑟𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑢𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡.
𝑑𝑡 2 𝑚
𝑘
C’est l’équation d’un oscillateur harmonique. On pose 𝜔0 = √𝑚 : pulsation de l’oscillateur d’où :
𝒅𝟐 𝒙
+ 𝝎𝟐𝟎 𝒙 = 𝟎
𝒅𝒕𝟐
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𝑑𝑖 𝑞 𝑑𝑞 𝑞
Loi des mailles : −𝐿 𝑑𝑡 + 𝐶 = 0 avec 𝑖 = − 𝑑𝑡 et 𝑢 = 𝐶 : tension aux bornes de C. D’où les
𝑑2 𝑞 𝑞 𝑑2 𝑢 𝑢 𝒅𝟐 𝒒 𝒒 𝒅𝟐 𝒖 𝒖
équations suivantes 𝐿 𝑑𝑡 2 + 𝐶 = 0 ou 𝐿 𝑑𝑡 2 + 𝐶 = 0 soit + 𝑳𝑪 = 𝟎 ou + 𝑳𝑪 = 𝟎. On pose
𝒅𝒕𝟐 𝒅𝒕𝟐
1 𝒅𝟐 𝒒 𝟐
𝒅𝟐 𝒖
𝜔02 = ′
(pulsation du circuit) d où + 𝝎𝟎 𝒒 = 𝟎 ou + 𝝎𝟐𝟎 𝒖 = 𝟎
𝐿𝐶 𝒅𝒕𝟐 𝒅𝒕𝟐
3.2.3.Généralisation : caractéristique de l’oscillateur harmonique
D’une manière générale, l’équation différentielle d’un oscillateur libre non amorti (oscillateur
harmonique) de paramètre s(t) s’écrire :
𝒅𝟐 𝒔
+ 𝝎𝟐𝟎 𝒔 = 𝟎
𝒅𝒕𝟐
La solution de cette équation différentielle est sinusoïdale donc de la forme :
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Les principaux types de frottements qui transforment une fraction de l’énergie du système en
chaleur sont :
Les frottements solide-solide. Exemple : pendule amorti par une bande de papier. La force
de frottement a un module constant et elle est dirigée en sens inverse du mouvement.
L’amplitude des oscillations décroit linéairement en fonction du temps.
Les frottements visqueux. Exemple : déplacement d’un solide dans un fluide. La force de
frottement est proportionnelle à la vitesse de déplacement et en sens inverse : 𝐹 = −𝜇𝑣
avec 𝜇 > 0.
Les forces de frottement ou forces dissipatives sont des forces non conservatives (elles ne dérivent
pas d’énergies potentielles) et ont un travail résistant (négatif).
Si un point matériel M est soumis à des forces conservatives 𝐹𝑐 et à des forces dissipatives 𝐹𝑛𝑐 et si
on note 𝑑𝑊 𝑐 le travail des forces conservatives et 𝛿𝑊 𝑛𝑐 le travail des forces non conservatives alors :
théorème de l’énergie cinétique : 𝑑𝐸𝑐 = 𝑑𝑊 𝑐 + 𝛿𝑊 𝑛𝑐 or 𝑑𝑊 𝑐 = −𝑑𝐸𝑝 ⇒ 𝑑𝐸𝑐 = −𝑑𝐸𝑝 + 𝛿𝑊 𝑛𝑐
d’où d(𝐸𝑐 + 𝐸𝑝 ) = 𝛿𝑊 𝑛𝑐 d’où le théorème de l’énergie mécanique : 𝒅𝑬𝒎 = 𝜹𝑾𝒏𝒄 < 𝟎.
L’énergie mécanique, dans ce cas, ne se conserve pas au cours du mouvement, elle diminue.
3.3.2.Oscillateurs amortis
a) Oscillations mécaniques libres amorties
Considérons un oscillateur vertical de masse m
subissant l’action d’une force de frottement
visqueux (ou force d’amortissement) 𝐹 = −𝜇𝑣
avec 𝜇 > 0, suivant un axe vertical descendant
𝑑𝑥
(𝑂𝑥) d’où 𝐹 = −𝜇 𝑑𝑡 . Soit x l’allongement du
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𝑘 𝜇 𝜇
On pose 𝜔0 = √𝑚 : pulsation propre de l’oscillateur et 2𝜆 = 𝑚 , 𝜆 = 2𝑚 est la constante
𝜇
d’amortissement. On pose aussi λ = 𝛼𝜔0 ⟹ 𝛼 = 2√𝑘𝑚 est le coefficient d’amortissement.
𝒅𝟐 𝒙 𝒅𝒙 𝟐
𝒅𝟐 𝒙 𝒅𝒙
𝟐
+ 𝟐𝝀 + 𝝎 𝟎 𝒙 = 𝟎 ou encore 𝟐
+ 𝟐𝜶𝝎 + 𝝎𝟐𝟎 𝒙 = 𝟎
𝒅𝒕 𝒅𝒕 𝒅𝒕 𝒅𝒕
b) Analogie électrique : oscillations électriques amorties : circuit RLC
Considérons la décharge d’un condensateur de capacité C chargé dans un circuit série avec une
inductance L et une résistance R.
𝑑𝑖 𝑞 𝑑𝑞 𝑞
La loi des mailles : −𝐿 𝑑𝑡 − 𝑅𝑖 + 𝐶 = 0 avec 𝑖 = − 𝑑𝑡 et 𝑢 = 𝐶 : tension aux borne de C. D’où les
𝑑2 𝑞 𝑑𝑞 𝑞 𝑑2 𝑢 𝑑𝑢 𝑢
équations différentielles suivantes 𝐿 𝑑𝑡 2 + 𝑅 𝑑𝑡 + 𝐶 = 0 ou 𝐿 𝑑𝑡 2 + 𝑅 𝑑𝑡 + 𝐶 = 0 ou
𝒅𝟐 𝒖 𝒅𝒖
𝟐
+ 𝟐𝝀 + 𝝎𝟐𝟎 𝒖 = 𝟎 Regime transitoire d′ un circuit RLC série
𝒅𝒕 𝒅𝒕
1 𝑅
avec 𝜔02 = 𝐿𝐶 (𝜔0 pulsation propre du circuit) et 𝜆 = 2𝐿 la constante d’amortissement.
On a l’analogie suivante :
μ (coefficient de frottement) R (résistance)
m (masse de l’oscillateur) L (inductance)
1
k (raideur du ressort) (inverse de la capacité)
𝐶
𝒅𝟐 𝒔 𝒅𝒔
𝟐
+ 𝟐𝝀 + 𝝎𝟐𝟎 𝒔 = 𝟎
𝒅𝒕 𝒅𝒕
où 𝜔0 est la pulsation propre (c’est-à-dire la pulsation du système non amorti) et λ la constante
𝜆
d’amortissement. On définit aussi 𝛼 = 𝜔 : coefficient d’amortissement.
0
différentielle est donc 𝒔(𝒕) = (𝑨𝒕 + 𝑩)𝒆𝒙𝒑(𝒓𝒕) avec A et B des constantes déterminées par
les conditions initiales.
Le mouvement est dit apériodique critique. C’est le plus rapide des mouvements apériodiques.
Le système revient à sa position d’équilibre sans la dépasser.
Troisième cas : 𝛥′ < 0 c’est-à-dire 𝜆 < 𝜔0 (𝛼 < 1)
L’amortissement est faible et l’équation caractéristique admet deux solutions complexes
conjuguées distinctes 𝑟1 = −𝜆 + 𝑗√𝜔02 − 𝜆2 = −𝜆 + 𝑗𝜔 et
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𝜔0 1
On définit aussi le facteur de qualité par 𝑄 = 𝜔0 𝜏 = où 𝜏 = 2𝜆 est la durée de vie des
2𝜆
oscillations appelé temps de relaxation ou constante de temps. Le facteur de qualité est lié
à la perte d’énergie relative d’un système peu amorti.
d) Aspect énergétique
Considérons l’exemple de l’oscillateur mécanique vertical amorti.
1 1
Energie cinétique : 𝐸𝑐 = 2 𝑚𝑣 2 = 2 𝑚𝑥̇ 2
Energie potentielle : la force 𝐹𝑇 = −𝑘𝑥𝑒𝑥 est conservative donc dérive d’une énergie
1
potentielle Ep telle que 𝑑𝑊𝐹𝑇 = −𝑑𝐸𝑝 => 𝐸𝑝 = 2 𝑘𝑥 2 + 𝑐 et en supposant 𝐸𝑝 = 0 à x=0
1
alors 𝐸𝑝 = 2 𝑘𝑥 2 .
1 1
Energie mécanique : 𝐸𝑚 = 2 𝑚𝑥̇ 2 + 2 𝑘𝑥 2 or d’après le théorème l’énergie mécanique on a
différentielle du mouvement.
Remarque : On peut retrouver l’équation du mouvement en utilisant le théorème de l’énergie
cinétique.
Exercice d’application
Une particule de masse m en mouvement suivant un axe (Ox) est soumise à une force centrale
attractive proportionnelle à la distance de coefficient k (donc de la forme 𝑓 = 𝑘𝑢
⃗ 𝑥 ) et à une force de
frottement fluide de la forme 𝑓𝑓𝑙𝑢𝑖𝑑𝑒 = −𝜇𝑣 . A l’instant initial, la particule se trouve en x0 avec une
vitesse nulle.
1) Donner l’équation différentielle du mouvement.
2) Décrire le mouvement selon le cas, calculer le décrément logarithmique dans le cas du régime
pseudo périodique.
3) Calculer l’énergie mécanique de l’oscillateur et vérifier le théorème de l’énergie mécanique.
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